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Et je devins adulte – Chapitre 3

Et je devins adulte - Chapitre 3



Ma mère et Suzie étaient toutes deux enlacées sous mes yeux devant le canapé du salon à deux mètres de mon lit médicalisé.

Elles s’embrassaient goulûment en gémissant, passant leurs mains avides de contact sur leur corps respectif; et un moment, ma mère fit tomber le peignoir de Suzie en se mettant nue à son tour, s’assit sur le canapé, cuisses largement ouvertes, incitant Suzie à une caresse buccale sur son bas-ventre.

J’avais vu direct sur le dos et l’arrière-train de Suzie, sexe et anus totalement lisses épilés de près, hanches étroites bien musclées et fermes ; ma main s’activait sur ma queue que je masturbais comme un fou devant cette scène pornographique bien supérieure en érotisme à tous les films que j’avais pu voir !

Maman, les yeux révulsés de plaisir, gémissait bruyamment, sa respiration saccadée montrant sa jouissance intense sous la langue experte de Suzie dont j’apercevais la vulve luisante d’humidité et qui se trémoussait prodiguant un plaisir immense à ma mère.

Ma mère se malaxait ses gros seins et elle se mit à crier de bonheur, relevant les jambes quasiment à la verticale, s’ouvrant encore plus pour recevoir avec grande intensité la langue experte de Suzie qui alternait les caresses sur sa vulve et son anus.

Elle se relâcha brutalement, son orgasme atteint. Suzie alors se mit à cheval sur sa bouche pour recevoir à son tour une caresse dont elle avait envie…

Maman se mit à lui lécher la fente de haut en bas, en malaxant avec fermeté les fesses musclées et fermes de Suzie, me montrant ses cuisses ouvertes, sa vulve luisante de salive et de mouille mélangée; je me disais que si j’étais libre de mes mouvements, je lui dévorerais bien à fond la chatte en prenant part à ce duo assez magnifique, mais frustrant pour moi…ma mère dû s’en apercevoir, car elle interrompit sa caresse buccale pour dire à Suzie :

Tu sais combien j’adore ta petite chatte, ma chérie, mais je pense que tu devrais aller sur notre pauvre Bob qui va devenir fou à force de se branler en nous regardant.

Suzie se retourna en me souriant, et se dirigea vers moi, se dandinant de sa silhouette élégante de déesse sans pudeur, et se mit, comme l’avait fait ma mère, en position tête-bêche; car pour l’instant, je ne pouvais envisager beaucoup d’autres postures, et elle le savait bien…Elle entreprit de me sucer intensément tout en ouvrant bien son intimité à ma langue; je découvrais une autre version de vulve bien différente de celle de maman, mais tout en étant à la même place ; je léchais, suçais, dévorais partout et mettais mes doigts inquisiteurs dans tous les endroits chauds et humides que je découvrais…je sentis un visage à côté du mien ; c’était ma mère qui me rejoignait avec sa langue pour partager avec moi ce festin du corps de Suzie.

Pendant que je m’activais sur la chatte posée sur ma bouche, ma mère léchait l’anus bien tendre de Suzie qui soufflait violemment par le nez, sa bouche étant bien remplie par mon gland devenu énorme d’envie ; la nature m’avait doté d’un organe assez conséquent en longueur et diamètre, mais surtout, mon gland plutôt disproportionné en volume semblait un champignon qui faisait vraiment office de tampon de ramonage.

Cet échange de plaisir dura bien longtemps quand Suzie prit son pied brutalement en lâchant ma queue pour hurler, la reprenant juste à temps pour avaler le flot de sperme que j’envoyais brutalement dans sa bouche avide. Ma mère, quant à elle, dévorait l’orifice anal de son amie en se caressant elle-même sa chatte en feu et elle jouit du même coup d’excitation.

Tant d’activités intenses durant la journée eurent vite raison de moi; je dus prendre mes cachets antidouleur et l’effet ne se fit pas attendre, je tombais dans un profond sommeil laissant les deux femmes qui venaient de me donner tant de plaisir à leurs occupations; en l’occurrence, elles avaient prévu de manger ensemble à la cuisine après une douche bienfaisante !

Je ne sentis même pas lorsqu’elles procédèrent à ma toilette, et ma séance de kiné passive par Suzie…au moins pour elle l’avantage et qu’elles purent me manipuler sans avoir à gérer mon érection !

La semaine qui passa alors fut du même acabit que ces deux premiers jours ; la folie du sexe s’emparait de nous dès que maman s’occupait de moi ou dès que Suzie passait pour effectuer son boulot de kiné qui en plus s’associait à une éducation sexuelle me concernant. J’en appris beaucoup plus durant ces quelques jours qu’auparavant avec mes cinq petites aventures avec des filles de mon âge.

Maman dormait souvent à mes côtés après une dernière étreinte nocturne le lit médical étant très large – j’avais l’impression que nous étions devenus un couple…

Je constatais qu’à quarante-deux ans, ma mère était une femme pleine de force et que sa libido, dont elle assumait totalement le niveau élevé, faisait d’elle, ce que l’on pourrait appeler "une bête de sexe". Je la voyais comme un fauve dont la force de caractère faisait d’elle une chef de meute.

Son corps mature, mais entretenu par le sport quotidien auquel elle s’astreignait, respirait la santé et l’énergie ; elle m’avait toujours entraîné avec elle au sport en salle et aux activités physiques de plein air, contrairement à mon père plutôt renfermé lorsqu’il finissait son travail. Les regards luisants d’envie dont elle était l’objet à la salle de musculation, ou lorsqu’on courait au parc, me venaient à l’esprit…Une idée qui me venait brutalement à l’esprit : nous étions semblables et j’aimais cette idée.

Je découvrais avec plaisir et surprise que ma mère était en fait une inconnue pour moi sur le sujet du sexe, je l’imaginais sage, et en fait, sans particularités ressortant de l’ordinaire, mais il est vrai que je n’entendais jamais d’ébats sexuels dans la chambre de mes parents comme dix ans plus tôt lorsque je les écoutais, curieux, en tripotant mon sexe sans savoir pourquoi il devenait dur quand je les entendais jouir…

Ma mère avait trouvé en Suzie et d’autres je l’apprendrai plus tard un palliatif au manque de libido de mon père. Je devinais même qu’elle était plutôt très cochonne comme on dit, et même si cela me perturbait, je bandais dès que j’y pensais ; des images très pornos traversant mon esprit…

Dommage pour papa qui n’apprécie pas comme moi le plaisir de partager ma mère avec Suzie, et sans doute d’autres relations qu’elle devait avoir du moins j’en avais le pressentiment.

Les dix jours suivants sont passés très vite, et j’avoue qu’il me tardait de sortir de ce mauvais pas d’immobilisation, quand bien même les intermèdes fussent agréables, et ce mot est un doux euphémisme…

J’avoue même que j’en arrivais à ne plus avoir « d’érections incontrôlées » tant il me tardait de sortir de ce lit.

Le soir, c’est sûr, quand ma mère était seule avec moi, un moment de calme et de plaisir s’installait, car elle avait toujours cette attitude maternelle et sexuelle à la fois à mon égard qui me faisait exploser de jouissance dès qu’elle me touchait. Son corps me rendait fou dès que je voyais ses seins, son ventre, ses cuisses à la fois musclées et douces, quant à sa vulve d’amour ornée d’un duvet léger et sombre, je ne pouvais plus m’en passer…elle sentait toujours bon, car d’une hygiène irréprochable. Avec elle, pas de compromis sur ce sujet…

Le jour tant attendu arriva un mardi matin, Suzie me fit me lever pour la première fois. Dix minutes seulement; mais je sus que je marcherai très vite à nouveau.

Pas question de faire des folies en baisant debout, car Suzie l’avait bien dit : « attendez mon feu vert, sinon y a un risque de prolongation de la station couchée. »…rien que cette idée; et ma queue retombait de suite.

Je pouvais me doucher avec ma mère à côté bien sûr, et aussi aller où même le roi va à pied, sans avoir quelqu’un qui m’assiste; la vraie vie quoi.

Déjà, des projets trottaient dans ma tête et des projets plutôt cochons; quoi d’autre, en dehors de mes études ? Encore cinq jours; et je dormirais dans mon vrai lit, pas seul sans doute, mais pas dans un carcan.

Le dernier jour d’intervention de Suzie à titre professionnel, j’eus une surprise, elle vint avec une assistante à elle qui resta sagement à ses côtés durant la manipulation préalable à mon lever.

Charlène était une kiné sortie de formation qui voulait "tout connaître du métier" ; je commençais alors à penser qu’avec Suzie elle allait en effet "tout connaître bien en profondeur"…

Petite rousse, plutôt mignonne, son visage assez pâle, couvert de tache de rousseur, était encadré d’une chevelure de feu mi longue; en pantalon et veste blanc coton comme Suzie, avec un peu plus de formes apparentes au niveau des seins et des fesses laissant deviner un corps un peu plus enveloppé que sa mentore. Il me sembla deviner qu’elle ne portait pas de soutien-gorge ce qui décidément semblait une habitude chez ces deux kinés.

Je vais aider Bob à prendre sa douche après toutes ces manipulations, tu peux venir voir.

Je commençais à me demander ce qui allait bien se passer alors que Charlène rougit légèrement en croisant mon regard…

Suzie m’aida à me mettre debout hors des gouttières déverrouillées ; mon tee-shirt long me couvrait le bas-ventre m’assurant une pudeur rassurante devant une inconnue.

Cette pudeur fut mise à mal, alors pour avancer, je mis mes bras autour des épaules de Suzie et Charlène, ce qui eut pour effet de relever ce fichu tee-shirt décidément trop court et laissant apparaître mon bas-ventre.

Remarque ironique de ma mère : "je vois tout mon chéri, tu vas choquer Charlène." Et Charlène de rougir à nouveau, alors que je croisais son regard à quelques centimètres du mien…

Arrivée devant la salle de douche, Suzie entra en premier à reculons pour faciliter mon passage, et se chargea de régler la douche.

Une fois dans la pièce, je décidais de prendre l’initiative de me mettre nu en ôtant simplement mon haut, sachant Charlène derrière, et sans pudeur pour Suzie qui connaissait bien mon corps. Ma queue se dressa brutalement pour une raison que j’ignorais, mais seule Suzie la vit et ne dit rien pour l’instant tout en souriant avec un regard coquin…

L’eau tiède sur mon corps me fit un bien fou et n’atténua pas mon érection alors que je me savonnais moi-même un peu partout et que Suzie prit l’initiative de me frotter le dos…

Voilà que je me mouille si je continue.

Regarde bien ce que tu dois faire Charlène, mais pas avec tous les patients bien sûr.

Ma mère semblait aux anges en regardant la scène et se caressant les seins doucement d’une main et tout en se rapprochant de Charlène dont elle caressait les cheveux délicatement de l’autre main.

Charlène, visage empourpré, semblait tétanisée de nous voir; et je constatais qu’elle aussi caressait machinalement ses seins sous sa blouse blanche de coton.

Tandis que je continuais de sucer la langue de Suzie qui me masturbait avec vigueur et me massait les couilles, je vis ma mère glisser sa main dans le pantalon de Charlène et lui caresser la chatte sous le tissu cette dernière gémissant en fermant les yeux et penchant sa tête en arrière sur l’épaule de ma mère.

Ma mère baissa doucement son pantalon et son slip, en continuant de caresser sa petite chatte tendre et juste ornée d’une brosse flamboyante du genre "ticket de métro" qui laissait entrevoir les lèvres rose intense de sa chatte de fille rousse : je voyais sa main écarter les lèvres et ressortir le clitoris déjà bien tendu de plaisir…

Viens t’allonger sur le canapé; tes hanches ne risquent plus rien, mais tu ne dois pas faire d’effort debout ou à genoux, on va travailler.

Une fois assis, demi-couché sur le canapé, je reçus sur mon bas-ventre une Suzie déchaînée qui guida mon sexe vers sa grotte humide et chaude.

Elle s’empala brutalement sur moi sans effort et je sentis le fond de son ventre sur mon gland ; j’étais au fond de son vagin et elle commença une danse de plaisir sur ma queue.

Ses yeux révulsés de plaisir m’excitaient tant, et je savais que je ne tarderais pas à jouir, moi aussi, d’autant plus que je voyais Charlène et ma mère sur le bord du canapé qui se caressaient et s’embrassaient tendrement ; cette vision augmentant fortement mon état d’excitation.

Suzie gémissait les yeux révulsés; et soufflant fort par la bouche grande ouverte, elle hurla sans retenue lorsque je lui envoyais violemment ma semence dans son vagin brûlant et nous jouîmes de concert sous les râles des deux autres femelles en chaleur qui, couchées sur le tapis, se caressaient mutuellement la chatte en s’embrassant tendrement…

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