Histoires de sexe mobiles Histoires érotiques

Evasion victorienne – Chapitre 2

Evasion victorienne - Chapitre 2



Mercredi 19h.

Allongée sur mon lit, déjà prête, j’hésitais. Greg semblait être quelqu’un d’autoritaire et je ne savais pas si j’avais vraiment envie de me lancer dans une relation comme celle-ci. D’ailleurs qu’était cette relation ? Purement sexuelle ? Ou attendait-il plus ? Après tout, il m’avait sorti le grand jeu l’autre soir, les fleurs, le costard, le champagne et même les bougies. Et moi, qu’attendais-je ? Une relation sérieuse ? Non, hors de question. M’amuser ? Cela dépendait des conditions.

Je me redressais, les jambes sur le coté de mon lit, face au miroir. Comme il me l’avait demandé, je ne portais pas de sous-vêtements, et c’est la vue de mon sexe nu dans le miroir qui me donna une idée.

Parmi les nombreux jouets dont je disposais, il y avait un uf vibrant, avec une télécommande sans fil. Je vérifiais la batterie de luf puis saisit le tube de lubrifiant pour faciliter son insertion.

J’allais montrer à Greg que j’étais, moi aussi, capable de diriger le jeu. Je choisis une enveloppe où je glissais le test VIH demandé accompagné de la télécommande. Le simple fait que j’ai effectué ce test de dépistage prouvait que j’avais envie d’aller plus loin, il ne restait plus qu’à définir les termes de cette poursuite.

Mercredi 19h30.

Un coup de sonnette rapide, j’attrapais mon sac et ouvris la porte, mais ce n’était pas Greg.

« Bonsoir madame, je suis Nicolas, monsieur Moralis m’envoie vous chercher. »

Brun, 25 ans maximum, plutôt fin, appétissant il faut le reconnaître, mon chauffeur du soir n’était pas désagréable. Il me tendit une enveloppe ivoire.

"Laisse Nicolas te conduire, tu ne risques rien, fais moi confiance. Greg."

Encore cette histoire de confiance. La dernière fois, cela m’avait conduite à avoir l’un des meilleurs orgasmes de ma vie. Sans trop me poser de question, je fermais la porte de l’appartement et suivais Nicolas.

Sur la banquette arrière de la berline noire, une seconde enveloppe, plus épaisse cette fois, m’attendait.

"Merci de m’avoir fait confiance et d’avoir suivi Nicolas.

Dans cette enveloppe, tu trouveras mon test VIH ainsi qu’une liste de pratiques et accessoires sexuelles. Pour évoluer ensemble, j’ai besoin de savoir ce que tu es prête à tenter ou non. Prends ton temps pour l’explorer.

Le trajet devrait durait une quinzaine de minutes.

Sensuellement

Greg "

De l’audace, toujours de l’audace. Je sortis le reste du contenu de l’enveloppe, son test était là et négatif, ainsi que la (longue) liste. Elle était composée de chose banale et d’autre plus aventureuse. Il se trompait profondément s’il pensait que j’allais lui remettre remplie. Répondre à cette liste reviendrait à lui faciliter le boulot, il n’en n’était pas question.

Mercredi 19h45.

La voiture sarrêta près d’une grille, Nicolas m’ouvrit la portière et m’indiqua le chemin qui partait dans les bois, éclairé de lanternes. Après 300m, il débuchait sur une clairière où m’attendait Greg, assis sur un lit suspendu, objet improbable dans ce lieu sauvage.

« Il fallait me dire de venir en chaussure plate, cela m’aurait faciliter la vie. »

Greg sourit et se leva pour m’accueillir.

« Mais je n’aurais pas eu le plaisir de t’admirer te dandiner jusqu’à moi. »

Il me prit par la main, m’embrassa sur la joue et me guida jusqu’au lit. Je lui tendit l’enveloppe qu’il posa sans même regarder dans un panier contenant quelques victuailles.

Sans mot, il m’allongea, glissa sa main le long de ma jambe, remonta doucement ma robe et posa sa paume de main directement contre ma vulve. Ce contact me fit frémir, étant déjà excitée par luf.

« Aucune petite culotte, tu sais obéir, c’est bien. » Me chuchota-t-il à l’oreille. Il retira sa main, à mon grand regret, et sortit une bouteille de vin blanc du panier, ainsi que deux verres et des gressins au sésame.

Le repas commença ainsi, se poursuivit sur des crudités à croquer et c’est lorsqu’il attrapait le dessert, qu’il remarqua que l’enveloppe que je lui avait donnée contenait plus que mon test.

Il sortit la télécommande, intrigué, puis, dos à moi, appuya sur le bouton marche. Je sursauta de surprise, le repas m’ayant fait oublier le port de luf.

« Intéressant. » Il poussa les verres et autres traces du repas en dehors du lit, me rallongea de nouveau, et tout en m’embrassant, augmenta le niveau de vibration. Il glissa une main sur ma poitrine, dégagea un sein pour lécher mon téton. La soirée commençait enfin, cette soirée que j’avais attendue sans le savoir depuis samedi dernier.

Il descendit la fermeture de ma robe et me déshabilla. J’étais nue, sur un lit au beau milieu de la clairière entourée par les bois, et quand il m’écarta les jambes, je me retrouvais totalement offerte.

Il ôta ses vêtements à son tour, s’allongea à mes cotés et posa une main sur mon ventre.

Avant de commencer sa phrase, il augmenta d’un cran la vibration, le jeu semblait lui plaire. « J’aime beaucoup ta surprise, sa main attrapa mon sein, j’aime les prises d’initiatives, je sentais sa verge grossir contre moi, mais il faut assumer ce genre de chose, tu sais. »

Il posa ses lèvres dans mon cou et la télécommande sur le matelas. Ses deux mains libres, il m’écarta grand les jambes et pressa sa paume de main contre ma vulve humide. Un râle de plaisir sortit de ma bouche, et il profita de cette ouverture pour glisser son doigt entre mes lèvres, doigt que je me mit à sucer. Sa main fit des cercles sur mes lèvres, jouant avec mon clitoris. Puis il se mit à genoux, son sexe bandé au dessus de ma bouche. Le message était clair, j’attrapais sa bite et le suça.

D’abord tendrement, je donnais des petits coups de langue sur son gland, le long de sa verge puis j’engloutis entièrement son sexe dans ma bouche. Ce traitement semblait le perturber puisqu’il avait arrêter de jouer avec ma vulve.

Du moins je le croyais, jusqu’au moment où il arrêta luf avant de le redémarrer et cela plusieurs fois de suite. L’alternance de vibration et d’absence de vibration me fit dégouliner. Il finit par retirer sa queue de ma bouche ainsi que luf de mon sexe. Je me retrouvais vide, vide bientôt comblé quand il me glissa un doigt pendant que sa langue s’amusait avec mon clitoris. Il accélérait le rythme avant d’ajouter un deuxième doigt en moi.

Mes doigts agrippèrent le matelas. Je sentis soudain un doigt se faufilait vers mes fesses, glissant le long de ma raie, caressant mon anus, tentant de voir quelle serait ma réaction. J’avais déjà essayer et pratiquer plusieurs fois l’anal, mais uniquement en solo avec un jouet. Je le laissais faire, et il glissa doucement son doigt dans mes fesses. Je gémis de plaisir, ce qu’il prit comme un signal pour commencer de longs aller-retours.

La triple sensation de sa langue, ses doigts dans mon vagin et celui dans mon cul était parfaite, et à ce rythme je ne pus retenir mon orgasme bien longtemps. Il continua à bouger ses doigts et sa langue durant celui-ci, le faisant durer plus longtemps que d’habitude.

Il finit par se retirer doucement quand mes spasmes et mes cris cessèrent. Il s’allongea dans mon dos, me prit dans ses bras avec tendresse, puis me glissa à l’oreille que ce n’était pas fini. Il caressa mes seins, très sensibles suite à mon orgasme, puis descendit sur mon clitoris qui était dans le même état. Je lui dis que je ne pourrais pas, que j’étais trop sensible, que ça ne marcherait pas. Il me répondit que rien n’était impossible, et glissa son sexe en moi en prononçant ses mots.

Les sensations étaient décuplées par mon premier orgasme. Il prit un rythme lent, me permettant de m’habituer. Il me bascula sur le ventre, lui au dessus de moi, me pénétrant un peu plus vivement.

Quelques minutes plus tard, il m’attrapa les hanches pour me mettre en levrette, puis se retira, me disant de ne pas bouger, que lui aussi avait une surprise. Il sortit de son sac un crochet en métal avec une boule au bout, un tube de lubrifiant et une corde. Il passa la corde dans la structure qui soutenait le lit, puis l’attacha au crochet.

J’avais déjà vu de nombreuses vidéos utilisant des crochets semblables à celui-ci, mais je n’avais jamais essayé. Il déposa un peu de lubrifiant sur la boule qui n’était pas plus grosse qu’une tomate cerise, la présenta à l’entrée de mes fesses, et la fit pénétrer lentement. La sensation était celle d’un chapelet anal.

Une fois la boule entièrement rentrée, il ajusta le crochet avant de me pénétrer vaginalement avec sa bite. Il reprit ses allers-retours, mes sensations toujours accrues par mon premier orgasme. Il tira ensuite doucement sur la corde qui tenait le crochet, me faisant découvrir une nouvelle sensation. Le crochet tirait mes fesses vers le haut, mais doucement, de manière très excitante.

Cette double et inédite pénétration allait réussir à me faire venir une deuxième fois, et je le sentais également proche de la jouissance. Il tira un peu plus sur la corde du crochet, me faisant jouir en même temps que lui. Il lâcha la corde et nous nous écroulâmes l’un sur l’autre, son corps collé au mien maintenant en place le crochet du délice.

Une fois nos esprits revenus à la normale, il m’ôta délicatement le crochet en se retirant, et me proposa de passer au dessert, le tout le plus naturellement du monde.

La soirée se termina sagement et il me ramena chez moi comme la dernière fois. Sur le chemin du retour, il me rappela l’existence de la fameuse liste, me laissant le temps pour l’explorer mais souhaitant une réponse rapide. Il me tendit aussi son téléphone et nous nous échangeâmes nos numéros.

Il se gara rapidement et m’accompagna à ma porte. Il me contacterait dans les jours à venir pour notre prochain rendez-vous. Un rapide baiser déposé sur ma joue et il fila.

Je ne savais définitivement pas à quoi m’attendre avec lui et alors que je me délassais sous la douche, j’entendis vibrer mon portable.

"Samedi 20h30."

Il allait être déçu, j’avais déjà des projets pour cette soirée.

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire