Histoires de sexe sœur Histoires de tromper Histoires érotiques de couples amateurs

Evolutions – Chapitre 35

Evolutions - Chapitre 35



ÉVOLUTION

Avis aux lecteurs : Le texte qui suit est sorti de mon imagination fantasmatique. Toute ressemblance avec des faits réels et (ou) des personnes existantes ne serait que pure coïncidence.

Chapitre 35 : Tiramisu.

Lorsque je me réveille le lendemain matin, c’est sans surprise que je constate qu’Alice est à nouveau couchée sur le dos avec les jambes écartées, et qu’elle s’est cette fois encore mise dans la peau d’une chatte, puisqu’elle ronronne légèrement. Je souris en la regardant dormir et j’attends patiemment qu’elle se réveille, ce qui je le sais ne va pas tarder à arriver.

C’est effectivement le cas une dizaine de minutes plus tard, et comme d’habitude elle se tourne vers moi après avoir ouvert les yeux, tout en me faisant un magnifique sourire dès qu’elle me voit. Nous nous observons en silence quelques instants, puis mon petit bout de femme me pose une question sans rougir :

Tu as aimé, la façon dont je me suis comportée hier-soir ?

Je n’ai pas besoin de réfléchir pour lui répondre :

Beaucoup. C’était à la fois surprenant et très stimulant.

Puis j’ajoute, tandis que j’ai droit à un deuxième sourire aussi beau que le premier :

Je ne te demanderai pas d’où t’es venue l’idée de te transformer en une petite chienne, mais ce que j’aimerais savoir, c’est si tu t’étais entraînée avant ?

Oui un peu. Tu sais, avec les filles on a eu un chien. Mais lorsqu’il est mort de vieillesse elles ont été tellement tristes, que je n’ai pas voulu en reprendre un bien qu’elles ont longuement insisté. Lorsqu’il était encore vivant et ses petites maîtresses étaient à l’école, je jouais avec lui et je m’amusais à l’imiter. Mais bien entendu, je ne l’avais jamais fait devant une autre personne avant toi. Et pour répondre à la question que tu n’as pas posée, l’idée m’est venue grâce à tes histoires de jeux de rôles.

Je me tais quelques instants, puis je lui dis :

Tu sais, pour ce qui est de t’acheter un collier en cuir, je ne le pensais pas vraiment…

Moi si j’y pense sérieusement, car si tu veux que je recommence à être Dolly, ça serait un accessoire qui pourrait pimenter le jeu. À condition que cela reste entre toi et moi, bien entendu.

₪₪₪

Cette fois encore je suis bluffé, par conséquent je ne sais pas trop quoi répondre, et je ne suis pas au bout de mes surprises puisqu’Alice ajoute cette fois en s’empourprant :

Et en ce qui concerne le donjon au sous-sol, parce que j’ai parfaitement compris que tu as des doutes à ce sujet, disons que j’attends que tu te décides à me mettre une fessée, pour savoir si j’aimerais subir plus de ta part. Mais il ne faut pas non plus que tu sois effrayé par la chose, parce que dans mon esprit domination ne rime pas avec torture physique, et que cela restera un jeu auquel nous nous adonnerons de temps en temps.

La domination je n’y connais pas grand-chose, pour la bonne raison que j’ai toujours essayé d’établir des relations, dans lesquelles ma compagne du moment devait se considérer comme étant mon égale. Même si ça ne m’a pas porté bonheur, avec celles qui ont précédé mon amante actuelle. Mais pour ce qui est de la fessée j’ai une certaine expérience, puisque Mathilde mon ex-femme était demandeuse.

C’est pourquoi avant de me faire traiter une nouvelle fois de chochotte, je me lève et je dis à mon petit bout de femme sur un ton autoritaire :

Si c’est une correction que tu veux, tu vas la recevoir ! Mais de manière qu’il n’y ait ni reproches ni rancune de ta part par la suite, tu vas me demander de te la mettre !

Surprise par ma réaction elle devient aussitôt écarlate, puis elle me demande avec une voix de petite fille :

Là ? Maintenant ?

J’éclate aussitôt de rire, avant de me moquer d’elle :

Tu me blâmes en insinuant que je n’ai pas le courage de le faire, et alors que je veux te prouver le contraire tu essaies de te défiler ?!

Oui… mais…

Il n’y a pas de mais qui tienne ! Soit tu obéis immédiatement, soit tu ne m’en reparles plus jamais !

Le visage toujours empourpré elle capitule en reprenant une voix normale, bien que cette dernière soit devenue légèrement rauque à cause des émotions qu’elle est en train de ressentir :

Je voudrais que tu me fasses rougir les fesses en me mettant des claques, mon Amour. Et je te promets que jamais je ne te reprocherai de l’avoir fait.

₪₪₪

Satisfait par cette réaction qui prouve qu’Alice est parfaitement entrée dans son rôle, je poursuis tout en tenant le mien, mais sur un ton plus doux :

Dans ce cas, tu vas te mettre à quatre pattes sur le lit, de manière à ce que ton cul soit à l’aplomb du bord.

Bien qu’encore légèrement rose à cause de l’émotion elle s’exécute, et une fois qu’elle a pris la position demandée, je lui explique tout en me mettant derrière elle mais sur le côté, à cause de ses mollets et de ses pieds qui dépassent de la couche :

De manière à ce que tu n’en gardes pas un mauvais souvenir, ce sera à toi de décider à quel moment tu voudras interrompre la punition. Car comme tu me l’as si bien fait remarquer tout à l’heure, cela doit rester un jeu entre nous.

Et comment est-ce que je dois le faire ?

En général, on utilise un mot d’alerte qui ne doit avoir aucun rapport avec la situation dans laquelle on est, de façon à ce qu’il ne puisse y avoir aucune ambiguïté.

C’est que… je n’avais pas vraiment réfléchi à ça, et je n’ai aucune idée qui me vienne…

Bien qu’elle ne puisse pas le voir étant donné qu’elle regarde droit devant elle, je souris avant de lui suggérer :

Que dirais-tu de Tiramisu ?

Elle sourit à son tour, avant d’approuver et de me poser elle aussi une question.

OK. Et est-ce que je dois t’appeler Maître ?

Non. Je préfère de loin mon Amour, car cela démontrera que tu n’es pas une soumise en train de subir un châtiment, mais une compagne qui apprécies ce que son homme en train de lui faire. Enfin, jusqu’à ce que tu songes à utiliser le mot d’alerte. Mais assez de bavardages inutiles ! Es-tu prête ?

Oui mon Amour.

₪₪₪

Suite à cette affirmation je mets une première claque sur les fesses d’Alice, qui sont jointes étant donné que sans doute dans un réflexe de protection, elle a gardé les cuisses serrées. Je ne lui ai pas fait de reproches à ce sujet, car sans doute a-t-elle voulu mettre sa vulve à l’abri, consciemment ou non, ce qui je trouve est une réaction tout à fait normale, de la part d’une personne qui sait qu’elle va recevoir une fessée.

Si pour elle cet essai est concluant, et que par la suite elle veut augmenter ses sensations, il lui suffira alors d’exposer son intimité pour qu’elle reçoive sa part de caresses douloureuses, car bien entendu même si je suis le tourmenteur, il est nécessaire de mon point de vue qu’elle reste maîtresse de la situation à chaque instant.

Tout en allongeant le bras pour que son postérieur soit à portée de ma main, j’ai fait en sorte que mon poignet reste souple de manière à ne pas être brutal, ce qui ne m’a pas été difficile étant donné qu’après des années de pratiques avec Mathilde, j’ai une certaine expérience de la chose. Cela n’empêche pourtant pas ma timide compagne de pousser un petit cri tout en sursautant, mais je sais que sa réaction a été provoquée par la surprise, et que la douleur ne viendra que plus tard, causée par la répétition des impacts.

Pour pimenter le jeu j’attends quelques instants avant de lui mettre une seconde claque, dans le but qu’elle ne sache pas à quel instant elle va tomber, et que l’attente lui provoque en même temps de l’anxiété et de l’impatience. C’est cependant la seconde qui prime sur la première chez mon amante, ce qui ne me surprend pas étant donné que je connais son caractère, et je souris à nouveau lorsqu’elle s’exclame :

Quoi ?! C’est déjà fini ?!

J’abats aussitôt ma main mais plus fort que la première fois, ce qui lui provoque encore un sursaut et un autre cri de surprise, et bien que sa façon de se comporter m’amuse énormément, je fais semblant d’être exaspéré lorsque je réplique :

Le seul mot que tu as le droit de prononcer sauf si je te pose une question, c’est Tiramisu !! Et si tu te rebelles, je vais tellement te tanner le cuir que tu me le diras en sanglotant et en me suppliant !

₪₪₪

Je vois immédiatement le magnifique visage d’Alice devenir écarlate, cependant elle reste à présent silencieuse, et je recommence à la fesser selon mon envie. C’est-à-dire que je lui mets des claques à intervalles irréguliers, parfois sur les deux fesses, et d’autres fois soit sur la gauche soit sur la droite.

Mon petit bout de femme sursaute systématiquement, mais ses petits cris se transforment peu à peu en geignements de douleur, et sa croupe charnue finit par prendre une belle teinte rouge et uniforme, parfaitement visible malgré son teint mat et bronzé.

Ce petit jeu m’excite au plus haut point, si bien que je me paye à présent une solide érection, et tandis que je décalotte mon gland pendant une pause plus longue que les autres, je lui dis pour la taquiner un peu :

Tu fais moins la maligne à présent Dolly. Tu en as assez ou tu en veux encore ?

Mon souffre-douleur me répond avec une voix rauque mais sans aucune hésitation :

Oui, j’en veux encore.

Sa résistance m’épate, surtout pour une première fois, mais cela ne m’empêche pas de lui mettre aussitôt une nouvelle claque plus appuyée que les autres, et de lui demander sur un ton courroucé bien que je ne le sois pas :

Encore qui ?!?

Je veux que tu me punisses encore, mon Amour…

Satisfait je recommence à la fesser toujours de la même manière, jusqu’à ce qu’elle me demande grâce en prononçant le mot d’alerte, ce qui finit fatalement par arriver.

₪₪₪

Lorsqu’Alice a crié Tiramisu plusieurs fois de suite, je lui dis sur un ton autoritaire :

Maintenant, tu vas aller te mettre dans la même position mais face au miroir, Dolly !!

Elle m’obéit rapidement et sans hésiter afin de se placer sur la carpette, et bien que je voie qu’elle a retenu ses larmes puisque ses yeux sont brillants, elle affiche à présent un petit sourire sur son beau visage, pourtant marqué par la douleur qu’elle est toujours en train de ressentir.

Cependant je ne m’apitoie pas sur son sort, étant donné que c’est elle qui a voulu que les choses se passent de cette manière, et je vais sans attendre me mettre à genoux derrière elle. Lorsque c’est fait je colle mon gland contre son anus et je l’attrape par la taille, avant de donner un grand coup de reins, dans le but de m’enfoncer dans son fondement.

Sa rondelle est parfaitement détendue, ce qui me permet sans avoir besoin de forcer d’introduire complètement mon membre raide en elle, et je commence sans attendre à le faire coulisser. Dès le départ je peux adopter un rythme assez soutenu, et vu que ma partenaire ne tarde pas à m’accompagner dans mes mouvements, notre accouplement devient peu à peu débridé. C’est un vrai régal pour moi de voir ses gros seins se balancer librement, jusqu’à ce qu’ils viennent butter contre ses bras en faisant un bruit mat.

Les geignements que pousse à présent mon petit bout de femme sont provoqués par le plaisir, et il me semble même si je n’en ai pas la certitude, qu’ils sont exprimés plus fort que les fois précédentes. Elle est d’ailleurs déchaînée, puisqu’ayant accordé les mouvements de son bassin au mien, elle vient à ma rencontre lorsque je m’avance vers elle, sans se soucier du fait que le choc lorsque nous nous heurtons, doit être douloureux pour ses fesses toujours rouges. Elle repart ensuite dans la direction opposée, et je dois la retenir fermement avec mes mains qui sont posées sur ses hanches, pour m’assurer que ma queue ne ressorte pas complètement.

₪₪₪

Notre danse infernale dure une dizaine de minutes, jusqu’à ce qu’Alice arrive à l’orgasme en poussant un gémissement qui une fois n’est pas coutume, m’agresse les tympans tant il est aigu. C’est sans surprise que je sens du liquide chaud et légèrement gluant gicler de son vagin, mais les jets sont stoppés par mes bourses qui sont venues se coller contre sa vulve, lorsque je me suis enfoncé en elle une dernière fois.

J’ai au départ hésité à la sodomiser directement sur notre lit, ce qui aurait été à la fois plus direct et plus symbolique, mais par précautions j’ai préféré venir sur la carpette, qui est doublée du côté qu’on pose sur le sol par du plastique. C’est par conséquent parfaitement serein et ivre de plaisir, que je me vide moi aussi mais dans son fondement, en poussant un grognement bestial.

Une fois l’orage passé mon petit bout de femme s’affale sur le sol, et je la suis dans sa chute pour la couvrir, avant de rouler sur le côté en l’entraînant avec moi, de manière à pouvoir caresser sa lourde poitrine et son ventre.

Lorsqu’elle reprend ses esprits mon amante est prise d’un fou-rire qui est probablement nerveux, et elle me dit entre deux hoquets :

Waouh !… C’était… un truc… de… dingues !

Heureux qu’elle ait ressenti les choses de cette manière, bien que je l’aie faite souffrir avant de lui faire l’amour, je lui réponds après avoir souri :

J’en déduis que tu as l’intention de me redemander de te mettre des fessées ?

Oui mon Amour. Et j’aimerais également que nous construisions ce donjon, parce qu’attachée ça doit être encore plus… bien mieux…

Je n’avais jamais envisagé les choses de cette façon, d’autant plus que Mathilde ne m’a jamais demandé de lui mettre plus que des calottes sur le derrière, mais il est vrai qu’étant donné que j’ai toujours été celui qui tourmente et pas celui que l’on fait souffrir, j’ignore totalement ce que l’on peut ressentir dans ces moments-là…

À suivre…

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire