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Famille, je vous aime ! – Chapitre 1

Famille, je vous aime ! - Chapitre 1



Juliette et Pierre habitaient depuis toujours une grande bâtisse entourée d’un grand parc. Elle lui venait de son père qui lui même la tenait de ses ancêtres. Il était maintenant à la retraite. Juliette quant à elle n’avait jamais travaillé. Ils avaient eu deux enfants : Eric et Annie.

Les vacances de printemps étaient déjà là et ils attendaient la venue de leurs enfants et petits enfants pour le week-end. En effet c’était leur anniversaire de mariage, quarante cinq ans déjà, et il avait été décidé que tout le monde se retrouverait, dans la demeure familiale pour le fêter.

Leur fils Eric, sa femme Sylvie et leur fille Béatrice, qui habitaient Paris, étaient arrivés en début d’après midi. Quant à leur fils Eric, étudiant à Montpellier, il était arrivé en fin d’après midi. Il était accompagné de son amie Claude. Il avait demandé à ses grands parents si elle pouvait l’accompagner ce qu’ ils avaient accepté volontiers. Ils étaient déjà tous à table pour le dîner lorsqu’ Annie, leur fille aînée, arriva à son tour. Elle s’excusa de son retard, fit le tour de la table pour embrasser tout le monde et s’assit en bout de table.

Onze heures venaient de sonner. La soirée était bien avancée, Pierre et Juliette, puis tout le monde regagna sa chambre.

Celle d’Eric et Sylvie était située au premier étage, séparée de celle des grands parents par une pièce qui avait été transformée en deux cabinets de toilette . La pièce spacieuse meublée avec soin donnait sur le jardin.

Le lit était large, Eric était déjà couché. Son épouse s’attardait dans la salle de bain et il la regardait par la porte restée ouverte, se préparer pour la nuit.

C’était une femme à la quarantaine épanouie. Elle était belle et il émanait de son corps une sensualité saisissante. De dos, les cheveux mi-longs auburn tombaient sur sa nuque découvrant, lorsqu’elle relevait les bras, un cou gracile et long, ceint d’un ruban en satin noir comme un collier de chien. La chute de ses reins, cambrée, tombait sur des fesses pleines et amples. Le porte jarretelle et les bas noirs qui gainaient ses jambes longues révélaient la blancheur de la peau. Elle se retourna, légèrement penchée. Ses seins emplissaient un soutien gorge qui les soutenait et les mettait en valeur, tels deux fruits offerts. Les pointes brunes et érigées des mamelons affleuraient la dentelle prêtes à être cueillie. Son ventre à peine marqué, encadré par le porte jarretelle se fermait sur le triangle de son sexe entièrement rasé accentuant le bombé des deux grandes lèvres. Ses longues jambes étaient les colonnes d’un temple qui menaient au sanctuaire ! C’était à chaque fois le même plaisir renouvelé que de la regarder se déshabiller.

Maintenant Sylvie était assise sur le rebord de la baignoire Elle ôtait délicatement un bas, jambe gauche relevée, fesses légèrement écrasées,. Les lèvres charnues de son sexe épilé étaient coiffées par le renflement du capuchon clitoridien. Eric avait toujours était émerveillé par sa grosseur. Gonflé et excité, lorsqu’il le prenait entre ses lèvres, il se décalottait comme le gland d’une petite bite. Sylvie en était fière et adorait se branler devant son mari. Elle aurait aimé éjaculer comme un homme. En maillot de bain, elle s’exhibait volontiers, jambes écartées, excitée par le regard des hommes sur son sexe gonflé et souligné par le tissu pris entre les lèvres. L’érotisme qui s’en dégageait était plus fort que si elle avait été nue.

Sylvie acheva d’ôter le deuxième bas, puis dégrafa le porte jarretelle et le soutien gorge. Ses seins lourds enfin libérés se détachèrent, les aréoles sombres et dures soulignant la peau laiteuse veinée de bleu. Eric aimait quand Sylvie les lui présentait, en les soulevant d’une main comme pour donner la tétée à un enfant. Happer ces pointes dures entre ses lèvres, les aspirer, les sucer étaient un vrai bonheur. Il se rappelait lorsque Sylvie allaitait ses enfants et qu’ il pouvait alors, faire sortir le lait en les pressant entre ses doigts.

Sylvie fut enfin prête. Elle savait que son mari la regardait toujours et adorait se savoir désirée. C’était presque un jeu, un rituel entre eux deux. Elle connaissait toutes ses manies et en particulier son moment préféré. C’était, juste avant d’aller le rejoindre, s’asseoir sur le bidet, face à lui.

Jambes écartées, elle écarta les lèvres de son sexe et se lava soigneusement la chatte et le cul, ses doigts faisant clapoter l’eau le long de sa fente pour qu’il puisse entendre le bruit de ses ablutions. Enfin elle vida le bidet, se souleva à peine et urina. Pour lui faire plaisir, puisqu’il le lui avait toujours demandé, elle ne se rinça pas. Il savait qu’il adorait sentir son sexe encore humide de son urine. Elle s’était même demandée s’il n’aurait pas aimé la regarder en train de chier. Elle-même avait eu ce fantasme : voir, au dessus de soi, un anus se gonfler, se dilater puis libérer un étron légèrement fumant et parfumé qui viendrait s’écraser sur la poitrine. Ah se laisser chier dessus ! Peut-être faudrait-il que l’occasion se présente pour passer à l ?acte ! Ce ne sont pas les adeptes de la scatologie qui manquent !

Elle s’avança, nue et se glissa sur le lit où Eric, allongé sur le dos, attendait, en se masturbant.

— Alors, chéri on se fait du bien tout seul ? Tu ne peux pas m’attendre ?

Elle monta sur le lit et vint s’asseoir sur sa poitrine collant sous son nez sa chatte qu’elle ouvrit de ses doigts.

— Sens ma chatte ? Tu m’as regardé pisser ; Dis moi que tu aimes son odeur. Allez lèche, c’est ça, applique toi.

— Oh Sylvie ton odeur de petite femelle mêlée à celle de ta pisse me rend fou. Chaque fois c’est pareil ;

Consciencieusement, il passa le bout de sa langue sur le pourtour des grandes lèvres, puis l’enfonça profondément dans le vagin. Puis il prit entre ses lèvres le clitoris. Celui-ci sortait de son capuchon. Fasciné par sa grosseur, il le suçota d’abord comme un bonbon. Puis il le pompa comme Sylvie faisait de son gland. Sa salive dégoulinait dans la chatte grande ouverte. Il y introduisit son index pour toucher le méat urinaire puis au fond le col de l’utérus. Sylvie se pencha un peu en arrière de façon à encore mieux dégager sa chatte. Elle soupirait sentant le plaisir la gagner.

— Oui, oui, … Oh Eric…, doucement. Va y, t’arrête pas, branle moi. Fais moi jouir comme ça. Tu sens comme je mouille rien que pour toi, bois bien tout.

De ses deux mains il lui souleva un peu les fesses qu’il écarte de façon à sucer maintenant l’anus. Sylvie que le plaisir submergeait sera convulsivement ses cuisses. Eric suffoquait, son nez enfoncé dans le vagin tout trempé. Sylvie maintenant au bord de l’orgasme ruisselait littéralement. Sa mouille mélangée à la salive coulait dans les replis de l’aine. Elle eut quelques soubresauts incontrôlés et se relâcha. C’était son premier orgasme de la soirée !

— Oh chérie, soulève toi, tu m’étouffes avec ton cul !

Elle ne répondit pas, encore sur son nuage. Elle l’embrassa sur la bouche pour goûter à sa propre mouille. Tout le bas du visage d’Eric était trempe, comme si elle lui avait pissé dessus. Elle se releva et se retournant, s’installa alors à califourchon, toujours sur lui. Il avait maintenant ses fesses sous les yeux.

— A mon tour, maintenant ! Tu vas voir comment je te mettre la queue ! Bouffe moi le cul pendant ce temps.

Elle se pencha et prit alors sa bite dans la main. Il ne dit rien mais savoura par avance ce qui l’attendait. Il savait qu’elle allait le pomper jusqu’au bout : elle adorait ça !

Ils s’allongèrent sur le côté. Elle colla son cul sur la bouche d’Eric, une cuisse relevée. La bite d’Eric se dressait en pleine érection. Elle était entièrement décalottée, le gland rouge sang. Elle tira encore sur la peau jusqu’à distendre le filet et pressa le bout pour ouvrir le méat. Une goutte glaireuse perla. Elle la huma et la lécha. Puis elle donna de petits coups de langue sur tout le tour allant et venant sur le filet qu ?elle excitait avec son ongle. Eric se tendit sous la caresse. Sylvie pencha un peu la tête et suivit de sa langue la veine proéminente qui courait le long de la bite. D’ une main, elle triturait les couilles. Elle aimait sentir leur poids, les faire rouler et les presser entre ses doigts. Son index descendit jusqu’à l’anus qu’elle massa doucement épousant délicatement le tour puis appuya progressivement de façon qu’il s’entrouvrit. Eric souleva sa jambe pour lui faciliter la tâche. Elle enfonça alors le doigt, l’agita le long de la muqueuse, le fit aller et venir puis le porta à sa bouche pour en sentir le fumet et le sucer. Elle adorait ce goût aigrelet.

— Oh chéri, ton cul sent bon. Dis moi que tu veux que je t’encule encore. Dis moi, tu veux te faire prendre comme une femme ?

— Continue, n’arrête pas. Fourre moi le cul avec ta langue, fais moi voir comme tu sais être salope quand tu veux.

Elle changea alors de position. Elle alla s’agenouiller entre ses cuisses. Elle lui fit relever les jambes de manière à bien dégager son cul. Elle soupesa encore ses couilles puis les lécha. L’anus, comme une corolle rose brun foncé était une invitation à y pénétrer. Elle y enfonça sa langue. Le trou était maintenant bien ouvert et plein de sa salive.

— Attends, reste comme ça, j’ai une surprise pour toi !

Elle se releva, sauta hors du lit et alla récupérer dans son sac deux godemichés : un petit anus picket et un autre avec ceinture. Elle le mit autour de sa taille et reprit sa position.

— Tu vas voir, je vais te fourrer avec le petit pour commencer. Tu verras ce que ça fait une bite dans le cul. Quand c’est toi qui me défonce !

— T’es vraiment une salope finie. Allez j’attends. Il s’écarta les fesses pour faciliter l’introduction.

Elle déposa une noisette de gel lubrifiant puis enfonça d’un coup, sans ménagement, le gode. Eric gémit sous la poussée et la brûlure, puis se décontracta. Elle le retira et le lui fit sucer.

— Tiens, salaud, suce, sens l’odeur de ton cul. Je vais te prendre comme une fiote. Mets toi à quatre pattes que je te sodomise avec ? ma grosse bite ?. Tu vas voir ce que c’est que de se faire ramoner le fion ! Allez, vite en position et écarte ton cul.

— Oui, ma chérie défonce moi, fais moi mal, je suis ta petite femelle soumise !

Eric était maintenant à quatre pattes, la tête entre les bras et le cul pointé prêt à se faire mettre.. Il avait débandé et sa queue et ses couilles pendaient. Elle tira dessus comme si elle trayait une vache. Elle s’installa comme un chien derrière son cul, pris le gode à pleine main et lui le enfonça dans le cul. Elle allait et venait maintenant sans égards pour l’anus qui s’ouvrait et se fermait à chaque passage.

— Alors, c’est bon ? t’es qu’une grosse pute qui se fait enculer. Allez jouis, mouille du cul. T’es qu’une chienne. Putain si tu voyais ton trou ! T’es complètement ouvert !

Elle était devenue un mec. Dans sa tête elle pensait comme un mâle, dominateur qui chevauche et soumet sa femelle à ses coups de boutoir.

— Dis moi, ça te donne pas envie de chier de sentir cette grosse queue ? Si jamais je vois de la merde sur ? ma bite ? je te la fais bouffer, salaud !

— Oui mon amour tout ce que tu veux, je suis ta petite femelle. Oh …Aie, tu me déchires !

Fatiguée de le ramoner, elle se retira et vint la lui mettre sous le nez.

— Allez nettoie cochon ! Suce ? cette grosse bite ? et avale tout. Tu sens son odeur, c’est celle de ton cul. Tu aimes, non ? Allez viens que je te finisse.

Elle se glissa sous lui, toujours à quatre pattes et se mit à le pomper. Sa bite gonfla très vite et lorsqu’elle sentit monter le sperme, elle referma sa bouche sur le gland pour ne rien perdre. Il éjacula trois longues giclées d’un sperme épais. Elle le fit tourner sur sa langue et avala. Elle aimait on odeur et sa saveur.

Ils étaient allongés maintenant enlacés et prenaient un peu de repos.

— Tu sais Sylvie, c’est la première fois que je me fais enculé. Ca a été une expérience merveilleuse. Tu ne peux pas savoir comme j’ai aimé !

— Moi aussi mon chéri, j’ ai adoré, j’ai bien cru que j’étais un mec. On recommencera, hein, dis moi que tu veux bien !

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