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Famille, je vous aime – Chapitre 5

Famille, je vous aime - Chapitre 5



Coucou ! Oui, c’est encore moi, Bénédicte; Ce n’est pas parce que j’ai mis un point final à mes aventures avec Gran’Pa que je n’ai plus rien à vous raconter !

Bien au contraire…

Aujourd’hui, je vais vous parler de Thomas, mon petit frère. Enfin, petit.. disons… un peu plus jeune que moi, quoi ! Et en ce jour, c’est son anniversaire : oui, aujourd’hui il va avoir 18 ans.

Il est sympa Thomas ! Je l’aime bien, et l’on s’entend bien tous les deux. Enfin, surtout depuis qu’il a passé l’âge de me demander de jouer avec lui à des jeux typiquement masculins qui ne m’interressaient guère. Bien bâti -1,75m pour 75 kg- il a un regard tendre mais profond, de grands yeux noirs, des cheveux blonds qui lui couvrent bien le front et sont assez longs et bouclés sur la nuque et les oreilles. Ajoutons à cela un éternel sourire aux lèvres qui fait que l’on a tout de suite envie de lui faire confiance. Nous sommes très proches l’un de l’autre, et je sais qu’il a une grande confiance en moi. Depuis l’adolescence, j’ai toujours été sa seule confidente, et il m’a tout raconté de ses premiers émois, de ses premières peines de cur. Petit à petit je lui ai tout expliqué des relations sexuelles, lui donnant même des cours d’anatomie, en me mettant nue devant lui pour qu’ils découvre mieux les « particularités » du corps d’une femme. C’est vai, je n’étais pas trop « chaude » pour me présenter devant lui dans le plus simple des appareils, mais il me le demandait toujours avec un tel sourire… que je ne pouvais que craquer ! Je lui ai même permis, un peu, de me caresser la poitrine, mais je ne l’ai pas laissé aller plus loin. Même si, je dois bien le dire, cette furtive caresse sur ma poitrine ne m’avait pas laissée indifférente… mais, c’était mon frère quand même… quoique… l’inceste n’a jamais été pour moi quelque chose de tabou. Mais Thomas, c’était autre chose que Gran’Pa, et j’avais un peu peur qu’à son âge une relation contre nature le trouble et soit néfaste psychologiquement pour son équilibre et son mental. Même s’il est vrai que jusque là tout m’avait toujours laissé penser qu’il était vraiment « bien » dans sa tête.

Depuis que j’ai quitté le cocon familial pour vivre seule, je le vois bien sûr beaucoup moins. Mais ce soir, pour son anniversaire je retourne chez mes parents. Nous ne le fêterons que demain soir, mais comme cela coïncide avec le week-end, j’ai eu envie de faire plaisir à mes parents et de passer 2 jours avec eux, et j’arrive donc le vendredi soir, juste après mon travail.

Après avoir salué et échangé quelques mots avec toute la famille, comme je ne suis pas passé par chez moi je décide de prendre une douche pour bien me détendre après ma journée de travail.

Comme je vis seule chez moi, je ne ferme jamais complètement la porte de la salle de bain lorsque j’y suis… ce que par habitude je fais également ici, ne pensant pas que je ne suis pas chez moi… Devant la glace, je me séshabille. J’aime vraiment beaucoup ma poitrine… rien que de la voir, rien que d’y penser, je sens déjà la petite pointe de mes seins qui se dresse ! Aussitôt mes mains sont sur eux, les caressent. En le pressant, j’en pousse un vers le haut tandis que j’incline la tête… ma langue vient lécher un téton que je sens durcir. Mon autre main est sur mon ventre, descend vers mon intimité…

C’est à cet instant que Thomas fait irruption dans la salle de bain…

" Ho ! Pardon Béné… je ne savais pas que tu étais là… "

Il n’a pu me voir que de dos, et n’a donc pas vu ce que je m’apprêtais à faire.

Je me resaisis, me disant que j’aurai tout le temps ce soir une fois couchée de me faire du bien… Une fois douchée et sêchée, je ramasse les vêtements que je viens d’ôter, que j’avais négligemment laissés trainer par terre, pour les mettre au sale… mais je suis incapable de retrouver mon string !

Après son irruption de tout à l’heure, je pense aussitôt à Thomas.

Je regagne ma chambre, me change et en me rendant à la salle à manger je passe devant la chambre de Thomas. Doucement j’appuie sur la poignée de la porte…

Il est étendu sur son lit, les yeux fermés. Dans sa main droite il tient mon string, qu’il a mis sous son nez et sur sa bouche. Son autre main est sur son sexe, dur et tendu, qu’il caresse avec frénésie…

Sans bruit je sors et referme la porte, avant d’y frapper.

" Thomas… le dîner est prêt ! "

J’étais heureuse de revoir mes parents, pas vus depuis quelques semaines. L’ambiance dans la famille était bonne, nous nous entendions bien tous les 4, et le dîner fut très agréable. Je racontais quelques anecdotes de ma vie à l’hôpital, Thomas parlait de son lycée, de ses copains et de ses sorties avec eux, papa parlait comme toujours bricolage et maman me racontait les derniers potins de la commune. Lorsque je ne parlais pas je regardais Thomas à la dérobée. L’idée de ce beau sexe que j’avais vu dans sa main ne me quittait plus.

Comme il parlait de ses copains, pour le taquiner je l’interrogeais sur ses copines… je vis une légère rougeur se répandre alors sur son visage, mais cela passa très rapidement.

Non, en ce moment il n’avait pas de copine.

J’en conclus donc, sachant cela et repensant à notre dernière conversation avant que je ne parte vivre seule qu’il devait encore être puceau…

Après le repas nous regardons un film à la télévision avant de regagner nos chambres. Thomas et moi avons chacun notre chambre à l’étage, alors que nos parents dorment en bas.

En allant me brosser les dents je vois que mon string est de nouveau dans la salle d’eau, dans la panière de linge à laver.

Seule dans ma chambre je repense au sexe de mon petit frère. Je suis déjà assez excitée, et ma main descend vers mon minou qui reçoit bientôt deux de mes doigts. Doigts qui sont rapidement mouillés et je baisse la tête pour voir ma cyprine que je sens couler sur mes cuisses.

Lorsque je la relève, Thomas est à la porte de ma chambre, la main sur son sexe dressé et les yeux braqués sur mon intimité.

Comme je le fixe il regagne sa chambre en courant.

Mes idées sont toutes floues… son sexe m’attire vraiment, viril, bien bandé, d’une taille plus que raisonnable. Je décide d’aller rejoindre Thomas dans sa chambre. Je ne sais pas exactement ce que je vais y faire, mais au minimum nous pourrons toujours discuter tous les deux.

Lorsque je rentre dans sa chambre il est assis dans son lit, le dos au mur et le bas du corps sous la couette; ses mains également…

Je le fixe dans les yeux et lentement je commence à soulever la couette…

Ses mains entourent un sexe bien tendu qui m’attire de plus en plus !

" Mais tu n’arrêtes pas de bander ! "

" C’est depuis que je t’ai vue toute nue, tout à l’heure dans la salle de bain ; depuis je suis tout excité ! "

" Tout à l’heure tu as dit que tu n’avais pas de petite copine actuellement ; Alors… tu es toujours puceau ? "

Il baisse les yeux, comme s’il avait honte de me l’avouer.

" Oui Béné je suis toujours puceau. "

Je lui relève la tête, le regarde dans les yeux

" Demain Thomas c’est ton annversaire ; tu vas avoir 18 ans, un âge qui compte ! Et pour que cet anniversaire soit un des plus beaux de ta vie je vais te prendre ton pucelage… cela sera ton cadeau… "

Je le vois rougir légèrement, mais ses yeux brillent de mille feux.

" Merci.. merci Bénédicte ! Tu sais, c’est ce dont je rêvais secrètement. Les filles que je connais de par mes études sont trop jeunes, elles ne m’attirent pas spécialement, et pour la pluspart je crois qu’elles n’ont pas beaucoup d’expérience. Alors… perdre mon pucelage avec toi, toi qui en connaît très long sur le sexe, toi qui je le sais aime cela… c’est le plus beau cadeau que tu pouvais me faire soeurette. Alors oui ! Je crois que je me souviendrai longtemps de l’anniversaire de mes 18 ans ! "

Je n’ai sur moi qu’un long T-shirt qui me descend à mi-cuisses. Lentement, très lentement je le fais glisser le long de mon corps. C’est d’abord mon sexe, encore tout humide de ma séance de doigtage qui apparaît aux yeux de Thomas, et puis ma poitrine. Lorsque je suis toute nue je m’assois à côté de lui sur le lit, prend sa main dans la mienne avant de la poser sur ma poitrine, que je lui fais caresser. Peu à peu il prend de l’assurance, chacune de ses mains vient se poser sur un de mes seins, il en fait longuement le tour, me caresse tout doucement, tirant légèrement sur les pointes avec ses doigts.. Je suis toujours très sensible de cette partie de mon anatomie, et je sens mes tétons qui se tendent sous ses caresses. Et puis ce sont bientôt ses lèvres qui sont au niveau de ma poitrine, alors que mes seins sont de plus en plus pointés sous ses baisers.

Je reprends alors sa main et la pose ensuite sur mon minou, à la fois tout chaud et tout humide. Ses doigts se font curieux, je les sens bientôt qui s’enfoncent en moi ce qui commence à me faire gémir. Ses doigts sont emplis de ma cyprine, et il vient les lécher.

Ma main se pose alors sur son sexe. Je le sens tressaillir. Il arrête aussitôt ses caresses, se tend vers moi. Je prends possession de son membre, de ses testicules qui emplissent bien ma main à son gland turgescent qui commence à laisser échapper quelques gouttes de pré sperme. Ma main fait quelques allers-retours, puis quand je juge qu’il est assez raide ma tête se penche vers lui. En même temps Thomas soulève son bas ventre. Mes lèvres sont sur son gland. Ma langue descend le long de la hampe, avant de revenir sur son gland sur lequel je donne des coups de langue, et je le lèche plusieurs fois, du gland jusqu’à ses boules. Je l’aspire, je le suce, le fais bien pénétrer dans ma bouche… je sens son gland qui palpite sur ma langue  avant de sentir plusieurs jets de sperme qui viennent frapper mon palais et que j’avale avec délice.

Ses yeux brillent… il semble tout heureux. Je le laisse récupérer un petit moment puis je lui demande de mettre à son tour sa bouche sur mon sexe. Il est un peu malhabile au début, mais je le guide et lui fais voir où se situent les endroits les plus sensibles. Il apprend vite et je peux bientôt m’en remettre à lui. Sa langue me fouille profondément, il trouve rapidement mon clitoris, le lèche, le prend entre ses lèvres… je le sens qui durcit, qui se tend vers sa caresse… et il m’amène jusqu’à l’orgasme.

Tout cela l’a bien excité, et je vois que son membre a repris de la vigueur. Je place alors mon sexe au dessus de son gland et lentement je me laisse glisser.

Douce sensation d’un sexe qui me pénètre, qui glisse en moi en me donnant du plaisir.

Pendant quelques instants c’est moi qui règle la cadence, jusqu’à ce que Thomas accompagne de lui même les mouvements de mon corps. Il soupire, halète. gémit. Ses mains sont sur ma poitrine, il la caresse, tord mes tétons, tire sur eux… et après un mouvement beaucoup plus violent de son bassin il pousse un long râle de bonheur et se fige tandis que je sens son sperme chaud qui se déverse en moi.

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