Histoires de sexe fétiche Histoires de sexe gratuites Histoires érotiques au travail

FAUX DEPUCELAGE – Chapitre 1

FAUX DEPUCELAGE - Chapitre 1



FAUX DEPUCELAGE.

Depuis mon arrivée à la fac je bosse comme un fou dans la semaine pour avoir du temps de libre le weekend.

Logé dans la cité universitaire, j’occupe un appartement neuf dans un bâtiment superbement équipé.

Pas de discrimination entre les sexes, les appartements sont ’’donnés’’ aux garçons comme aux filles dans le même bâtiment.

Sportif j’ai besoin de me dépenser et surtout d’entretenir ma forme, 1,86 mètre pour 85 kilos de muscles.

Sans problèmes financiers, mes grands parents faisant ’’la soudure’’, j’ai une Ford ’’K’’ en très bon état, ex voiture de ma tante.

J’évite de trainer dans les bars le soir, me réservant pour la fin de semaine.

J’ai deux copains, Franck, un ’’nouveau’’ connu à la fac et Sim, abréviation de Simon, un vieux pote connu en primaire.

En dehors de notre passion pour le sport, il en est une autre qui se développe au fil des jours, la chasse aux pucelles.

Il est évident que les filles n’affichent pas leur inexpérience sexuelle et encore moins si elles sont pucelles.

Nous en avons ’’attrapé’’ quelques unes depuis la rentrée mais franchement bonnes à rien ’’au lit’’, elles sucent mal ou pas du tout, n’aiment pas que les préliminaires durent trop longtemps, quand à la sodomie, n’en parlons même pas !

Nous ’’chassons’’ chacun de notre coté pour ne pas effaroucher les donzelles, utilisant ’’notre’’ propre tactique basée sur un ’’fond’’ commun.

Cela fait deux fois que je me plante coup sur coup et avec deux belles nanas en plus, j’en ai un peu trop fait et ça n’a pas plu.

J’ai compris qu’il me fallait montrer profil bas, ne pas étaler ma connaissance des choses du sexe, et surtout ne pas parler de ’’déviations’’, aussi minimes soient-elles, faute d’être ’’jeté’’ immédiatement.

Il m’a fallu un mois pour comprendre mon erreur, depuis j’ai mis au point un stratagème ’’imparable’’, je suis puceau et je cherche à ’’le perdre’’.

Le restaurant universitaire est un terrain de chasse incroyable, on peut ’’cibler’’ sa proie facilement et l’aborder sans se faire refouler.

Ma première ’’proie’’, celle avec qui j’ai peaufiné mon stratagème, s’est laissé aborder facilement, je l’avais repérée dans la coursive du premier étage de notre bâtiment.

Cécile est une ’’belle’’ plante, un bon mètre 70 sans un pouce de graisse et une poitrine de rêve qu’elle ne cherche pas à dissimuler.

Amateur de femmes bien ’’bustées’’, je me suis tout de suite senti attiré vers cette fille au teint halé ’’d’origine’’.

Nous avons sympathisés au resto puis nous sommes allé au ciné deux fois en fin d’après midi, pour ne pas l’effrayer je suis resté ’’soft’’, ne lui donnant qu’un léger baiser sur une joue le premier soir.

Un samedi après midi elle me propose de l’accompagner dans un magasin de fringues qui solde :

-Alex, j’aimerais avoir ton avis, on me reproche de ne pas savoir choisir mes fringues.

-Avec plaisir Cécile, j’espère que je serais de bons conseils.

Le magasin est immense et bien scindé, hommes d’un coté femmes de l’autre, Cécile ’’fait’’ les portants les uns après les autres, sélectionne quelques pièces et m’invite à la suivre aux cabines d’essayage :

-Je ne sais jamais ce qui me va et ce qui ne me va pas, je compte sur toi hein ?

La femme qui distribue les cabines me regarde d’un mauvais oil quand je veux suivre Cécile :

-Monsieur, vous restez dans l’allée s’il vous plait ou alors prenez cette cabine handicapé.

Cécile entre dans la cabine et laisse la porte ouverte pour que je suive le mouvement :

-Tu peux venir.

-Cécile, ça me gêne.

-Pas moi, tu as déjà vu une fille en petite tenue je suppose ?

-Euh. non. pas vraiment, mentis-je effrontément.

-Ferme la porte s’il te plait.

Après avoir accroché ce qu’elle veut essayer, exit le chemisier et la jupe et je me retrouve avec une splendide nana en string et soutien gorge.

-Tu peux me passer la robe s’il te plait.

La robe lui allant parfaitement, ce fut le tour d’une jupe droite puis de deux autres légèrement évasée et d’une paire de chemisiers.

-Cécile tout te va parfaitement, et c’est superbe.

-Tu trouves que j’ai bon goût ?

-Oh oui. tu as la taille mannequin tout te va.

-Merci Alex, c’est rare qu’un garçon me fasse des compliments sur mon choix.

-Cécile, tu n’avais pas besoin de moi.

-Oh que si. Alex, tu n’aimes pas me voir déshabillée ?

-Mais si, tu es superbe et ton string te va super bien.

Le triangle de tissu censé cacher le pubis est si petit qu’il ne cache rien, la ficelle qui remonte derrière est ’’cachée’’ entre les lèvres du sexe et entre les fesses.

-Tu aimes les strings ?

-Euh. oui mais je n’en ai pas vu beaucoup.

-Alex, tu ne vas jamais à la plage ?

-Si mais je ne vois pas beaucoup de string, ma mère n’en porte jamais.

-Ah bon, la mienne en porte tout le temps.

Elle se rhabille, reprend le tas de vêtement essayé et nous sortons :

-Nous passons à la caisse.

-Tu prends tout ?

-Oui, je n’ai plus rien à me mettre, on m’a volé mon sac dans le train. Tu ne veux pas profiter que nous sommes là pour toi ? Ils font des supers prix sur les polos et pantalons.

-Ok mais je n’ai pas de quoi payer, pas prévu. je dois avoir 20 euros.

-Pas grave je te les avance.

Elle laisse sa poche à la réception et nous rentrons dans le magasin coté hommes :

-Regarde Alex, il est super ce pantalon et le polo coordonné.

-Je ne connais pas bien ma taille.

-Moi je sais. prend 42 ou 44 pour le pantalon et XL pour le polo.

-Comment sais-tu ça ?

-J’ai un frère Alex et il est fana de fringues, je l’ai accompagné quelques fois.

-Il fait ma taille ?

-Oui, à peu de choses près.

Deuxième passage aux cabines d’essayage ;

-Reprenez-la même si vous voulez, dit la préposée…

Je tombe le pantalon et mon pull, Cécile me regarde faire :

-Alex, tu es super musclé dit-donc.

-Je fais du sport, du squash et de la Pala.

-Ouah ces abdominaux, et tout ces petits muscles dans ton dos, c’est super.

Je ne m’étais pas rendu compte que mon sexe avait pris du volume quand je la regardais moitié à poil, mon mini slip peine à le contenir, la bosse le repousse et dégage bien les cotés :

-Alex, on ton slip est trop petit ou ton sexe est trop gros.

-Cécile, mon slip est à ma taille.

-Et bien mon vieux, tu dois en avoir une belle.

Je ne relève pas et enfile le pantalon 42 qui peine à fermer :

-Il te faut le 44, c’est bien ce que je pensais. tu as des cuisses impressionnantes et tes bras le sont autant.

-Le sport Cécile, j’en fais depuis l’âge de 10 ans.

Le polo me va parfaitement, je me rhabille et nous sortons :

-Alex, c’est moi qui ai provoqué ce qui gonflait ton slip.

-Je crois.

-Tu n’en es pas sur ?

-Si Cécile, j’en suis sur mais je ne savais pas que j’allais me déshabiller devant toi.

-Pas grave Alex, c’est flatteur pour une fille de provoquer ce genre de chose.

-Ça t’arrive souvent ?

-Pas souvent mais ça m’arrive, la preuve.

N’ayant pas regardé les prix je suis étonné qu’on ne me demande que 27 euros pour le pantalon et le polo :

-Tu m’avances les 7 euros alors ?

-Non, je paye tout.

-Cécile.

-Alex, je peux le faire. tu me rembourseras plus tard.

Dans le bus elle se colle contre moi pour laisser passer une femme et sa poussette, ses seins plaqués contre ma poitrine :

-Excuse-moi, nous n’aurions pas dû nous mettre là.

Je pensais qu’elle allait se reculer mais elle reste contre moi et me sourit :

-Ça ne te gêne pas au moins.

-Oh non.

Au pied de notre immeuble, un attroupement nous fait faire demi-tour pour passer par derrière :

-Ils font chier avec leurs manifs, dit-elle en colère.

-L’autre jour ils voulaient que je signe un manifeste.

-Tu n’as rien signé j’espère, les listes vont au rectorat.

-Je n’ai rien signé mais je me suis fait insulter.

-Tu es de taille à te défendre Alex, fiche leur un claque dans la gueule ils n’y reviendront plus.

-Ce n’est pas mon style.

-On s’arrête chez moi, je dois avoir un message sur mon PC.

-Il est en WIFI ?

-Comme le tien je suppose, non ?

-Oui mais ça marche mal.

-Nous verrons ça plus tard, tu peux tenir ma poche s’il te plait. Pose ça sur le lit et sers-toi à boire dans le frigo, il doit y avoir du coca.

Avant d’ouvrir son PC elle ôte jupe et chemisier pour enfiler un kimono court :

-Dès que j’arrive je me déshabille, c’est plus fort que moi.

-Tu le fais partout ?

-Non idiot. mais ça ne me déplairait pas.

Le temps que je regarde par la fenêtre le string et le soutien gorge atterrissent sur le lit :

-Alex, tu as une auto ?

-Oui, une Ford Ka.

-Super. S’il fait beau demain, tu m’emmènes à la plage ?

-Sans problème.

-Je paye l’essence.

-Cécile, je ne suis pas à la rue.

-Moi j’ai du fric alors autant que je le dépense.

Après avoir ’’ouvert’’ son courrier elle vient s’asseoir en face de moi :

-Super ces sièges Cécile, hyper confortables.

-On ne peu pas mettre de canapé alors. allume la télé si tu veux.

-Oh non, ça me gonfle l’après midi.

-Tu as raison. à la tienne.

Si mon sexe avait grossi dans la cabine, avec ce que je vois maintenant, il devient raide et me gêne.

Les pans du kimono ont glissés sur les cuisses non jointes et j’ai sous les yeux, à moins d’un mètre une belle fente luisante :

-C’est ma chatte que tu regardes ?

-Euh. disons que je la vois bien.

-Et ça te fait de l’effet on dirait.

-Ben oui, je ne suis pas en bois.

-Alex, nous sommes allés deux fois au ciné et tu ne m’as pas touché, je te fais peur ou tu es homo ?

-Tu ne me fais pas peur et je ne suis pas homo, mais je n’ai aucune expérience avec les femmes.

-Alex, ça veut dire que tu es puceau ?

-Oui Cécile, je n’ai jamais couché avec une femme.

-Ni un homme, donc ?

-Bien sur.

-Alex, je pense que nous avons peu de différence, c’est incroyable que tu n’aies jamais eu de copine.

-J’en avais une mais je ne pouvais même pas l’embrasser.

-Encore une connasse, laisse tomber ce genre de nana, elle ne t’apprendra rien.

-Et toi, tu penses pouvoir m’apprendre ?

-Oh oui. Et si j’en juge par ce que je vois, tu as de très bonnes dispositions.

-Cécile, tu vois quoi ?

-La bosse qui gonfle ton pantalon, ça devient énorme.

-Je viens de te dire que je.

-Que tu n’es pas en bois, je sais mais justement, j’aimerais bien voir ce qui n’est pas en bois Alex, tu peux me montrer ?

-Cécile, tu veux voir mon sexe ?

-Oui Alex, je veux voir ta bite, c’est bien comme ça que vous dites les garçons ?

-Oui, on dit aussi pine ou queue.

-Alex, montre-moi ta queue s’il te plait, tu mates ma chatte et moi je ne vois rien.

-Cécile, tu as compris que j’étais puceau, mentis-je de nouveau.

-Je m’en fiche que tu soies puceau, je veux voir ta bite.

Le ’’cinéma’’ que j’ai pu faire pour baisser mon slip, on aurait dit qu’il était rivé sur mes hanches.

Descendu au milieu des cuisses, mon sexe libéré s’est détendu d’un coup pour rester horizontal et se balancer devant moi :

-Alex. ce n’est pas vrai.

-Quoi Cécile ?

-Ne me dit pas que tu ne sais rien.

-De quoi parles-tu ?

-De ton sexe, il est énorme.

-Ah bon. première nouvelle, mentis-je encore une fois.

-Ne me dis pas que tu n’as jamais vu de garçons à poil.

-Si, aux douches après le sport mais je n’ai rien vu de spécial.

-C’est eux qui devraient avoir vu quelque chose de ’’spécial’’ comme tu dis.

-Mais non Cécile, personne ne bande aux douches.

-C’est vrais qu’au repos, elles se ressemblent toutes.

-Cécile, tu en as vu tant que ça ?

-Ça commence. je baise depuis l’âge de 14 ans, alors des queues j’en ai vu et touché pas mal tu sais.

Elle s’approche pour prendre ma queue en main :

-Oh mon dieu, je suis loin d’en faire le tour. Tu permets que je là mesure ?

-Cécile, je ne sui pas un monstre de foire.

-Ça pourrait le faire Alex.

Munie d’un ’’centimètre’’ de couturière elle mesure consciencieusement la longueur en appuyant bien le bout sur mon pubis :

-Oh la vache, plus de 22 centimètres. voyons le diamètre. mais ce n’est pas vrai. plus de 6 centimètres, tu devrais faire du porno Alex.

-Ah bon, dis-je en faisant l’étonné.

-Dis- moi, les choses du sexe t’intéressent au moins ?

-Ben oui, mais n’ayant jamais pratiqué.

-Tu te masturbes ?

-Oui.

-Souvent ?

-Ça dépend.

-Ça dépend de quoi ?

-Si je suis excité ou non.

-Évidement, tu ne vas pas te branler si tu ne bandes pas. Alex, qu’est-ce qui t’excite ?

-Toi maintenant.

-Ok mais en dehors de moi ?

-Pas grand-chose à vrai dire. les filles ne portent plus que des pantalons encore plus moches que les nôtres, et en haut c’est pire.

-C’est vrai qu’elles ne sont pas très féminines. Et moi, comment me trouves-tu ?

-Très belle Cécile, mais je crois que tu le sais.

-Oui Alex, je le sais et ça me plait bien de faire bander les hommes.

-Si tu les allumes, tu les éteints aussi ?

-Pas à tous les coups, je le reconnais.

-Mais ça doit t’exciter aussi.

-Bien sur et je me branle Alex, au moins je suis sure de me faire jouir, ce qui n’est pas le cas avec la plupart des garçons.

-Quand on est jeune, on manque d’expérience c’est normal.

-Alex, le sexe on aime ou on n’aime pas, si on aime on le fait bien, c’est comme le vélo, si on s’y prend mal on se casse la gueule !

Sa main va et vient sur ma bite en décalottant bien mon gland :

-Regardez moi ce cochon qui mouille. Alex, tu t’es déjà fait sucer ?

-Non Cécile, ma copine voulait le faire mais comme je ne m’étais lavé que le matin, il parait que je puais.

-C’est bien ce que je disais, une connasse à l’état pur, une bite qui ne sent pas la bite, c’est nul ! Sucer une queue qui aurait goût de savon, quelle horreur ! Je vais te sucer Alex, on me qualifie de ’’technicienne en drainage testiculaire’’ ça veut tout dire.

-Tu aimes sucer ?

-Oh oui, nous avons toutes commencé par là ou presque.

-Ah bon, les filles sucent facilement ?

-Alex, tu ne parles jamais avec tes copains ?

-Si mais ils sont aussi béotiens que moi.

-Oh mon dieu, je ne peux même pas te sucer.

Un peu plus et j’allais lui dire comment faire, je me suis retenu à temps :

-Si tu veux jouir ne te gêne pas Alex, j’adore le sperme.

-Pour le moment, je tiens le coup.

-Je vois ça. Alex, ta bite coule en permanence.

-C’est toujours comme ça.

Les mains crispées sur mes fesses, elle embouche ma pine jusque dans sa gorge, là sort en toussant et recommence :

-Cécile, c’est fabuleux ce que tu me fais.

-Je sais, ça plait beaucoup aux hommes.

-Aux hommes, tu baises aussi avec des hommes ?

-Tu es un homme Alex, c’est ce que je voulais dire.

-Cécile, tu n’as pas fait ça qu’avec des jeunes, je suppose ?

-Tu supposes bien. j’ai ai même pris un de l’âge de mon père.

-Et alors, c’était bien ?

-Oui Alex, il m’a fait monter aux rideaux ! Pas aussi bien équipé que toi mais pas mal quand même. Ce sont les préliminaires qui sont mieux qu’avec les jeunes.

-Ils font quoi de plus alors ?

-Ils savent bouffer une chatte et lécher un cul pour le préparer à la sodomie, ils savent caresser où il faut etc.

-Cécile, si je te demande de m’apprendre tout ça, tu le feras ?

-Avec plaisir Alex, mais tu devras me baiser en retour, et comme je te dirais de le faire, banco ?

-Banco !

-Ta pine est incroyable, il me semble qu’elle est plus grosse que tout à l’heure.

-C’est vrai qu’elle grossit encore quand je suis très excité, et c’est le cas.

-Alex, tu m’affoles avec ta pine. j’ai envie de me faire défoncer la chatte.

-Pourquoi défoncer ?

-C’est une expression Alex, ta pine est si longue que tu vas toucher mon utérus et peut être même y pénétrer, ça m’est arrivé une fois, c’est hyper jouissif. regarde comme je mouille.

-Moi aussi je coule. comme ma mère.

-Comment sais-tu que ta mère mouille ?

-Parce que je l’ai entendu le dire à mon père.

-Tu n’es pas en train de me mentir Alex ?

-Non Cécile, ça fait un an que je les épie et j’ai vu des choses.

-Quoi par exemple ?

-D’abord j’ai vu la pine de mon père, une belle pine un peu courbée, puis la chatte de ma mère et son cul.

-Mais dis-donc petit salaud, tu ne m’avais pas dit ça.

-J’ai vu c’est tout.

-Et tu as fait quoi ?

-Je me suis masturbé et j’ai joui.

-Tu étais où pour qu’ils ne te voient pas ?

-Dans le couloir de leur chambre, la porte entrouverte je voyais tout dans la glace de l’armoire.

-Je suppose que tu les as vus baiser ?

-Oh oui !

-Plusieurs fois ?

-Oui Cécile, une bonne dizaine.

-Et ils ne t’on jamais vu ?

-Non, je me sauve quand c’est fini.

-Alex, assez parlé, tu vas me bouffer la chatte comme je vais te le dire.

-A tes ordres.

-Je m’allonge sur le dos et je remonte mes fesses avec un oreiller, tu t’allonges en laissant tes jambes en dehors du lit et tu me suce.

-Drôle de position !

-Alex tu bandes, allongé sur le lit ça te gênerait.

-Bien vu.

Il est évident que je vais continuer de lui faire croire que je n’ai jamais fait ça en m’y prenant mal au début :

-Alex, c’est bien mais tu dois mieux faire. applique toi. voila. comme ça c’est mieux.

Son jus coule et m’englue le visage, une bonne odeur monte d’entre ses fesses, je vais y glisser ma langue pour titiller la rosette :

-Oui Alex, j’aime bien ce que tu fais. tu apprends vite.

Non seulement ’’j’apprends’’ vite mais j’adore faire ça, la rosette frémit sous mes coups de langue et le trou s’ouvre, je remonte jusqu’au clitoris pour reprendre un léchage ’’complet’’ du bouton à l’anus.

Dès que ma langue touche la rosette une main vient ’’caresser’’ le clito et même fourrer deux doigts dans le ’’cratère’’.

D’un seul coup elle se cambre et décolle ses fesses du lit, un orgasme brutal lui provoque un tremblement fugace mais bien perceptible.

-Alex, je viens de jouir.

-J’ai vu ça.

-C’est incroyable. on aurait dit que tu avais fait ça souvent.

-Ben non. mais j’avoue avoir aimé le faire.

-Remonte Alex, tu vas me baiser. fais voir ta bite. quelle merveille.

Restant allongée sur le dos elle me fait remonter à sa hauteur et guide ma queue dans sa chatte inondée :

-Baise-moi Alex, je suis prête à jouir de nouveau.

J’ai failli lui dire que la position ne me plaisait pas trop mais ’’normalement’’ je ne dois pas en connaitre d’autre :

-Alex, ta pine me remplit la chatte. pousse encore tu vas entrer dans mon utérus.

-C’est ce que je sens ?

-Oui. pousse fort. oh que c’est bon. Alex, je vais jouir de nouveau.

Il me prend l’envie de jouir aussi et j’accélère mon mouvement puis je reste bloqué pour décharger, mon gland fourré dans son utérus.

Nos orgasmes se conjuguent et je m’affale sur son ventre sans sortir :

-Alex, tu ne débandes pas ?

-Euh. je ne sais pas. non. je suis tellement bien.

-Tu es lourd Alex, excuse moi.

Je me retire et m’allonge sur le dos, ma pine toujours raide dressée vers le plafond :

-Mais tu es un extra terrestre Alex, ta bite est toujours aussi grosse.

-Je ne sais pas pourquoi, mentis-je encore.

-Tu te sens capable de me prendre de nouveau ?

-Oui, je pense pouvoir le faire.

-Alors nous allons passer aux choses sérieuses, je m’agenouille et tu me prends le cul, ça te va ?

-Mais ça va te faire mal.

-C’est possible mais j’en ai tellement envie. C’est comme si j’avais encore ta bite dans la chatte.

Agenouillée les genoux écartés, elle ’’graisse’’ un peu sa rosette en prenant ce qui sort de sa chatte, sperme et cyprine mélangés :

-Encule-moi Alex, fourre ta belle queue dans mon cul et bourre-moi.

Je pose mon gland sur la rosette, d’un coup de rein en arrière elle s’emmanche sur ma queue :

-Tu y es maintenant, défonce moi le cul je vais me branler.

Son cul est nettement plus serré que sa chatte mais le sphincter très assoupli laisse glisser ma bite.

Cramponné à ses hanches je lui pistonne le fondement de plus en plus vite en essayant de me faire jouir de nouveau :

-Alex, tu me déboites le cul mais c’est fabuleux. je crois même que je vais jouir.

Emporté par mon élan je jouis en limant, son orgasme arrive à la fin du mien :

-Je jouis Alex, ne sort pas tout de suite.

Je laisse son orgasme se terminer et je lime encore quelques coups avant que ma queue débande, ce qui me permet de toucher la matière.

Je sors doucement pour ne rien entrainer qui puisse salir le lit, elle se retourne pour voir l’état de ma pine :

-Va te rincer Alex et reviens vite.

Je vais passer ma pine sous l’eau et je reviens m’étendre sur le dos, Cécile étant couchée sur le coté droit :

-Alex, je viens de jouir deux fois de suite et toi aussi. Tu es un amant merveilleux.

-Ah bon. pourtant je ne savais rien faire.

-Maintenant tu sais et ce que tu fais, tu le fais très bien.

Sa main s’égare sur mon bas ventre en empoigne ma queue encore grosse mais flasque :

-Quelle pine. j’en connais une qui aimerait bien la prendre.

-Une de tes amies ?

-Euh. non. je t’en parlerais. Alex, je vais te sucer.

-Mais je ne bande plus.

-Aucune importance, ta pine est encore grosse, ça ira.

-Pourquoi ’’ça ira’’ ?

-Parce que j’aime sucer une pine qui sort de mon cul Alex, je suis une grosse salope.

-Mais non, tu aimes le sexe, c’est tout.

-Merci Alex, mais je sais comment je suis, j’aurais même pu te sucer sans que tu ailles te laver.

-Ah bon. mon gland n’était pas très propre pourtant.

-Je viens de te dire que j’étais une grosse salope.

-Tu as toujours été comme ça ?

-Oui, autant que je me souvienne.

-Même jeune tu faisais déjà ça ?

-Oui Alex, mais c’est une période de ma vie que j’aimerais oublier.

-Je crois que j’ai compris. ça se passait chez toi, n’est-ce pas ?

-Oui, mais c’est difficile d’en parler.

-Cécile, tu peux me le dire si tu en as envie.

-Nous en parlerons, mais pas maintenant. Alex. tu rebandes.

-Oui, tu me touches, c’est normal. j’ai même encore envie de t’enculer.

-Non Alex, je dois attendre un peu.

-Tu as mal ?

-Un peu mais ça va passer, je n’ai pas l’habitude de prendre des queues de la taille de la tienne dans le cul.

-Tu es plus serrée que devant mais je suis bien rentré quand même.

-Pas étonnant, avec tout ce que j’ai pris.

-Cécile, tu es jeune, tu ne peux pas avoir fait tout ce que tu dis.

-Si Alex, et ça se passait chez moi.

-Chez toi, avec tes parents ?

-Surtout avec ma mère.

-Cécile, je ne comprends rien. tu baisais avec ta mère ?

-Mais non pas avec elle, avec ses amants.

-Et ton père le savait ?

-Oui Alex, il s’en tapait même certains.

-Devant ta mère ?

-Oui Alex, mes parents sont complètement dépravés.

-Tu assistais à leur débauche ?

-Pas au début, j’étais trop jeune mais dès que j’ai eue 16 ans.

-Cécile, tu baisais avec des hommes devant eux ?

-C’est arrivé.

-Mais c’est une horreur !

-Je te l’accorde mais ça n’a pas duré, j’ai quitté la maison pour aller vivre chez ma tante, elle se doutait de quelque chose.

-Si tu vivais chez ta tante, pourquoi es-tu ici ?

-Trop stricte elle me pourrissait la vie, j’ai pu avoir cet appartement grâce à une amie du CROUS.

-C’est dégueulasse, tu prends l’appart’ de quelqu’un qui en aurait besoin.

-Certes mais ici je bosse, chez ma tante je ne pouvais rien faire sans qu’elle soit derrière mon dos et je peux rencontrer des garçons.

-Cécile, j’ai bien aimé ce que nous avons fait, je te remercie de m’avoir fait découvrir le sexe.

-A ta disposition Alex, tu reviens quand tu veux.

-Je vais chercher l’argent que je te dois.

-Alex, je te les offre. Je peux le faire tu sais.

-Tu as de l’argent ?

-Oui, mes parents sont gavés de fric et je n’en manque pas. J’aurais une auto si j’avais mon permis.

-Passe-le, c’est un peu la galère en ce moment mais ça peut s’arranger.

-Alex, nous allons à la plage ce weekend s’il fait beau.

-Il fera beau.

-On peut même coucher sur place, j’ai les clés du bungalow de ma tante.

-Comment fais-tu pour y aller ?

-Le bus Alex, il me laisse juste devant le terrain qui touche la plage.

-Le camping du Chêne vert ?

-Oui, tu connais ?

-Mon oncle et ma tante y ont aussi un bungalow dans lequel ils ne vont jamais, ils vivent au Maroc, les clés sont à la réception je peux les avoir quand je veux.

-Il y à tout ce qu’il faut dedans ?

-Oh oui, à part la bouffe bien sur.

-Ça ne te dérange pas que nous allions dans celui-ci plutôt que dans celui de ma tante, elle a tout enlevé ou presque pour le louer mais ça ne se fait pas.

-Cécile, le patron du camp ne veut pas de location.

-Elle ne le savait pas. Ok pour samedi alors ?

-On peut même y aller vendredi soir.

-C’est vrai. Tu le connais bien ce camp ?

-J’y suis allé quelques fois, la plage est fabuleuse.

-Tu connais la partie naturiste ?

-Oui mais je n’y vais pas.

-Tu n’aimes pas te déshabiller ?

-Si mais. comment dire. ça me pose des problèmes.

-Quels problèmes ?

-Il se passe des choses sur cette plage et ça ne me laisse pas insensible.

-Heureusement. ok, j’ai compris. ça te fait bander.

-Oui Cécile et ça m’excite beaucoup.

-Où est le problème ?

-J’ai l’impression que tout le monde me regarde.

-Pas étonnant, vu la taille de ta bite, tu fais des envieux !

-Tu sais, avec les nouveaux maillots de bains ultra minis des femmes, ce n’est pas mieux, si je bande ça se voit autant que si je n’avais pas de slip !

-Nous irons sur la plage naturiste Alex, j’adore ça.

-Ok pour moi mais ça va être dur de rester cool à coté de toi.

-Et bien tu ne resteras pas ’’cool’’ comme tu dis, on peut tout faire sur cette plage, les gens qui y seront ne viennent que pour ça.

-C’est ce que m’a dit un copain. il parait que ça baise dans les dunes.

-Et même sur la plage après 18 heures, hétéros, homos, tout le monde se mélange.

-Encore quelque chose que je vais découvrir.

-Maintenant que je te connais, je crois que ça te plaira.

-Ah bon.

-Alex, tu es sur de m’avoir tout dit ?

-Oui Cécile, pourquoi ?

-Je ne sais pas. Il s’en passe de belles dans ce camp, sa réputation n’est plus à faire, si tu y vas souvent, tu dois bien savoir.

-Je sais certaines choses par un copain mais.

-Alex, je crois que tu en sais plus que tu ne le dis. Nous verrons ça sur place. Tu me sidères.

-Qu’est-ce que j’ai fait encore ?

-Alex, tu recommences à bander, c’est dingue ça.

-Cécile, c’est normal, tu as les cuisses écartées, ta chatte coule et j’ai une bonne odeur qui me monte au nez.

-Je vais te sucer pendant qu’elle n’est pas très grosse.

Debout, ma bite tendue vers elle j’attends qu’elle embouche mon gland pour lui fourrer toute ma bite dans la bouche.

Ses mains posées sur mes fesses elle me suce comme j’aime, ses lèvres venant toucher mes poils, elle reculant, elle crache des flots de salive :

-Ouah, tu me ferais vomir.

Une de ses mains glisse dans ma raie pour chercher ma rosette, un doigt en fait le tour puis

’’force’’ le passage :

-Alex, tu aimes ce que je te fais ?

-Oui Cécile, j’aime beaucoup.

-Ton sphincter semble très souple dis-donc, je fourre trois doigts dans ton cul.

-Trois doigts ?

-Oui Alex, et il s’ouvre encore. Tourne-toi s’il te plait.

Si elle ’’inspecte’’ mon anus je suis fait comme un rat, avec ce que je me fourre dans le cul et le nombre de bites que je prends, elle va voir tout de suite que je ne suis plus puceau du cul :

-Et bien dis-donc, je n’en crois pas mes yeux. Alex, tu es vraiment sur de m’avoir tout dit ?

-Cécile, que veux-tu que je te dise ?

-Ton cul s’ouvre autant que le mien, normalement il ne devrait pas.

-Et pourquoi ?

-Parce que l’anus marche bien dans un sens mais très mal dans l’autre, la matière en sort facilement mais rien de devrait entrer aisément.

-Cécile, il m’arrive de me toucher l’anus en me masturbant, j’y ai même mis deux doigts à plusieurs reprises, dis-je en mentant une fois de plus..

-Ceci peut expliquer cela mais ça m’étonne, tu es sur de n’avoir mis que deux doigts ?

-Peut être trois.

-Ben voyons, et pourquoi pas quatre pendant que tu y es.

-J’ai essayé, c’est plus dur.

-Évidement, ta main en tuile est aussi grosse que ta bite. Penche-toi.

Alex, tu es un menteur.

-Cécile, qu’’est-ce qui te fait dire ça ?

-Je sais reconnaitre un trou du cul qui se fait bourrer, j’en ai vu tellement que personne ne peut me tromper là-dessus. Alex, si tu te fais enculer tu peux me le dire.

-Cécile, j’ai faim.

-C’est ça, détourne la conversation. j’ai tout ce qu’il faut pour manger ici, assied toi et raconte moi la vérité, Alex.

-Cécile, je ne suis pas tout à fait comme j’ai dit.

-Maintenant j’en suis persuadée, tu m’as bien eue, n’est-ce pas ?

-Oui Cécile, je ne suis plus puceau depuis longtemps, j’avais 14 ans la première fois.

-Ton premier rapport sexuel ?

-Oui, avec une de mes cousines de 22 ans, chez elle dans sa chambre. ce jour là nous avons tout fait, je lui ai même pissé sur la chatte.

-Vous étiez seuls ?

-Oh non, toute ma famille était là, c’est la fille d’une sour de ma mère.

-Ils savaient ce que vous faisiez ?

-Peut être pas au début mais ils ont bien dû entendre les cris qu’elle poussait en jouissant. Quand nous sommes sortis de sa chambre tout le monde nous attendait, elle leur à tout raconté.

-Elle leur a dit ce que vous veniez de faire ?

-Oui Cécile, sans omettre le moindre détail et tout le monde l’encourageait à continuer, j’étais gêné.

-Tu m’étonnes !

-Ce qui m’a gêné le plus c’est quand elle leur a dit qu’aucun des hommes présents n’en avait une aussi grosse et aussi longue.

-Tu étais déjà comme ça à 14 ans alors ? Au fait, comment le savait-elle pour les hommes ?

-Oui Cécile, j’étais déjà comme ça, par contre je ne sais pas comment elle savait pour les hommes, à mon avis, elle avait baisé avec eux.

-Et les femmes étaient au courant ?

-Tout le monde savait. ma famille est un peu bizarre, Cécile.

-Un peu comme la mienne alors ?

-Possible, ça baisait dans tous les coins en tout cas.

-Tu les as vus faire ?

-Oui Cécile, après cette partie avec ma cousine, les femmes ont toutes voulu voir ma bite, et les hommes aussi d’ailleurs.

-Tu leur as montré ?

-Non, pas ce jour là, j’étais sorti prendre l’air. C’est ma tante qui à commencé, un jour au bord de leur piscine. Elle se baignait nue et ça m’a fait bander, j’ai dû virer mon slip de bain. Nous avons baisé dans l’eau.

-Devant tout le monde ?

-Juste son mari. quand nous sommes sortis de l’eau il bandait allongé sur le dos, elle s’est empalée sur lui et j’ai dû lui prendre le cul. a partir de ce jour, je crois que j’ai baisé toutes les femmes de la famille. même la plus jeune.

-Quel âge ?

-14 ans comme moi.

-Alex, si tu as baisé toutes les femmes, ta mère est comprise dans le lot ?

-Euh. oui Cécile. mais je ne l’ai fait qu’une fois.

-C’est déjà pas mal. ton père était présent ?

-Oui. je l’ai baisé aussi.

-Ouah ! Alex, tu t’es fait prendre aussi ?

-Oui mais pas cette fois. Un soir dans la semaine mon père est venu se doucher pendant que je me lavais les dents, sous la douche il s’est mis à bander en me montrant bien sa bite, je l’ai sucé et il m’a enculé.

-Tu l’avais déjà fait ?

-Oui et non, juste avec mes doigts et un vibromasseur.

-Un vibromasseur, où l’as-tu eu ?

-Dans un tiroir d’une commode, le bouchon à vis du logement des piles était cassé, je l’ai recollé, mis des piles et il marchait.

-Gros ce vibro ?

-Un peu plus gros que mon pouce, c’était mieux que mes doigts et je jouissais plus fort, ma décharge m’arrivait sous le menton quelque fois.

-Donc tu n’as pas eu mal ?

-Un peu quand même, mon père est bien monté.

-Vous avez recommencé ?

-Non mais je le voyais se branler par contre.

-Il ne faisait pas l’amour avec ta mère ?

-Si, rassures-toi. il matait la fille des voisins qui s’exhibait à sa fenêtre de chambre, mais pas pour lui.

-Elle s’exhibait pour qui alors ?

-Pour les copains de son frère dans le jardin.

-Elle avait quel âge ?

-A peu près le même que moi, je me souviens qu’elle n’avait que trois poils sur le pubis et des tout petits seins.

-Tu n’as jamais essayé de l’attraper ?

-Si mais rien à faire, elle voulait bien s’exhiber mais pas qu’on la touche. je lui ai quand même déchargé sur le visage. Cécile, tu n’as vraiment pas de petit copain ?

-Non Alex, et je n’en veux pas. j’aime trop ma liberté.

-Comme moi. Au bungalow, je te présenterais nos voisins s’ils sont là, un couple de Danois super sympa.

-Quel âge ?

-La cinquantaine, elle est un ancien mannequin, lui est photographe pour les catalogues.

-Chauds ?

-Oui. Et ils aiment les jeunes. La première fois que je l’ai vu, il arrivait aux douches communes, j’allais y entrer aussi mais sans avoir quitté mon maillot. Il est entré à poil et s’est douché à moins d’un mètre de moi puis il s’est penché plusieurs fois pour frotter ses pieds, j’avais sous les yeux ses fesses écartées et la rosette bien visible, ça m’a fait bander et il l’a vu. Mon maillot de bain ne cachait plus rien et il s’est approché, sa bite venant toucher ma bosse puis il a baissé mon slip et nos queues se sont touchées.

-Si quelqu’un était venu se doucher, vous auriez fait quoi ?

-Heureusement personne n’est venu. Il a pris ma bite pour me branler et je l’ai sucé ’’naturellement’’, sans qu’il me le demande. Je voulais le faire jouir mais il n’a pas voulu et je me suis fais enculer avec du savon pour lubrifiant.

-Tu as eu mal ?

-Mais non, à part deux ou trois fois où j’ai senti une légère douleur au début, je n’ai jamais eu mal en me faisant enculer, quelque que soit la taille de la bite.

-Il a joui ?

-Oui et moi aussi, je me branlais.

-Donc tu as aimé.

-Oh oui ! Un après midi qu’il pleuvait mes parents sont allés faire des courses, je suis resté devant la télé pendant l’orage puis la pluie s’est arrêtée et le soleil est revenu. Ils partaient à la plage sa femme et lui, je les ai accompagnés à la partie naturiste, un peu gêné quand même.

-Pourquoi étais-tu gêné ?

-Agnèta est une très belle femme aux formes généreuses, je n’étais pas sur de rester zen à coté d’elle.

-Aucune importance sur cette plage, tu es excité et tu bandes, rien d’anormal.

-Cécile, je n’avais pas d’expérience. La plage était encore vide après l’orage, nous nous sommes installés au pied de la dune et tout de suite à l’eau.

-Tu avais ôté ton maillot ?

-Oui. jusque dans l’eau tout se passait bien, nous nous sommes trempés puis elle s’est mise à pisser devant nous en écartant sa chatte avec ses mains, il a pissé aussi dans ma direction et je me suis mis à bander en les voyant faire.

-Tu as pissé aussi ?

-Non, impossible de pisser en érection. Ils sont revenus aux serviettes, je n’osais plus sortir de l’eau, des gens s’étaient installés entre l’eau et nous.

-Il a bien fallu que tu sortes.

-Certes, et je suis sorti sans me cacher, personne n’a fait attention à moi, pourtant je bandais ! En arrivant aux serviettes, elle était agenouillée pour chercher quelque chose dans son sac et il lui touchait la fente, j’ai failli jouir sans me toucher ! Je me suis allongé derrière eux, la bite toujours raide, c’est lui qui est venu me toucher puis elle est venue me sucer et j’ai joui tout de suite dans sa bouche. Un couple installé prés de nous s’est mis à baiser en nous regardant, elle s’exhibait devant eux et lui me glissait sa bite dans la raie, son gland coulait sur ma rosette et je me suis fait enculer.

-Donc tu connais bien la partie naturiste.

-Oui Cécile. le soleil revenu plein de gens sont arrivés autour de nous, des types se branlaient en me voyant me faire enculer et, cerise sur le gâteau, mes parents sont arrivés !

-Vous étiez encore en action ?

-Non mais je bandais encore et elle le suçait. Ils se sont installés à coté de nous, à peine assis mon père s’est mis à bander en voyant Agnéta sucer son mari, nous avons fait sensation.

-Il ne s’est rien passé d’autre ?

-Si mais plus tard, vers 19 heures 30, la plupart des gens étant partis dans les dunes. Mon père avait installé un pare-vent ce qui nous donnait une certaine intimité dont nous avons profité mais je n’ai fait que me branler sur le ventre de ma mère.

-Alex, qu’as-tu fait réellement avec tes parents ?

-Pas grand-chose à vrai dire, j’ai plus vu que fait. Pourquoi me demandes-tu ça ?

-Parce que j’aimerais bien voir ce qui se passe dans ce cas là.

-Tu aimerais me voir avec mes parents ?

-Oui Alex. mais à condition que je participe, bien sur.

-Ça peut se faire la semaine prochaine, je dois aller chez moi pour le week-end.

-Je peux venir ?

-Bien sur.

-Tu as une idée de la façon de procéder ?

-C’est toi qui t’y colle Cécile, tu te balades à poil dans la maison, ça va le faire tout de suite.

-Ton père va me sauter dessus ?

-Non, mais ça va l’exciter et nous en profiterons.

-Tu m’expliqueras ça sur place. Alex, il faut que tu m’encules encore..

-A ta disposition.

-Tu jouis dans mon cul et si tu peux, tu pisses.

-Ça doit pouvoir se faire.

-Tu as déjà fait ça ?

-Non Cécile mais ’’on’’ me l’a fait et j’ai beaucoup aimé.

-Un copain. Il a joui si vite que je n’ai rien senti mais il a pu pisser.

-C’est toi qui lui a demandé ?

-Non, mais il m’a prévenu qu’il allait le faire, j’ai bien aimé.

-Après, tu as fait quoi ?

-Je suis allé me vider aux toilettes pourquoi ?

-Tout seul ?

-Oui. Il se lavait.

-Encule-moi Alex et fais moi jouir, de ton coté tu jouis et tu pisses.

Agenouillée, elle m’offre ses fesses, enfoncé dans son cul j’entame un pistonnage qui devrait l’amener à l’orgasme et me faire jouir aussi.

-Alex, tu me défonces le cul mais c’est bon. ne t’arrête pas.

Je lime encore pour me faire jouir aussi, son orgasme arrive brutalement et je décharge sans sortir :

-Alex, j’ai merveilleusement joui et je t’ai senti décharger. tu vas pouvoir pisser ?

-Oui. la pression est un peu tombée.

-Alors remplis moi, pisse dans mon cul.

Obligé d’attendre un peu, ça vient doucement au début puis je vide ma vessie :

-Sors doucement Alex. je vais le garder un peu avant d’aller chier.

-Comme tu veux mais tu me montres tout.

-J’y comptais bien.

Sa main au dessus du trou elle attend que je sorte pour le ’’boucher’’ :

-Suis moi. si tu aimes voir chier une fille, tu vas être servi.

Dans la baignoire, agenouillée elle vide son boyau à grands coups de geysers, la pisse sort en premier puis un petit étron et deux gros qui dilatent bien son trou :

-J’aime qu’on me voie chier. tu aimes ça ?

-Oui Cécile.

-L’odeur ne te gêne pas.

-Non, j’ai plusieurs fois sucé des bites qui sortaient de mon cul.

-Alex, tu te fais souvent enculer ?

-Pas autant que je voudrais mais ça m’arrive.

-La dernière fois, c’était quand%

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire