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Femme de chambre ou l'histoire secrète d'une famille bourgeoise – Chapitre 10

Femme de chambre ou l'histoire secrète d'une famille bourgeoise - Chapitre 10



CHAPITRE 20

Steve arriva une heure plus tard. Il allait avoir une surprise.

— Salut Gwendoline.

— Bonjour Steve. Tiens, surprise !

— Cest quoi ?

— Tu dois lire et faire ce quil est inscrit et tu verras.

Il ouvrit lenveloppe et lut à haute voix :

« Tu dois aller dans ta chambre, prendre une douche et te coucher nu sur ton lit. Un bandeau noir sera posé sur ton lit. Tu devras le mettre et surtout interdiction formelle de lenlever. Tu ne peux rien dire. La personne qui viendra ne dira rien. Lorsquelle aura fini, elle te tapotera le pied trois fois ; Alors tu compteras jusque cent et tu pourras enfin enlever le bandeau. »

Il relut le texte et je vis au travers de son jean quune bosse tendait le tissu de plus en plus.

— Et quest-ce quelle va me faire ?

— Que du bien ! Ne tinquiète pas. Elle sait y faire.

— Qui ?

— Tu ne le sauras jamais.

— Et si je veux enlever le bandeau ?

— Alors, elle partira et notre petit arrangement tombe à leau ! Compris !

— Bien. Je ne lenlèverai pas.

— Allez file ! Elle va bientôt arriver.

Je le vis courir dans sa chambre. Pour ma part, je le suivis et allai dans la mienne. Jattendis quelques instants et gagnai sa chambre.

Il était bien couché, nu et il ny avait pas que les yeux qui étaient bandés. Son sexe était plus gros et grand que la dernière fois. Je vis que sa respiration était saccadée.

Sa queue mavait tellement fait envie que javais décidé ce matin de lui faire sa première fellation. Mais comme je ne voulais pas quil sache que cétait moi, javais mis en place ce petit manège. Je magenouillai au bord du lit et prit sa queue dans ma main.

Il sursauta mais très vite, les sensations prirent le dessus sur la peur. Je faisais coulisser ma main sur ce membre tendu comme un arc. La peau était douce. Je le masturbais lentement, arrêtant à chaque fois que je sentais quil allait exploser.

Ce petit jeu dura longtemps mais chaque bonne chose à une fin, il grogna et jouit. Il épancha sa jouissance sur ma main et sur son ventre.

Je le goûtai. Son jus était délicieux. Je mis ma main trempée au-dessus de sa bouche et quelques gouttes tombèrent sur ses lèvres. Une fine langue lapa les quelques traces humides et un grand sourire éclaira son visage.

Pourtant je navais pas encore fini avec lui. Son sexe avait molli mais pas totalement. Je me penchai sur lui et le mis en bouche afin quil durcisse et quil fût propre.

Un cri de surprise sortit de sa bouche.

Je le pompai vaillamment et consciencieusement. Mes mains nétaient pas en reste. Lune flattait ses couilles encore pleine de jus tandis que lautre allait cajoler le petit illet encore vierge.

Il aimait car les gémissements se firent plus profonds et plus forts.

Jenroulais ma langue autour de son gland redevenu gros et rouge. Je lengloutis le plus profondément possible. Un doigt inquisiteur réussit à forcer le petit anneau qui ne demandait quà souvrir.

Un deuxième doigt rejoignit très vite le premier. Il ahanait terriblement.

Sachant quil ne tiendrait pas longtemps à ce rythme, je les ôtais et perçus une frustration dans sa voix.

Je mappliquai à le sucer. Chaque centimètre de sa queue fut sucé, embrassé, cajolé. Je sentis quil allait exploser dans ma bouche.

Sans ménagement, jenfonçai trois doigts dans son fondement et surpris par la manuvre, il ne put plus se retenir ;

Il menvoya tout ce quil lui restait dans ses deux orphelines. Javalai sans retenue ce nectar si gentiment donné.

Lorsquil eut fini, je lapai les quelques gouttes éparses que je navais pas réussi à avaler.

Le sexe propre, satisfaite de mon deuxième cours, jallais lui tapoter le pied comme convenu lorsque jentendis sa respiration devenir plus profonde et plus lente. Il dormait.

Je souris en trouvant cela mignon et partis sur la pointe des pieds.

Mon serveur allait devoir user de toutes ses armes car jétais aussi chaude quune baraque à frites.

Il mattendait accoudé au bar comme la première fois. Il était beau dans son pantalon noir lui moulant parfaitement les fesses. Une grande blonde aux yeux de braise lui parlait calmement.

Je fus déçue quil ne mait pas attendue. Pourtant en me voyant arriver il sourit. Je ne savais que penser car la blonde me fit aussi un grand et beau sourire.

— Salut belle inconnue !

— Bonsoir, répondis-je perplexe.

— Voila, chérie, la belle demoiselle qui un soir ma permis duser delle.

— Tu as eu toujours bon goût, dit-elle.

— Euh Excusez-moi ! Je dois partir.

Ayant compris que la blonde devait être sa femme ou quelque chose comme cela, javais décidé de battre en retraite.

— Attends ! me dit-elle avec un petit accent espagnol. Je crois que cela mérite une petite explication mais pas ici.

— Où ? fis-je un brin curieuse.

— Où tu veux ?

— Ben je ne sais pas fis-je vraiment surprise.

— Si je vous invitais à dîner ? A moins que tu aies déjà manger ?

— Non.

Sil savait que javais déjà pris mes protéines ce soir.

— Alors parfait, je connais un petit resto sympa et surtout très discret. Moi cest Manuel et voilà Consuela, ma fiancée.

— Moi cest Gwendoline.

Ils mentrainèrent dans les petites rues de la capitale. On arriva à un restaurant qui ne payait pas de mine. On y entra et tout de suite lambiance feutrée dégageait un charme certain. Le patron vint nous accueillir et nous conduisit dans un recoin. La table entourée par de hauts paravents nous permettait de parler librement.

— Consuela est ma fiancée et est au courant de notre petite relation de lautre soir. Nous allons nous marier la semaine prochaine et puis nous retournons au pays. La papa de Consuela moffre son restaurant en cadeau de mariage.

— Félicitations !

— Merci, répondirent-ils en chur.

Ils séchangèrent un regard de braise à faire fondre le plus gros des icebergs. Ma soirée coquine prenait leau de toute part. Je ne comprenais toujours pas pourquoi il mavait répondu par laffirmative.

Je devais faire une drôle de figure lorsquelle me dit :

— Tu dois te demander pourquoi Manuel ta envoyé ce sms.

— Euh oui !

— En fait, continua-t-elle, cest moi qui lai envoyé. Manuel ma tout raconté le lendemain de votre petite sauterie.

— Et tu nas rien dit ?

— Pourquoi ? Notre couple est basé sur lamour que lun porte à lautre alors quest-ce que cest quune pulsion sexuelle basée que sur le physique.

— Quelle liberté de pensée ! fis-je interloquée.

— Manuel et moi avons pris la décision dêtre libre jusquau mariage. Avant lui, je navais connu aucun homme. Manuel ma ouvert des voies que grâce à lui jai pu explorer. Le mariage nest pas une fin en soi mais un début dune vie. Je ne sais pas si on terminera nos jours ensemble mais jy crois dur comme fer.

— Et vous continuerez à vivre votre couple comme maintenant après le mariage ?

— Cela sera difficile, répliqua Manuel mais Barcelone est une ville assez libre qui nous permettra dépanouir encore plus notre couple. On verra.

— Et pourquoi mavoir « invitée » ?

— Jai envie que tu fasses lamour avec Manuel devant moi ! Je veux voir vos visages prendre du plaisir et si

— Non ! fit Manuel. Tu sais bien que cela serait trop demandé.

— Quoi, fis-je ?

— Ben si tu

— Si je veux faire lamour avec toi ? Ma réponse est oui ! Jaime autant les femmes que les hommes. Et tu es très attirante. Jaimerais être votre maîtresse commune et vous laisser un souvenir de notre cher beau pays.

Les yeux de Consuela brillèrent et Manuel ne put retenir un sourire carnassier.

Le serveur vint prendre nos commandes mais personne navait faim, enfin, de nourritures terres car les nourritures charnelles ne demandaient quà être avalées sans ménagements. Une certaine tension érotique flotta durant notre maigre repas qui chagrina le patron.

Manuel proposa que je les accompagne chez eux. Ils me donnèrent leur adresse. La voiture de sport de Caroline ne comportant que deux places, je pris Consuela avec moi. Manuel retourna en métro. Dans le parking, masseyant à côté delle, je ne pus mempêcher de poser ma main sur sa cuisse. Elle frémit à mon contact.

Elle se retourna et approcha son visage du mien. Nos bouches se trouvèrent rapidement et ma main remonta lentement les quelques centimètres qui étaient cachés sous le mince tissu de soie.

Jatteignis le puits déjà trempé par le désir. Très vite, tout en lembrassant, jinvestis le lieu chaud et humide. Je la maintins fermement afin quelle ne sache pas senlever mais le voulait-elle car je sentis son bassin savancer afin de mieux sempaler sur mes doigts.

Un couple vint chercher leur voiture juste à nos côtés et ils interrompirent le charme du moment. Je quittai mon antre et sortis deux doigts humides. Consuela les prit dans sa main et les suça lentement.

Jétais une vraie fontaine.

Le couple partit sans nous regarder. Je pris la main de Consuela et linvita à venir sentir la moiteur quelle provoquait en moi.

— Je nai jamais touché une autre fille que moi !

— Alors pense que tu te fais du bien !

Elle fut dabord surprise de labsence de tissus.

— Essaie ! Ce sentiment de liberté est extraordinaire.

Derechef, elle prit son string entre ses pouces et le tira vers le bas. Le contact du cuir sur sa peau la fit frémir.

— Je vais tacher ta voiture !

— Je la nettoierai en pensant à toi. Goûte-moi, dis-j en conduisant ses doigts dans ma grotte enflammée.

Ses doigts vinrent senfouir entre mes jambes. Je lui rendis la pareille. Mais je ne voulais pas jouir tout de suite alors je lui enlevai sa main et léchai les doigts souillés par mon nectar. Par contre, le pouce sur son clitoris, jactivai ma caresse et cest sous des cris de jouissances quelle jouit pour la première fois sous les mains dune autre femme.

Un couple dune soixantaine dannées passa près de nous juste à ce moment-là. La femme me regarda et me lança un sourire. Je lui répondis.

Deux minutes plus tard, nous sortîmes du parking et un quart dheure après, jentrais dans leur appartement. La porte franchie, je sentis deux mains puissantes me prendre et me coller contre le mur. Je ne savais plus bouger.

Une bouche avide se plaqua contre la mienne. Je sentis un corps nu et encore humide. Manuel devait juste sortir de la douche. Il embaumait le savon aux effluves épicés. Je me laissai faire et répondis à son baiser passionné.

Consuela ferma la porte, enleva ses vêtement et alla prendre un caméscope dans une armoire.

— Cela ne te dérange pas si je filme, me demanda-t-elle ? Jai envie de garder un souvenir de notre rencontre. Les jours de blues, je pourrai la revoir. Et ne tinquiète pas, je te passerai une copie.

— Pas de problème.

Elle appuya sur le bouton rouge et subitement, sur lécran led apparu le corps de manuel de dos en train dembrasser ma nuque. Cette sensation de voir et dêtre la principale actrice décupla mon désir.

Manuel me déshabilla, me souleva et sans ménagement, il mempala sur son chibre. Lempalement très facilité par lhumidité importante de ma grotte.

Consuela sassit sur le canapé tenant le caméscope dans la main droite et se branlant de la main gauche. Sur lécran, je pus voir les couilles de Manuel se balancer au rythme des coups de butoir quil me donnait.

Je ne touchais plus le sol. A chaque aller, il venait de plus en plus profond. Une grosse boule de chaleur gonflait tant et plus au creux de mes entrailles.

Sentant sa reddition, il sarrêta de me limer et tout en restant embrochée, il me conduisit sur la table de leur salon.

Le verre me fit frissonner. A peine couchée, il reprit son incessant va-et-vient. Consuela jouit pour la première fois. Manuel voyant sa fiancée prendre son pied ne se retint plus. Il sôta de moi et en se branlant, lâcha son jus protéiné sur mon sexe gluant.

Consuela remise à peine de ses émotions se jeta sur mon sexe et lapa le précieux liquide qui lentement glissait le long de mes lèvres. Elle goûta pour la première fois le sexe dune femme. Elle but jusque la dernière goutte et sattardant sur mon clitoris tout gonflé, elle me fit jouir.

Il sassit sur le divan. Revenant à moi, je magenouillai en face de lui et pris son sexe devenu mou dans ma bouche.

Je le goûtais, le suçais, le nettoyais. Très vite, je le sentis durcir et reprendre une forme apte à assouvir nos envies de pilonnage.

Consuela me regardait avec envie et ce fut avec un certain plaisir que je lui présentai le sexe de son homme. Le concert en duo commença. Chacune à notre tour, nous le prîmes en bouche. Nos salives se mêlèrent au bonheur de monsieur.

Sentant que le point de non retour arrivait, nous cessâmes de concert nos branlantes caresses linguales. Il parut dépité.

Délicatement, je me tournai vers ma douce voisine et lembrassai lentement. Ses lèvres brûlantes par le désir me chauffaient encore plus fort. Nos langues attisées par le plaisir senflammèrent encore plus.

En la prenant par les épaules, je lui fis comprendre quelle devait sasseoir à son tour sur le divan. Je me mis en face delle, écartai ses jambes et en remontant lentement les cuisses du bout de ma langue, jarrivai à son sexe presque entièrement lisse.

Ses lèvres gorgées par le feu incandescent ne réclamaient que lèches et caresses. Je dardai ma langue et les écartai. Le suc de sa jouissance les avait collées lune à lautre.

Le rose délicat de lentrée de sa grotte était un appel dair et jy engouffrai un doigt afin déviter quun courant dair vienne apaiser le brasier.

Consuela se prit les seins à pleine main et tantôt tirant, tantôt pinçant sexcitait encore plus.

Manuel vint derrière moi et pas encore assouvi de mon sexe, il sy engouffra lentement en me faisant connaître chaque centimètre de son sexe.

Je fouillai de plus en plus profond le sexe de mon amante tout en évitant de toucher le petit bouton déjà dardé de futures jouissances.

Un deuxième doigt obtura la cavité qui sagrandissait à vue dil. Jy allais et sortais de plus en plus vite et de plus en plus fort.

Manuel imprima ses va-et-vient aux miens de sorte que chaque fois quil entrait en moi, je faisais de même avec Consuela. Je nétais que leur ustensile à plaisir. Je servais à la fois de poupée gonflable et de gode.

Consuela se mit à gémir de plus en plus fort. Elle réclamait que je la suce.

Jobtempérai et plaquai ma bouche sur le petit bouton. Je le pinçai avec mes lèvres, je le suçai avec la langue. Les doigts allèrent de plus en plus vite.

La jouissance approchait encore plus. Manuel regardant sa femme prendre son pied sous la langue dune autre femme le rendait fou voire bestial. Je sentais ses couilles frapper à chaque fois mon derrière.

La boule de chaleur allait bientôt exploser en moi.

Ce fut Consuela qui partit la première. Je la suivis rapidement. Lorgasme fut tellement dévastateur que Manuel fut expulsé.

Dans un bref instant de lucidité, je me retournai vers lui, engouffrai sa pine dans ma bouche et le branla fermement. Il ne tarda pas à jouir dans ma gorge mais je navalai rien.

Le largage de son suc fini, je dirigeai ma bouche vers celle de Consuela et je partageai avec elle la liqueur intime de son homme.

Cen était presque obscène mais tellement bon. En une journée, deux hommes avaient joui dans ma bouche.

La liqueur avalée totalement, je meffondrai à ses côtés.

Le silence de la pièce nétait quinterrompu par nos respiration haletantes.

— Merci, me fit Consuela. Jai adoré.

— De rien !

— Ce sera quand tu voudras chez nous en Espagne. La maison te sera toujours ouverte.

— Merci mais cela narrivera pas tout de suite.

— On patientera, répondit-elle.

— Surtout pas, fis-je, trouvez une belle Catalane qui pourra satisfaire vos et ses plaisirs. Je suis sûre que Barcelone doit receler de tels trésors !

— On verra.

— Chérie ?

— Oui, dit-elle.

— Lorsque tu veux filmer, mets un cd.

— Merde ! Cest con.

— Tant pis ! Je vais vous laisser. Demain, le travail mattend.

Je me rhabillai et les embrassai avant de partir. Manuel me donna leur nouvelle adresse. Arrivée dans ma chambre, je mécroulai littéralement dans mon lit.

— Ce week-end, repos ! Sinon mon petit abricot va épuiser ses réserves de cyprine à la vitesse grand V. dis-je en me glissant dans les draps.

Morphée maccueillit rapidement dans ses bras.

CHAPITRE 21

Je me réveillai en pleine forme. Je fis le déjeuner. Steve se leva. Nous étions seulement deux dans la maison.

— Bonjour Gwendoline !

— Dis simplement Gwen !

— Ok.

— Bonjour ! Bien dormi ?

— Comme un loir ! Dis, hier soir, cétait toi qui ma

— Je tai dit hier que tu ne le sauras jamais. Tu en as bien profité ?

— Oui ! Cétait si si

— Jouissif ?

— Oui !

— Prêt pour ce soir ?

— Je crois ! Thomas ma envoyé un sms pour me dire quil était impatient de me voir.

— Tant mieux. Bon, maintenant il est temps daller aux cours.

— A +

Il partit. Je fis le ménage habituel et voulant en savoir beaucoup plus sur la relation entre ce porc de Jacques et sa salope de Thérèse, je fouillai la chambre de celui-ci. Je trouvai un bout de carton glissé dans la veste de son costume quil avait mis hier. Sur ce papier était inscrit une heure : 15h00 et le nom dun hôtel très chic de Bruxelles.

Je décidai que jy serai aussi.

Jallai dans ma chambre et regardai le solde de mon nouveau compte en banque. La somme de deux mille euros avait été bien versée. La communication était dans le style de Jacques, trivial !

« Une fois mais pas deux ! Vous nêtes quune raclure de notre société. La prochaine fois, les flics seront avertis ! »

Et jallais le croire ! Comme si il allait étaler sa vie très privée ! Quel con ! Et le viol quil mavait fait subir hier allait aussi se payer très cher !

Je créai une adresse e-mail sur Hotmail : « Jacques.lalavette ». Je réfléchis quelques instants et écrivis :

« Merci pour le versement. Japprécie la promptitude mais la prochaine fois, cela ne sert à rien de minsulter. Pour ta peine, je tinvite à regarder ladresse e-mail en-dessous. Cest celle de ton chef de clinique. Facile avec internet de trouver une adresse ! Bref, si dans dune heure, je nai pas quelques euros de plus sur mon compte, disons trois mille euros, jenverrai un petit film distrayant à toi et ton chef.

« Quel film ? Je serai bon, je te donne un indice. Que faisais-tu dans ta chambre nu le jour des fiançailles de ta fille ? J y étais et tu étais pitoyable.

« Donc si à 11h45 précise, je ne suis pas plus riche, tu auras quelques problèmes.

« Ah oui ! Nenvoie rien à cette adresse e-mail, elle sera supprimée tout de suite. »

Jappuyai sur le bouton envoi, attendit laccusé de réception de la lecture et supprima ladresse inventée.

Je vaquai à mes occupations calmement.

A 11h45, jouvris mon compte et remarquai avec calme labsence du montant. Je recréai une nouvelle adresse et écrivis ce message :

« Pas bien ! Pas bien ! Tant pis pour toi ! »

Je lenvoyai et aussitôt rédigea un autre toujours adressé à Jacques et à son directeur.

« A mourir de rire ! »

Je joignis un petit film que jintitulai : « Jacques à la fête ». Je le verrouillai par un mot de passe et lenvoyai.

Un troisième message partit presque aussi vite :

« Tu as de la chance ! Jy ai mis un mot de passe. Je te laisse un ultime délai de quinze minutes et si toujours pas de QUATRE mille euros (désolé mais linflation !) ? Le mot de passe partira ! »

La réponse fut prompte.

« Attends ! Tu les auras ! Qui es-tu ? Pourquoi tu men veux comme cela ? Tu es un vrai salaud ! Je te préviens que cest la dernière fois que je paie ! »

Je nallais surtout pas répondre. Jattendis le quart dheure et regardai le compte qui était devenu déjà plus conséquent.

Je jubilai, je le tenais par les couilles. Mais je devais rester prudente et surtout ne pas trop en demander sinon largent sarrêterait.

Je lui envoyai le mot de passe. En fait, le film quil verrait était tout simplement un morceau de la messe de la Saint-Jacques en Espagne. Je navais donc pas menti.

« Espèce de salopard ! » furent les quelques mots de réponse.

Il me prenait pour un homme. Et tant mieux. Je supprimai ma nouvelle adresse e-mail. Je mapprêtai et partis à mon aise vers lhôtel du rendez-vous.

A quinze heures, Thérèse entra dans le grand salon de thé. Javais vu juste. Jacques, lair livide, entra à sa suite. Ils allèrent se mettre dans un coin de la salle derrière un écran de plantes.

Lentement, je my installai avec mon thé. De dos, ils ne pouvaient pas me voir et surtout me reconnaître.

— Tas lair mal ?

— Quelquun me fait chanter ?

— Quoi ?

— Quelquun me fait chanter ! Il ma donné deux CDs dans lesquels on nous voit en train de enfin tu comprends.

— On me voit aussi ?

— Ben oui ! Et parfaitement !

— Merde ! Si mon mari savait cela, ce serait

— La fin de la grande vie !

— Et comment il a pu filmer.

— Par les caméras de surveillance de la maison.

— Ce ne serait pas Caroline ?

— Non ! La connaissant, elle maurait déjà rentré dans le lard !

— Pas faux ! La bonne ?

Je faillis tressaillir et une sueur froide coula le long de mon échine.

— Cette bonniche, répondit Jacques, elle nest même pas capable de faire fonctionner le micro-onde, alors sauvegarder des films qui normalement ne restent en mémoire quune heure.

— Ten es sûr ?

— Oh oui ! Il y a un mois, elle a réussi à déprogrammer le digicode de la maison alors que cest enfantin comme pas deux de presser quatre boutons et de faire enter !

— Sûrement pas les deux mouflets ! Ils sont trop cons !

— Surveille tes paroles, ce sont mes enfants !

— Fais attention où je te rappelle qui commande ici ! Ok ?

— Oui, maîtresse.

— Brave chienne. Et ce ne serait pas lentreprise qui la installé ?

— Non, il ny a aucune connexion avec lextérieur.

— Putain !

— Je te lavais dit quil ne fallait pas faire cela chez moi. Aujourdhui, le message parlait des fiançailles lorsque jétais à poil sur le lit complètement ligoté.

— Donc, on connait cette personne !

— Pas forcément, avec les serveurs et autres gens, il y avait beaucoup détrangers.

— Merde ! Merde ! Et combien tu as payé ?

— Six mille euros.

— Joli salaire !

— Aujourdhui, elle a envoyé un petit film à moi et à mon chef. Cétait une messe ! Jai payé quatre mille euros pour voir une minute dune messe. Putain, cest cher la collecte ! Le pire cest lorsque mon chef est venu mengueuler car je pourrissais sa boîte e-mail. Si je tiens ce salopard, je létripe !

— Calme-toi. La police, on ne peut pas lappeler. Il faut trouver quelquun qui sache faire discrètement une enquête. Je connais un privé. Je prendrai contact avec lui. Il saura quoi faire.

— Ok !

— Maintenant, jespère que tu as ce que je tai demandé de mapporter.

— Oui ! Tiens !

— Quel beau plug ! Je lessaierai ce soir mais avant je veux que tu ailles aux toilettes et que tu te lenfiles et que tu reviennes ici !

— Bien maitresse.

Jacques se leva et alla aux toilettes.

— Allo ?

— Jai besoin de tes services.

— Il faut que tu trouves le propriétaire dun compte bancaire. Cest possible ?

— Parfait ! Je tenvoie le numéro lorsque je laurai.

— A bientôt.

Si elle savait que le vrai propriétaire nest autre que Jacques. Cest bête quil laisse sa carte de banque avec son code secret dans sa table de nuit ! Le pauvre ! Mais il fallait que je vire largent sur un autre compte. Ou mieux, normalement lundi jaurais la carte de banque par la poste, je le prendrai à un distributeur de billets.

Jacques revint.

— Alors ma petite salope, quest-ce quon dit à sa maîtresse ?

— Jadore avoir un plug dans le cul. Sil te plaît maitresse, pourrais-tu le faire vibrer ?

— Pour que tu jouisses, pas question ! Viens, on va chez moi !

— Chez toi ?

— Pauvre con, bien sûr que non mais dans ton lit qui mappartiendra bientôt. Tu te souviens du délai pour que ta salope de femme déguerpisse ?

— Putain, tu fais chier. Et les caméras ?

— Tes vraiment con, tu débrancheras le système.

— Il faudra attendre que Steve soit parti chez son copain.

Sil savait que son copain allait devenir très bientôt sa deuxième copine.

— Alors, on va aller dans notre club privé jusque ce soir. Au fait, ta bonne sera là ?

— Je crois.

— Ce soir, je veux quelle me lèche la cramouille.

— Laisse-la tranquille.

— Je ne suis pas comme toi qui rate ce quon lui demande. Tu nas pas écouté mes conseils. Si javais été là, je suis sûre quelle ne pourrait plus sasseoir pendant quelques jours. Je te laurais défoncée avec mon plus gros gode. Elle aurait pleuré et maurait supplié. Jadore voir les yeux qui me supplient darrêter.

Une vraie folle ! Elle aussi payerait pour cela et je connaissais la personne adéquate qui pourrait le faire. La gentille secrétaire particulière de Caroline, Catherine !

Mais avant tout, il fallait que je place une de mes caméras à moi !

Je rentrai à la villa, montai dans ma chambre, pris la plus petite webcam que javais (cest facile, jen ai que deux !) et allai la placer dans un endroit quils ne pourraient pas voir !

Jallai dans la chambre et examinai lendroit où ils ne pourraient rien voir et je trouvai. Le lustre ! La première fois, on le regarde mais après ? Si juste lorsquune lampe pète !

Je la plaçai en face du lit. Heureusement quelle a la wifi sinon jétais cuite !

Je regagnai ma chambre et connectai la caméra. Limage nétait pas trop nette mais on reconnaîtrait les visages et puis, je savais faire des zooms. Le son, lui, était parfait ! Javais rudement bien fait de lacheter celle-là même si elle mavait coûté cher !

Jallai dans le bureau de Caroline et trouvai le numéro de Catherine.

— Allo ?

— Allo ! Cest Gwendoline.

— Oui ? Que veux-tu ?

— Je voudrais que lon se voie ce soir.

— Pour ?

— Cest au sujet de Caroline ! Je crois quelle est en danger et je voudrais que tu maides à éliminer le danger.

— Quel danger ?

— Pas au téléphone.

— Ok ! Où ?

— Pas ici !

— Pourquoi ?

— Le danger sy trouve !

— Alors rendez-vous dans mon port dattache.

Elle me donna ladresse.

— Lendroit nest fréquenté que par des bonnes femmes. Caroline ma dit que tu nétais pas contre une bonne chatte !

— Euh ! Oui ! Ca arrive !

— A quelle heure ?

— Vingt heures ?

— Parfait ! Ne thabille pas trop sexy ! Je nai pas envie quune de mes copines te viole sur place. Tas un beau cul !

— Ok, fis-je un peu interloquée.

Steve revint des cours et tout excité par sa future nuit avec son copain ne resta pas longtemps. Je pus partir avant que les deux fêlés narrivent.

Je trouvai le café. Un drapeau bariolé, étendard des gays et lesbiennes, trônait au-dessus de la porte. Jy entrai et je sentis quune vingtaine dyeux ne regardaient quune chose : mon cul !

— Gwen, je suis ici.

Elle était à lécart, une bière devant elle. Le t-shirt lui moulait les seins à la perfection. Japprochai delle et lui fis la bise.

— Quest-ce que tu prends ?

— Comme toi, une chope mais à la bouteille.

— Jeanne, remets deux chopes. Bouteilles !

Elle me dévisagea et dit :

— Putain ! Même en jean et t-shirt tu me fais mouiller comme une fontaine. Tes si bien foutue. Jen vois ici qui doivent dire la même chose.

— Toi aussi tes pas mal ! dis-je spontanément.

— Tu trouves ?

— Oui !

— Merci ! Cela fait plaisir. Quel est ton problème ma belle.

— Caroline est en danger. Son salopard de mari veut léjecter de la maison.

— Tant mieux car cela fait longtemps que je lui dis de quitter cette lavette.

— Moi aussi, je le crois mais ce nest pas le plus grave.

Je lui racontai Thérèse, la tournante quelle avait prévu, les nuits de débauches dans le lit de Caroline, la perspective quelle supplante Caroline dans sa maison et le commandement de me violer.

— Putain ! Quelle salope !

— Tu las dit. Jai pensé à toi pour maider.

— Que veux-tu que je fasse ?

— Caroline ma raconté pour lautre con le soir des fiançailles.

— Ah oui ! Putain ! Que cétait bon ! Depuis, il est devenu une vraie salope ! Mais je lai vendu à une ancienne copine. Il lui mange dans la main et elle sen sert comme sex-toy permanent pour elle et pour son mari. Tu devrais le voir maintenant. Son cul doit pouvoir engober sans problème un ballon de rugby.

— Je veux que tu fasses de cette salope une vraie serpillère. Quelle soit lesclave de qui tu veux. Je veux la voir ramper et crier pitié.

— Ouf ! Tes rancunière toi. Je ne voudrais pas tavoir comme adversaire.

— Tes daccord avec moi ?

— Je suis avec toi. Je le ferai pour Caroline et pour toi ! Tu laimes ?

— Qui ?

— Caroline !

— Comme amie.

— Je vais faire semblant de te croire mais sans vouloir te faire du mal, aime-la comme amie pas comme autrement. Tu te sentiras mieux.

— Merci du conseil. Que fait-on ?

— Dabord, je dois prendre quelques renseignements. Je connais pas mal de monde dans ce milieu et je suis sûre quune de mes anciennes euh apprenties doit la connaître.

— Parfait !

Jomis bien entendu de lui parler de mon petit chantage et des petits films que je faisais.

— Pour la peine, fis-je, je tinvite à souper !

— Non merci ! Jai faim oui mais pas de nourritures terrestres ! Jai envie de te goûter !

— Me goûter ?

— Manger ta chatte ! Te brouter ! Tu dois être bonne au pieu !

— Euh

— Je ne suis pas à ton goût ? dit-elle en sénervant.

— Non ! Mais dis comme cela, cest la première fois !

— Il faut un début à tout ! Mais je comprends que cela te choque un peu. Quest-ce que tu décides ?

Son langage mexcitait. Jamais on ne mavait traitée comme cela. Javais envie de devenir sa chose et puis retourner à la villa en sachant que ces deux porcs couinaient dans la pièce du bas me donnait des nausées.

— Ok ! Je te suis !

— Tu ne le regretteras pas. Ce soir il ny aura que toi qui jouiras. Moi, je me contenterai de te combler.

Elle se leva, me prit la main et on partit sous le regard désapprobateur ou déçu dautres femmes.

Son appartement nétait pas loin. A lentrée, on vit une femme dune cinquantaine dannées, le chignon strict, habillée en Dior.

— Zut ! Je lavais oubliée. Désolé ma douce mais ce soir, je devrai te laisser. Jai un empêchement.

Nous arrivâmes près de cette femme qui dodelinait sans cesse.

— Bonjour Madame la juge, fit Catherine le regard pétillant.

La femme apeurée regardait partout dans la rue.

— Ne te tourmente pas ainsi ! La rue est déserte ! Personne, à part mon amie, ne sait quune juge vient chez moi pour Au fait, pourquoi viens-tu chez moi à cette heure ?

— Ben Pour

— Sois plus clair, fit Catherine le ton plus sec !

— Je suis venue pour notre séance hebdomadaire.

Et en quoi consiste-t-elle ? Donne les détails afin que mon amie connaisse les raisons pour lesquelles je devrai prendre congé delle et surtout quelles me privent dun bon moment.

— Je suis venue ici pour dit la femme en écrasant le dernier mot afin que je ne lentende pas.

— Pour quoi ? Crie-le !

— Pour baiser ! répondit la femme.

— Bien ! Bien ! Tu vois, me fit Catherine, Madame le Juge aime le sexe mais pas nimporte lequel. Dis-nous ce que tu as envie de faire ?

La femme semblait de plus en plus honteuse de parler mais paradoxalement le ton rauque de sa voix montrait quelle y prenait un plaisir de plus en plus grand.

— Jai envie de faire pipi !

— Madame le juge a laissé sa culotte ?

— Oui !

— Alors, va faire pipi au milieu dans le caniveau comme les chiennes.

— Bien madame !

Elle nous quitta, alla entre deux voitures et releva sa jupe.

— Mais laisses-en assez pour tout à lheure !

Elle sagenouilla.

— Debout !

Elle écarta alors les jambes et se mit à uriner. Cela coulait le long de ses jambes.

— Stop ! fit Catherine.

Dans un effort terrible, elle réussit à bloquer les vannes et arrêta duriner.

— Viens ! Je toffre un verre.

— Mais tu ne veux pas être seule avec

— Non ! Pas tout de suite. Il faut quelle aille faire une petite course pour moi. Nest-ce pas madame le juge ?

— Où, répondit-elle.

— Chez Ernest.

— Non ! Pas lui !

— Bon daccord ! Tu peux alors retourner chez toi. Tu sais ce que cela veut dire.

— Oui, madame. Combien dois-je avoir ?

— Septante ! Non, je suis un peu raide ces moments-ci, ce sera cent.

— Tout cela ?

— Tu veux que jaugmente ?

— Non.

— Et reviens vite ! Dans une demi-heure, pas plus !

— Cest court !

— Débrouilles-toi !

La femme partit rapidement. Catherine me fit entrer chez elle.

Lappartement était spacieux, bien aménagé.

— Installe-toi là, jarrive. Je vais me changer. Prends-toi un verre dans le bar.

— Ok !

Je me servis une vodka et attendis Catherine. Elle revint deux minutes plus tard dans une combinaison noire en latex. Ses formes étaient en valeur et je dois dire que si il ny avait pas madame le juge qui allait arriver, je me serais bien laissée aller sous sa langue.

— Comment me trouves-tu ?

— Belle !

— Cest plus pour la forme que pour le reste.

— Où doit-elle aller ?

— Dans un sex-shop assez glauque. En fait, il ny a pas de protection entre les femmes qui se déshabillent et le client. Comme il ny a que très peu de femmes qui aiment se faire juter dessus, le patron accepte des femmes en manque dargent ou de sexe comme cest le cas ici. Par trainée laissée sur le corps, il donne dix euros.

— Elle devra accepter dix hommes ?

— Plus, quinze car le patron demande cinquante euros pour pouvoir aller sur le divan et sexhiber. Il ny a que les professionnelles qui sont payées sans devoir donner un droit dentrée.

— Et elle accepte ?

— Oui mais plus par plaisir dêtre avilie que par crainte. Chaque personne qui vient chez moi ne demande quune chose : que je sois capable de leur faire connaître leur façon la plus grande de jouir. Ici, elle, qui a un certain pouvoir, aime devenir une sorte desclave. Elle adore être honteuse. Je ne suis pas ces maîtresses ou domina. Tout se fait chez moi par lesprit. Je suis devenue leur maîtresse de leurs jeux érotiques les plus hard sans jamais avoir eu à les frapper ou fouetter. Cela je laisse à dautres de le faire.

— Ce sont elles qui viennent te voir ou cest toi qui va les chercher ?

— Les deux ! La juge cest son mari qui est aussi un de mes clients qui men a parlé.

— Et quel est son jeu préféré ?

— Lurine ! En fait, tout est arrivé simplement. Lors de longs procès, elle ne peut pas interrompre les débats parce quelle a envie de faire pipi. Et comme elle ne sait pas se retenir, elle a pris lhabitude de mettre des langes. Ainsi plus de problèmes ! Seulement, elle sest rendue compte quelle adorait cette sensation dêtre « sale » si bien quau lieu de changer de langes souvent, comme au début, elle les a portés un jour puis deux, puis trois. Bref, elle adore végéter dans son urine. Un jour, elle neut plus de langes au tribunal et laissa sa culotte. Au bout dun long moment, elle ne put se retenir et urina sur elle en plein tribunal. Personne ne sen rendit compte. Le fait de le faire, ma-t-elle dit, lui procura un orgasme qui la fit sécrouler. Bref, en la relevant, ils crurent quelle avait uriné sous leffet du malaise. Depuis ce jour, sous le lange, elle garde ses sous-vêtements.

— Ben dis donc !

— Lenvie daller plus loin lui prit. Elle commença par uriner dans les lieux bondés, métro, train et aimait se promener la culotte sale. Puis, elle le fit dans les soirées mondaines dans un coin, derrière une plante. Mais cela ne la satisfit quun moment. Elle souvrit de son problème à son mari qui, déjà client et cela elle ne le sait pas, men parla lors dune de nos séances. Un jour, jallai la trouver pour un dossier de Caroline et connaissant son problème, je lui glissai à loreille que je savais son envie de faire pipi en public. Elle résista au début mais à chaque fois que jallais la voir au tribunal, elle ne pouvait se retenir. Un jour, elle minvita dans son bureau et me demanda ce que je pouvais faire pour elle. Depuis, à chaque fois quelle vient, elle est ma chose. Jessaie de lavilir sans cesse. Et elle y prend du plaisir ! Mais ce nest pas ici, chez moi quelle prend son pied, cest au retour pour chez elle, lorsquelle croise des gens et qui reniflent les odeurs âpres de lurine. Elle ma raconté un jour quelle avait joui rien par ce quun homme la traité de raclure.

— Et tu en dautres ?

— Oh oui !

Elle allait parler lorsque la sonnette retentit.

— Oui ?

— Cest moi.

— QUI, moi ?

— Madame le juge.

— Bien, tu les as ?

— Oui, fit-elle fièrement.

— Très bien, maintenant, déshabille-toi et ne garde que ta culotte qui je crois doit être fort humide.

— Mais je suis dans la rue.

— Et alors ? Dépêche-toi ou tu peux retourner chez toi !

— Bien madame.

— Viens me fit Catherine, on va vérifier.

La femme se déshabillait lentement en regardant dans tous les sens. Deux hommes la virent et vinrent près delle.

— Putain, regarde la meuf ! Tu crois quelle voudrait mes sucer ?

— Quelle salope !

Catherine courut et atteignit la porte dentrée rapidement ; Dun geste brusque, elle fit entrer la femme. Les deux hommes voulurent entrer mais Catherine, rompue aux arts martiaux, les envoya sétaler sur le sol du trottoir. Ils partirent en la traitant de tous les noms !

Catherine revint avec la femme complètement nue gardant juste sa culotte. Je compris que je devais prendre congé et je les laissai jouer à des jeux interdits par la société.

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