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Femme de chambre ou l'histoire secrète d'une famille bourgeoise – Chapitre 6

Femme de chambre ou l'histoire secrète d'une famille bourgeoise - Chapitre 6



CHAPITRE 12

Nous allions partir lorsquune voix douce nous interpella :

— Madame X ?

— Pardon, fit Caroline.

— Vous êtes Madame X ?

— Non ! Vous vous trompez. Nous nous excusons mais nous nous sommes trompées de chemin.

— Ah ! Dommage ! Tout ce chemin pour rien, fit-elle en pleurant.

Caroline me regarda et dun signe interrogateur me demanda ce que nous allions faire. Jhaussai les sourcils en signe hésitation. Puis, voyant la femme sangloter encore et encore, je décidai daller la trouver.

— Calmez-vous ! Arrêtez de pleurer ! Fis-je doucement.

Comme si cela était normal, elle vint se blottir contre moi.

— Merci ! Cela va mieux.

— Voilà ! Cest mieux.

Elle avait sa tête sur mon épaule et je lui frottais le dos. Un trouble menvahit. Ses cheveux auburn me chatouillaient le nez et sest en riant que je lui dis :

— Excusez-moi mais vous me chatouillez le nez !

Interloquée, elle recula et éclata de rire.

— Pardon ! dit-elle en sessuyant les yeux.

— On peut savoir pourquoi vous vous mettez dans un état pareil juste parce que nous nous sommes trompées de chemin, demanda Caroline.

— Oh, cela na rien à voir avec cela mais jattendais une femme qui devait visiter la maison.

— Ah !

— Et cela fait déjà trois heures que jattends. Je le savais lorsquelle ma téléphonée. Jai senti quelle se foutait de moi ! Encore une qui naimait pas ma grand-mère et qui me le fait payer ! Mais pardon, je vous raconte mes problèmes alors que vous nen pouvez rien et que cest le moindre de vos soucis.

Je me surpris en disant :

— Ce nest rien ! Et si mon amie est daccord ainsi que vous, nous pourrions la visiter ? Quen penses-tu, ma chérie.

— Bien entendu ! Jai toujours adoré ces maisons reculées. Et elle a lair davoir un certain charme.

— Vous vous voulez bien ?

— Oui !

— Merci. Cela fait le troisième jour de congé que je dois prendre pour venir ici car jhabite assez loin et personne nest encore venu. Venez, dit-elle, le sourire retrouvé.

Elle nous prit chacune par le bras. Nous nous regardâmes Caroline et moi en sinterrogeant sur le cas de la demoiselle.

On gravit les quelques marches afin datteindre lentrée principale. La maison comportait deux chambres, une grande bien aménagée et une petite nue de tout meuble. Un immense lit trônait dans la première juste en face dune fenêtre obturée par une tenture. Deux grandes garde-robes et un petit meuble surmonté dun miroir complétaient lameublement.

Une salle de bain ancienne mais complète y était adossée. La cuisine se prolongeait par le living. Tout nétait que goût raffiné et une espèce de sensualité en ressortait.

Cétait une maison magnifique.

-Comment la trouvez-vous ?µ

-Superbe, répondit Caroline. Et pourquoi votre grand-mère la vend ?

— Parce quelle est morte dit-elle une larme perlant au coin de ses yeux.

— Pardon !

— Ce nest rien. Cela fait déjà un an quelle est partie. Jai essayé de la garder mais avec mon maigre salaire, je nen sors plus.

— Pourquoi ne pas y habiter ?

— Je travaille trop loin dici et faire les navettes serait trop fastidieux. Je dois la vendre.

— Je ne voudrais pas me mêler de quoi que ce soit mais vous parliez dune femme qui naimait pas votre grand-mère ?

— Oui ! Cela ne me gêne pas de vous en parler. Ma grand-mère maternelle a toujours été un peu marginale. Elle fut mariée très jeune et eut ma mère après une douzaine dannées de mariage. Malheureusement pour elle, ce nétait pas ce quelle voulait. Avoir un enfant lenchantait mais avoir un époux pas du tout. Au bout dune quinzaine dannées denfer, son mari est mort noyé en mer. Il était pêcheur et son bateau coula lors dune tempête. Ma grand-mère ne le pleura pas du tout. Ils vivaient dans un village du continent. Seule, elle éleva ma mère tant bien que mal. Mais une rumeur gonfla assez vite. Elle disait quon avait vu ma grand-mère nue sur une plage en train dembrasser un femme. La rumeur senfla et la vie devint insupportable pour elle.

— Oh la pauvre ! dit Caroline.

— Elle vendit sa maison et acheta celle-ci. Le dimanche, une tante venait leur rendre visite avec une cousine. Les deux filles partaient jouer tandis que leurs mamans respectives senfermaient dans la chambre car elles devaient parler de choses que les petites filles ne devaient pas connaître. Cela dura une année. Puis, un jour, ma grand-mère reçut un courrier de la tante en question. Celle-ci lui disait que ce nétait plus possible daller la voir car son mari ayant appris la vérité lui avait ordonné de cesser ces visites. Mais ce nétait rien à côté de ce quil arriva deux semaines plus tard. Un faire-part de décès annonçait la mort « inopinée » de ma « tante». Elle sétait suicidée.

— Mon Dieu ! Mexclamai-je.

— Ma grand-mère dut faire faire face à un procès car le mari disait que cétait elle qui lavait envoûtée et tuée. Quelle lavait initiée à des rites païens où les femmes se donnaient lune à lautre. Bien que tout fût faux, elle fut acquittée faute de preuves et non parce que le mari avait menti. Elle fut la paria du village et nayant pas dargent, elle dut rester vivre ici. Ma mère fut, sur décision de justice, envoyée dans un pensionnat. En fait, ils lobligèrent à abandonner ma mère. « Pour son bien » disait le jugement. Elle fit des études et rencontra mon père. Elle ne sut jamais son histoire car elle navait que quatre ans quand cela est arrivé.

— Et votre grand-mère ?

— Elle ne revit plus sa fille.

— Pourtant vous la connaissiez !

— Oui. Lhistoire aurait pu sarrêter là mais la vie est ainsi faite. Vous devez parfois perdre quelquun pour en gagner une autre. Cest ce quil mest arrivé. Il y a trois ans mes parents sont morts renversé par un chauffard récidiviste. La presse en parla longuement. Quelques semaines après leur mort, je reçus la visite dune dame. Elle me raconta avoir connu ma mère toute jeune.

— Cétait

— Oui ! La « cousine » qui venait jouer avec elle toutes les semaines. Elle me donna un livre qui appartenait à sa mère. Son journal intime ! Je le lus en une nuit. Elle racontait ses tiraillements entre son mari et la société et lamour quelle portait à ma grand-mère. Il ne donnait pas de détail sur son identité mais on sentait vibrer un amour profond et charnel au travers des lignes. Ma « cousine » me raconta que le nom de sa mère ne fut plus jamais prononcé dans la famille. Le père se mit à boire car il devint vite la risée de ses copains. Ils disaient de lui quil ne savait pas satisfaire une femme car elle était partie avec une autre. On le retrouva mort dans un caniveau, probablement tué pour son argent.

— Pff quelle est terrible votre histoire.

— Oui ! Ma « cousine » fut élevée par ses grands-parents paternels. Un jour, à lâge de dix-huit ans, elle trouva dans les malles de sa grand-mère décédée, un petit livre. Au début, elle crut que cétait la vie de cette dernière mais plein de détails lui revinrent à lesprit. Elle chercha dans les journaux des articles et trouva le nom de ma grand-mère. Elle la rencontra et lui fit lire le livre. Cela aurait pu sarrêter là sans la mort de mes parents. Cest elle qui me fit rencontrer ma grand-mère. Elle était vieille et malade. Deux ou trois personnes la soignaient. Elle ma raconté sa vie et son amour pour Magriet. Je ne lai pas jugée. Je crois que chacun a le droit daimer qui il le veut tant quil y a de lamour. Durant deux ans, je la voyais tous les week-ends. Mais usée par une vie qui ne lui convenait pas, son cur ne résista pas plus longtemps. En fait, je crois quelle a résisté pour me raconter toute son histoire.

— Et comment elle a vécu durant ces années ?

— Heureusement, les années passant, lîle devint un lieu touristique et les habitants changèrent. La mentalité aussi. Les anciens habitants partirent car cela devenait trop cher pour eux ou pour leurs enfants qui ne rêvaient que de la ville. Ma grand-mère ouvrit un restaurant et réussit à le faire prospérer. Ceux qui connaissaient son histoire la jalousèrent mais jamais ils ne réussirent à la briser. Ce sont ces quelques-unes de ces personnes qui me promettent monts et merveilles mais ils nattendent quune chose que je vende la maison à un prix ridiculement bas. Les terrains ont vu leur prix augmenté dune façon extraordinaire depuis dix ans et je ne veux pas lâcher sa maison pour une croûte de pain.

— Et le restaurant ?

— Il est toujours là, en fait le bâtiment est toujours là. Il était loué jusquil y a un an. Le locataire est parti sans laisser dadresse. Cest grâce à son loyer que je parvenais à maintenir cette maison. Malheureusement, sans cela, je dois vendre.

— Cest vrai ! Le choix est difficile.

— Vous voulez un café ?

— Ce serait abusé et puis nous devons retourner. Nous sommes sur le continent.

— Oh dommage ! Tant pis ! Au fait, je mappelle Natacha.

— Gwendoline et moi Caroline, fit cette dernière. Enchantée. Bon ben Natacha, on vous laisse. Vous avez dautres acheteurs susceptibles ?

— Oui, demain soir. Je reste ici tout le week-end.

— Bonne chance, alors.

— Merci !

Nous partîmes. Je me suis retournée souvent pour lui faire signe. Caroline ne disait rien. Il était trop tard pour aller sur la plage et on décida de retourner à la villa.

CHAPITRE 13

Arrivées, Caroline décréta quun bon restaurant nous ferait oublier nos fatigues.

— Mais avant, jai envie de toi ! La selle du vélo ma échauffé le clito comme jamais. Un ancien copain, Xav, vantait le pouvoir érotique de cet engin. Maintenant je vois quil a raison.

— Il ny a pas que toi que cela a chauffé.

— Alors viens me montrer ta petite chatte toute luisante que je la lèche complètement pendant que jutiliserai ton cadeau.

Je me déshabillai. Caroline fit de même. Adossée à un fauteuil, je la vis prendre le double vibro acheté hier et le présenter devant sa chatte.

Elle devait être bien excitée car le vibro entra facilement. Je la voyais fermer les yeux et être remplie. Puis, elle plia le vibro et le dirigea vers lentrée de derrière. Elle saccroupit et tout en me regardant, elle sempala.

A quatre pattes, telle une féline se jetant sur sa proie, elle vint vers moi. Juste par le spectacle offert, je me branlai énergiquement.

— Tiens! me dit-elle en me donnant la télécommande. Fais de moi ta chose et permets-moi lorsque tu en as envie de jouir.

Je souris et actionnai directement les vibrations.

— Salope ! Tu triches !

Elle tortillait du derrière. Le vibro lentement sôtait de son illet.

— Mets-toi contre le fauteuil et recule. Il ne partira plus !

Elle mobéit et se positionna contre le bas du siège. Pour ma part, je me couchai sur le carrelage froid et, en écartant les jambes, je présentai ma vulve luisante et avide de plaisirs. Caroline ancra un doigt dans mon sexe. Elle le ressortit et le lécha lentement. Je diminuai les vibrations.

Un peu plus à laise, elle remit son doigt au chaud et le fit ressortir mais au lieu de le lécher, elle vint caresser mon petit illet brun.

Jaimais que lon me caresse les fesses mais jamais on ne mavait prise par là.

Elle remit ma cyprine sur lentrée de service et massa encore et encore. Je gémissais. Mon illet assez dilaté, elle posa le bout du doigt et me dit :

— Maintenant, empale-toi sur mon doigt.

Je dus lâcher la télécommande et avec laide de mes mains, javançai mes fesses vers le doigt inquisiteur. Lentrée se fit doucement. Je neus pas mal comme je le craignis.

Je repris la télécommande et augmenta les pulsations. Elle se cambra un peu mais ne quitta pas ma grotte.

Le doigt tourna et en forçant un peu à chaque mouvement elle agrandi mon trou tout en relâchant les muscles anaux. Ny tenant plus, je commençai à me branler.

Elle ôta ma main.

— Tu vas jouir avec ton cul ! Laisse ta petite chatte bien chaude tranquille.

Sans que je men aperçoive, un deuxième intrus entra dans mon fondement. Une petite douleur arriva mais le plaisir prenait furtivement le dessus.

— Encore, murmurai-je.

— Tu aimes, ma chérie ?

— Oui ! Encore.

Pour toute réponse, elle tourna encore ses doigts délicatement mais fermement. Je sentis ses doigts buter contre mes parois internes. Mon sexe devait dégouliner car je sentis un filet couler sur ma peau.

Ce qui devait arriver, arriva. Un troisième entra en moi. Puis elle ne bougea plus, me laissant apprécier lheureux invité et à my faire.

— Tu apprécies ?

— Oui, râlai-je. Je sens que cela vient.

Etant prise par les sensations nouvelles, joubliai la télécommande et la laissa choir. Caroline la prit et arrêta les vibrations.

Ses doigts imprimèrent un lent va-et-vient et à chaque intromission, je gémis un peu plus. Mon illet était bien dilaté et la jouissance arrivait lentement.

Puis, subitement, elle retira ses doigts.

— Oh Non ! Laisse-les.

— Chut ! Laisse-toi faire.

A peine, eurent-ils quitté lardent fourreau quils réinvestirent le lieu. Je criai. Le plaisir et la douleur se mélangeaient, se confondaient. Jadorais.

Lorsquune énième fois, elle les ôta, ils ne furent pas remis à leur place mais je sentis le bout rond dun objet.

Caroline avait enlevé de sa jolie chatte, le morceau du vibro et présentait le chibre devant ma grotte interdite.

— Cest trop gros !

— Tu te répètes ! Laisse-moi en juger.

Je ne pus résister et je sentis inexorablement le pieu de jelly menvahir. Quil était gros mais quest-ce quil me faisait du bien.

Au bout dun moment, Caroline sarrêta.

— Tu sais que tu as le cul rempli entièrement ? Le vibro est complètement dans ton joli derrière. Et maintenant, tu vas en jouir.

Elle activa la télécommande au maximum. Une onde de choc sintroduisit dans mon corps. Je planai littéralement. Caroline, le chibre toujours en elle, se mit à gémir. Elle se coucha sur moi mais jeus le temps de poser ma main sur son petit bouton t je le branlai comme jamais.

Furieuse, elle fit de même mais planta deux doigts dans mon petit corail aussi humide que lorsquil est dans les mers chaudes.

La jouissance arriva vite mais différentes des autres fois. Celle-ci était plus profonde, plus lente mais plus puissante.

On atteint le plaisir ultime presque en même temps. Caroline réussit à se retenir plus longtemps afin de me contenter en première.

On sendormit fauchée par la fatigue.

Vers huit heures, elle me réveilla et me dit :

— Il est temps daller manger ma chérie. Tiens, voici ta tenue.

Jouvris les yeux et en émergeant je vis la tenue proposée. Je déglutis.

— Mais cest

— Sexy ? Oui ! Très. Va prendre une douche et mets-la.

La robe en soie très fine était presque transparente et lorsque je la mis jétais carrément nue à la vue de nimporte qui. Mes seins étaient comprimés et menaçaient de sortir à chaque instant. Mes fesses nétaient recouvertes quà moitié. La seule chose qui cachait un peu ma pudeur fut un mini string quelle accepta de me donner. Jétais une vraie prédatrice.

— La soirée va être chaude, me dit-elle.

Caroline portait une robe blanche fleurie. Les volants sarrêtaient très haut sur les cuisses mais contrairement à moi, elle ne portait rien en dessous.

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