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Folies en rut majeur – Chapitre 5

Folies en rut majeur - Chapitre 5



La berline de Luc, luxueuse, lui démontrait s’il en était besoin que ce type était plein aux as. Ils firent en silence les quelques centaines de mètres qui les séparaient de son modeste appartement. Sur le siège passager, elle s’enfonçait dans un moelleux tellement profond qu’elle se demandait si elle en ressortirait facilement. Il la suivait alors qu’elle ouvrait la porte. Elle l’invita à prendre place au salon et en tremblotant légèrement, elle cherchait de la musique pour la chaine toute neuve. Celle-ci se mit à distiller un air de piano. Une aubade qu’elle affectionnait d’écouter presque religieusement. Luc ne disait rien et se mettait à l’aise. Quand elle revint près de lui, il avait posé toute une pile de Cézanne sur la table du salon. Elle fit comme si elle n’avait pas vu.

Malgré son âge, il se tenait encore parfaitement droit et aurait sans doute pu en remontrer à bien des jeunes hommes. Aucune hâte, pas de précipitation, il attendait son moment. Et la cerise sur le gâteau c’était elle bien entendu. Mais personne ne s’improvisait pute de but en blanc et commencer la soirée s’avérait difficile pour la brune. Tout d’abord, elle lui demanda s’il voulait un verre et devant son refus, elle ne savait plus sur quel pied danser. Lui avait cette sorte de sourire, mi-ironique, mi-narquois, d’un homme qui ferait une bonne farce.

Vous n’avez pas quelque chose de plus entrainant comme disque ?

Si bien sûr ! Vous aimeriez danser, quelle sorte de

Slow, valse, enfin une danse où les corps sont proches, voyez-vous ! J’ai besoin de promiscuité pour pour bander. Votre corps et parfait, enfin je l’imagine comme cela, et je voudrais en profiter un peu. J’ai envie de vous, mais pas comme un satyre. Je veux vous déguster avec tendresse et lenteur, profiter de tous vos avantages sans pour autant que vous n’y trouviez pas votre compte. Vous me dites n’avoir pas d’expérience, alors il serait dommage que celle-ci vous indispose.

Merci

Elle venait de dire merci ! Elle n’en revenait pas. Comment pouvait-elle être aussi cruche, il payait, il jouait, c’était aussi simple que cela. Les putes d’ordinaire n’avaient pas ce genre de considération. Mais elle n’en était pas vraiment une. Il la mettait en confiance ? Pas vraiment ! Elle changea sur la platine le CD et l’autre l’empoigna. Il s’avérait bon cavalier. Ses mains avaient de suite trouvé ses fesses et il ne s’embarrassait plus de préjugés. Il caressait la raie au milieu de laquelle le bijou était bien en place. À un certain moment, il le fit tourner ce qui obligea la brune à un soupir venu du fond de ses tripes. Le salaud savait s’y prendre. Elle mouillait maintenant et la bouche masculine s’activait sur un lobe d’oreille sollicité sans vergogne. Contre sa cuisse, elle sentait que la bite durcissait de plus en plus. Ce n’était finalement bien qu’une question de temps.

Il dégrafa rapidement le corsage qu’elle portait et son soutien-gorge lui apparut dans la lumière tamisée du salon. Il n’en fit aucun cas et s’en débarrassa de suite. Les seins d’Aline se trouvaient tout naturellement être la nouvelle étape de la bouche gourmande. Comme ils n’étaient plus du tout synchronisés sur le tempo du slow, il lui appuya sur les épaules. C’était sans doute l’heure des pipes et elle se laissa choir sur ses genoux. Mais il coulait avec elle et sur la moquette, entre la table et le canapé, les deux se retrouvaient enlacés. Il cherchait ses lèvres, lui roulant une première pelle qu’elle acceptait sans à priori. La seconde lui parut encore plus tendre et ensuite ce fut elle qui débuta toutes les suivantes. Les jeux de langues duraient depuis de longues minutes. Luc aimait cette jolie salope qui embrassait à la perfection. Il lui retirait sa jupe en douceur et bien entendu elle se retrouvait dans le plus simple appareil. Sa culotte dormait sagement dans son sac à main.

Il ne lui fallut que peu de temps pour lui aussi se retrouver à poils. À part un petit ventre rondouillard, ce mec avait de beaux restes. Sa queue tendue était là, bien raide, montant jusqu’à son nombril. Une bite longue et pas vraiment fine. Il caressait les seins, suçant, aspirant sans arrêt l’un ou l’autre des tétons. Mais sa main avait aussi écarté les cuisses d’Aline et il jouait tout bêtement avec son bijou. Il la regardait, mais elle avait les yeux fermés, ne cherchant plus à cacher quoi que ce soit de son anatomie. Bon Dieu, qu’elle plastique. Elle valait bien les quelques sous qu’il avait déposés sur le tablier de bois verni. La moustache du type rentrait en contact avec la partie fine des cuisses, la plus sensible, celle qui remontait en plage douce vers la chatte. Elle sentait la progression baveuse de la langue de l’individu alors qu’il atteignait la jointure inférieure des lèvres. Et la langue commençait une reptation tout empreinte de délicatesse.

Aline était trempée. Ce n’était plus une pute que l’autre allait baiser, mais une belle salope. Elle allait vraiment se donner à ce gars qui lui léchait la minette avec ferveur. Il semblait même apprécier cette grotte aux senteurs épicées. La pine du type se frottait entre les deux seins gonflés d’envie de la brune. Si un seul instant elle avait espéré que le mec la baiserait sans qu’elle y prenne un certain plaisir, c’était foutu. Elle n’en pouvait déjà plus. C’était elle qui s’arrachait littéralement à la baveuse qui explorait sa grotte. Elle grimpa sur le bedon de l’homme et se laissa glisser vers le bas. La queue appuyait sur l’entrée de la caverne et elle fit passer sa main entre leurs deux corps. Saisissant la verge, elle la mit à l’entrée de sa foufoune. Il lui suffisait maintenant de se relever légèrement, les bras tendus, en extension sur le torse de Luc. Il était en elle.

Alors commençait une autre danse, au son des derniers morceaux de slow sur la platine. Hervé Villard entamait son « Capri c’est fini » alors que les deux-là eux, s’affairaient sans relâche. Elle soupirait, gémissait, mais trouvait que cet homme la limait d’une si belle manière. Ça dura longtemps, elle y prenait un infini plaisir. Mais avant d’éjaculer, l’autre se contorsionnait, tout cela pour faire tourner dans l’illet de la dame, le Rosbub toujours en place. Il jouit violemment en se retirant tout aussi brutalement. La vieille école, celle qui voulait que l’on arrose le persil plutôt que faire des enfants mais cette méthode restait frustrante pour les deux partenaires. Il reprenait son souffle et la pendule d’Aline indiquait deux heures du matin. Un exploit pensa-t-elle !

J’aimerais avant de partir, je souhaiterais, mais ce sera toujours à vous de décider

Oui que voulez-vous donc ? Au point où nous en sommes plus rien ne me dérangerait.

J’aimerais encore un peu jouer avec votre fabuleux postérieur

La brune esquissait un sourire. Le petit vieux pervers ressortait donc accro de son fessier, de cette soirée chaude. Elle fit signe qu’elle était d’accord par un balancement du menton de haut en bas. Il l’invita à prendre place en travers de ses cuisses. Elle s’installa comme il le souhaitait. Elle s’attendait à ce qu’il retire pour le récupérer, son bijou. Mais pas du tout. Les mains sur les fesses mettaient à malaxer sans ménagement, puis elles écartèrent les demi-globes et la main fit tourner la chose. Ensuite, elle la fit aller et venir, mais la course n’était pas très grande. Et elle sut soudain pourquoi il la voulait ainsi positionnée. Une petite claque ! Oh ! Pas vraiment appuyée, juste cinglante, juste un amuse-gueule venait de toucher le cuir nu. Puis ce fut une sorte d’avalanche ! Pas de quoi lui tirer des cris ; simplement elle se sentait chauffer le croupion. Il s’acharnait sur le postérieur, et elle sut que sa bite avait repris une certaine vigueur.

Le sexe du mâle touchait son ventre, elle ne pouvait ignorer qu’il bandait à nouveau. Et cette fois c’est à genoux qu’il la fit mettre. Lui aussi avait adopté la même posture. D’un coup sec il arrachait le Rosbub et sa queue prenait la place vacante. Elle parut énorme à Aline qui souffla fort. Rien n’y faisait la bête chaude avançait inexorablement et il semblait à la brune qu’elle était outrageusement longue. Sodomisée, elle criait, mais pas seulement de plaisir et lui se vida au fond d’elle. Pas assez vite cependant pour qu’elle n’ait pas gouté à cette baguette démesurée qui l’avait laminée. C’était la fin. Luc se rhabillait et sur la moquette le gode brillait de tous ses feux. Sur la table du salon, l’argent était là pour lui rappeler qu’elle venait de passer le premier échelon de son CAP certificat d’aptitude de pute.

Le bijou il est à vous !

À moi ? Vous voulez dire que je peux le garder,

Mais oui ! Il est des culs qui méritent tous les bijoux du monde. Le vôtre Madame sera le meilleur écrin que ce plug puisse espérer. Vous êtes belle.

Merci vous êtes gentil !

Oh ! Mais je reviendrai soyez-en sûre !

J’y compte bien Luc.

Puis-je quémander un dernier baiser ? Un vrai

Les autres n’avaient rien de faux, vous l’aviez bien saisi, non ?

Il s’avançait pour l’embrasser et elle ouvrit l’espace de ses bras. Le pâlot dura tout une éternité. Ensuite l’homme s’enfonça dans la nuit et Aline resta seule. La douche qu’elle prenait lui laissait comme un gout d’amertume. Pour la première fois de sa vie, son corps devenait un objet, une monnaie d’échange. Les billets sur la table en étaient l’évidente preuve. Une petite larme vite épongée coulait sur sa joue. Inutile de pleurer, elle devait passer outre à ce petit moment de faiblesse. En finissant de sécher sa chevelure, elle ramassait l’argent sur la table. Luc avait déposé cinq mille euros sur la table, le prix de sa honte, le prix de la luxure. Des sous trop facilement gagnés sans doute desquels elle retira les quinze pour cent prévu ! Luigi ne manquerait sans doute pas de les lui réclamer

Son cadeau aussi passa sous la douche tiède. Il reprenait une place perdue dans une boite de luxe, un écrin sang et or. Elle examinait l’olisbos sous toutes ses latitudes. Un poinçon attirait son il pourtant peu averti. C’était bien un bijou, et celui-ci n’était pas qu’argenté. La marque du fabricant le prouvait vraiment. Elle l’escamotait rapidement dans un tiroir de son dressing l’Italien n’en saurait rien ce cadeau resterait son cadeau. Et ce dernier elle l’avait gagné avec oui avec son cul. La nuit porterait elle les conseils qu’on lui prêtait ? De cela elle n’était pas vraiment persuadée, mais elle se plongeait avec délice dans ses draps frais, attendant Morphée avec délectation.

oooOOooo

Deux jours plus tard, il était venu relever le compteur. Luigi savait exactement combien Luc avait mis sur la table. Il empocha les billets et voulut tripoter Aline, mais elle ne l’entendait pas de cette oreille.

Alors, même pas un petit extra ?

Surement pas ! Tu m’as mis le pied à l’étrier, mais si tu veux consommer tu feras comme les autres pas de passe-droit mon cher ami.

Je vois que madame apprend vite, trop vite à mon gout mais gare à toi ma puce on ne sait jamais de quoi demain sera fait

Cause toujours beau merle ! Je n’ai pas envie de te servir dans tous le sens du terme. Tu as déjà trop profité de moi

D’accord tant que tu joues franc jeu et que tu restes réglo je ne me plaindrai pas ! Dès que j’ai quelqu’un, je te fais signe

Comme tu veux ! Allez laisse-moi, je dois sortir

Je vois aussi que tu as vite appris à me tutoyer aussi

Et alors ? Tu t’es gêné, toi, pour le faire ? Ce n’est qu’un juste retour des choses.

Bon, laissons cela de côté, ne voyons que le business

Il repartait, vexé de voir les réactions presque agressives de la brune. L’Italien, blessé dans son amour propre se jurait de lui faire ravaler sa morve à cette pimbêche. Dommage, il l’aurait bien monté une fois de plus, mais elle ne voulait plus se laisser faire. L’argent appelait l’argent et en avoir vu trop lui donnait la grosse tête. Mais il saurait attendre son heure. Et Luc n’avait pas tari d’éloges sur la donzelle. Il n’allait pas sous un prétexte idiot mettre en danger une collaboration qui s’avérait d’ores et déjà juteuse. De plus elle avait raqué, rubis sur l’ongle sans tricher et ça méritait un peu d’indulgence. N’empêche que son cul était comme un appel au sexe. Il en avait mal aux couilles d’avoir envie de cette cochonne.

Un instant, elle avait bien cru qu’il allait la tabasser pour la sauter. Il n’avait changé d’avis qu’à la dernière seconde. Elle avait eu la trouille de sa vie, mais elle avait tenu bon. Luigi en serait pour se palucher. Elle avait été correcte et il avait touché ses dividendes. Rien de plus normal, alors il ne méritait pas une prime ni un bonus. Surtout celui-là. Elle avait donné dans le genre fantasme. À l’avenir, elle s’arrangerait pour lui donner son enveloppe ailleurs que chez elle. Simple mesure de précaution. Entourée de beaucoup de monde elle risquerait moins de se faire grimper pas ce con. C’était à prévoir pour les autres fois s’il lui envoyait d’autres amis bien entendu ! Mais sur ce plan-là, elle fut renseignée dès le lendemain.

Vers douze heures trente, l’Italien l’appelait pour lui dire qu’un autre « ami » serait chez elle pour le diner. Il ne s’embarrassait pas de savoir si elle pouvait, si elle était là. Il lui déclarait seulement que le type, un certain Gilles serait là vers dix-neuf heures. À elle de gérer cela. Elle prépara un apéritif dinatoire et quand l’autre arriva, elle était prête. Belle comme un cur aurait dit Luc, mais ce Gilles se contentait de la lorgner du coin de l’il. Un regard salace, qui lui faisait froid dans le dos. Il n’était pas pressé d’aligner l’argent alors elle le poussa vers son portefeuille.

Vous avez mon petit cadeau, avant toute chose ?

Je paie après la séance ma grosse.

Pas de paie pas de séance comme vous dites ! Vous connaissez les règles.

Ouais ! Mais Luigi m’a dit que tu me ferais une petite ristourne.

Vous rigolez ? S’il veut vous faire une ristourne, il devra vous la faire sur sa part. Moi, je ne ferai rien sans être réglée.

Tu as du cran mais si j’étais vache, je te filerais une avoinée et tu y passerais tu te rends bien compte de ça ?

Sans doute mais tout ici est filmé, Monsieur Gilles. Alors demain votre portrait serait à la une de tous les journaux. Maintenant, il est inutile de sortir de l’argent. La meilleure chose que vous ayez à faire c’est de sortir de chez moi avant que je téléphone.

Ah ! Oui ? Et qui tu veux appeler ?

Elle avait sauté sur son portable et composé le numéro de Luigi.

Allo ! C’est Aline ! Je vais te passer ton ami ! Tu vas lui dire qu’il n’est pas le bienvenu chez moi et que ses menaces ne m’émeuvent absolument pas. Tu lui demandes par la même occasion de foutre le camp de mon appart. Avant que je réclame la cavalerie.

Le fameux Gilles n’entendait absolument pas la conversation et il s’apprêtait à devenir arrogant quand elle lui passa le téléphone. Elle vit son visage se fermer à vue d’il et il était blême, blanc comme un linge. Il posa rapidement l’appareil qui semblait lui bruler les doigts.

C’est bon je m’incline pour cette fois ! Tiens voilà ton oseille il m’a dit de te payer et de me tirer. Mais seules les montagnes ne se rencontrent jamais

Une seconde fois elle avait vu passer le couperet bien près de sa tête. Un monde de rats et de salauds ils n’étaient pas nombreux les mecs bien dans ce milieu. Alors elle devrait jouer plus finement encore. Elle comptait pour le ranger, le fric que ce crétin avait jeté sur le canapé. Puisque Luigi l’avait aidé, elle ferait moitié-moitié avec lui pour cette fois. Après tout, elle lui devait sans doute une fière chandelle. Dans la liasse qui lui revenait, elle capta deux billets de cinq cents euros et elle sortit. Un bain de foule, un restaurant rempli de monde, voilà qui devrait lui faire passer l’amertume de ces instants pénibles. Une pizzéria ferait tout aussi bien l’affaire qu’un truc trop huppé. Elle entra dans la salle qui sentait bon la pâte fraiche. Le garçon qui accueillait les arrivants la dirigea sur une table, au fond de la salle.

Elle était toute proche d’une ribambelle de jeunes qui faisaient la fête. Un anniversaire ? Autre chose, elle s’en fichait totalement, sauf qu’ils étaient étonnamment bruyants. À son arrivée plusieurs d’entre eux avaient levé le nez et leurs regards pour suivre ses courbes. Ça ne la dérangeait pas outre mesure. Elle aimait finalement ces yeux qui se posaient sur elle, en suivant ses formes par contre elle notait quelque part qu’il n’y avait que des garçons. Pas une seule fille dans cette tablée d’une bonne quinzaine de mecs qui ne devaient pas dépasser les vingt-cinq piges. Et pendant quelques minutes, ils ne s’occupèrent plus du tout de sa présence. Des chansons plutôt grivoises commencèrent à fuser, alors qu’ils picolaient plus que la normale. Aline avait devant elle, de qui ravir ses yeux et ses papilles et sa « Margarita » lui donnait une envie folle de la croquer. Les jeunes maintenant en étaient arrivés à des gages bizarres.

L’un d’eux devait se tenir sur une jambe, le plus longtemps possible et à tour de rôle ils passèrent cette épreuve. Celui qui avait tenu le moins longtemps devrait boire un verre dans lequel toutes sortes d’alcool étaient mélangé ; un cercueil comme le nommait le serveur. Elle comprenait enfin qu’il s’agissait d’un enterrement de vie de garçon et quand soudain l’un d’eux eut une idée saugrenue, elle se surprit à sourire. Le futur jeune marié, qui se prénommait Léo, devait embrasser le plus de monde possible dans le restaurant. Elle riait sous cape, mais sans vraiment penser qu’elle aussi faisait partie de ce monde-là ! Quand elle le vit se diriger vers elle, pour débuter sa série de bisous, elle ne savait plus où se mettre pour y échapper. Il y avait des soirs où il valait mieux se mettre au lit, tous volets clos.

La bouche en cul de poule, le jeune homme avançait vers elle. Elle se démenait si bien qu’il finissait par faire atterrir ses lèvres non pas sur sa joue, mais sur sa bouche. Instinctivement elle joua le jeu. Finalement, ça avait du bon cet enterrement et le gamin se trouvait décontenancé. Sa bouche sentait l’alcool et le tabac. Il fut surpris de cette pelle soudaine, roulée avec un zeste de tendresse. Il se laissait faire, comme s’il s’agissait de la première fois. Les autres à table s’étaient tous tus, subjugués par le spectacle. Puis l’un d’eux sans doute plus fous, ou plus ivres que les autres se mit à scander une phrase idiote. Tellement idiote qu’elle fut de suite reprise en chur par tous les autres.

Un strip-tease, un strip-tease, à poils, à poils !

oooOOooo

A suivre

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