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folle soirée – Chapitre 1

folle soirée - Chapitre 1



Folle soirée

Je suis secrétaire comptable dans un petit cabinet dexpertise, et il marrive souvent daller chez les clients pour récupérer leurs papiers. Cet après-midi-là, un client qui gère un restaurant discothèque avait rendez-vous au bureau pour me déposer sa comptabilité. Le téléphone sonna :

-Oui allo jécoute.

-Sandrine ?

-Oui, bonjour.

-Ha, bonjour, cest Michel de la discothèque.

-Bonjour Michel, comment allez- vous ?

-Sandrine, jai un petit problème, nous avions rendez-vous cet après-midi, mais je ne vais pas pouvoir passer.

-Ha, ce nest pas grave Michel, passez un autre jour.

-Vous navez pas loccasion de venir par chez moi par hasard, je vous aurais donné les documents ?

-Bien écoutez, si, je peux passer après mon travail si vous voulez, mais pas avant 19 h alors.

-Ok, impeccable, à tout à lheure alors.

-A tout à lheure Michel.

Je quittai donc mon bureau vers 18h45 et me rendis au restaurant de mon client, un homme dune cinquantaine dannées, très robuste et bien conservé de sa personne.

Arrivée devant chez lui, je garai ma voiture et pénétrai dans le restaurant.

-Ha Sandrine, cest gentil de vous être déplacée, je vous offre un verre ?

-Oui, avec plaisir.

Nous nous mîmes à bavarder, parlant de choses et dautres sans voir le temps passer.

-Zut, déjà 20 h. Je vais devoir vous laisser.

-Javais pas vu lheure non plus. Ecoutez Sandrine, si personne ne vous attend, permettez- moi de vous inviter à dîner.

-Hé bien non, personne ne mattend. Mon mari est routier et est actuellement en déplacement, et mon fils est chez sa grand-mère, donc non.

-Parfait, alors je vous garde.

Le dîner se terminant, très copieux et un peu trop arrosé à mon goût, la tête me tournant un peu, Michel me dit :

-Ça vous dirait de faire un tour à la discothèque, ça vous donnerait loccasion de voir comment cest ?

Je navais plus tous mes esprits car javais un peu trop bu, Michel me resservant à boire dès que mon verre était vide, je répondis sans réfléchir :

-Avec plaisir.

-Super, allons- y.

Elle se situait juste en dessous du restaurant. Nous descendîmes lescalier et entrâmes, il y avait déjà beaucoup de monde, ce qui métourdit encore un peu plus.

Nous nous mîmes à une table, Michel me présenta à plusieurs de ses amis, et nous rebûmes encore.

A un instant, une envie de pipi survint.

-Excusez-moi un instant.

Je pris la direction des toilettes, dans le fond de la salle, et entrai dans un long couloir assez sombre avec des toilettes individuelles alignées.

Javançai dans ce couloir sombre et entendis des gémissements. Javançai encore ; une porte était restée légèrement entrouverte. Je mapprochai, les gémissements devenaient de plus en plus forts ; je jetai un coup dil dans louverture de la porte et là, je mis ma main devant ma bouche pour ne pas pousser un cri.

Une jeune fille avait les fesses sur le lavabo et un homme plus âgé était devant elle en train de lui labourer la chatte à grands coups de son braquemart en érection.

Je reculai dans la pénombre pour ne pas être vue sans pouvoir mempêcher de mater ce spectacle inattendu pour moi. Je ne pouvais dévier mon regard de ce membre si dur et si bandé qui faisait de rapides va-et-vient dans cette petite chatte rasée qui dégoulinait de plaisir et de mouille.

Tout en reculant, je sentis comme un souffle derrière moi. Puis un corps contre mon dos. Terrifiée, je ne bougeai pas, je ne pouvais pas, jétais terrorisée.

Il y avait, derrière moi, tout contre moi, un homme, je ne sus pas si cétait un jeune ou vieux, je ne voyais pas son visage. Il avait le souffle rapide.

Il me prit la main, et mit son sexe bandé en refermant mes doigts dessus afin que je le masturbe, ce quil avait sans doute commencé à faire avant mon arrivée en matant le même spectacle que moi.

Je navais pas la force de lutter, lalcool, la peur, la situation. Jentrepris donc de le branler tout en continuant de regarder cette petite salope se faire troncher.

Quelques instants plus tard, il enleva sa bite de ma main, la glissa entre mes cuisses, juste en dessous de mon vagin, je sentais ses doux baisers dans le cou, ce qui me faisait défaillir. Il commença à aller et venir entre mes cuisses avec son bel engin, me passa les mains sous mon chemisier, me palpa les seins, glissa sous mon soutien-gorge, me prit les tétons entre ses doigts, les tritura un moment, me malaxa à nouveau les seins plus vigoureusement tout en continuant de se branler entre mes cuisses serrées.

Je baissai la tête et regardai ce gland gonflé de désir qui sortait dentre mes cuisses. Que faisais-je là, dans ce couloir sombre avec un gland entre les jambes et un inconnu qui sastiquait derrière moi. Il fit quelques va-et-vient plus rapides et éjacula de longs jets de sperme devant moi. Je le sentis reculer et, le temps que je reprenne mes esprits et me retourne, il avait disparu. La petite cochonne et son baiseur aussi, je ne les avais même pas vus sortir des toilettes, et, ô mon dieu, si eux mavaient vue faire ? Cétait moi la salope du coup.

Je me dirigeai vers les lavabos pour me passer de leau sur le visage et me remettre de mes émotions. Puis, je rejoignis la discothèque, Michel et ses amis.

La soirée fut chaude et arrosée. Les hommes devenaient de plus en plus tactiles et plaisantaient plus facilement.

Un homme sapprocha de moi pour minviter à danser. Cétait un noir, grand, musclé et assez jeune.

-Oui, avec plaisir.

Il me serrait fort dans ses bras musclés. Je sentais de temps en temps ses mains descendre vers mes reins. Voyant que je nétais plus en moyen de résister, il entreprit de me glisser une main entre les fesses, les caressant et devenant de plus en plus insistant. Je sentais sa bouche sur mon cou, sa langue me lécher. Il glissa sa main dans ma jupe, dans ma culotte, me chatouilla lanus avec un doigt, hummmmmmm, ouiiiiii, cest bonnnnn, hummm, encore !

Il ressortit sa main, mit deux doigts dans sa bouche, les humecta copieusement, puis il replongea dans ma culotte mais là, cette fois, il menfonça un doigt, puis deux dans mon petit trou. Tout en continuant à danser, il mentraîna vers un coin sombre de la salle, un box fermé avec des banquettes.

Je ne savais plus où jétais ni qui jétais mais cétait si bon.

Il me fit asseoir, mallongea sur le dos, puis me retira ma culotte. Il commença à me laper la chatte, goulûment, ne perdant pas une goutte de ma mouille devenue à cet instant très abondante, entre la séance des toilettes et lui à présent. Il sallongea sur moi, mit sa grosse queue dans ma chatte et me laboura assez violemment, ce qui eut pour effet de me faire jouir plusieurs fois. Quand il sentit quil allait jouir, il se retira, mit son gland dans ma bouche, continua de se masturber quelques secondes, puis lâcha la purée dans ma gorge, me tenant la tête par derrière pour mempêcher de reculer et me força à tout avaler.

Il se leva, sortit un mouchoir pour messuyer, puis me dit :

-Cétait super, poupée, tes une bonne chaudasse, toi, jaime bien ça, les salopes comme toi. Viens, on va rejoindre les autres.

La soirée se terminant, et Michel constatant mon état de fatigue avancé, me dit :

-Eh bien ma petite Sandrine, dure soirée, hein ! Puis se mit à rire.

-Bon, je ne vais pas vous laisser repartir dans cet état, vous allez dormir ici.

-Suivez- moi.

Ma nuit, hummmm, prochainement.

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