Histoires de non consentement Histoires de sexe à l'école Histoires de sexe lesbien

Fourrée par le prof – Chapitre 1

Fourrée par le prof - Chapitre 1



Je m’appelle Anne et j’ai 34 ans. J’aime bien votre site. J’adore lire sur les expériences et sur les fantasmes des gens, ça m’excite beaucoup. J’ai également envie de vous raconter une de mes aventures, je trouve c’est quelque chose de pas ordinaire.

J’ai un fils de 13 ans qui s’appelle Daniel et qui travaille très fort à l’école. J’ai rencontré François, son prof de maths, le mois dernier. Il m’a dit être très impressioné par ses resultats scolaires, de loin supérieurs à ceux de ses camarades de classe. Il m’a assuré que mon fils avait un brillant avenir devant lui, à condition de lui fournir des attentions particulières. Comme je ne peux pas, même à l’aide d’une bourse d’excellence, me permettre de l’envoyer dans une institution privée, il m’a offert de lui donner des cours privés à domicile. J’ai hésité un peu avant d’accepter cette proposition, mais il a insisté très fort, me disant que ça lui ferait un grand plaisir d’aider Daniel dans sa réussite, au point où je n’ai pu refuser son offre. Voilà comment mon histoire a commencée.

Le premier après-midi, j’étais seule. Je suis divorcée et je travaille à partir de ma maison. Mon fils venait d’arriver de l’école et il est allée dans sa chambre pour étudier. Cette journée en particulièr, j’avais passé une partie de la matinée à fouiner dans l’internet, dans les sites et forums pour adultes. J’avais eu aussi des conversations très chaudes et osées avec d’autres internautes. Je me suis même branlé le minou avec un gars qui savait parler aux femmes. Cet homme charmant m’avait fait mouiller comme une minette en chaleur. Il savait comment s’y prendre. Il m’avait fait passer près de l’orgasme plus d’une fois en me disant toutes sortes de cochonneries; hélas, je n’ai pas réussi à jouir avant que mon fils n’arrive en claquant la porte comme c’est son habitude. Merde! j’ai du me déconnecter en toute vitesse pour que mon fils ne me retrouve dans une position compromettante devant l’ordi. Inutile de dire qu’après toutes ces stimulations, j’avais une immense envie de baiser. Comme je n’avais pas d’homme pour me satisfaire, je me suis glissée sous la douche, pour essayer de calmer mes ardeurs.

Dans la douche, c’est le contraire qui s’est produit. J’étais h-y-p-e-r-e-x-c-i-t-é!. Les images de baise n’arrêtaient pas de defiler dans ma tête. J’avais la peau d’une sensibilité extrème. Chaque goute du puissant jet d’eau était comme une caresse. J’ai orienté le jet sur mes seins, qui faisaient presque mal tellement ils étaient durs. Je n’ai pas pu retenir un gemissement lorsque j’ai placé le jet directement sur mon clito et les lèvres de ma chatte. Juste au moment où j’allais jouir, je me suis tournée et j’ai visé le jet d’eau sur mon petit cul, en continuant ma branlette avec mes doigts. J’ai plongé ma main presqu’au complet dans mon vagin, j’ai serré mes jambes très fort, j’ai laissé le jet d’eau faire son travail sur mon oeillet rosé et je me suis laissée aller par toutes ces sensations. Mon orgasme a été tellement puissant que j’ai failli perdre pied et me retrouver au fond de la baignoire, toute épuissée.

Je suis sortie de la douche enroulée en une serviette comme je fais toujours. J’avais completement oublié la visite de François. Il était arrivé pendant que j’étais dans la douche pour donner ses premiers cours privés à Daniel et il était maintenant assis dans la salle à manger. J’étais un peu gênée par sa présence. Je l’ai salué en vitesse et je me suis engouffrée dans ma chambre. J’étais terriblement embarrassée, comme si ce bel homme avait pu deviner dans mon visage ce que j’étais en train de faire sous la douche. Il avait un sourire très coquin en tout cas! Peut-être ce qu’il a vu lui plaisait? Quand j’avais le dos tourné en marchant vers ma chambre, j’ai cru sentir ses yeux rivés sur mes jambes nues et le debut de mes fesses, à peine voilées par la serviette de bain. Pour la première fois, j’ai vu cet homme sous un autre oeil. Il était dans la trentaine, comme moi, et il faisait un metre quatre-vingt-dix aisément. Le dos carré et des épaules très larges; ses cheveux noirs tombaient en longues boucles, sans cacher un cou viril. Son visage n’était pas celui d’un homme beau, mais il avait une attirance certaine. Comment se fait-il que je ne l’avais pas encore remarqué?

J’étais en train de penser à lui en m’habillant et je me suis rendue compte que j’avais envie de lui. Je me suis dit que surement il faisait mouiller toutes ses élèves et même certaines profs de son école. Je me suis rappellé de l’époque de mes 15 ans, quand j’étais amoureuse folle de mon prof de français. Je me demandais si François serait intéressé en moi, avec toutes ces femmes en chaleur autour de lui. Je me demandais si son sexe était grand ou petit, s’il ferait un bon amant, quel était le goût de son sperme et s’il aimaitrait me sodomiser. Bien que je venais de jouir sous la douche, je me suis sentie devenir toute moite entre les jambes. J’ai mis une jupe très courte, un mini slip qui cachait à peine mon sexe, une vieille chemise de mon ex, sans soutien-gorge, et j’ai quité ma chambre nu-pieds.

Je me suis installée dans le salon et j’ai feint la lecture. Je l’écoutais parler de racines carrées et de théorèmes en le regardant discretement. Plus je le dévisageais, plus je souhaitais l’avoir dans mon lit, là, tout de suite. La leçon a duré encore une heure, il a dit a mon fils qu’ils avaient bien travaillé et qu’il serait de retour dans deux jours. Mon fils s’est alors adressé à moi et m’a demandé s’il pouvait aller voir sa petite amie qui habite dans la même rue que nous. J’ai accepté à condition qu’il ne revienne pas trop tard et j’ai saisi l’opportunité pour offrir un café à François. À mon plus grand plaisir, il a accepté de bon coeur et dix minutes après on était assis l’un devant l’autre dans le salon.

Notre conversation avait mon fils comme sujet tout d’abord. Nous avons parlé de ses aptitudes pour les sciences et quoi encore. Je l’écoutais attentivement, comme envoûtée par ses paroles. Après un bon moment notre conversation est devenue plus personnelle. Il m’a parlé de sa vie de celibataire et moi de mon divorce. Inévitablement, le thème des relations, ou plutôt de l’absence de relations dans mon cas, est apparu. Il m’a dit qu’une femme aussi attirante que moi ne devait pas manquer d’opportunités. J’étais très flattée qu’il me trouve attirante, mais je lui ai dit que depuis ma séparation je n’avais pas été en compagnie d’un homme en chair en en os; avec mon fils et mes occupations, cela était devenu très difficile. Un peu honteuse, je lui ai avoué passer beaucoup de temps devant l’écran d’ordi et avoir plus de rélations virtuelles que réelles. Il a senti ma gêne, mais ses yeux sont devenus pétillants. Il m’a dit que je n’avais pas de raison de me sentir mal-à-l’aise et que, en troute franchise, il aimait aussi le sexe virtuel et que des fois il avait du mal à s’en passer, se connectant même à partir l’école des fois. Plus confiants maintenant, nous avons commencé à parler de nos expériences sur le net. Au point où nous avons parlé ouvertement de nos meilleurs moments, je lui ai raconté l’expérience que je venais d’avoir la journée même. Du coup, il m’a regardée tout drôle, comme s’il venait de réaliser quelque chose. Il m’a demandé quel était mon alias sur le net, et boum! le chat était sorti du sac! ’C’est toi Cowgirl?’ Il s’est exclamé. ’Oui, tu me diras pas qu’on s’est déjà parlés?’. La réponse est venue et m’a fait renverser: ’Oui, pas plus tard qu’aujourd’hui. C’est moi Funguy!’ Quoi! je ne croyais pas cela possible! Pourtant c’était bien vrai. C’était lui! J’avais devant moi le même homme qui m’avait si bien excité plus tôt dans la journée.

Je me suis approchée de lui lentement, langoureusement. Sans réfléchir, je l’ai embrassé à pleine bouche. On n’avait plus besoin de parler. Ses mains sont venues se poser sur mes jolies petites fesses et il s’est mis à les caresser doucement. J’avais ma cuisse entre ses jambes et j’ai senti que je commençais à lui faire de l’effet. Une jolie bosse se formait déjà sous son pantalon. Je voulais sentir son doigt sur mon clito enflammé, ses mains sur mes seins et sur mes fesses; mais surtout, sa queue raide en moi, implantée au plus profond de mon con.

Ses lèvres se promenaient sur mes joues, dans mon cou et sur mes oreilles. Il s’est mis à les mordiller, j’étais exhaltée. De ma main, j’ai cherché sa braguette, son membre était tout rigide. Je l’ai sorti de ses pantalons et je l’ai masturbé doucement. J’ai dirigé une de ses mains sur ma chatte. Je voulais sentir son doigt dans mon sexe mielleux.

Il a fait pénétrer tout doucement un doigt dans ma fente mouillée et, avec son pouce, il pressait mon clito avec une infinie tendresse tout en le faisant tourner lentement. Nous nous sommes pelotés comme ça pendant de longues minutes. Il ne semblait pas pressé de me baiser. C’est même moi qui lui ai dit: ’ Prends-moi maintenant, tout de suite, sinon je vais éclater.’ Il s’est placé face à moi, debout. Ma jupe soulévée, j’ai mis de côté mon slip et, en écartant ma fente, j’ y ai fait entrer son membre chaud. ?’a été une véritable délectation. Ses mains se sont posées sur mes hanches et il s’est mis à bouger lentement, puis plus vite. À mon tour, je le chevauchais en suivant son rythme. Le plaisir m’envahissait de plus en plus. Je donnais des coups de hanches vers les côtés aussi. Je remouais ma croupe comme une goelette en mer. Il râlait doucement. Nos poils se rejoignaient et je le sentais bien au fond de moi. Sa bite était simplement délicieuse. Elle était assez grosse pour que son noeud cogne très fort au fond de moi et elle était d’une dureté exceptionnelle.

Je me sentais en possession de sa queue. Il me pompait vigoureusement. La force de mon orgasme m’a surprise. J’ai gémi de bonheur et mon vagin a expédié une quantité abondante de jus. Tout mon corps était comme frappé par la foudre et les contractions involontaires de mon con l’ont poussé vers la jouissance. Il a joui à son tour en pousant un long soupir. Lorsqu’il a sorti sa queue de ma chatte, elle a fait un bruit de suction comme si elle ne voulait pas le laisser partir, et un torrent de liquide à l’odeur sucrée a coulé entre mes jambes.

Daniel ne serait pas de retour avant une bonne heure. Je ne voulais pas arrêter là.

Le sexe de François avait gardé une partie de son panache. Je me suis penchée pour lui donner un petit bec, puis un autre, et encore un autre. J’ai chatouillé son gland avec ma langue. Je frottais son gland sur ma langue lorsque je l’ai saisi d’une main et commencé un pompage endiablé. Ma bouche montait et descendait sur son membre. Il aimait bien ça quand je frottais son gland sur mes joues avant de le dévorer à nouveau. Il ne détestait pas ça non plus un truc que mon ex m’avait montré: j’enfonçais toute la longueur de sa queue dans ma bouche et j’enroulais ma langue autour de son membre. Quand je l’ai senti sur le bord de jouir, j’ai arrêté brusquement. Je lui ai dit en souriant malicieusement : ’ Non, non! Pas tout de suite!

Je lui ai tourné le dos et j’ai lui fait signe de me caresser les mamelons. Tranquilement, j’ai passé le gland de son sexe bandé autour de ma chatte, ramassant sa mouille, puis je l’ai pointé sur mon cul. Il a compris tout de suite où je voulais en venir. Il m’a prise très doucement en faisant pénétrer son membre un centimetre à la fois. Mon cul s’est ouvert sans douleur grâce aux petits coups de reins qu’il donnait. Quand mes fesses se sont finalement posés sur ses jambes j’ai compris que je l’avait pris tout en moi. Nous sommes restés soudés comme ça pensant un bon moment puis il a commencé ses mouvements d’enculage.

Il me soulevait et me redescendait en me tenant avec mains sur mes fesses. Je l’aidais en pliant les genous. Je donnais des coups de bassin pour bouger sur son pieu. Je le sentais au plus profond de moi. Il s’est mis à me triturer les seins. Ses doigts pinçaient mes mamelons et j’étais au ciel avec ses caresses pridigieuses. Même si je pensais cela impossible, j’ai senti sa queue prendre de l’ampleur. J’avais l’impression que son mât allait me défoncer les entrailles tellement je le sentais gros en moi. Rien au monde n’aurait pu me faire arrêter.

Sans sortir de moi, il m’a fait mettre à quatre pattes sur la moquette et il m’a pénétrée par-derrière. Sa vigueur était impressionnante. J’ai écarté les fesses du mieux que je pouvais et je lui ai tendu mon cul pour mieux le recevoir. Ses mains ont malaxé encore mes seins. Je me suis éffondrée sur le plancher quand mon orgasme m’a atteint, mais il m’a saisi par les hanches et il a continué à me ramoner le cul solidement. Chaque coup de boutoir me procurait une délicieuse jouissance, chaque pénetration était un petit orgasme. Je me suis mise à crier de plaisir. Je ne savais pas combien de temps cela pouvait encore durer, jamais ma jouissance n’avait été si longue. Il a finalement grogné et j’ai senti son sperme gicler à l’intérieur de mon cul torturé. Cet arrossage copieux de foutre m’a procuré mon ultime jouissance. J’ai crié encore plus fort et j’ai senti mes dernières forces me quiter.

Nous avons mis un moment pour reprendre notre souffle et ensuite nous avons nettoyé les traces de nos amours, sans parler un seul mot pendant ce temps. Quand Daniel est arrivé François était déjà parti. Il m’a téléphoné plus tard pour me dire que cette expérience avait été pour lui une des plus mémorables et qu’il souhaitait beaucoup d’autres, tant que j’en voudrais. Je suis allée me coucher cette nuit-là une femme comblée.

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire