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Frederic – Chapitre 1

Frederic - Chapitre 1



Frédéric 1

Dabord, je me présente, jai 49 ans maintenant, 180 73kg châtain, pas mal de cheveux blancs quand même, divorcé, un fils que jadore et avec lequel nous sommes très complices, cest normal, cest moi qui ai eu sa garde lors du divorce alors quil avait 12 ans, ce qui était très rare à lépoque

Je passe les coming out vis-à-vis de mon fils, de ma famille, de mes amis, qui finalement, se sont avérés relativement simples par rapport aux horreurs quavait dit sa mère sur mon compte.

Et oui le plus est souvent lennemi du bien

Bien évidemment, au début, jai surtout cherché à protéger mon fils, cela se passait dans les années 90, et jétais tétanisé que notre « chère justice » puisse menlever mon enfant du fait de mes « mauvaises » murs.

Puis, à lépoque, jai rencontré un garçon, un peu plus jeune que moi, moi 35 ans et lui 30 ans, et avec lequel, pour une fois, je nai pas eu envie de partir en culpabilisant de « lacte » Bien au contraire.

Ma première réaction quand je lai vu a été de menfuir. Malgré des heures de conversations téléphoniques et de complicité.

Je pensais.. Ce mec est beaucoup trop beau pour moi. !!! Et il était beau !!! Grand, élancé, cheveux auburn, yeux dun bleu. Indéfinissable..

Peur. Terreur Envie de fuite Peur dêtre confronté à la réalité. Que si je me laissais aller dans les bras de ce mec de mes rêves, toutes mes opinions sur les coups dun seul et bye ensuite, échafaudés pour me préserver, et surtout pour protéger lêtre que javais conçu, qui navait plus que moi, allaient seffondrer.

Quelle magie de ces 2 minutes. !!!!

Il ma pris dans ses bras, ma donné le meilleur, le plus beau, le plus merveilleux baiser de ma vie et ma transporté directement sur son lit et en quelques secondes, nous étions nus, lun contre lautre.

Il était magnifique, doté dun sexe immense, hyper long et large, qui ma fait super peur quand je lai vu Je me rappelle mes paroles..

« Je tinterdit de me toucher avec ça »..

Un sourire carnassier plus tard du mâle dominateur, Frédéric était en moi.. Profondément, de tout son sexe immense, avec ses mains qui me caressaient de partout, ses lèvres si pulpeuses qui parcouraient mon corps. Et il senfonçait de plus en plus en moi, de plus en plus fort, pour me posséder totalement, avec une sensualité débordante

Il ma défoncé avec son énorme engin, et après avoir joui en moi, il na pas débandé, il a continué à me faire lamour

Son énorme pieu me défonçait complètement. Javais sa première liqueur en moi, et il continuait, encore. Il jouit encore une deuxième fois, mais avec le sexe toujours bandé. Et il a continué. Une troisième fois.

Je me sentais désiré, totalement possédé. Un homme, un mec, un énorme membre viril me possédait, avec tendresse et sauvagement en même temps.. « Sauvage »

Alternance de baisers, de caresses, mais aussi de coups de bite phénoménaux. Cest vrai que je nétais pas habitué à un calibre de 25*5 du fait de mes rares expériences et son pieu me défonçait, me faisait mal, autant de force en moi.

Mais javais limpression que cétait normal, que je lui donnais du plaisir et que jétais fait pour ça pour lui, pour moi, pour nous.. Et tout mon corps, mon cul pas trop visité, est devenu la chatte qui accueille le membre de son homme adoré, désiré..

Cest fou ce que peut générer la force du désir.. Je me sentais écartelé, ouvert, javais à la fois mal et me sentais comblé et je hurlais encore encore plus fort Je sentais ses couilles taper sur mes fesses.. Changer de position pour être pénétré, possédé encore plus fort, plus profondément..

Et enfin, la délivrance, lextase du plaisir damour Le sentir se répandre en moi, à longs jets, puissants, aussi forts que son désir Quel bonheur davoir été le réceptacle de son nectar de mâle..

Et on a recommencé, encore et encore.. Pendant 2 mois..

Mais mon Frédéric.. Impatient, na pas su attendre. Me laisser le temps dassimiler tout ça. De gérer cette nouvelle vie, avec mon fils, avec lui Et surtout, avec le couperet de la justice qui pouvait, à tout moment, me tomber dessus.

Que faire. Que choisir ? Ma vie ? Mon fils ? Lui ?

Jai fait un choix que je vous dirais plus tard, mais MON Frédéric ma appris le plaisir, ma appris à ne plus culpabiliser daimer les hommes, de me sentir, comme il me le disait, « tendre et femelle à la fois », à cesser davoir de temps en temps des coups dun seul, et à me faire comprendre, à lépoque, quune vie complète entre 2 hommes et un enfant pouvait exister

Mon fils a adoré Frédéric ensuite, quand 2 ans après, nous avons enfin vécu tous les 3 ensemble..

Cela aurait pu être si beau pour nous trois..

Si tu savais, mon merveilleux Frédéric, comme presque 20 ans après, je taime toujours autant, je te désire autant, je voudrais toujours construire autant.

Tel na pas été ton choix..

Ahhh Ce Milieu. Ce Milieu que je ne connaissais pas mais que tu ne connaissais que trop bien Milieu Quand tu nous tiens, il est tellement destructif et sans place aux sentiments vrais.

Baiser et faire lamour ne sont pas vraiment la même chose.

Dommage pour moi, mais peut-être davantage Dommage pour Toi.

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