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GLADYS – Chapitre 1

GLADYS - Chapitre 1



GLADYS 1

Je mappelle Gladys, je suis brune aux yeux verts, mate de peau et originaire de la Réunion. Jai 17 ans et tout le monde me dit que je suis une très belle fille, mince avec une belle petite poitrine dadolescente. Mes yeux verts font un ravage auprès de mes copains. Jaime la vie, je suis de nature très gaie.

Mes parents restaurateurs à St Denis, acceptèrent que je parte passer mes vacances en France chez mon oncle et ma tante. Lidée me plaisait, ils habitent Grasse pas très loin de Cannes, dans un vieux mas quils ont entièrement restauré.

Je navais jamais eu de relations sexuelles. Vierge je flirtais souvent, mais dès que les garçons devenaient entreprenants, je retirais leurs mains baladeuses pour leur plus grand désenchantement.

Le soir dans ma chambre jaimais me caresser, nue sous mon drap en feuilletant des revues érotiques jusquà ce que mon ventre se torde sous la jouissance fulgurante qui venait de très loin.

Avec mon amie Charlotte qui avait un an de plus que moi, nous parlions souvent de nos pulsions et de nos fantasmes. Charlotte avait déjà eu une relation avec son petit ami et bien souvent nous en parlions calées entre deux oreillers et à voix basses pour que lon ne nous entende pas. Charlotte me racontait ce quelle ressentait en faisant lamour et moi je lui posais des questions parfois indécentes. Elle me parlait très librement de femme à femme.

Jaimais prendre la glace de ma mère et admirer mon sexe. Il était fin, avec deux belles grandes lèvres que jaimais ouvrir délicatement avec mes doigts. Je me disais que beaucoup de garçons aimeraient poser leur bouche et leur langue sur ma jeune et belle fente, cela mexcitait et je me mettais à me caresser frénétiquement, mouillant mes doigts de ma rosée.

Cela faisait un an que mon corps réclamait quotidiennement la jouissance. Charlotte mavait dit un jour alors que nous étions nues toutes les deux dans la salle de bains de ses parents de mépiler le sexe.

Cest elle qui menleva mon duvet laissant juste une petite touffe amusante au-dessus de celui-ci, presque au-dessus du capuchon de mon tendre clitoris. Ce jour là, Charlotte était excitée par ce quelle mavait fait. Lépilation de mon sexe et de mon petit trou se fit sur mon lit, les jambes outrageusement relevées et écartées exposant ceux-ci au regard enflammé de Charlotte. Après mavoir essuyée et après avoir passé de la crème pour adoucir le feu de lépilation elle na pu résister à lenvie de poser ses lèvres sur mon sexe. Mais je lai repoussée et je me suis rhabillée. Charlotte ma dit plus tard quelle était très attirée par la vue de mon sexe nu. Charlotte était une belle jeune fille avec un corps de rêve digne de faire fantasmer tous les hommes de la terre et lorsque nous sortions toutes les deux dans les rues de St Denis et sur les plages, les regards des garçons et des hommes nous amusaient, tellement ils en disaient long sur leur imaginaire.

Quelques jours après, jatterrissais à laéroport de Nice Cote dAzur. Après avoir récupéré ma valise et mon sac de voyage, je me dirigeais vers la sortie en passant rapidement le poste de douane. Mon Oncle Eddy et ma tante Joyce mattendaient.

Nous nous jetâmes littéralement dans les bras lun de lautre.

-Tu es une jeune fille magnifique !, me complimenta mon oncle.

Jen fus touchée. Eddy était un homme dune cinquantaine dannées ventripotent et sa chemise à fleurs avait quelques difficultés à rester fermée. Il navait pas changé depuis son passage à la Réunion. Il avait les mêmes cheveux gras, mouillés coiffés en arrière comme les italiens, les mêmes lunettes épaisses de soleil, les mêmes grosses bagouzes qui ornaient ses doigts boudinés et la même chaîne ridicule autour du cou. Ma tante Joyce elle était restée aussi classe. Je me demandais comment une femme comme elle, pouvait être avec mon oncle ?

Après avoir chargé mes bagages dans la grosse Mercedes de mon oncle, on fila rapidement par la côte vers Grasse. Le mas était spacieux et parfaitement restauré. Une piscine en forme entourée de cyprès venait dêtre achevée, je fus accueillie par le chant de cigales.

-Monte dans ta chambre et mets toi en maillot de bain, tu vas inaugurer la piscine.

Je ne me fis pas prier les 12 heures davion méritaient une bonne remise en forme. Je montais dans ma chambre, fouillais dans mon sac, trouvais enfin mon maillot jaune et à la vitesse éclair je me débarrassais de mon jean et de mon top. Un coup dil dans la glace, mon jeune corps me plaisait, jétais fière de mes formes de jeune fille pas encore femme. Jenfilais mon maillot et je redescendis rejoindre ma famille. Eddy et Joyce navaient pas eu denfant. Sam le labrador était leur seule progéniture… Eddy était assis dans un grand fauteuil et sétait servi un grand verre de pastis, sa boisson favorite.

-Tu es bien foutue ma niècetu dois faire des malheurs là-bas ?

-Merci, lui répondis-je avant de plonger dans leau bleutée.

La première semaine de mon séjour se passa très vite, entre nos sorties sur Cannes, mes séances de bronzage au bord de la piscine, la visite des parfumeries, les restaurants à Juan les Pins et léternel shoping avec ma tante rue dAntibes à Cannes.

Un matin mon oncle me dit quil devait amener ma tante Joyce à laéroport. Elle devait rejoindre sa sur à Paris qui venait être hospitalisée.

Après avoir attendu que lavion qui emportait ma tante Joyce eut décollé, nous revînmes au mas de Castigou. Je me retrouvais seule avec mon oncle dans cette grande maison, avec comme gardien Sam. Jétais alors loin dimaginer ce qui allait se passer.

-Bon Gladys on ne va pas se laisser abattre ? On va profiter du bon temps, nest ce pas ma puce ?

-Je suis là pour cela tonton.

Ce soir là nous mangeâmes dehors sur la terrasse, jétais restée en maillot de bain tant la température était agréable. Mon Oncle avait fait le repas. Après deux pastis, et avoir descendu une bouteille de rosé, nous étions gais et la parole venait facilement. Très vite la conversation de mon oncle devint plus.hot à ma grande surprise.

-Dis donc Gladys, tu as un ptit copain ?

-Non pas spécialement pourquoi ?

-Comme ça, canon comme tu es les mecs doivent bander pour toi ?

Je me sentis rougir et je préférais ne pas répondre.

-Tu as un cul de rêve ma fille, tu es bien foutue ! Tu as été fabriquée pour lamour sur cette terre ! ah ahh .

-Merci mon oncle

Je naimais vraiment pas son rire, gras, entrecoupé de crise de toux, panache de la cigarette et des cigares dont il abusait quotidiennement.

-Tu as déjàtu as déjà fait.lamour ?

-Non si tu veux tout savoirTu es bien curieux je trouve !

-De nos jours les filles couchent de plus en plus tôt

-Eh bien tu vois, pas moi, jai le tempsje nai pas encore 17 ans.

-On ne te donne pas ton âge tu le sais ?

-Cest vrai, les filles de mon Ile sont très en avance.

Je me levais pour débarrasser la table. En passant devant lui mon oncle mattrapa le bras et sans hésiter me demanda :

-Tu me fais voir ton minou ?

Surprise je faillis lâcher les assiettes.

-mais…mais tu es mon oncle…

-Juste comme ça personne ne le saurail y a longtemps que je nai pas vu de petit minou

-Mais cela ne se fait pas !

Sans attendre je me dégageais et japportais les assiettes dans la cuisine. Alors que je rangeais le frigo je sentis sa présence dans mon dosIl était énorme et son ventre proéminent se colla à mon dosSon souffle était fort, preuve de son excitation et sans que je puisse bouger il me saisit les deux seins dans ses mains poilues. Impossible déchapper à cette prise. Il me malaxa les seins, me pinça les bouts à travers le tissu de mon maillot.

-Je ten prie mon oncleje ten prie.

-Humm tes seins sont beaux… fermes comme je les aime.

Puis sans reculer devant cette prise il abaissa mes balconnets dévoilant mes seins quil sempressa de reprendre en main.

-Je ten prielaisse moi tonton !

Il me lâcha un sein et je sentis quil passait sa main entre lui et mon dos à la recherche de lélastique de mon slip de bain… Il me plaqua contre le lévier je sentais son gros ventre menvelopper carrément.

-Laisse-moi tranquille, tu nas pas le droit , je suis ta nièce !

-Dis pas ça toutes les femmes aiment les caresses

-pas comme ça ! Je tentais de le repousser, mais rien ny faisait, je le sentis saisir lélastique et dun coup sec il abaissa mon maillot et le fit descendre à mi cuisse. Jétais à présent nue

-Hummm tu mexcites.laisse-toi fairehummmm ta peau est douce !

Je sentis son souffle chaud dans mon dos alors quil saccroupissait derrière moi me tenant fermement par les hanches à présent…

-Je ten prie laisse moi partirlaisse-moi tu nas pas le droit.

-Je veux juste voir ton ptit cul et ta chatte

-Non

Il fit descendre mon maillot jusquà mes chevilles, me souleva de force une jambe et le retira complètement. Jétais à présent exposée à son regard lubrique pliée presque en deux sur lévier. Je me sentis soulevée carrément et pour me retenir javais les deux mains dans la cuvette le ventre reposant sur le plan de travail.

-Hummmm quel beau cul tu as !

-Allez laisse-moi je ne veux pas de ça !

Cest alors que je compris ce quil voulait ses deux mains adipeuses mécartaient à présent les lobes de mes fesses exposant mon petit trou que je contractais dappréhension.

-Ton ptit trou est mignon comme tout !

Sans que je puisse faire quelque chose je sentis son visage se plaquer contre mes fesses et sa langue sur mon puits damour Ce contact me fit frissonner, je me dis que cétait la première fois que lon me faisait ce genre de caresse et ne pus retenir un soupir lorsquil glissa la pointe de sa langue sinsinuant agilement dans mon petit trou que jeus du mal à laisser contractécette caresse mincita à me pencher encore plus, javais les cheveux qui pendaient à présent dans le bac de lévier mais javais perdu toute appréhension de ma situation. Mon oncle me fourrageait les fesses et je sentais sa salive couler le long de mes cuisses. Il poussait des grognements de bête, puis il me souleva encore plus me trouvant les jambes pendantes et à léquerre sur le plan de travail et ce qui lui permit de lécher copieusement mon minou imberbe

-Je ten prie ce nest pas bienlaisse-moilaisse-moi partir

-Jai trop envie de te bouffer la chatte laisse moi fairehummmm

A présent sa langue jouait avec mes grandes lèvres et à chaque contact avec mon clitoris je ressentais comme une décharge grisante dans mon ventre, je ne pouvais lutter contre ce plaisir qui commençait à me tordre les entraillesJe me dis que ce nétait plus la peine de lutter et de le laisser faire qui plus est jy prenais de plus en plus de plaisir. Voulant remettre mes cheveux derrière mon oreille je perdis léquilibre et je cassais les verres que javais mis à sécher sur légouttoir.

La langue de mon oncle jouait à présent avec mon clito que je sentais de plus en plus animé de volupté. Alors que je me contractais sur de nouvelles pulsions, je poussais un cri de surprise en sentant un de ses énormes doigts senfoncer dans mon petit trou, me violant pour la première fois de ma vie mon illet que jaimais tant regarder comme toutes les jeunes filles.

-Hummm tu es bonne et tu mouilles comme une grande. petite cochonne !

— Aahhh !

-Jaime ton jus de pucellehuuummmm

Je ne pus retenir un cri de douleur lorsque son doigt senfonça plus profondément en moi.

Il me bouffait littéralement la chatte tout en impliquant à son gros index des mouvements de va-et-vient qui progressivement mapportaient une certaine félicité. Au début jai cru quil allait me déchirer. Pourvu quil ne veuille pas entrer dans ma chatte ! pensais-je, presque affolée à cette idée.

Puis ce fut lorgasme qui me saisit terriblement mécroulant dans lévier et mon bras renversa toute la vaisselle qui sécrasa dans un bruit denfer sur le carrelage. Je fus secouée par des tremblements incontrôlables alors que mon oncle continuait à lécher ma cyprine qui inondait son visage bouffi.

Lorsque le calme revint alors que je sentais mon clito très sensible, mon oncle me redéposa par terre, puis sessuyant sa bouche inondée de mon jus et de sa salive avec le torchon resté posé sur une chaise, il ne put sempêcher de me caresser les seins à nouveau. Jétais dans un état lamentable, les cheveux collés, les fesses inondées, le regard vitreux. Je me retournais honteuse vers lui.

-Ce nest pas bien ce que tu as faittu connais mon âgesi mes parents savaient celatu…

-Ils ne le sauront jamaistu seras discrète hein ?

-Si tu ne recommences pasdaccord. !

En colère je me baissais pour ramasser mon maillot de bain et toute penaude je filais vers la salle de bain, les jambes encore toutes tremblantes de ce que je venais de subir…avec encore une sensation bizarre dans mon petit trou distendu.

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