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Gwendoline, le loup-garou et moi – Chapitre 4

Gwendoline, le loup-garou et moi - Chapitre 4



La douleur fut énorme mais rien n’y fit, j’étais trop crispée, la rondelle pas assez dilatée. La queue ne put me forcer.

— Viens troncher cette pute Ita. Ma bite est moins large. J’essaie de te l’élargir ce trou, et ensuite tu te la ramones.

— Merci dit Ita, mais rien ne me procure plus de plaisir que de péter un pucelage.

— Comme tu veux…

— D’ailleurs, dis-je, je ne suis pas pucelle. J’ai un manque d’habitude sur la sodomie, c’est tout… et puis ce calibre-là…

— Alors si tu n’es pas pucelle du cul, elle va rentrer ma grosse bite, elle va rentrer.

— Et si on se mettait en 69, ça aiderait, proposa Gwen.

Ainsi fut fait.

Gwen se mit donc sur le dos, le cul au bord de la table. Elle releva ses fesses. Je m’allongeai sur elle pour qu’elle me broute le minou et Ita, en bouledogue se mit au-dessus de ma croupe prêt à l’enfiler.

Le torse de Maxime m’empêchait de passer la tête pour sucer le minou de ma consur mais, de temps en temps, Maxime retirait sa verge du trou et je me penchai pour lui bouffer tout l’entrejambe. Il se reculait encore un peu et j’introduisais ma langue dans l’anus grand ouvert ou bien j’aspirais le clitoris.

Ita pressait toujours sur ma rondelle qui ne cédait pas. Gwen mangeait ma chatte, ou les grosses couilles du japonais ou lui léchait la bite quand il relâchait la pression et prenait du recul. Mais Sésame ne souvrait pas.

Alors il se masturba violemment pour couvrir mon trou de jus. Il en pleuvait tellement qu’il ruisselait sur ma vulve. J’entendis Gwendoline se délecter de ce qui coulait directement dans sa bouche avant que, n’y tenant plus, elle vienne directement me lécher avec la même gloutonnerie qu’une gamine mettant ses doigts dans le pot de confiture.

— Bouffe pas tout gourmande, mets plutôt tes doigts dedans et lubrifie-lui le trou que je l’écarte enfin cette chienne !

Après quelques contorsions, elle réussit à m’introduire deux doigts, puis trois, pour me lubrifier. Mais trois doigts, cela n’approchait pas la taille du formidable gourdin qu’on se proposait d’y glisser et que j’attendais avec une chaude espérance. La préparation risquait d’être insuffisante pour le but qu’on se proposait d’atteindre avec une certaine candeur.

Las, le sperme n’est point un assez bon lubrifiant et rien ne passa que l’extrémité du gland. Je me maudissais d’être partie, sous le coup de la déception de Gwendoline qui nous avait tant occupé l’esprit, en oubliant de prendre du gel. Je craignais aussi de décevoir mon si solide compagnon pour lequel je me prenais d’un attachement de plus en plus vif à mesure que mon désir augmentait avec la frustration. Je ne désirais rien tant que de le satisfaire dans le but de l’attacher durablement à nos personnes.

Il m’entendit, lut dans mon cerveau et, d’un bond, fut dehors, en disant : "Je r’viens dans deux minutes" !

Je pensais bien qu’il était allé chercher du gel mais je voyais mal quelle pharmacie de campagne voudrait ouvrir sa porte à une heure du matin à un loup-garou désirant urgemment un tube de lubrifiant pour soulager un fion en détresse. Et puis comment paierait-il ? Le pharmacien risquait d’être soupçonneux… s’il n’était pas au sens propre mort de trouille en voyant son drôle de client.

Je me posais ces questions tout en suçant gloutonnement les tétons de Maxime qui bitait Gwen à couilles rabattues, histoire de tuer le temps.

Mais j’eus peu à attendre. Mon formidable amant rappliqua en moins de temps qu’il en faut pour le dire.

— Il fut une époque, fit-il remarquer, où c’était le petit chaperon rouge qui allait chercher un pot de beurre et pas le grand méchant loup ! Faut tout faire soi-même !

— Tu as ramené du beurre ?

— Pour te graisser le cul ma belle… comme au petit chaperon rouge. On ne l’a pas mangée cette petite sotte. On la déflorée, la garce, et elle aimait la bite je peux vous le dire… Les chasseurs ont pu s’en rendre compte par la suite… et je ne parle pas de la mémé… une vraie chaudasse… il est vrai que pour elle, les occasions étaient rares… enfin ce n’est pas tout à fait du beurre. Il y a quelques fermes dans la région… donc de la crème à vache… ça marche bien pour les trayons… C’est quoi un trayon à par un pénis mou qui crache du lait ? Et moi j’en ai un gros tout tendu qui produit aussi de la belle liqueur blanche. Aller ! Amène ton trou !

Je pris donc le pot, et m’appliquai fébrilement une forte motte de "gel" sur la rondelle. J’en graissai ensuite le dard et à dada !

Je fis comme j’avais fait pour ma chatte. J’allongeai le loup-garou du Japon à même le sol, le priai d’écarter mes fesses des ses mains puissantes… ouille, sans me griffer grosse brute !et commençai à m’empaler… mais vu le machin, cela revenait à un fist.

Ce fut douloureux, long, laborieux, difficile, ardu… Tout ce que l’on voudra, mais enfin il entra.

— Putain dit Maxime, c’est vrai qu’on n’a jamais vu un cul autant dilaté !

— A moi, à moi, à moi trépignait Gwen ! J’veux ce gros chibre dans le cul !

— Tu l’auras à ton tour. Profite déjà de l’autre zob !

Il fallait quand même s’y habituer parce que, une fois fichée dessus, à chaque fois que je coulissai un peu, c’est comme si je m’étais mis un charbon ardent entre les fesses.

Mon chéri fut patient. Il me laissa le temps indispensable à la bonne conformation de la rondelle autour du chibre. Plus la douleur s’apaisait, plus je bougeai, la réveillant chaque fois, mais moins vive, de plus en plus supportable, et finalement si légère qu’elle en devint désirable.

Quand je fus enfin prête, il me retourna comme une crêpe et me saboula sans ménagement. Puis il se mit debout, me soutenant les jambes pour que je ne touche pas terre et me fit aller et venir sur sa tige comme si je n’avais pas pesé plus qu’une plume. Puis enfin, il m’enleva tout à fait. La queue sortit tout entière de mon cul avant qu’il l’y replonge violemment d’un coup sec. J’avais l’impression qu’il allait me déchirer le rectum mais je m’y fis bien vite avec un putain d’orgasme géant.

Il m’enfoutra à grands jets, me remplissant le cul à ras bord comme une barrique.

Alors il changea de place avec Maxime et le même jeu recommença. Seulement, comme Gwen n’avait pas encore reçu son mandrin dans le cul et malgré la belle proportion de celui de Maxime qui venait pourtant de bien la déglinguée, l’intromission d’Ita fut douloureuse. Le cri fut perçant. Ita s’arrêta net.

— Non, non, ça fait mal, mais c’est bon… continue. Vas-y mon grand loup, casse-moi mon p’tit cul. Elargis-moi l’élastique… pine-moi, pine-moi, pine-moi !

La capacité des mâles à découiller indéfiniment eut rapidement raison de notre résistance. Nous étions exténuées, incapables d’en supporter davantage.

— On ne va tout de même pas capituler avant une double ?

— Merci Ita, mais les deux dans le cul à la fois, c’est pas possible. Vous allez nous envoyer à l’hôpital.

— OK, mais cul et chatte… chacune son tour… ça va permettre à l’autre de se refaire.

— Oh oui oh oui oh oui, moi moi moi…

Gwen s’était immédiatement portée volontaire.

La différence de taille entre les deux monstres rendait compliquée la prise en sandwich debout, mais rien ne s’y opposait allongée.

Maxime assis dans le canapé, Gwen empalée par les fesses offrant sa chatte à Ita, tout fut disposé en un instant. La musculature des deux bêtes faisait presque disparaitre ma copine entre leurs deux corps, comme broyée dans un formidable étau sexuel.

Je vis bientôt que nous perdrions notre caution et qu’il faudrait racheter un canapé neuf pour les propriétaires du gîte. Il ne survécut pas aux litres de foutre qu’il reçut ni à la violence des coups.

Ita bouffait les seins qui disparaissaient dans sa gueule, Il n’aurait fallu qu’un coup de dent pour qu’il les arrache. C’était impressionnant, pas autant cependant que lorsqu’elle lui roulait une gamelle. Il aurait pu lui broyer la mâchoire. Il faut dire que la langue de nos compères est un extraordinaire joujou sexuel; longue, mobile, râpeuse, elle excite tous les replis du corps de la moindre parcelle de derme aux amygdales et jusqu’ à l’intimité de la vulve.

Il salivait presque autant qu’il jutait. Le mélange salive, sueur, sperme, parfumait la pièce d’une forte odeur de rut, pire que dans un club échangiste à une heure du matin.

Moi, je me contentais de lécher les boules en me prenant de temps en temps un violent coup de cul dans la tête quand l’animal se retirait plus brusquement et plus loin pour mieux reprendre son élan.

Jamais orgasme ne fut plus puissant et, au moment suprême, elle replia ses jambes le plus qu’elle pût autour du corps du mâle qui la recouvrait et laboura son dos de ses ongles. Si la chair du loup-garou n’avait été aussi épaisse, elle l’eut écorché vif.

Brisée, à la limite de l’évanouissement, telle une poupée de chiffon, Gwen s’effondra sur le sol quand ils la libérèrent avant de me faire subir le même sort, en inversant les rôles. Ita en dessous dans mon cul et Maxime me couvrant de tout son long et de tout son poids, ma tête disparaissant dans sa poitrine et mes bras peinant à enserrer son dos formidable.

Les queues, chacune dans son orifice, étaient si grosses et se touchaient tellement que j’eus l’impression de ne plus avoir de paroi mais un seul trou rempli à éclater. Les éjaculations se succédaient les unes aux autres à un rythme que seuls les garçons calculaient en fonction de leur plaisir ou des signes d’orgasme imminent que je leur donnai et qu’ils hâtaient ainsi.

Je crus mourir d’épuisement au cours de ce marathon sexuel au terme duquel, couchée nue dans le canapé ou ce qu’il en restait, près de ma copine, je m’endormis.

Une lueur blafarde éclairait l’horizon quand je me réveillai.

La nuit était passée. Gwen somnolait encore.

Maxime s’était enfui comme les fois précédentes.

Assis en face de moi dans un fauteuil, complètement nu, un homme petit mais musclé, aux traits asiatiques, au poil très noir et fourni, à la queue courte mais très épaisse posée sur ses gros pompons ronds, dormait confiant.

Je m’approchai, me mis à genou, contemplai son visage encore jeune et très beau, humait fortement l’odeur animale qui imprégnait ma peau et me souvenir de sa métamorphose nocturne et sans le réveiller, lui dis à voix très basse : "Bonjour Monsieur Ita… il faut vraiment que Gwen et moi trouvions cette vierge grâce laquelle vous pourrez vous transformer à volonté… oui il le faut vraiment… alors nous ne nous quitterons plus".

Puis, je posai délicatement ma langue sur l’épais prépuce, le léchai très lentement en tournant plusieurs fois autour et en le frôlant à peine… Je m’emplis les narines de l’arôme qui s’en dégageait, le plus enivrant des parfums, le plus précieux aussi… puis j’avalai cette queue, la pompai patiemment jusqu’à ce qu’elle grossisse en moi, au moment où une main d’homme se posait sur ma tête dans un geste ferme mes amoureux.

A suivre

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