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Gwladys et les permissionnaires – Chapitre 1

Gwladys et les permissionnaires - Chapitre 1



  Gwladys porte admirablement ses vingt ans, avec son corps ciselé par l’exercice et une alimentation saine. Une poitrine ferme et développée, un visage aux traits fins, éclairé par un regard azuré, le tout surmonté d’une abondante chevelure brune, complètent ce physique avantageux.

Pour ne rien gâcher, elle sait mettre ses attraits en valeur. Sa robe bleue moulante, ses jambes emprisonnées dans leurs gaines de nylon et ses sandales lui donnent un charme sage et discret, comme il sied à la jeune bourgeoise qu’elle est.

  Absorbée dans la lecture d’un magazine, elle feint d’ignorer ses compagnons de voyage, dans une indifférence plus excitante que la plus explicite des invites.

Les permissionnaires présents dans son wagon en ressentent l’attraction. Favorisée par l’alcool et l’effet de meute, l’audace des garçons gagne en intensité chaque minute.

Consciente de la convoitise qu’elle suscite, Gwladys s’amuse de la situation. Par jeu, elle écarte les jambes. La robe courte semble taillée pour ce genre de provocation. Le tissu remonte légèrement, livre aux yeux des soldats une vue sur les appâts cachés de la demoiselle. Une culotte blanche bien sage apparaît, en contraste avec le bleu de la robe.

  D’un bond, l’un des témoins rejoint Gwladys et s’avachit sur le siège contigu. Deux autres bidasses prennent place sur la banquette d’en face.

Elle continue à feuilleter son magazine, indifférente à ses turbulents voisins. La lumière dispensée par les plafonniers s’accroche à sa silhouette, met en valeur ses formes, irise ses pupilles et le nylon des jambes d’éclats pailletés.

La jeune fille se soulève légèrement, se rassoit sur les plis de sa robe, découvre davantage son sous-vêtement. À ses côtés, des yeux se portent sur sa gorge, suivent le v des clavicules, plongent dans le décolleté, butent sur la dentelle du soutif. La lectrice croise les gambettes dans un crissement à peine audible. Bien exposées, elles dévoilent une bande de peau claire, en contraste avec l’épiderme mat des bras et du visage.

  D’une main fébrile, le garçon touche une cuisse dont la chaleur diffuse à travers le tissu opaque. Il saisit l’extrémité élastique et abaisse la pièce de vêtement jusqu’au genou. Sans réaction de la jeune fille, il effleure la cuisse dénudée. Une onctueuse tiédeur mignote sa dextre et progresse le long de son système nerveux. Il renouvelle l’opération pour la seconde cuisse qu’il caresse avec excitation. Enhardi, il remonte à la lisière de la culotte. Douce sensation que celle du coton tendu sur une zone chaude et boisée, comme en témoigne les poils qu’il devine dans le sous-vêtement. Une traction trop forte sur une touffe et la fille lui claque sèchement la main. Quelques instants de latence et il reprend ses manuvres. Ses doigts écartent l’élastique de la culotte. Il commence à l’abaisser, mais une seconde tape interrompt son geste.

Calme et concentrée sur son magazine, le visage impassible, la lectrice ne montre aucune émotion.

Décontenancé, le jeune soldat guette l’approbation de ses camarades. Les yeux fixés sur le sous-vêtement de la fille, les deux comparses manifestent un début d’érection dans leurs pantalons d’uniforme.

  L’air détaché, la fille laisse son voisin lui peloter la poitrine. Désireux de voir les globes sans entrave, il déboutonne la robe jusqu’à la ceinture et remonte la partie inférieure pour mieux dégager la culotte. À l’exception de sa robe roulée à la taille, la jeune femme ne porte plus que ses dessous. La culotte blanche et le soutien-gorge assortis soulignent la peau mate. Les bas mettent en valeur les jambes fines et fermes. Les mollets musclés trahissent la pratique régulière d’un sport, tout comme le reste du corps à la silhouette élégante.

Une main tente de dégrafer le soutien-lolos et se retire sous la cuisson d’une nouvelle claque. L’importun l’embrasse sur la joue sans susciter de réaction. Il récidive plusieurs fois, goûte la saveur légèrement piquante de sa peau, en apprécie la douceur, jusqu’au contact de la pommette sous sa bouche gourmande.

  Dans un sursaut d’audace, il empoigne la mâchoire et tourne la tête de la fille vers la sienne. Ses lèvres effleurent la bouche pulpeuse quand elle le repousse d’une nouvelle gifle appliquée en plein visage.

Deux garçons lui retirent ses bas nylon. Les jambes dénudées sont caressées, les cuisses pincées et les mollets cajolés avec insistance. Sur la banquette d’en face, les deux passagers la saisissent chacun par une cheville et lui écartent les gambettes davantage. Une ombre fugace pointe au milieu de la culotte, signe d’une pilosité drue. Une dizaine de paires d’yeux rêve de débroussaillage.

Si le contact des chevilles reste agréable, les pieds proches du nez des deux garçons exercent leur tentation. À leur apparence plaisante s’ajoute une odeur qu’ils hument avec délice. Ils embrassent les plantes de pieds encore moites de leur séjour dans les bas nylon, passent leurs langues sur la peau veloutée, les introduisent entre les orteils, recueillent quelques fragments de matière.

Plus haut, des mains dégrafent le soutien-gorge, empoignent les gros seins en poire, malaxent et pétrissent les pendards. Avec célérité, les soldats saisissent les poignets de la fille, lui interdisent toute velléité défensive. Des bouches avides cerclent les larges auréoles foncées, ventousent les tétons granuleux et entament une tétée gourmande accompagnée de bruits de succion qui s’ajoutent à ceux du pompage des pieds.

  Encouragés, un des comparses passe ses mains dans la culotte, constate la présence d’une zone ombragée humide. D’un commun accord, tout le monde décide d’une exploration approfondie. Une paire de mains introduite dans le sous-vêtement écarte l’élastique et le fait glisser sur les adorables cuisses.

Une frisouille drue et bouclée apparaît, saluée par des commentaires graveleux et des exclamations enthousiastes. Après les félicitations à la demoiselle pour l’entretien de son gazon, l’un de ses admirateurs s’agenouille devant elle et entreprend de lui lécher la vulve. Une fois le terrain lubrifié, sa langue titille le clitoris au grès du déhanchement de sa propriétaire.

  Excitée par tous ces stimuli, elle libère sa jouissance dans la bouche du garçon qui s’empresse de tout avaler. Quelques coups de langue pour laisser les lieux bien propres et il cède la place aux nombreux amateurs.

Deux bouches pour les pieds, une pour la chatte, deux pour les michemards et une pour la langue de la belle qu’un sixième comparse suce avec frénésie.

Enhardi, il aspire le muscle chaud et mobile, ajoute un bruit baveux au concert ambiant.

La fille sent des mains empoigner les siennes et introduire deux grosses bites moites d’excitation entre ses doigts ravissants qui se referment, s’emparent des manches et entament une double branlette.

  Ultime touche au tableau, les deux derniers garçons caressent et astiquent tout ce qu’ils peuvent. Nichons, cuisses, aisselles, leurs langues se chargent de saveurs amères, acidulées ou plus indéfinissables selon les parties explorées. Des bras saisissent la fille aux hanches, la soulèvent et dégagent le derrière. Ses adorateurs s’activent et lèchent le cul en totalité. Fesses et pourtour de l’anus, rien n’est oublié. Une bouche suce le trou du cul, sort une langue tendue qui s’enfonce au maximum.

Pour une inconnue rencontrée dans un train, la donzelle se laisse baiser facilement. Dommage de ne pas l’avoir croisée plus tôt. Ses compagnons de voyage rattrapent le retard et se gavent d’odeurs et saveurs. Tous les sens mobilisés, ses admirateurs dévorent et palpent à tour de rôle. La fille jouit à répétition, dans des expulsions de cyprine dont s’abreuvent ses léchouilleurs du moment.

  Cette prise de contact terminée, ses partenaires de rencontre décident d’explorer ce corps splendide de manière approfondie. Les pantalons et les slips s’abaissent, laissent libres des bites déployées et des glandes génitales gonflées. Gwladys a l’honneur de lécher une première paire de couilles avant de sucer le manche. Les poils follets de la racine lui chatouillent désagréablement le nez, mais elle pompe jusqu’à recevoir le contenu des poches à sperme dans sa bouche. Elle conserve le liquide sirupeux dans sa cavité buccale le temps d’en juger la saveur puis elle avale sans hésitation.

L’idée de remplir le ventre de cette jolie fille de leur semence enchante ses comparses. C’est ainsi qu’ils se succèdent dans la bouche, crachent leur jouissance dans le sac à foutre que devient l’estomac de la jeune bourgeoise.

  Départager les prétendants aux pénétrations vaginales et anales est rude, mais le droit d’aînesse l’emporte et deux garçons à la fois l’embrochent par la chatte et le trou du cul. Le sphincter résiste, cède et laisse le gland lisse s’enfiler dans l’orifice lubrifié de salive.

Un double coït bref mais intense et les deux étalons laissent place au reste de la compagnie. Le sperme détrempe les entrailles de la fille au fur et à mesure que les couilles se vident de leur liquide reproducteur. Gwladys ne prête aucune attention à ses baiseurs du moment, tout occupée à savourer les sensations envoyées par ses trous remplis à répétition.

  Langues, mains, bites, tout l’arsenal des soldats lèche, embrasse, tâte, pénètre le corps délicieux, humide de sécrétions d’où monte une odeur entêtante. L’atmosphère confinée s’épaissit, se charge d’effluves intimes. C’est dans cette ambiance digne des meilleurs vidéos trash que le gang bang prend fin, les participants masculins repus de leur vide-couilles baisé jusqu’au trognon.

  Avant l’arrêt en gare, ils remettent la quille du régiment à la jeune fille en témoignage de leur reconnaissance. Un souvenir apprécié par l’intéressée qui en fera bon usage ; le calibre de l’instrument et sa dureté feront merveille lors de ses séances masturbatoires.

                                                                                                                          Fin

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