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Hier soir au parc. – Chapitre 1

Hier soir au parc. - Chapitre 1



Hier soir j’avais un rendez-vous dans un parc avec Aline, une copine de longue date avec qui j’aime m’envoyer en l’air. Petite (1.5m), brune, cheveux courts, de très jolis seins (bien fermes, ronds, accueillants, la taille idéale pour faire un tas de choses) ainsi qu’un joli petit derrière musclé que je ne me lasse jamais de contempler qu’elle soit habillée ou nue. Légèrement bronzées, cette fille est vraiment faite pour l’amour. D’un caractère joyeux et ouvert elle est sans tabou et nous ne nous privons pas de nous raconter tous nos phantasmes et bien sur les réaliser. Je lui ai expliqué que j’avais débuter une cyber correspondante avec une fille folle de sexe, grande adepte de la masturbation et d’un tas de choses. Lui ayant dis en deux mots en quoi consistait cette correspondance et ce qu’en attendais ma correspondante, j’ai tout de suite vu les yeux de Aline s’animer d’un lueur d’exitation et de lubricité. Elle me dit en s’approchant tout près de moi ’ si tu vraiment exiter cette fille, il faut avoir quelques chose à lui raconter ’ Voyant ou elle voulait en venir, je l’embrassai tendrement sur la bouche puis dans le cou tout en carressant ses jambes nues sous sa petite robe d’été. S’abandonnant dans mes bras, ma main s’est faites plus audacieuse, remontant en haut de ses cuisses un peu écartées pour venir buter sur sa petite culotte. Bien au calme au fond au fond d’une tonnelle dans une partie du parc peu fréquentée, je me suis enhardi à glisser un doigt sous sa culotte pour aller à la rencontre de sa petite chatte bien touffue (elle ne la rase jamais, à ma demande) , déjà bien exitée vu la facilité avec laquelle j’ai pu y introduire mon index. Ecartant un peu plus fort les jambes, j’en ai conclu que je pouvait poursuivre mes investigations manuelles. Imprimant à mon index un mouvement de va et vient dans son vagin moite et chaud, je lui titillai à l’aide de mon pousse son petit clitoris qui n’attendait que cela. Les yeux fermé et gémissante du plaisir montant en elle, Aline presque couchée sur le banc me demanda de lui enlever sa culotte et de ne pas oublier de s’occuper de son petit trou. Très exité à cette idée, je déserai quelque peu ma ceinture et ouvris la fermeture éclaire de mon pantalon afin de laisser plus d’espace a ma queue animée d’une belle érection. Allongée sur le banc, Aline m’offrit son petit anus (brillant de la mouille dégoulinante de sa chatte) que je pénétrai lentement de mon majeur. Imprimant un rythme régulier à mes deux doigts de la main gauche explorant le corp de ma partenaire qui s’abandonnait tout à son plaisir, j’entrepris de me masturber de l’autre main. Le spectacle qui s’offrait à moi était de toute beauté. Jambes écartées, jupe relevée, je jouissait d’une vue formidable sur sa vulve largement ouverte, brillante de ses sécrétions intimes, et sur ses lèvres vaginales ouvertes telle une fleur avide de soleil et qui m’invitaient à redoubler de dextérité. Aline au comble de l’exitation se masturbait, accompagant mon index du sien, tout deux s’enfonçant dans sa grotte humide en faisant des bruits aussi obsènes qu’exitants. Mon majeur explorant son anus dilaté de plaisir s’enfonçait le plus profodemment possible ses entrailles. J’étais très exité en sentant mes doigts se touchant presque, séparés seulement par une mince membrane de peau. Je devais me faire violence afin de ne pas éjaculer tout de suite, tant j’aime me faire sucer par ma petite salope d’Aline et tant elle aime me pomper et s’abreuver de mon jus de couille. Aline ne fut pas longue à atteindre l’orgasme qui se manisfesta par des petit cris étouffés et une très grande quantité de sève vaginale qui innonda ma main. À peine remise du pied qu’elle venait de prendre elle se redressa , enleva sa blouse faisant apparaître ses seins magnifiques de prestance et de fermeté, me fis m’asseoir sur le banc , s’agenouilla devant moi et emprisonna sur ma bite entre ses superbes nichons et me masturba comme elle seule peut le faire tant j’ai l’impression que ses deux globes de chair agisse comme un vagin doux et accueillant. Au bord de l’explosion elle avala goulûment ma queue turgescente. Littérallement aspirée par la bouche fantastique de ma partenaire je me déversai rapidement en elle en plusieurs saccades de sperme dont elle se délecta, ne laissant s’échapper la moindre goutte. Non satisfait, elle continua sa fellation et lorsque ma queu reprit une taille et une rigidité suffisante elle se redressa, se pencha en avant, face au banc, prenant appuis sur le dossier de celui-ci et m’offrant sa superbe croupe. Je m’apprêtais à pénétrer sa chatte baveuse et brûlante lorsqu’elle me dit : ’ attend, pas si vite, d’abord ta langue, tu dois avoir soif et avec tout ce que je mouille, tu vas te régaler ’ Jambes bien écartée, chatte béante, je me penchai et entrepris une minnette vigoureuse qui fit ressentir rapidement ses effets à enttendre les gémissements que cette petite vicieuse poussait tout en se branlant d’une main tandis que l’autre la maintenait en appuis sur le banc. Agitée d’un orgasme, je me redressai rapidement et lui pénétrai sa chatte en fusion avec une facilité déconcertante. ’ Vas-y défonce moi , crache moi tout ton jus dans mon con’. La pistonnant vigoureusement, en profondeur et en cadence je me retenais afin de ne pas jouir trop vite, voulant atteindre l’orgasme en même temps que ma petite Aline, ce qui se produit au bout de quelques minutes. Effondré de tant de plaisirs intenses, nous avons repris nos esprits à moitié nus sur le bancs en nous caressant et en nous embrassant tendrement.

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