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Histoire de Soumise-à-lui – Chapitre 10

Histoire de Soumise-à-lui - Chapitre 10



Le maître avait donné l’adresse d’un gîte où il désirait que la soumise et lui se rencontrent.

Elle devait faire le trajet en jupe courte, Dim up, chemisier ouvert, sans dessous évidemment, plug au cul qu’il fallait qu’elle ait mis dès son réveil.

Arrivée la première, le maître lui avait précisé qu’elle devait être nue en position d’attente.

La soumise entra dans le gîte. La pièce de vie était grande, des solives en bois ornaient le plafond ainsi que des piliers en bois à droite et à gauche. La soumise se mit à frissonner en pensant à ce que le maître pourrait faire avec ces piliers.

Elle monta deux à trois marches et se retrouva dans la chambre, là aussi des poutres en bois descendaient en arc de chaque côté de la chambre. Aucun doute possible, la soumise savait maintenant qu’elle allait morfler.

Elle se déshabilla, sortit les accessoires que lui avait demandés le maître. Elle se mit à genoux sur le lit en position d’attente.

La soumise entendit la porte s’ouvrir, son cur commença à battre la chamade. Le maître, entra, embrassa la soumise langue à langue, lui mit des menottes, lui passa une main sur tout le corps, il s’attarda sur ses seins qu’il commença à martyriser, il lui tira sur les tétons, il leur mit des pinces.

Le maître mit un bandeau, un bâillon à la soumise et elle sentit quil la tirait par les bras, il l’attacha à une poutre, la soumise sut qu’elle n’allait pas sortir de cette position, dans le même état qu’elle y avait été mise. Elle savait également que toutes les parties de mon corps qui se situaient entre le haut de ses seins et le haut de sa cuisse allaient être zébrées de coups. Ce qu’elle ne savait pas c’est par quelle partie de son corps le maître allait commencer et avec quel instrument.

Puis un coup franc sur les fesses de la soumise la renseigna que le maître commençait par la cravache, en vrai pervers, celle-ci laissant peu de marques. Il alterna les coups sur une fesse puis l’autre, la soumise serra les dents, aucun son ne sortait, juste son corps qui oscillait, la colère du maître montait, il voulait l’entendre crier, ses coups étaient de plus en plus fort les fesses de la soumise commençaient à la brûler mais elle tenait bon.

En pervers le maître laissa les fesses de la soumise, il passa une main sur sa chatte qui était mouillée, il siffla à l’oreille de la soumise :

— Je vais te faire passer l’envie de baiser !

Il tira violemment sur les pinces qui étaient sur les seins de la soumise, la douleur, lui fit crisper le visage, la soumise tenait encore…

Le maître remplaça les pinces par d’autre plus fortes et il frappa sur ses tétons méthodiquement, juste sur les tétons pour les irriter, puis sur les seins, il tape de plus en plus fort, la soumise ne peut retenir un petit son de douleur. Elle sentit l’exultation de plaisir du maître.

Celui-ci continua plus fort encore pour passer à sa chatte. Il arrêta les coups, écarta les jambes de la soumise et lui attacha ses chevilles de façon qu’elle ne puisse fermer ses jambes. Le maître passa sa main sur la chatte de la soumise qui était encore plus mouillée, il lui rentra facilement deux doigts dans son con, puis lui titilla le clito jusqu’aux prémices de la jouissance, là plus pervers que jamais, il lui dit :

— Non ce n’est pas le moment ! Soumise.

Un coup de cravache vint ponctuer ces mots, il était précis sur le clito de la soumise, encore un son de douleur, le maître continua, la soumise ne pouvait retenir des gémissements de douleur.

Le maître posa la cravache, il passa à la badine, il recommença sur les fesses, de la soumise, quelques coups suffirent pour que les gémissements reprennent et deviennent de plus en plus fort, la soumise ne savait plus où il y avait une partie du haut de son corps qui ne lui fasse pas mal. Le maître continua, ce ne n’était pas les gémissements de la soumise qui commandaient les coups mais la couleur que prenaient ses fesses, le maître finit par les abandonner, il passa aux seins, il retira violemment les pinces, la soumise sentie que le maître les prenait et passait un élastique autour. Celui-ci recommença à taper sur les tétons, qui étaient très douloureux, des larmes coulèrent sur le visage de la soumise.

— Pleure, tu pisseras moins !! Ponctua le maître

Les coups redoublèrent et étaient de plus en plus forts, ainsi que les gémissements et les pleurs de la soumise. Le maître passa à la chatte qu’une fois les seins de la soumise marqués et bleus. La douleur était très vive, dès le premier coup la soumise ne put retenir des cris de douleur, là encore seules les zébrures sur sa chatte firent que le maître continua ou non. La soumise ne put contenir un : « non !! Assez » à peine audible à travers le bâillon que le maître n’entendit pas ou fit mine de ne pas entendre, la soumise dut crier « Assez !! » pour que le maître entende enfin, mais il ne cessa pas pour autant, il affirma son autorité :

— C’est moi qui décide quand c’est assez !

Une dizaine de coups tombèrent encore, puis finalement cessèrent. Le maître retira les élastiques de ses seins, le sang refluant sur eux fit crier la soumise de douleur, le maître les massa et la douleur passa.

La chatte de la soumise était trempée, la cyprine coulait le long de ses cuisses et gouttait sur le plancher. Le maître lui détacha les chevilles puis les mains, lui retira le bâillon, fit mettre la soumise à genoux, et lui enfourna son vit dans la bouche, il la baisa comme un furieux, il passa derrière elle, lui retira le plug qui y était depuis le départ, et lui mit sa queue à la place, il lui défonça le cul, tout en titillant mon clito, n’y pouvant plus la soumise jouit, le maître retira sa queue de son cul, et gicla sa semence sur le visage de la soumise, elle s’écroula sur le sol, de douleur et de fatigue.

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