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I.S.A.N, une boite qui vous change… – Chapitre 3

I.S.A.N, une boite qui vous change... - Chapitre 3



Le travail dune secrétaire de direction

Le lendemain, il arriva au travail à 9h et fila directement à son bureau. En traversant laccueil, il ne fit même pas un signe à Cécile qui pourtant le regardait avec insistance. Une fois dans son bureau, porte fermée, il se mit devant larmoire. Il était encore angoissée de part ce quil allait découvrir. Il prend son courage à 2 mains et ouvra. Il vit en pendant une robe de cocktail en satin bleu pétrole. Elle avait un col qui remontait jusquen haut du cou et malgré des manches longues laissait les épaules découvertes. La robe semblait toutefois assez courte et se terminait par une partie droite qui moulait ses fesses et ne dépassant pas le mi-genou. Sur létagère de gauche il y trouva, une culotte en satin noir et un soutien-gorge rembourrée assortie. Le tout était complété par une paire de bas auto fixant de la même couleur. Il se déshabilla, enfila la culotte de satin qui eut pour effet immédiat de lui provoquer une érection. Julien ne put refréner à la fois un certain dégout mais également une certaine extase. Puis il continua en enfilant les bas telle que Laurène lui avait montrée. Il fixa son soutien-gorge après quelques essais infructueux et enfila enfin la robe. Elle était tenue par des petits crochets en haut du coup qui lui semblait impossible à fixer correctement. Cela lui faisait comme un collier en satin. Il fit de son mieux en en accrochant un, puis ferma le zip de sa robe. Il ne remarqua pas immédiatement, mais derrière la porte, avait été ajouté un grand miroir de plein de pied. Et hasard ou pas, lorsque lon se tenait devant larmoire on se voyait intégralement. Son regard se perdit dans son reflet. A ce moment précis, Clara entra dans le bureau, vêtu dune robe rouge, lui moulant le corps parfaitement. Les petites épaulettes de la robe et son décolleté mettait en avant son opulente poitrine. On pouvait voir son soutien-gorge noir qui soulignait les courbes majestueuses de la jeune femme. Ses escarpins rouges brillants et ces bas en résille noir la rendaient vraiment très désirable.

— Bonjour Julien, comment ça va aujourdhui ? La journée de hier cest bien passée ?

Un peu gêné, il lui répondit par laffirmative. IL ne souhaitait pas quelle connaisse lépisode de hier matin avec Laurène.

— Oh mais dis-moi, tu nas pas correctement fermé ta robe. Laisse-moi taider.

Alors que Julien allait refuser son aide elle se trouvait déjà devant lui. Il pouvait sentir son parfum enivrant et ne put détourner le regard de son décolleté. Clara en sembla amuser et fit comme si de rien nétait. Elle accrocha les agrafes rester ouverte au niveau du cou, puis passa derrière afin de finir de remonter la fermeture de la robe jusquen haut. Elle se recula et contempla son uvre. Le soutient gorge que portait Julien étant fortement rembourrée, cela faisait comme sil avait de la poitrine sous la robe. La vue de Clara narrangeait en rien lérection quil avait. Et sa culotte et sa robe avait du mal à masquer la protubérance grandissante. Il sen rendit compte et rougie en regardant Clara. Elle neut pas lair le moins du monde gêner et au contraire lui fis une bise et lui souhaita une bonne journée. Apres quelques secondes, Julien repris son calme (et son pénis aussi) et il sassit à son bureau en prenant soin de bien plier la robe sous lui. Là encore la sensation des bas et des sous-vêtements frottant contre sa robe ne cessait de lexcité. Il se força à se concentrer sur son travail et passa ainsi la matinée.

Apres, la pause déjeuner quil prenait systématiquement dans son bureau pour croiser le moins de monde possible, Julien sétait remis au travail. Soudain le téléphone sonna, cétait la sonnerie de la ligne intérieure. Il put lire sur le combinée : Laurène DLR. Apres 3 sonneries il décrocha le combinée.

— Bonjour Julien, Comment vas-tu ?

— Ça va.

— Bien. As-tu trouvé ton uniforme pour la journée ?

— Oui. Les réponses de Julien étaient brèves. Il navait pas la force contre Laurène dêtre plus loquace

— Très bien. Et je suppose que tout est en ordre ?

Il sentit dans le ton de sa voix une pointe de victoire.

— Oui, Je suis présentable.

— Parfait, Je souhaiterais que tu passes à mon bureau dans 30 minutes afin que je te briffe sur les attentes de ta patronne.

Julien eu un blanc. Il en avait presque oublié larrivée disabelle Lundi. De plus il sentait gêner de traverser les couloirs dans sa tenue mais ne pouvant rien refuser à Laurène acquiesça.

Trente minutes plus tard, Julien se dirigea le plus rapidement possible vers le bureau de Laurène ou il croisa tout de même deux ou trois employées qui ne semblait en rien choquées de voir Julien dans cette tenue. Cela le rassura un peu avant de franchir les portes du bureau de la DRH. A cet instant, la voie de Laurène retentie tel la parole de dieu

— Parfait, laisse-moi te regarder un instant.

Julien se figea immédiatement au milieu du spacieux bureau. Il ne la voyait pas. Il supposait quelle était derrière lui. Puis son parfum de rose lexalta et une main douce vint se poser délicatement sur son épaule et glissa le long de son dos. Son corps ne put contenir une fois de plus ses pulsions et une forte érection émergea immédiatement. Ses habits ne purent que contenir la pression, mais la bosse était bien visible. Elle lui apparue enfin devant lui. Elle portait un chemisier en satin blanc qui avait un décolleté outrageant. Sa taille était soulignée par une grosse ceinture noire. Sa Jupe Violette évasée et satinée laissait apparaitre le galbe de ses cuisses. A son habitude ces bas noirs était tenues par un porte-jarretelles que lon devinait sous la fluidité de la jupe. Elle était, égale à elle-même, une gravure de mode. Elle le regarda de pied en cape et sourit à la vue des différentes courbes quelle voyait. Elle lui caressa le torse à lendroit des balconnets comme elle laurait fait pour caresser les seins dune femme. Puis descendit sa main gauche pour sentir son sexe qui se débattait dans son carcan de satin. Tout en le regardant droit dans les yeux avec un sourire presque sadique, elle lui caressa son sexe en passant sa main sur le satin de la robe. La situation était difficilement tenable pour Julien qui était tel un pantin face à cette femme. Il était tout comme ce matin, hypnotisé par le décolleté de Laurène qui mettait en évidence ses beaux seins lourds et rond emballés dans leur demi-enveloppe de dentelle noire. Laurène le perçu et se colla contre lui afin que Julien sente la tiédeur et la douceur de ces mamelons qui sexhibait fièrement. Quand Laurène vit quil était à la pointe de lextase elle sarrêta de le caresser et lui demanda de sassoir.

— Bien, à ce que je vois tu es parfaitement en conformité avec notre code vestimentaire. Cela est un premier bon point. Toutefois, Isabelle et Anne arrivant Lundi, je dois massurer que tu es apte à remplir tes autres devoirs en tant quassistante de direction.

— « Nest-ce pas ce que je fais déjà ? » sexprima pour la première fois Julien.

— Si, mais tu as dautres taches et devoirs.

— Lesquels ? sinquiéta Julien.

— Tu dois également veiller au bien être de tes patronnes.

— « Cest-à-dire ? » Sempressa dajouter Julien

— Les désirs de ta patronne sont des ordres. Je vais tenseigner les rudiments du poste, pour le reste tu apprendras avec elles.

Julien resta sans un mot, se demandant ce qui continuait à lui arriver.

— Tout dabord Isabelle prend un café court et sans sucre 10 minutes après son arrivée. Tu devras le lui apporter.

Julien agréablement surpris repris des couleurs et acquiesça avec un sourire.

— Bien ensuite tu feras les salutations de rigueur.

— Cest-à-dire ?

— Ah décidément il faut tout tapprendre ! très bien. Nous allons faire comme si jétais isabelle. Tu vas me faire la révérence. Tu tapproches de moi et tu me baises la main. Elle tendit la main vers julien qui la pris après un moment dhésitation et la baisa.

— Très bien ensuite tu tagenouilles devant moi. Elle était restée assise sur sa chaise mais écarta les cuisses autant que sa jupe le permettait. Julien se retrouva face à lintimité de Laurène qui nétait masqué que par le string de satin blanc. Il la regarda à la fois apeuré et excité. Laurène sourit et lui dis

— Eh bien quattends tu ? Lèches moi la chatte tout de suite !

Son ton fut étonnamment autoritaire. Il ne lavait encore jamais entendu sexprimé ainsi. Voyant que Julien hésitait Laurène pris sa tête et la plongea entre ces cuisses afin quelle puisse sentir son souffle sur son sexe.

— Quattends-tu ?! Tu as perdu ta langue ?

Elle le pressa encore plus contre le satin de son string. Julien pu sentir la douce odeur de son vagin. Puis il sexécuta lentement, en léchant doucement la douceur de létoffe.

— Voilà cest bien ! encouragea Laurène. Maintenant plus fort et plus vite. Elle en profita alors pour resserrer un peu plus ses cuisses sur son serviteur qui continuait à la lecher tel un chien. Puis après quelques instant elle le repoussa doucement et lui dis :

— Très bien maintenant retire ma culotte.

Julen allait sexecuter quand elle ajouta avec un petit sourire :

— Avec les dents biens sûrs ! Et fais attention à ne pas me mordre ! Précisa t elle sur ton authoritaire.

Julien nen revenait pas, mais perdu il ne savait plus quoi faire si ce nest suivre les ordres de cette femme. Doucement il se saisie avec sa bouche de la fine piece de lingerie et tira dessus doucement. Laurène se souleva un petit peu pour laider. Puis il fit glisser le string le long des cuisses de Laurène. Elle fit un petit son avec sa bouche lui ordonnant de laisser sa culotte en haut de ces cuisses et avec ces mains lui fit passer sa tete entre sa culotte et son sexe. Son pubis était entierement rasé. Il était tout doux et son vagin si soyeux que de lui-même il ne pu se retenir de continuer à le lecher. Il ne cessait de passer de son clitoris à son petit trou. Ce qui eu pour consequence de sembler satisfaire Laurène. Elle referma à nouveau ces cuisses sur son prisonnier. Elle appuyait bien sur sa tête afin que cette dernière senfonce au maximum dans son entre jambe. Cela faisait maintenant quelques minutes que Julien avait une erection mais le plaisir semblait respectif. Il sentait le doux liquide du vagin de Laurène lemplire. Puis à force de la caresser de la sorte Laurène eu un orgasme qui se fit sentir par ces petits tremblements que nulles femmes ne peut retenir. Apres quelques secondes, post extase, elle repoussa légèrement Julien et lui dis :

— Mais dis-moi tu es très prometteur ! Maintenant nettoie moi bien. Je ne veux pas que ma lingerie soit tachée.

Julien sexécuta et lécha encore délicatement le vagin de sa DRH. Il fit en sorte que le mélange de salive et de semence soit intégralement absorbé. Quand il lui sembla « propre » il se retira. Il était à nouveau accroupi devant elle, son sexe était sortie de sa culotte et pointait sous sa robe. Il fut même surpris quil navait pas lui-même éjaculé. Tant il avait lui aussi pris du plaisir à contenter cette femme quil désirait tant.

— Bien je vois que tu fais des efforts je vais donc te recompenser. Lève-toi et approche.

Une fois de plus, il sexecuta. Il se trouva ainsi debout face à elle. Laurène était toujours assise dans son fauteuil, jambe écartée. Elle le poussa entre ses jambes afin davoir le sexe de son employée en face delle. Elle leva le bas de la robe en prenant bien soin de la faire glisser un maximum le long du membre tendu. Puis le pris doucement dans sa bouche. Ces lèvres étaient douces et chaudes et elle le suca doucement et profondément. IL ne fallut pas plus de quelques va vient pour que leffet escompter apparaisse. Julien éjacula dans sa bouche. Apres une petite déglutition, Laurène se recula et sessuya délicatement les levres avec son index. Julien était ainsi vider de sa substance et tout à fait heureux. Ce bonheur fut vite interrompu quand Laurène lui rappela que son travail nallait pas se faire tout seul. Il retourna alors un peu penaud à son bureau et repris son travail.

A 17h, Laurène repassa dans le bureau de Julien. Il retint son souffle et se demanda quest ce quelle allait encore lui demander.

— Lorsque lon porte des bas, on ne peut avoir des jambes aussi poilus. Aussi je te demanderais que pour lundi tu te sois integralement épilé.

A lecoute de cette nouvelle exigence, Julien senfonca dans son siege. Sépiler ? intégralement ? Cela allait vraiment trop loin. Il allait répondre quand Laurène ajouta :

— Toutefois, jai conscience que cela nest peut être pas naturel pour toi. Cest pourquoi jai demandé à quelquun de venir taider demain chez toi.

— Demain ? Chez moi ?… Qui ?

— Clara. Il me semble que tu tentends bien avec elle. Cela devrait donc être plus facile ainsi. Elle passera à 14h demain à ton domicile. As moins que tu preferes que nous fassions cela dans un institut ?

— Euh non ! répondit Julien

— Très bien, jai déjà prevenu Clara de sa tâche. Bon WE Julien.

Et elle mis fin à la conversation de la sorte. Julien neu même pas le temps de réagir quelle avait déjà quitté son bureau. Julien nen revenait pas. Dabord la tenue, puis cette « révérence » et maintenant lépilation. Et même Clara à son domicile

Le lendemain à 14h, la sonnette de son studio retentit. Angoissé, Julien alla ouvrir la porte. Cétait bien Clara, dans une robe en velours violette fendu sur le côté. La forme en cache cur mettait une fois de plus en valeur la beauté de sa plastique. Des bas noir et des escarpins complétaient la toilette. Elle avait lissé ces cheveux qui lui tombait jusquà sa poitrine. Son rouge à lèvre soulignait quant à lui ses levres pulpeuses. Elle tenait dans sa main gauche un petit sac en cuir noir.

— Je ne te dérange pas ? sempressa telle de lui demander ?

— Non, non répondis Julien un peu géner de voir une telle beauté dans son minable studio.

— Laurène ma demandée de taider à te préparer.

— Oui je suis au courant

— Bien ne tardons pas trop. Je crois savoir que nous avons du boulot ! Enchérit elle en souriant.

Elle me demanda ou était la salle de bain et me fit la suivre. Elle me montra alors la douche et me tendis une tondeuse électrique. Avec un peu de pudeur, je me tournais pour que Clara ne me voit pas totalement nu mais cela ne lui convenait pas. Elle voulait sassurer que je passait bien partout. Elle me fis lui faire face et me pris lappareil. Ces mains expertes ont eu raison de mes poils en moins dun quart dheures. Puis elle fis mettre une crème sur les parties génitales afin déradiquer les derniers poils rebelles. Apres, la tondeuse, la crème épilatoire et un peu de cire je me retrouvait complètement imberbe. Je me sentit un peu émasculé. Elle me tendis mon peignoir et me fis sortir de la salle de bain.

— Bien maintenant tous les matins tu te rases les poils avec ton rasoir. Cela devrait être assez rapide. Fait attention tout de même à ne pas te couper ! Précisa telle en souriant.

Puis elle resta figé devant moi un instant, un peu géné. Puis elle dit :

— Laurène ma également demandé de massurer que tu navais pas oublié le « protocole »

— Le protocole ?

Clara, un peu embarrassée sassit sur la chaise de la cuisine et me regarda droit dans les yeux. Puis elle me tendis sa main. Je voyais sa main trembler mais ce nétait rien à coter des tremblements de mon corps. Apres quelques longues secondes à ce que nous restions nous regarder, je mavanca vers elle et magenouilla devant elle après avoir baisée sa main. Clara écarta alors ces jambes permettant à la fente de sa robe de dévoiler son intimité. Elle portait un shortie en dentelle pourpre qui ne cachait presque pas son vagin. Elle me pris doucement la tète et me la fit coulisser entre ces cuisses glissant ainsi le long de ces bas. Apres une seconde dhésitation je me mis à la lecher doucement, la faisant ainsi respirer fortement. Comme si cela lui provoquait des bouffées de désir. Apres avoir presque trempé sa culotte, elle me fit reculer lentement la tete et me regarda. Puis ajouta en mimplorant presque :

— La suite.

Je compris alors ce que je devais faire. Comme Laurène mavait montré, je fis glisser doucement son slip jusquà mi-cuisse et me glissa à nouveau entre ces jambes. Je lui mordilla alors lentement le clitoris puis lécha doucement entre ses lèvres. Là encore, la situation me fit avoir une érection. Mais je ne sais pas si cétait le fait dêtre imberbe mais les sensations étaient décuplées. Mon gland et mes bourses étaient devenus extrêmement sensible. Et même à genoux mon sexe pointait fierement en dehors de ma robe de chambre. Je continuai à lui lécher le vagin et le clitoris pendant encore 10 bonnes minutes quand je sentis son orgasme venir. Elle ne put retenir un cri de satisfaction alors quelle enfonçait ma tête encore plus dans son entre jambe. Apres quelques instant ainsi coller, elle me libera. Et là encore comme pour une récompense, elle me pris les mains et me fis me lever puis avala mon sexe. Ces caresses sur mes bourses, ainsi que la pression de ses levres sur mon gland eurent raison de moi en quelques minutes. Jexplosa dans sa bouche. Moi aussi je ne pu retenir un cri de satisfaction. On resta se regarder ainsi pendant quelques secondes puis elle se leva. Elle se dirigea vers la porte et juste avant de partir elle me dis :

— Tu es prêt pour Lundi. Laurène ma également demandé de massurer que tout soit en ordre lundi matin avant larrivée disabelle. Je passerais donc à ton bureau lundi matin à 8H10 pour taider à thabiller.

Puis elle partit en courant dans lescalier, comme si elle ne voulait pas que je la rattrape. Je me retrouvais à moitié nu dans mon studio vidé et heureux. Heureux davoir pu faire plaisir à Clara. Elle qui était également si désirable

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