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Incertitudes hivernales – Chapitre 5

Incertitudes hivernales - Chapitre 5



Les marcheurs reviennent à 18h, bien fatigués. La randonnée aura duré 8h. Albert nous donne rendez-vous à 19h30 pour la soirée blanche et tous aspirent à un peu de repos avant la soirée. Chacun regagne son bungalow sauf Cathy qui préfère se détendre dans la piscine. Je l’y rejoins. Cathy passe sa main dans mon dos, sur mes fesses. S’assurant de notre solitude, elle m’embrasse rapidement.

— Tu as passé une bonne journée ?

En un instant, je décide d’avouer mon intrusion chez elle.

— J’ai été me branler dans ta chambre.

Elle éclate de rire. Voyant mon air un peu gêné, elle comprend que je plaisante pas.

— Tu as vraiment fait ça ?

— Je… Je suis désolé. Je pensais à toi ici même et j’ai voulu aller me masturber dans ma chambre. Puis je me suis souvenu que la clé de la tienne était là.

— Continue.

— Je suis entré, j’ai vu la photo de tes enfants sur la table de nuit. J’ai été dans la salle de bains, j’ai ouvert ton armoire puis j’ai pris tes vêtements d’hier. Je voulais avoir ton odeur. Et ton string est tombé…

Cathy passe alors la main dans mon caleçon de bains et commence à me masturber.

— Tu as pris mon string ?

— Ou… oui… Il sentait… f… fort…

— Tu as aimé ?

— Comme un shoot, comme un drogue. J’ai plané.

Elle sourit.

— A ce point là ?

— Oui.

— Tu as joui dedans ?

— N… non.

— Tu aurais dû…

Elle cesse sa masturbation.

— Je vais aller dans ma chambre me préparer. Mais j’ai bien envie d’un petit cadeau avant d’y aller.

Sourire très coquin. Elle poursuit :

— Vu que tu as aimé mon string d’hier que je n’avais mis que pour la soirée, que penses-tu de celui que je portais aujourd’hui. J’ai eu très, très chaud et j’ai pensé à toi plusieurs fois. Je te laisse imaginer son état…

Je souris. Elle ajoute :

— Il est au milieu de mes vêtements sur la chaise là-bas, près du bar, et j’aimerais bien que tu jouisses dedans.

— Ici ?

— Où tu veux. Mais fais vite !

— Tu m’aides ?

— Non. Mais j’aimerais bien te regarder en train de te masturber.

Elle m’embrasse.

Je sors de l’eau et je vais chercher son string. Effectivement, l’odeur est autrement plus puissante que celui de la veille, tout comme son état. Tâches blanchâtres tenant sur le jaunâtre, affreux. Je regarde autour de moi et décide d’aller derrière le bar. Je commence à me branler en regardant Cathy. Elle sors de l’eau et vient au bout du bar. Nous ne sommes séparés que de trois ou quatre mètres, je suce son string et le spectacle semble beaucoup lui plaire. Mon excitation monte très vite et j’explose rapidement dans la fine étoffe. Cathy s’approche alors, s’agenouille devant moi et me suce quelques courtes secondes, juste de quoi avaler les dernières gouttes de mon sperme.

Elle se relève alors et lèche son string que je lui ai rendu. En me regardant dans les yeux. Je pose alors ma main sur son entrejambe puis dans son bikini. Je la masturbe, comme elle me l’avait indiqué deux jours avant sur la plage.

— J’ai tellement envie de toi, tellement… Il faut que tu arrêtes sinon je ne vais plus répondre de rien.

Je continue. Elle attrape ma main.

— Arrête. Vraiment.

Un baiser et elle s’en va en trottinant.

Je remonte également à mon bungalow et me prépare pour la soirée. Je mets une chemise blanche et un pantalon en lin et je descends préparer les apéritifs avec Albert et Daniel. Cathy arrive en même temps que les autres et elle est sublime dans son combishort. Nous échangeons un regard complice puis Cathy me rejoint derrière le bar lorsqu’Albert et Daniel le désertent. Murmures.

— Tu es divine, Cathy.

— Et toi, donc…

Je pose une main discrète sur ses fesses. Elle frissonne puis calme mes ardeurs avec un sourire.

— Pas ici, pas maintenant.

Albert a fait préparer un excellent repas par un ami martiniquais et nous nous délectons des langoustes grillées et de poulet boucané. Le punch coule à flots et Albert n’est plus tout à fait en mesure de jouer de la guitare. Aussi, nous mettons de la musique et dansons. Je profite d’un slow pour inviter Cathy et nos murmures sont couverts par la musique.

— Je sais que je n’ai pas le droit de te dire cela, mais j’ai envie de te revoir en rentrant.

— Moi aussi. Je n’ai pas envie que cela finisse avec ce séjour.

— Tu me fais craquer, Florent.

Je souris.

— J’ai déjà craqué pour ma part. Tes robes et tes jupes me font bien plus fait tourner la tête que le punch.

Cathy rit. J’ajoute.

— Et puis… et puis j’adore quand tu ne mets rien sous tes hauts, comme ce soir.

— Je l’ai remarqué dès le début de la semaine ! Tu es un coquin ! Mais je mentirais si je ne disais pas que je fais la même chose avec toi…

Nous nous regardons. Je dis :

— J’espère que la soirée ne va pas tarder à finir.

— Ne te fais pas trop d’illusions. Comme c’est parti, nous ne sommes pas couchés.

Cathy avait raison. Nous avons mangé encore, bu encore, fini toutes et tous habillés dans la piscine. Et j’étais bien trop ivre pour constater des transparences ou pour faire des bêtises avec Cathy. Je me souviens par flash de la manière dont je suis revenu à mon bungalow et comment je m’y suis couché.

Le lendemain matin, le réveil est difficile. La journée est consacrée aux bagages et nous partons pour l’aéroport en début d’après-midi. Je fais la sieste après le check-in. Dans l’avion, Cathy et moi sommes assis côte à côte et Cathy garde ma main dans la sienne durant la majeure partie du voyage. Après notre courte escale à Paris, nous ne sommes plus assis à côté.

En milieu de matinée le dimanche 16 novembre, le principal choc n’est pas l’atterrissage un peu brutal du pilote sur la piste, mais la tenue de Jessica lorsque je franchis les portes des arrivées. Ma copine est un fantasme, sexy et excitante au possible. Elle porte un tailleur jupe strict gris bleu et un blazer assorti sous lequel elle a passé un chemisier de mousseline noire. La tenue pourrait être neutre si le chemisier ne laissait pas transparaître ses gros seins dressés avec arrogance par un redresse-sein et si la jupe stretch ne moulait pas le porte-jarretelles tant sur ses cuisses que sur ses fesses. A cela, il faut ajouter des bas couture et des talons vertigineux. Avant d’arriver à elle, Daniel m’avait d’ailleurs glissé avec ironie :

— Oh ! On dirait que Jess’ est contente de te retrouver.

Jessica m’enlace tendrement et notre baiser est doux, en contradiction avec sa tenue.

— Tu es trop belle et trop sexy…

— Ce que j’ai trouvé de mieux pour "secrétaire salope".

J’éclate de rire et Jessica également.

Nous saluons les autres vacanciers et promettons de faire prochainement une soirée pour nous revoir et échanger des photos. Cathy et moi nous enlaçons au moment de nous quitter. Elle me murmure :

— Appelle-moi…

Jessica me fait une remarque à propos de cette étreinte. Je ne relève pas. Elle me donne les clefs de sa voiture et nous partons. Sur l’autoroute, elle me caresse l’entrejambe puis sort mon sexe et me suce durant la dizaine de minutes qui nous sépare de mon appartement. Notre ébat en y arrivant est tout bonnement fabuleux. Jessica est en pleine forme, incroyablement belle, sensuelle et coquine.

Tandis qu’elle se rhabille, je me douche et nous sortons ensuite manger au restaurant. Jessica attire les regards et je sais qu’elle fait cela pour moi, car elle n’aime pas tant être le centre d’attention. Elle m’annonce qu’elle s’est achetée un gode le jour de mon départ et qu’elle s’est "entraînée" à la sodomie durant la semaine. En rentrant chez moi, je baise une petite secrétaire salope qui joue son rôle à merveille. Nous réessayons la sodomie et malgré son entraînement, je sens bien que Jessica a toujours mal. J’éjacule néanmoins dans son cul sans avoir pu pleinement y pénétrer. Nous aurons deux autres rapports avant la fin de la journée. Exceptionnellement, Jessica dort à la maison le dimanche soir, mais elle doit se lever à 6h le lendemain matin pour être à l’heure en cours. Je ne l’entends même pas partir, en plein jet lag.

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