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Inceste, la réalité est encore mieux que le rêve. – Chapitre 2

Inceste, la réalité est encore mieux que le rêve. - Chapitre 2



Inceste, du rêve à la réalité.

Résumé: Michel et Claudine ont sauté le pas.

Il l’a un peu forcée au début mais maintenant qu’elle a connu l’extase avec son fils, elle en redemande.

Chapitre 7 :

Michel veut passer à l’étape suivante, enculer sa mère avec son formidable soc.

Le lendemain matin, Claudine va retrouver en petite tenue Michel dans sa chambre, il est encore endormi. Elle tire le drap et découvre tout sourire la queue en semi-érection.

Elle se baisse, s’approche de l’objet de sa convoitise et voit devant son visage le sang qui palpite dans la verge qui se dresse tel un mât de cocagne.

Sa chatte a aussitôt des spasmes de plaisir, se souvenant de ce qu’elle a subit la veille.

 Elle imagine à nouveau cet énorme colosse labourer sa chatte offerte, s’enfonçant profondément dans sa fente, se défoulant dans sa grotte d’amour.

Sa respiration s’accélère à regarder cette énorme vit. Elle se penche et gobe délicatement l’extrémité de son sexe entre ses lèvres charnues.

Il gémit doucement et elle n’ose plus bouger de peur de le réveiller.

Elle avale sa bite entièrement, repoussant avec ses lèvres la peau recouvrant le gros gland mafflu jusqu’à ce que son nez se noie dans les poils pubiens.

Sous ses caresses buccales, le barreau de chaise prend une taille fantastique en continuant de grossir et de durcir se transformant en une grosse matraque.

Elle en a plein la bouche et la verge massive repousse petit à petit son visage, son nez est maintenant à plus de 5cm de la toison pubienne du jeune homme.

 Elle entend un gémissement plus fort.

Claudine retire sa bouche de cette jeune bite fièrement érigée, elle enjambe ce corps musclé et se met à califourchon sur son fils, elle prend son gourdin d’une main et le frotte sur sa vulve

Elle tente de lui mettre un préservatif mais celui qu’elle a apporté est de taille standard et est trop petit, il ne veut pas se dérouler sur son gland congestionné, l’épi de son fils est beaucoup trop gros.

— Pardonne-moi Michel, mais je ne peux pas résister plus longtemps à l’appel de ton monstre!

Et avec une infinie lenteur elle soulève son bassin et lentement s’empale sur le pieu monstrueux, sa fente s’écarte sous la pression de l’épi qui repousse ses chairs, elle gémit.

Il lui faut de nombreux va-et-vient pour s’empaler complètement. Toutefois son sexe n’a pu absorber complètement l’énorme bite de Michel.

Quelques centimètres restent à l’extérieur et n’ont pas droit à la visite de sa grotte.

Le sexe complètement distendu par le pal qui la pénètre, elle monte et descend lentement, les yeux fermés, se mordant la lèvre inférieure.

 

— Oh mon Dieu, qu’elle est grosse, ce n’est pas possible d’avoir une si grosse bite!

Son bassin s’active en douceur sur cet interminable pal et commence à faire des va-et-vient très lents puis de plus en plus rapides avant de le retirer presque complètement de son vagin.

 

Hier elle avait douté qu’une femme puisse accepter dans son sexe, un engin d’une telle grosseur. Ce matin, elle réalise l’impensable mais la veille elle avait dû subir contre son gré au début cet extraordinaire chibre au fond de son sexe, s’était différent.

Après plusieurs années d’abstinences un membre masculin la pénétrait, la fougue d’un adolescent en rut au pal démesuré la pourfendait.

Mais ce matin, elle a décidé de mener les ébats sexuels à sa manière, elle sait exactement à quoi s’attendre.

Elle veut connaître de nouveau ces orgasmes qui l’ont pratiquement anéantis mais en apportant du plaisir à son fils chéri.

 Elle a choisi cette position dont elle raffole et lui permet de mieux percevoir l’organe viril à l’intérieur de son vagin, et vu la longueur du membre de son fils, elle est certaine de connaître encore le plaisir. Soudain elle entend :

— Bonjour Maman, quelle agréable façon de me réveiller.

-Bonjour mon fils, laisse-toi faire, ne bouge surtout pas.

Il regarde avec concupiscence les gros seins ballotant aux larges aréoles, une moiteur torride lui enserre la verge quand sa mère s’empale totalement dessus.

Comme un carcan, le fourreau brûlant compresse son membre sous la puissance de ses muscles vaginaux.

C’est une sensation inconnue pour lui, sa queue aboute le col de l’utérus, comme aspiré dans le sexe féminin tant convoité qui a englouti sa verge.

La veille, trop occupé à la montée de son propre plaisir, il ne se souvient pas d’avoir ressentit ce massage intime.

Il a eu quelques aventures mais les seules filles qui ont eues le courage d’accepter sa verge si épaisse n’ont pas pris de plaisir tellement elles étaient dilatées au-delà de ce que leurs jeunes chattes pouvaient accepter. Lui n’on plus n’en garde pas un bon souvenir.

 Mais ce matin, il veut rester stoïque, se refusant à succomber trop rapidement à la jouissance,

laissant sa mère diriger leurs ébats à sa guise.

 La sensation est si agréable qu’il ne peut empêcher son bas-ventre de se projeter brusquement en avant, un gémissement s’échappe de ses lèvres.

— C’est bon, mon chéri ?… Tu apprécies ?… Tu veux que je continue ?…

Pour toute réponse à sa question elle entend un grognement euphorique de Michel.

 Elle appuie ses deux mains sur le torse du garçon, se déhanchant en massant érotiquement le pieu formidable par des contractions de son vagin détrempé, se procurant une merveilleuse béatitude.

Elle surveille la montée du plaisir sur le visage de son fils voulant lui apprendre à dominer son corps et ses envies pour prolonger l’acte le plus longtemps possible pour le plaisir de sa partenaire.

Mais le frottement voluptueux sur son clitoris de la poutre massive écartelant son sexe met à rude épreuve ses intentions de garder le contrôle, déclenchant dans ses entrailles la libération de sa liqueur vaginale.

Une vanne vient de s’ouvrir libérant un flot de cyprine brûlante qui ruisselle et englue les cuisses et les couilles de Michel.

Plus elle le chevauche, se pénétrant au maximum de ses possibilités, plus elle libère la chaude liqueur qui suinte de sa chatte dilatée à l’extrême.

Michel fait tout pour rester impassible au massage affolant de sa verge par le vagin de Claudine mais ne peut résister à agiter son bassin pour accompagner le rythme sensuel de la chevauchée fantastique de sa mère.

Il projette ses mains pour saisir les seins gonflés qui ballotent érotiquement devant ses yeux, au rythme de la chevauchée de la cavalière sur son étalon.

 Heureuse de cette initiative tant attendue, elle éprouve de la satisfaction.

 Ses doigts se referment sur les mamelles enflées, malaxant sous sa poigne ses obus gonflés par le désir, pinçant ses tétins aussi durs que la verge du mâle. Elle l’interroge.

— Tu les aimes mes gros seins, mon amour? Frotte bien les bouts, tu les sens comme ils sont durs ?

Au comble du bonheur Michel lui répond voyant qu’elle apprécie ses caresses.

 – Oh oui, j’adore les caresser, aguicher tes mamelons.

-Moi aussi j’aime beaucoup, mais ne bouge pas, prends sur toi pour repousser la montée de ton plaisir.

Malgré les recommandations de sa mère, le feu ardent qui enveloppe son engin lui devient de plus en plus insoutenable l’amenant doucement à l’explosion finale.

Des contractions de plus en plus rapprochées se font sentir dans son bas-ventre et il doit faire un violent effort pour retarder l’éjaculation, il gémit dans un appel à l’aide désespéré.

— Maman, je, je crois que !

Claudine comprend que si elle continue, il va exploser, elle s’immobilise assise sur ses jambes, cessant les va-et-vient sensuels de son sexe le long du colosse de chair qui la pourfend, la formidable verge enchâssée au plus profond dans son fourreau bouillant.

Elle voit les crispations de son visage sous ses efforts pour ne pas éjaculer.

— Calme-toi mon chéri… Essaie de détourner tes pensés Respire lentement… Voilà, je te laisse tranquille… Respire bien à fond…

Michel bande toute sa volonté en écoutant ces paroles et repousse lentement la fabuleuse tension accumulée dans son corps. La chambre est plongée dans le silence, il a fermé les yeux se concentrant pour que son esprit reprenne le pouvoir sur sa libido, sa respiration s’apaise.

Peu à peu, il se détend.

La tension au paroxysme de son chibre s’estompe peu-à-peu. Il se sent de nouveau d’attaque, et espère ne pas réveiller trop vite le volcan qui sommeille dans ses bourses, il est prêt à reprendre le sensuel rodéo érotique.

Claudine sent à l’intérieur de sa grotte le membre viril qui a perdu un peu de son volume.

 Elle est fière que Michel soit devenu maître de son désir en résistant à la jouissance libératrice, se rendant victorieux de cette terrible épreuve.

Elle va tout faire pour qu’il devienne un amant exceptionnel, mais il a encore beaucoup à apprendre d’elle, étant prête à apaiser ses besoins sexuels, chaque fois que ceux-ci se montreraient par trop pressants.

Mais elle compte bien profiter aussi de ce gourdin pour apaiser sa chatte avide de plaisir.

— Ça va mieux, mon chéri?… Tu vois que tu peux apprivoiser ton envie si tu le veux et prolonger le plus longtemps possible l’acte sexuel avec ta partenaire.

Claudine reprend sa sensuelle chevauchée fantastique, d’abord lentement afin de ne pas raviver trop vite le feu de son jeune amant.

 Michel acquiesce, attentif à contrôler son désir mais ne peut se retenir que quelques minutes avant d’inonder le vagin de sa mère de son foutre en longues giclées épaisses.

Claudine se relève désolidarisant sa chatte de cet axe imposant qui a perdu un peu de sa superbe, elle libère ainsi la liqueur séminale qui se répand sur les couilles et la bite déjà poisseuse de sa mouille.

Claudine se positionne tête-bêche sur Michel et descend tout le long de son corps le couvrant de coups de langue et de baisers pour terminer en embouchant sa queue ramollie qu’elle nettoie d’une bouche experte.

La fellation a tôt fait de redonner vie à cette chose endormie qui se dresse et se transforme en un massif poteau bien droit.

A suivre

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