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Indispensablement Tienne – Chapitre 4

Indispensablement Tienne - Chapitre 4



— Chloé ?!

Le cri m’échappa. Sa sur. Sa putain de sur était là, en sous-vêtement avec nous et face à moi alors que j’étais totalement nue et attachée.

— Surprise, bébé, me dit Stéphane. Avant de chuchoter à l’oreille de sa sur : lève-toi, va la caresser.

Elle se redressa et s’approcha de moi, fit le tour de la chaise en passant ses mains sur mes épaules, puis mes seins qu’elle soupesa. Enfin, elle s’agenouilla devant moi et caressa ma poitrine, mes hanches, mon ventre et mon clito. Les doigts de Chloé étaient fins et habiles. Tendres, presque. Et bien que ces caresses fussent agréables, je tirai sur l’adhésif et tentai de me libérer. Stéphane, de son côté, avait fait tomber tous ses vêtements et, son membre dans la main, montait et descendait doucement.

— A quoi tu joues, bordel ? Demandais-je furieuse.

— Tu m’as demandé de te surprendre !

— Pas au point de ramener ta sur, espèce de malade !

Sur ces mots, il se leva et me gifla violemment.

— Ne me manque pas de respect, petite pute, dit-il avant de prendre Chloé par les cheveux pour la tourner face à lui. Si tu ne veux pas participer, tu peux toujours regarder. Ouvre.

Sa sur s’exécuta et ouvrit sa bouche. Il y enfonça sa queue, le plus profondément possible et ressortit, avant de recommencer. Chloé ne bougeait pas. Des filets de bave coulaient de sa bouche et glissaient sur sa poitrine, son visage changeait de couleur lorsqu’elle manquait d’air, mais elle restait d’un calme admirable. Son frère la prit par la gorge et la souleva pour la jeter sur le lit. Puis il vient vers moi, en me regardant dans les yeux et posa ses mains sur les accoudoirs. Mon cur battait à toute vitesse, je respirais comme si je venais de courir un marathon, mais n’osais pas détourner le regard.

Soudainement, il traîna la chaise jusqu’au lit pour me rapprocher de la scène. Il ôta la culotte de sa sur et la fourra dans ma bouche avant même que je ne puisse réagir. Elle avait un goût de cyprine très très fort, j’en étais secouée par des haut-le-cur, mais ne pouvais pas la recracher. Il venait de mettre de l’adhésif par-dessus.

Après cela, il écarta les cuisses de sa sur et se glissa entre elles, sortit ses seins de son soutien-gorge et commença à jouer avec ses tétons. Ils les faisaient rouler, les pinçaient, les tiraient, avant de les mettre dans sa bouche pour les sucer, en me regardant moi.

J’étais aussi paumé qu’excitée. Stéphane était là devant moi, à moins d’un mètre, il léchait les seins d’une autre femme. Ceux de sa sur. Quant à moi, j’étais attaché et bâillonné sur une chaise. Mon intimité était offerte à tous, et je ne pouvais absolument rien faire. Je ne pouvais même pas laisser penser que la situation me déplaisait, une flaque de cyprine s’était formée sous mes fesses et sur la chaise… Peu à peu, mes tentatives d’évasion se transformèrent en supplication. Je voulais qu’ils me touchent.

Stéphane releva sa sur en la tirant par les cheveux et s’allongea. Une fois qu’elle fut sur lui, Chloé s’activa et ondula sur son frère qui la fessait à intervalle régulier.

— Plus vite ma belle, vas-y, empale-toi bien, dit-il avant de rentrer un doigt dans mon intimité.

Ce n’était qu’un doigt et pourtant, je sentais la chaleur se répandre dans mon corps. Je soupirais d’aise, de délivrance, toujours coincée sur ma chaise. Stéph rentra un deuxième doigt, puis un troisième… Et se retira.

— Je vais te faire un cadeau chérie, dit-il à a sur en l’aidant à descendre.

Il se releva et me détacha à l’aide d’une paire de ciseaux, il ôta mon bâillon et je recrachai la culotte de sa sur, avant qu’il ne me demande de joindre mes poignets. Il les rattacha ensemble et me poussa sur le lit. Chloé vint jouer avec mes tétons pendant que Stéphane écartait mes jambes pour jouer avec mon clitoris.

— Assieds-toi sur son visage, je veux la voir te lécher. Ce n’est pas grave si elle manque d’air de temps en temps, dit-il à sa sur.

Trop excitée, ma langue sortait déjà de ma bouche, réclamant ce qu’on lui avait promis. La sur de Stéphane passa une jambe de chaque côté de mon visage et descendit suffisamment son bassin pour qu’en agitant ma langue, je puisse fouiller son intimité. Elle dégoulinait elle aussi, et sentait encore plus fort que sa culotte. Sa mouille coulait dans ma bouche. Elle s’appuyait sur mes poignets, attachés au-dessus de ma tête, et ondulait au rythme des coups de ma langue. Stéphane quant à lui, avait continué de titiller mon clitoris, et je crois qu’il caressait également le petit trou de sa sur puisque je ne sentais pas sa deuxième main. Chloé agita son bassin de plus en plus vite, je pouvais sentir ses genoux trembler et plus ça allait, plus elle se reposait sur mon visage…

Vint le moment où je ne pus plus respirer. Je m’agitais et tournais la tête, espérant retrouver un peu d’air. Mais Chloé serrait les cuisses. Elle écarta ses deux lèvres, plaça mon nez entre elles et les referma. Quelques secondes passèrent avant que je ne tente de nouveau de me libérer. Cette fois elle se releva et j’inspirais à pleins poumons. Stéphane me retourna de son côté pour me mettre à quatre pattes et me présenta sa queue. Je ne me posais pas de question et ouvrais ma bouche. J’étais à eux maintenant.

Alors que j’étais toujours très occupé avec la queue de Stéphane dans ma bouche, je sentis le matelas s’affaisser derrière moi. Chloé gifla mes cuisses pour me faire comprendre que je devais les écarter. Mon amant se retira de ma bouche et m’attrapa par les cheveux.

— Écarte, sale chienne.

Doucement, j’écartai mes cuisses et présentai mes fesses à sa sur à qui il fit un petit signe de tête. Elle s’avança et commença à me prendre avec ce qui semblait être un gode ceinture. Je gémis et peinai à rester droite tandis que Stéphane me tenait toujours les cheveux. Alors, il me présenta un gode monumental.

— Suce ça. Et applique-toi, lubrifié ou non il finira dans ton cul.

Je m’exécutai, ouvris la bouche et l’imbibai de salive autant que possible.

— Ca suffira, déclara-t-il.

— Quoi ? Non attend…

Une claque s’abattit sur ma fesse droite.

— Ne bouge pas, petite conne ! S’énerva Chloé en s’emparant du gode.

Elle le plaça à l’entrée de mes fesses et commença à pousser. Je tentais de me détendre au maximum, mais sentais quand même l’énorme gode rentrer en moi et me déchirer.

— Fais-lui mal, frangine. Elle aime ça.

Alors Chloé tapa d’un coup sur le gode pour le faire entrer plus vite et plus violemment dans mon cul. Je hurlais. De surprise, de douleur, de plaisir. Je me sentais à deux doigts de basculer.

— Attends, arrête, dit mon amant à sa sur. Je la connais quand elle est comme ça, elle va jouir.

Sa sur se retira en enleva également le jouet de mes fesses. Stéphane était debout, il m’ordonna silencieusement de venir jusqu’à lui. Mes jambes tremblaient tellement que je fus étonnée qu’elles me soutiennent. Il attrapa mon coude et plaça mes poignets joints au-dessus de ma tête derrière mon dos. Je ne bougeais pas. Il caressa mes seins, les prit en coupe dans ses mains. Je fermais les yeux et appréciais ce moment jusqu’à ce qu’une morsure me fasse hurler. En descendant mes yeux vers mes seins, je constatai que Stéph y avait attaché deux petites pinces noires. Elles écrasaient mes tétons et me faisaient atrocement mal. Mon amant tira mes cheveux et me força à garder la tête en arrière. Sa sur passa entre nous, elle écarta mes lèvres et accrocha une troisième pince, reliée aux deux autres, à mon clitoris. Je gémissais de plaisir.

— Je vais prendre ma sur par-derrière et toi, tu vas la lécher jusqu’à ce qu’elle jouisse dans ta bouche et inonde ton visage. Si j’entends ne serait-ce qu’un bruit ou un début d’orgasme, je tirerai sur cette chaîne. C’est compris ? Demanda-t-il en maintenant mon menton.

Je hochai la tête.

— Compris.

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