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Initiation – Chapitre 1

Initiation - Chapitre 1



Diane se sentait toute timide en sonnant à la porte de son oncle Philippe ce samedi en début de soirée. Elle savait bien pourquoi elle venait, mais là, devant la porte, elle faillit reculer. Si ce n’était l’admiration et l’attirance qu’elle éprouvait envers son oncle, âgé il est vrai d’à peine plus de 10 ans qu’elle, elle se serait enfui en courant. Diane était belle et le savait : elle portait avec arrogance sa silhouette svelte de jeune fille de 20 ans. Un visage bien dessiné, aux courbes adoucies encadrait de magnifiques yeux noirs qui la faisait ressembler à Sofia Loren. Cette ressemblance ne s’arrêtait pas là, puisqu’elle en avait aussi le corps sculptural et la poitrine pleine. Cependant, malgré de tels atouts, elle avait toujours résisté aux assauts répétés des jeunes de son âge, qu’elle trouvait un peu niais. Jusqu’au jour où elle avait rencontré Damien, qui montait à cheval au même club hippique. Elle en était tombé amoureuse presque immédiatement, avec la certitude de la jeunesse d’avoir trouvé l’homme de sa vie.

Il s’agissait maintenant de ne pas le décevoir, car Diane était pour ainsi dire vierge, tant en caresses qu’en connaissances. Son éducation dans une pension austère et très fermée l’avait tenu à l’abri des aventures juvéniles, à quelques attouchements près.- Entre voyons, tu ne va pas rester dehors toute la soirée

— Merci, mon oncle, répondit-elle en passant devant lui, respirant l’espace d’un instant la saveur épicé de son eau de toilette.

Après s’être installée du bout des fesses sur l’un des canapés bordant la cheminée, elle se sentit d’un seul coup comme paralysée à l’idée de ce qui l’attendait.

— Tu tombes bien, je m’étais justement ouvert une bouteille d’un délicieux champagne et je déteste boire seul. Que puis-je pour toi ? lui demanda-t-il, après l’avoir servie. Diane hésita quelques secondes, mais finalement sa résolution reprit le dessus et elle tenta de s’expliquer, non sans timidité.

— Eh bien voilà, euh, j’ai rencontré un garçon, Damien et je crois que je suis amoureuse de lui. Mais il est, comment dire, très ? expérimenté. J’ai entendu dire qu’il a eu plusieurs liaisons, dont certaines avec des femmes plus âgées que lui, déjà des mères. Quant à moi, je suis, je l’avoue, euh, ? totalement novice, si vous voyez ce que je veux dire.

— Tu aimes ce garçon, mais tu as peur de le décevoir, sur le plan, disons, physique ?

— Oui, c’est exactement cela, dit-elle avec soulagement, surprise de s’apercevoir combien son oncle avait facilement compris la situation. Alors, j’ai pensé que vous pourriez peut-être me, comment dirais-je, ? , me conseiller ?

Philippe savait maintenant à quoi s’en tenir, et il se mit à observer de plus près sa nièce, qu’il avait toujours trouvé très attirante : le champagne aidant (il venait de lui resservir une deuxième coupe), elle avait un peu abandonné l’air stricte qu’elle arborait toujours et s’était assise plus confortablement dans le canapé qui faisait face au sien. Dans ce mouvement, sa jupe plissée en tissus écossais s’était remontée, laissant apparaître une partie de ses cuisses, protégées par un fin collant de couleur chair. Elle était bien appétissante, sa nièce, mais il ne voulait pas donner l’impression de lui céder si facilement.

— Diane, dit-il enfin avec un peu de sévérité dans sa voix, tu sais que je t’aime beaucoup, et je comprends ce que tu attends de moi. Je voudrais être sûr que tu as bien réfléchi à ce qui va se passer, car je ne voudrais à aucun prix que tu puisses le regretter un jour. J’accepte de faire ton ? initiation. As-tu bien conscience qu’il s’agit de sexe, d’érotisme, de plaisir et de jouissance, de domination et parfois même de douleur ? dit-il en insistant sur le dernier mot, afin de tester sa détermination. Sauras-tu aller au bout de ton désir et accepter mes indications ? obéir à mes ordres ?

— Oui, mon oncle, dit-elle d’une voix à peine audible, mais résolue, comme le oui que l’on prononce le jour de son mariage. Puis elle reprit : Oui, je vous obéirai en tous points, mon oncle.

— Commence donc par m’appeler Philippe. Tu reprendras le ’mon oncle’ quand tu auras quitté cette maison. J’ai besoin de savoir exactement, disons, où tu en es. D’abord, est-ce que tu te caresses ?

Diane parut d’abord choquée par la brutalité de la question, mais elle se rappela sa promesse et finit par répondre :

— Oui, cela m’arrive parfois, quand je n’arrive pas à dormir.

— Souvent ?

— Euh, environ trois fois par semaine

— Tu jouis à chaque fois ?

— Presque à chaque fois, mais pas avec la même force

— Qu’est-ce qui te fais jouir le plus ?

— Quand je pense à des choses ?

— Diane, je veux que tu sois très franche et directe dans tes réponses, alors ne m’oblige pas à répéter mes questions

— Eh bien, je m’imagine qu’un homme me caresse sans que je vois son visage. Il est très doux, mais en même temps, il me donne des ordres crus, avec des mots qui me choquent, mais m’excitent terriblement.

— Par exemple ?

— Il m’ordonne d’écarter les cuisses, me dit que je mouille beaucoup, que je le fais bander. Dans mon fantasme, il m’oblige à le toucher, et je dois aussi le prendre dans ma bouche.

— Quelle est ton expérience concrète avec les hommes ?

— Presque rien, sinon avec un petit copain l’été dernier. Nous nous sommes embrassés et caressés mutuellement, mais je n’ai pas joui. J’étais très tendue et j’avais peur d’être surprise. Nous étions dans sa voiture. Il est venu sur moi et, malgré mes protestations, il m’a pénétrée. Cela m’a fait mal quand il m’a déchirée, mais la douleur s’est envolée un peu après. L’équitation m’avait préparée. Très vite, j’ai senti quand il a ? déchargé. Je n’ai même pas vu son ? sexe de près. Le lendemain, il rentrait à Paris. Nous ne nous sommes jamais revus.

A ce stade, Philippe en savait assez. Il fit venir Diane près de lui et commença à lui embrasser doucement le visage, tout en lui massant délicatement la nuque et l’arrière des oreilles. Très vite, Diane eut envie de l’embrasser ’pour de bon’.

— Tu dois apprendre à demander ce que tu désires en amour. Rien n’est tabou, si ce n’est de ne pas communiquer avec son partenaire. Tu comprends ?

— Oui, souffla-t-elle, embrassez moi, s’il vous plait.

Il y eu un, puis deux, puis une série de baisers dont l’intensité alla crescendo. Diane comprit vite le jeu des langues : Philippe s’amusa à garder sa langue en arrière, de façon à inciter Diane à darder la sienne et entreprendre elle-même le baiser.

— Tu aimes embrasser ?

— Oui, beaucoup, ça me fait des frissons, comme des petites décharges.

— Est-ce que tu cela te fait mouiller ?

— Oui, Philippe, je pense ? et j’aime ça

Il entrepris de défaire les boutons du sage chemisier qu’elle portait et glissa sa main pour emprisonner l’un après l’autre ses deux seins lourds et fermes. Il se mit à les masser, provoquant un gémissement d’approbation de Diane qui finit par dire :

— S’il vous plait, enlevez-moi mon soutien gorge, et embrassez moi les seins. Ils deviennent presque douloureux. Philippe s’exécuta, surpris de l’audace de sa jeune élève. Quand elle fut torse nu, il lui suça longuement les pointes, aspirant et mordillant doucement, en provoquant chez Diane des soubresauts incontrôlés de ses hanches qui venaient à sa rencontre. Philippe savait ce qu’elle ressentait et désirait, mais, fidèle à sa théorie, attendait pour intervenir que Diane le lui demande. Ce ne fut pas long.

— S’il vous plait Philippe, caressez-moi ? plus bas.

— Tu dois apprendre à prononcer les mots qui font peur, mais en même temps qui excitent ceux qui les disent comme ceux qui les entendent. Plus bas, cela se dit le sexe ou la chatte, ou le minou, ou encore le con.

— Alors, touchez-moi le sexe ? qui mouille beaucoup.

— Bien Diane, je vois que tu comprends et que cela t’excite aussi.

— Oui, de plus en plus.

Il la caressa donc, lui retira ses collants fins de nylon chair, promena ses doigts le long des cuisses, sur leur face interne afin de l’inciter à s’ouvrir, ce qu’elle fit sans réticence. Il lui restait quelque chose à demander. Philippe savait patienter. Il fit aller les doigts le long de la fente qu’il sentait trempée. Il ne voulait pas toucher son clitoris tout de suite.

— Oh, s’il vous plait, enlevez ma culotte. Je veux sentir vos doigts sur moi. Je suis très mouillée maintenant, je le sens, cela coule en moi. Venez Philippe, ouiiii.

Il fit ce qu’elle voulait et lui caressa délicatement le clitoris, déjà tout dressé au milieu des petites lèvres. La réaction fut immédiate :

— Oui, oui, continuez, c’est trop bon. C’est cent fois meilleur que quand je me touche moi. N’arrêtez pas Philippe. Oh , oh, oh, oui, oui, ça monte. Oui, plus vite, plus vite. Oh, je vais jouir, je viens. Oh Philippe, ça y est , oh oh ouiiii, je jouis, je jouis. Elle donna de furieux coups de reins en arc-boutant le dos et resta ainsi en l’air quelques secondes, le temps que l’orgasme s’achève.

Philippe respecta cette pause bien que lui-même bandait dur comme fer. Au bout d’un moment, Diane demanda :

— Est-ce que je peux vous faire du bien moi aussi ?

— On ne dit pas cela, petite sotte. Tu veux me branler ?

— Oui, je veux voir et toucher votre sexe.

— Dis plutôt ma queue ou alors ma bite, je préfère.

— C’est très cochon, mais cela m’excite à nouveau. Laissez-moi donc vous ?branler la bite, j’en ai très très envie.

Il se laissa déshabiller. Elle était manifestement débutante, alors il lui expliqua comment placer ses doigts et bouger sa main. Au bout d’un moment, il lui demanda de stopper car il voulut se déplacer pour lui lécher la chatte. Diane découvrit alors les plaisirs exquis du cunnilingus. Enhardi par son orgasme précédent, elle n’hésita pas à commenter spontanément son plaisir :

— oh oui, que c’est bon, c’est bon, ouiii, ? continuez, je sens votre langue, n’arrêtez pas surtout, ??oui, oh que je mouille, ??? je sens que ça vient à nouveau? oh c’est fort, c’est bon , ouii ??.JE JOUIIIIS

Elle laissa exploser un nouvel orgasme encore plus fort que le précédent.

Pour le moment, Philippe pouvait être fier de son initiation. Diane saurait toujours comment exciter son ’Damien’ et le guider vers sa propre jouissance. Mais Philippe restait sur sa faim : lui n’avait pas joui et Diane s’en rendit bientôt compte.

— Pourquoi ne pas m’avoir laissé terminer ma caresse ? Est-ce que je vous branlais mal ?

C’était incroyable de voir comme elle avait assimilé ce terme pourtant trivial. En une heure, la chrysalide s’était transformée en papillon, et au vu du vocabulaire, il s’agissait d’un papillon de nuit.

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