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Initiation. – Chapitre 2

Initiation. - Chapitre 2



Les femmes ont vraiment des désirs forts et ravageurs … mais la maladie sexuelle la plus répandue est la frigidité féminine.

On dit qu’il n’y a pas de femme frigide mais seulement de mauvais amants. C’est un peu vrai. Mais il faut aussi comprendre quen couple avec la famille, le quotidien financier etc.. Ce nest pas érotique tout les jours. Le sexe pour la femme c’est très cérébral, elle ne peut pas jouir si elle n’est pas excitée. C’est pourquoi, bien des femmes grimpent aux rideaux avec leur amant et beaucoup moins avec leur mari.

J’ai un naturel sensuel. J’aime les plaisirs et je sens mon corps depuis toujours. Ado j’ai commencé à me caresser, je ne pensais à rien au début, aucune image de sexe. Juste le plaisir des caresses que je me donnais. Je goûtais mon sperme. Comme j’étais catho, j’allais me confesser, le curé, me demandait « Tu te masturbes? Oui. Et tu vois des images? Non. Bon alors c’est pas grave: fais 5 pater et 5 ave maria et ce sera bon ». C’est comme ça que j’ai compris que c’était plus valable avec des « images »… Comme j’allais à l’école en bus avec Francine, et qu’elle ne mettait pas de soutien, je voyais ses pointes de sein à travers ses chemisiers, malheur: c’est elle qui m’a servie pour les images. Ca durait longtemps, je me branlais dans la pinède derrière chez moi (Alpes maritimes) en « voyant » Francine et moi dans plein de positions et de câlins … Je rêvais de lécher et goûter son sexe. Bizarrement, j’ai rapidement rêvé de l’enculer. Malheureusement ce n’est jamais arrivé.

Quand j’étais en sixième, je rentrais avec mon copain Galabru (un petit neveu du comédien Michel). Il me dit: « Tu sais comment on fait les bébés?» Je lui dis « Oui: quand le papa et la maman dorment ensemble, la petite graine que le papa a dans ses couilles, elle passe au ventre de la maman. »; …

Il me dit: « Oui, mais tu sais comment elle passe la petite graine?

— Non.

— C’est dégueulasse: il faut l’enculer!

— Quoi?

— Oui, il faut que l’homme encule la femme!

— Quoi?

— Il doit enfoncer son zizi dans le cul de la femme.

— Quoi!» Je ne comprenais plus rien.

C’est peut-être à cause de cette conversation que ma passion pour la sodomie féminine est née. Assez, longtemps après j’ai eu l’explication plus précise de la pénétration vaginale. Plus tard encore on m’a raconté le petit zizi des filles, comme un cornichon: le « clito » (il m’a fallu atteindre 17 ans pour savoir que le vrai nom était « clitoris », mais bon ça ne m’avait pas empêché d’en triturer et d’en lécher – les filles aiment ça).

Y’a un autre truc qui fait comme de la télépathie érotique. Quand tu vois une femme qui te plait: il faut la voir en entier, nue dans ta tête même si elle est complètement habillée. Quand elle bouge tu dois l’imaginer bouger nue devant toi. Tu dois tout « voir », ses seins, sa toison, sa chatte, son trou du cul. Ce nest pas un pêché! Tu te comporteras différemment et elle pensera au sexe avec toi. Tu émettras peut-être des phéromones ou autre chose je ne sais pas. En tout cas elle « sait » que tu penses à elle comme ça.

A un moment donné, tu verras toujours toutes les femmes comme cela. Dès que tu seras avec une, il y aura de l’électricité sexuelle dans l’air.

Je suis mort de rire, avec les copines de ma femme. Elle fait du sport et ramène toujours des filles plus jeunes de ses clubs, plus ou moins célibataires entre deux aventures et deux ruptures difficiles, boire un café à la maison. Si j’arrive et qu’elles sont au salon à papoter, je m’installe et je la déshabille du regard, je lui parle et je regarde son corps, ses pieds, ses hanches, ses lèvres, je lui demande ce qu’elle fait, patati patata, je regarde ses seins pendant qu’elle me répond, j’imagine ses tétines dressées, si elle bouge les mains je fixe ses mains. Je pense à ses mains sur ma queue. Pour moi elle est nue devant moi. Je suis joyeux par le fait, un peu rieur avec une légère tension dans le slip. Quelque jours plus tard je la vois ailleurs, elle reste figée devant moi à me fixer dans les yeux … faut y passer.

Une leçon pour les garçons: les nanas baisent avec les mecs qui pensent à les baiser.

Une leçon pour les filles sachez-le: vôtre meilleure copine est toujours prête à vous piquer votre mec!

Arrivé là je me relis: vous devez penser que je suis un affreux macho. Pas du tout c’est le contraire: je suis un cur d’artichaut.

Tout ça je le fais sans me moquer d’elles: aussi loin que je me souvienne, j’ai adoré les femmes, elles me ravissent, m’arrachent à moi-même. Toutes les femmes. Même les mémés: je vois en elles la belle jeune fille au cur tendre qu’elles étaient – et qui est toujours à l’intérieur. Evidemment elles m’excitent moins à cet âge mais je leur souris, leur parle gentiment, leur fais des bisous et leur mets la main sur l’épaule – quand j’avais moins de cinquante ans ça leur plaisait vraiment beaucoup. Nhésitez pas à câliner les mémés. Ma mère aussi, que je cherchais à voir nue, ainsi que ses copines ou mes taties.

J’ai eu la chance de vivre en Afrique noire quand j’avais 5 ans, à l’époque toutes les africaines allaient torse nu, avec juste un pagne. Au marché je passais mon temps à pincer les seins des jeunes vendeuses accroupies derrière leur étal par terre sur un tapis. Elles riaient et se laissaient faire bien sûr. Elles enlevaient leur pagne pour un oui ou pour un non Je les matais par en bas vu mon âge: c’était excellent. Les jeunes étaient divines. A 20 ans elles avaient eu plein d’enfants leurs seins pendaient comme des chaussettes: c’était moins excitant. Je me cantonnais donc aux jeunettes.

Les françaises aussi me plaisaient bien et dès 7-8 ans j’ai commencé à leur faire la cour. A cet âge je me souviens d’une secrétaire d’association, un grande blonde mince de 25-30 ans qui tape à la machine, je l’observe de profil et sa beauté me ravit: je lâche: « Mais comme vous êtes belle! ». Elle s’est arrêtée de frapper et m’a regardé en silence en souriant, enchantée. C’est comme ça que j’ai commencé à distribuer des compliments.

Il n’y a aucun doute, on ne flatte jamais trop. C’est vrai au boulot comme dans la drague.

Un peu plus tard ma cousine commence à m’amener en boîte, elle a 3 ans de plus que moi, elle veut me déniaiser sans doute, en plus elle drague et je lui sers – à peine – de garde du corps. On ment sur mon âge, j’ai que 16 ans et pas de moustache. Mais bon elle est connue et on me laisse entrer. Je fais le crétin sur les pistes dès que j’ai compris le jerk. J’ai des pantalons à pattes d’éléphant en tissu écossais (tartan très, très moulants). Je suis tout maigre, les cheveux longs et au pied d’énormes écrase-merde à bout carré, plus une chemise cintrée chamarrée à col pointu avec des motifs hippie plus ou moins dentelle. Dès que j’ai de la barbe je laisse les pattes pousser. Trop laid. Je suis de loin le plus jeune de la boîte (le « Psychédelic » à Nice). Les filles cherchent des mecs plus vieux, je me désespère à transpirer pour rien sur la piste. Mais j’apprends. Je fume mes premiers joints: y’a plein de drogue là-dedans pas que de l’herbe. Mais je ne touche à rien d’autre.

C’est ma 125 cc Honda monocylindre qui rehausse mon statut et m’ouvre la porte du paradis. Au début je nai pas le permis et je la conduis jusqu’à l’entrée de Nice où un copain en mobylette qui a son permis échange avec moi tout joyeux pour aller au lycée. Il me raccompagne le soir et on emmène Dominique, la première ex aequo de français avec moi sur l’arrière de ma bécane à sa maison. A cette époque le casque n’est pas obligatoire c’est donc cheveux au vent qu’on fait les dingues en 2 roues, misère … trois mois après j’ai mon permis: dommage pour mon pote. Mon statut de maître de l’engin ou mon talent en français m’ouvrent le cur et les cuisses de Dominique. Au début je la trouvais pas assez belle, un peu boulotte (la mode c’était maigre style Françoise Hardy). Mais elle était amoureuse, et on s’est beaucoup baisouillé avant de tirer de vrais coups. Tout de suite j’ai pris l’habitude de branler le con longtemps et sucer. On n’avait aucun endroit pour faire l’amour. Heureusement la moto, le climat, on montait au-dessus de « Comte de Falicon » et les champs étaient hospitaliers (maintenant tout est construit). On baisait le cul dans les herbes séchées, il faisait toujours beau, c’était le paradis. Je bandais tout le temps, j’enchaînais les coups sans débander après une éjaculation, c’est vrai, je le jure ça a été comme ça jusqu’à 30 ans. « … Pour un flirt avec toi je ferais n’importe quoi! Pour un flirt avec toi … Pour un petit tour … ». Grâce à Dieu elle prenait la pilule.

Quand je suçais j’étais enivré par les odeurs. On m’a élevé catholique carrément intégriste. Tout cela n’était que péché, on devait aller direct en Enfer, seulement je trouvais le Paradis à la place: rien dans ma vie n’était plus beau que baiser. Je me disais : « Quand même Dieu n’a pas soigné tout ça autant juste pour nous envoyer en Enfer! ». Je me suis peu à peu convaincu qu’il l’avait fait pour qu’on s’en serve et qu’on soit heureux.

A cette époque je riais tout le temps, les copains me faisaient la remarque en sous-entendant que je devais abuser de la fumette. Ce nétait pas ça, j’étais heureux, heu-reux! Tout me semblait valoir un éclat de rire. Oui, je suçais Dominique et rien ne m’arrêtait: au-dessus son clito, j’y passais des heures, sa chatte je la mordillais, l’aspirais y faisait entrer ma langue, mes doigts, en dessous son anus, recevait mes ardeurs linguales et digitales avec autant de ferveur.

Ce nétait pas sale, mais délicieux.

Pour moi ancien enfant de chur c’était comme servir la messe, mais en plus sérieux. Son cul: c’était le tabernacle de l’Amour, le réceptacle de toutes mes dévotions. Elle ne s’en plaignait pas. On étaient maladroits, mais la fougue de la jeunesse remplaçait l’expérience.

A la fin de la première Dominique a changé d’établissement, et on ne s’est plus vus. Cependant grâce à elle j’avais compris que le Cul de la Femme c’était l’endroit le plus précieux de l’Univers.

La première fille

by Georges Brassens

J’ai tout oublié des campagnes

D’Austerlitz et de Waterloo

D’Italie, de Prusse et d’Espagne

De Pontoise et de Landernau

Jamais de la vie

On ne l’oubliera

La première fille

Qu’on a pris dans ses bras

La première étrangère

A qui l’on a dit "tu"

Mon cur, t’en souviens-tu ?

Comme ell’ nous était chère

Qu’ell’ soit fille honnête

Ou fille de rien

Qu’elle soit pucelle

Ou qu’elle soit putain

On se souvient d’elle

On s’en souviendra

D’la premièr’ fill’

Qu’on a pris dans ses bras

Ils sont partis à tire-d’aile

Mes souvenirs de la Suzon

Et ma mémoire est infidèle

A Julie, Rosette ou Lison

Jamais de la vie

On ne l’oubliera

La première fille

Qu’on a pris dans ses bras

C’était une bonne affaire

Mon cur, t’en souviens-tu ?

J’ai changé ma vertu

Contre une primevère

Qu’ce soit en grand’ pompe

Comme les gens "bien"

Ou bien dans la rue

Comm’ les pauvr’s et les chiens

On se souvient d’elle

On s’en souviendra

D’la premièr’ fill’

Qu’on a pris dans ses bras

Toi qui m’a donné le baptême

D’amour et de septième ciel

Moi, je te garde et, moi, je t’aime

Dernier cadeau du Pèr’ Noël

Jamais de la vie

On ne l’oubliera

La première fille

Qu’on a pris dans ses bras

On a beau fair’ le brave

Quand elle s’est mise nue

Mon cur, t’en souviens-tu ?

On n’en menait pas large

Bien d’autres, sans doute

Depuis sont venues

Oui, mais, entre tout’s

Cell’s qu’on a connues

Elle est la dernière

Que l’on oubliera

La premièr’ fill’

Qu’on a pris dans ses bras

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