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Isabelle nouvelle soumise – Chapitre 1

Isabelle nouvelle soumise - Chapitre 1



Isabelle attendait à la terrasse du café, en jupe sans culotte avec des bas comme son futur maître le lui a ordonné.

Elle lavait rencontré par internet, ils avaient beaucoup discuté par dial puis par téléphone et enfin ils allaient se rencontrer. Il faisait chaud mais Isabelle ne voulait pas retirer sa veste, dessous elle navait qu’une chemise légère et pas de soutient gorge, elle était persuadé que cela se voyait et avait un peu honte dêtre sortie dans cette tenue.

Son mari lui avait demandé ce quelle faisait de sa journée ; elle avait menti. Elle lui avait dit quelle allait voir une amie. Il lui avait fait remarquer sa tenue et elle avait fait semblant de se vexer et de manquer de confiance en elle. Il sétait excusé. Le pauvre sil savait quelle allait aujourdhui soffrir corps et âme à un homme quelle ne connaissait même pas, quelle allait le laisser lui faire des choses quelle interdirait à son mari.

Alors quelle était plongée dans la culpabilité en pensant à son mari, une main se posa sur son épaule. Elle sursauta et poussa un petit cri.

— Ce nest que le premier, lui promis lhomme.

— Bonjour, dit-elle timidement.

— Bonjour qui ? se fâcha-t-il en lui pinçant la peau.

— Bonjour monsieur, se reprit-elle en baissant les yeux.

Lhomme sourit et pris place sur la chaise à côté delle. Il la regarda longuement en souriant. Il lui demanda douvrir sa veste et den ouvrir un bouton de plus.

Un bouton de plus ? Elle allait avoir les seins à lair. Mon Dieu quelle honte si quelquun sen aperçoit. Pourtant elle ne peut sempêcher de sexécuter. Les yeux baissé sur son soda Isabelle sentait le regard de son maître la déshabiller et lorsquil lui posa une main sur le genou en lui demandant décarter les cuisses une fois encore elle ne put résister.

Sa main remonta le long de sa cuisse et monta inexorablement jusquà sa chatte. Elle sétait totalement épilée, comme il lui avait demandé, et rien que ça la faisait mouiller, mais là lexcitation était hors norme.

— Tu mouille petite salope, lui dit-il.

Elle rougi sans répondre. Quelle honte, elle une femme si sage si fréquentable était en train de se faire caresser à la terrasse dun café sans rien dire. Elle entendit lhomme rire et dun seul coup il lui enfonça deux doigts bien profondément. Un long gémissement traversa ses lèvres.

— Chuut petite pute, chuchota-t-il en agitant ses doigts, tu ne veux pas que tout le monde tentendent.

Isabelle serra les lèvres et lhomme augmenta le mouvement, elle mouillait tellement. Elle entendait le clapotis que faisait sa chatte, il était impossible que personne dautre ne lentende. Son maître lamena vers lui et elle se retrouve entre deux chaises et soudain il retira les doigts de sa chatte pour les entrer dans son cul. Elle dû faire preuve dune grande volonté pour ne pas crier, de surprise et de plaisir. Sétait serré, son mari lavait déjà enculé mais pas souvent ; cétait une entrée que ne servait que très rarement et son maître entreprenait de lenculer rudement avec ses doigts. Elle était écarlate, les yeux fermés et subissait les vas et viens dans son anus en se concentrant pour ne pas crier. La chaleur montait dans son corps, ses jambes, ses hanches, son ventre, ses seins et alors quelle pensait quil allait sarrêter il sapprocha pour lui murmurer :

— Je sens quon va bien samuser sale petite pute.

Il nen fallut pas plus à Isabelle pour jouir sur les doigts de son maître. Un long gémissement séchappa de ses lèvres quelle réussit à fait taire quau prix dun très gros effort. Les doigts de lhomme sortirent de son cul pour re-rentrer dans son vagin sensible. Elle était encore toute contractée par son orgasme. Son maître y fit deux ou trois va et viens pour bien la bourrer comme il faut et lorsque sa main revint au-dessus de la table il lui ordonna de lui nettoyer les doigts avec sa bouche. Ici, maintenant ? Devant tout le monde ? Déjà une ou deux personnes la regardait du coin de lil depuis son orgasme. Avaient-ils compris ce quil se passait ?

— Jattends, lui dit lhomme en lui mettant les doigts devant la bouche.

Timidement elle sortit sa langue et ramassa la cyprine qui salissait lindex de son maître, dun coup il lui entra les deux dans la bouche et commence des vas et viens comme lorsquil était dans son anus. Sur sa langue elle sentait le gout de sa chatte et aussi un peu celui de son cul. Lorsquelle ouvrir les yeux elle vit lhomme la regarder comme un animal qui découvre sa proie, cela la fit rougir mais elle prit le temps de remarquer quil sétait tourné afin de cacher la vue à toute personne qui aurait pu la voir, intérieurement elle len remercia.

Lentement il retira les doigts de sa bouche, elle serra les lèvres jusquau bout pour bien les nettoyer. Son maître la traita de bonne petite chienne, il se leva paya la consommation de son esclave et lui attrapa le bras pour la faire se lever.

— Ou allons-nous ? demanda-t-elle apeuré.

Cela nétait pas prévu, ils devaient juste se rencontrer au café pour voir si elle serait une bonne esclave et si il la dominerait comme il faut pour en faire sa chose. Sans lui répondre il la foudroya du regard et resserra sa poigne sur le bras de la femme. Elle lavais contrarié, elle savait pourtant quelle navait pas le droit de lui poser des questions directes, il lavait bien assez punit dans leurs conversations ou durant leur dial, mais dans lurgence du moment elle avait oublié.

— Pardon monsieur, sempressa-t-elle de dire en baissant les yeux, je peux vous demander où nous allons ?

— Tu peux, marmonna-t-il presque amusé.

— Ou allons-nous monsieur ?

— Je viens de te faire jouir espèce de grosse salope, tu ne crois quand même pas que tu ne vas rien me faire en retour ?

Elle resta sans voie à le regarder en se dandinant sur place. Où allait-il lemmener ? Après tout elle ne le connaissait pas ? Quallait-il lui faire ?

Devant son hésitation lhomme sénerva, il resserra encore sa main et la rapprocha de lui.

— Ecoute bien sale truie, de toute façon tu vas me faire jouir aujourdhui alors ou tu me suis ou je tencule sur la table du café maintenant et je te laisse le cul à lair devant tout le monde.

Elle le regarda pétrifiée, il était sérieux, elle le savait et cela se voyait. Incapable de répondre elle se contenta de faire oui de la tête. Sans attendre lhomme la traîna dans une rue parallèle et la fit entrer dans un grand immeuble. Dans lascenseur elle se sentie rassurée. Lespace dun instant elle avait cru quil la baiserait dans la rue et elle aurait été incapable de lui résister. Dun coup il la plaqua contre le mur du fond de lascenseur, la sortant ainsi de ses pensés et sans ménagement il lui leva la jupe exposant ainsi sa chatte nouvellement totalement épilée, il se plaqua contre elle et frotta son érection au travers de son pantalon contre son pubis en lui pelotant les seins.

— Tu as vraiment de grosses mamelle salope, ça va être trop bon de te bourrer.

Elle ne put rien répondre, lexcitation avait à nouveau pris possession de tous ses moyens. Il se frottait contre elle, sa braguette lui faisait un peu mal mais cela nétait pas vraiment désagréable. Arrivé au cinquième étage il lattrapa par les cheveux et la traîne dans le couloir jusquà la porte de son appartement. A peine entré il la jette sur le sol et lui dit :

— Dans cet appartement ta position de chienne cest à genoux ou à quatre pattes salope ! Cest bien compris ?

— Oui monsieur.

— Montre-moi ton cul maintenant.

Il se dirigea vers ce qui semblait être un salon, Isabelle hésita mais lorsquil lappela avec autorité elle entra dans la pièce à quatre pattes. Mon Dieu que cétait humiliant, mais elle mouillait tellement. Elle arriva dans le salon et son maître avait posé son manteau sur le canapé et sétait assis dans un fauteuil cocktail, les mains sur les accoudoirs il la regardait avec impatience. De la main il lui fit signe de se retourner. Docilement et lui tourna le dos, toujours à quatre pattes.

— Penche-toi en avant et montre-moi tes trous pétasse.

Rouge de honte et dexcitation elle sexécuta, elle remonta sa jupe jusquà la taille, colla ses seins sur le sol et posa ses mains de chaque côté de son cul pour bien louvrir. Elle était en position prête à recevoir son maître, à se faire toucher, a se faire prendre et défoncer, elle en mouillait davance mais rien ne se passa. Elle entendit, attendit encore mais rien ne se produisit. Timidement elle se redressa et se retourna pour voir son maître. Il était assis dans son fauteuil les cuisses écartées, le sexe sortie et levé. Il la fixait de son regard calculateur.

— Qui tas autorisé à bouger petite pute ?

Sa voie était forte dautorité et remplie dun certain désir. Avant quil ne se fâche Isabelle repris sa position et attendit, attendit et attendit encore. Ses genoux lui faisaient mal, son dos aussi mais elle ne bougeait toujours pas. Au moins une heure passa avant quelle commence à entendre du mouvement, elle aurait pensé quen temps normal elle se serait ennuyé ou aurait cessé de mouiller, mais ses lèvres dégoulinait de cyprine et le moindre bruit lexcitait davantage. Les son qui lui parvinrent lui apprirent que son maître était en train de se masturber, il murmurait, elle lentendait linsulter, la traiter de pute et de chienne. Elle en mouilla davantage. Devait-elle bouger, aller le voir pour le soulager. Non, non elle ne prendrait pas le risque de se faire encore gronder. Elle resta en place sans bouger et soudain elle entendit :

— Je vais juter petite pute, viens chercher ce que tu mérites.

Ne sachant que faire, Isabelle se retourna, tous ses muscles lui faisait mal et elle peinait à sappuyer sur ses genoux tant ils étaient douloureux. En prenant sur elle, elle fit les dix centimètres qui la séparaient de lhomme et se plaça devant lui. Que devait-elle faire ? Le sucer ? Le caresser ? S’asseoir sur lui ? Oserait-elle faire ça ? Jamais jusquici elle navait trompé son mari.

Avant quelle ne puisse prendre une décision son maître lattrapa par les cheveux et lui colla le visage sur sa tige pendant quil continuait à se caresser. Il allait de plus en plus vite. Instinctivement Isabelle mit quelques coup de langue sur lépaisse queue, ce qui fit soupirer daise son maître qui ne tarda pas à éjaculer. Elle eut plein de sperme sur les cheveux et sur le visage.

— Tu es belle comme ça petite pute, lui dit-il gentiment.

Elle ne put sempêcher dêtre fière de ce compliment et lorsquil lui tendit son gland en lui ordonnant de le nettoyer elle se jeta dessus comme sil avait sagit dune friandise. Lentement il lui caressa les cheveux ou il ny avait pas de sperme, comme une bonne chienne il la flattait.

— Il va falloir te dresser longtemps ma petite pute, lui ronronna-t-il, mais je pense que nous allons beaucoup nous amuser.

Puis il lui éloigna la tête de sa queue et lui murmura avec une certaine menace.

— Maintenant tu vas tessuyer le visage et rentrer chez toi et tu as interdiction de te laver avant demain et ce soir tu suceras ton mec et le feras jouir dans ta bouche. Cest compris petite salope ?

— Oui maitre, répondit-elle timidement en mouillant plus que jamais.

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