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J'ai baisé ma tante paternelle – Chapitre 1

J'ai baisé ma tante paternelle - Chapitre 1



Depuis la scène de baise de ma tante avec lhomme, le colosse black, (titre du récit « ma tante baise avec un Black » que jai raconté) je me branle très souvent et chaque soir, je me masturbe jusqu à trois fois. Ma tante, me rend fou, avec ce corps quelle se paie. Chaque soir au salon, quand on regarde la télé avec son mari, moi je ne la quitte pas des yeux. Elle a de belles lèvres charnues, ses seins proéminents pointent sous sa robe dintérieur mauve qui lui va très bien. Son mari parle que de son commerce. Il compte se déplacer à Alger pour sapprovisionner. Il doit sabsenter durant trois jours. Cest peut être loccasion de mapprocher davantage de ma tante, pour au moins la toucher, sentir sa chaire si douce, dune blancheur reluisante.

Le lendemain, mon oncle est parti pour sa mission, et le soir je me retrouve seul avec ma tante, entrain de regarder la télé. Il faisait très chaud, en dépit du climatiseur qui ronronne sans cesse, la chaleur est accablante sur tout dans cette région du sud.

Ma tante, se lève me dit quelle allait prendre une douche, pour se débarrasser de cette sueur et quelle revient de suite. Je devinais ma tante toute nue sous la douche, je me branlais, je sentais mon sexe tellement raide sous mon boxer.

Ma tante, revient de la douche, avec une serviette nouée sur ses cheveux, et vêtue dune robe légère, sans manche, qui met en évidence ses bras. Elle avait une bouteille deau de Cologne en main, elle sasseyait, elle commença à frictionner ses bras et avant bras de ce parfum. Puis elle me tendit la bouteille deau de Cologne, et me dit de lui enduire son dos sous la robe. Jai cru que jallais mévanouir, je ne mattendais pas à ça. Jintroduisis ma main sous sa robe et je commence à mettre le parfum, elle éprouvait une bonne sensation, elle me dit dappuyer en même temps, de masser un peu. Je lui proposais de lui faire une friction, mais dans la position horizontale. Je tentais le tout pour le tout. A ma grande surprise, elle accepte. Elle alla dans sa chambre, elle mappela ensuite

Je la retrouvai couchée sur le ventre, sous le drap, mais dont elle avait abaissé le haut, découvrant son dos, nu jusqu’à la taille.

, je constatais quelle avait enlevé aussi son soutien. Javais en face de moi ma tante nue, mais sous le drap. Je commençais à la frictionner, et en même temps à la masser légèrement.

Mes mains glissaient sur sa peau depuis la base du cou jusquau haut des reins, et lui demandant de relever les bras, mes doigts soubliaient un peu en descendant sur ses flancs et lui effleuraient la naissance du bas des seins lorsquils remontaient. Quelle est belle ma tante! Je bandais comme un dingue. Elle me dit que cétait bien et quil fallait continuer. Je lui dis, si tu veux je peux te masser aussi les pieds, hoooooo , ouiiiiiiiiiiiiii, mes pieds me font mal, ceci est du la position debout. Je délaissais alors le dos, je relevais le drap, jusquai au niveau du genou, pour lui masser les chevilles et l’arrière des jambes, en donnant un mouvement ample à mes mains afin quelle écarte un peu plus les jambes, ce quelle fit pour faciliter mes gestes.

Elle me dit en riant « mon cher neveux, jespère que tu ne te fais didées devant ta tante, à moitié nue devant tes yeux. » Je ne répondis pas exprès , et je continuais à la masser. Mes gestes nétaient plus vraiment un massage en règle, mes mains maintenant caressaient vraiment, à la fois légèrement mais bien à plat sur la surface de ses cuisses, jusquà ce que le bout de mes doigts effleurent la haut de ses cuisses ce qui eu pour effet de mexciter davantage.

Elle émettait des mmmmmmmmm,

Tout doucement mes doigts remontèrent encore jusqu’à toucher légèrement sa partie intime, ma tante était complètement nue, elle ne portait même pas une culotte.

Ses cuisses écartées étaient un délice, et je ne retiens pas mon envie de toucher sa chatte en passant ma main un peu sous son corps. Là, elle réagit, elle me dit « non, cest mauvais ce que tu fais, tu es mon neveux, tu ne peux pas. » Je ne pouvais pas reculer, je bandais fortement, mon sexe, allait exploser sous mon boxer.

Je sentais que ma tante était chaude, elle restait dans la même position, elle me dit que je dois lui masser uniquement les jambes. Mais je continuais mon ascension. Ses cuisses un peu éloignées lune de lautre facilitèrent le contact de mes doigts avec sa chatte qui mouillait abondamment. La sensation de mes doigts qui ressentaient cette humidité se former, preuve de désir, de sensations, de besoins sexuels menvahissaient le corps maintenant.

Mon sexe me faisait mal, tant l’érection était puissante. Jétais partagé entre laisser à mes mains le contact actif de cette caresse incestueuse et torride, et me saisir de mon membre devenu dur.

Dun coup ma tante se releva, elle senveloppa du drap. Elle se retourna, me regarda, jétais en pleine érection. Jétais très gêné, jai eu peur que ma tante réagisse mal et quelle en parle à mes parents. Sais dire un mot, elle me tira vers elle, elle me dit « tu es un sacré bonhomme ». Je nai pas le temps de répondre que déjà ses lèvres sont collées aux miennes. Je réponds à sa demande. Nos langues sentremêlent, nos salives se mélangent. Sa main se pose sur mon pantalon et malaxe mon sexe raide comme une trique. Jentrouvre et écarte le drap qui la couvre, Je passe un bras par-dessus ses épaules, une main se pose sur sa poitrine, lautre, posée sur sa cuisse commence une ascension caressante. Elle défait la boucle de ma ceinture. Jenlève mon pantalon, je retire mon boxer, mon sexe très raide, apparaît.

Elle prend ma queue à pleine main. Je passe mes doigts sur ses grandes lèvres humides. Elle passe un doigt sur mon gland et récupère le liquide séminal qui coule déjà. Jintroduis un doigt dans sa chatte brûlante. Elle suce son doigt. Avec mon pouce je masse son clitoris. Elle se penche et me prend en bouche. Jintroduis un deuxième puis un troisième doigt. Elle va et vient avec sa bouche. Jexcite son clitoris encore plus fort, plus vite. Elle gémit tout en me pompant. Je torsade ses mamelons qui sont devenus aussi raides que durs. Elle va réussir à me faire éjaculer dans sa bouche. Je lui demande de ralentir et même darrêter. Elle accélère la cadence. Je pars en longues giclées épaisses au fond de sa gorge. Elle avale tout, ouvre la bouche pour hurler son orgasme.

Mon pénis reprend de la vigueur entre ses mains expertes. Il commence à prendre la position du « garde à vous ! ». Je nai pas quitté sa grotte enchantée doù séchappe un petit torrent de cyprine parfumée. Je titille son clitoris, le fais rouler entre mes doigts, létire un peu. Il est si long et raide quil dépasse à lextérieur. Il ressemble à un petit sexe de caniche en érection. Lenvie de le sucer est trop forte. Je me laisse glisser, me retrouve entre deux cuisses écartées, le sexe offert à bonne hauteur. Telle une ventouse, ma bouche se colle sur ses lèvres divines, gonflées à souhait, ma langue aspire sa « mini bitte » et lallonge encore un peu plus, puis elle va au plus profond du gouffre chercher de quoi désaltérer ma soif de suc intime. Ma tante pose ses mains sur ma tête et tout en appuyant elle suit la cadence des allers et retours de ma langue. A son tour elle se laisse glisser sur le lit et nous nous retrouvons dans la position dun soixante neuf. Elle mouille de plus en plus. Elle ne peut pas parler la bouche pleine mais elle laisse échapper des gémissements qui me donnent une idée précise de la montée de sa jouissance.

Dun commun accord nous changeons de position. Je mallonge sur le dos, le sexe, tèl une matraque, plaqué sur le ventre. Ma tante, à genoux, vient me chevaucher, dune main saisit mon sexe et le fait disparaître dans sa chatte bien rasée. Je le sens bien au chaud dans ce nid douillet. Elle sempale et commence une danse effrénée à deux mouvements. A chaque montée, je sens son vagin serrer mon membre, à chaque descente, il se décontracte. Avec deux doigts je masturbe son clitoris et de lautre main je moccupe de ses mamelons. Très vite nous jouissons ensemble. On se retrouve allongés. Sans sortir de sa chatte dégoulinante je me mets en berne.

Nous échangeons un baiser puis nos impressions : « Tu es bien monté, je sentais que tu touchais le fond, cétait sublime, je te croyais encore très jeune, mais en réalité je découvre un neveux avec une gosse bite »

— Je croyais que tu serais plus large, je me suis trompé, jai senti que jétais serré comme il faut

— Cest un long entraînement mais jarrive à commander mon vagin. Je serre et desserre à volonté. Tu as apprécié ?

— Ho ! Oui ! Merci

— Il se fait tard, nous allons prendre une douche et manger.

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