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J'ai goutté a ma petite fille comme une fiandise – Chapitre 1

Mes désirs de fille - Chapitre 1



Je suis retraité, jai 65 ans, je suis bien portant, je suis veuf depuis plus de deux ans. Je suis dun pays maghrébin. Jai ma fille mariée, installée en famille à Alger. Elle est professeur à luniversité et son mari est médecin, ils vivent avec leur fille qui a 18 ans. Avec leur insistance, je suis parti passer quelques jours chez eux.

Un accueil très chaleureux ma été réservé. Je retrouvais la chaleur familiale, oublié depuis assez longtemps.

On passait de belles soirées en famille. Ma petite fille, très collée à moi, écoutait des histoires que je racontais, et qui la font marrer. Elle me dit « grand père, tu ne viendrais pas vivre avec nous. Je lui répondis, « je ne peux pas me passer de mon petit jardin, qui moccupe et auquel maintenant je sens que ma vie est liée »

Ma fille et son mari ont beaucoup dobligations professionnelles. Ma petite fille est en période de vacances, elle passe son temps derrière le micro installé dans sa chambre. Moi je lis les journaux, je regarde la télé et souvent je fais des siestes .Un jour, ma petite fille, mappelle, elle a un petit problème sur la table de son micro, je rentre dans sa chambre, elle est en short et porte un tee shirt.

Ma petite fille, Meriem, est une très belle fille, cest une blonde avec une belle poitrine nature qui tient toute seule malgré son volume imposant, que je devine sous son tee-shirt. Ses copains doivent certainement raffoler delle.

Elle me dit « papy, un pied de la table sest desserré » elle me ramena un tournevis, je lui dis de tenir avec moi le pied de ta table pour que je puisse le serrer. Elle saccroupit, et là, je vois ses belles cuisses, tout en serrant les vis, ma main a touché sa chair, très douce, et, sans le vouloir je commence à bander. Je fais durer les choses, je lui dis de bien tenir le pied de la table, elle se rapproche de moi, et se plaque contre moi, je sens ses seins. Mon sexe, était tellement raide, que je narrivais pas à le cacher. Elle le remarqua certainement. Je serre complètement les vis, de la table, Meriem tient toujours le pied de la table, je feins de changer de position, je pose ma main sur ses cuisses, je la laisse, puis je maventure, je la descends au fond, et la je sens que ma petite fille mouille.

Elle lâcha le pied de table, maintenant fixé, ma main est toujours entre ses cuisses au dessus du short, elle me dit « grand père, laisse ta main et continue à me caresser à cet endroit, cest bien » je lui réponds » non, Meriem, cest de linceste, je ne peux pas » elle me dit « si grand père vas y, cest bon »

Elle se lève, elle ôte son tee shirt, jallais mévanouir, elle a des seins bien fournis, puis, elle descend son short, elle reste en string, ce qui augmenta mon désir. Je mapproche delle, je plaque mes lèvres sur les siennes. Je lembrasse profondément, elle répond, je glisse ma langue, à la recherche de la sienne, je goûte à sa salive. Je palpe ses seins, je les masse, je suce ses tétons, qui se durcissent au fur et mesure. Elle gémit doucement. Je ne tiens plus. Jenlève mon pantalon et mon slip. Meriem, prend ma bite déjà raide, « dis papy, tu as une très grosse bite, cest un pieu !!!! »

Puis, elle enfourne ma bite dans sa bouche, je la vois encore grossir davantage sous les coups de langue de Meriem. En moins de 10 min, j’ai envie d’exploser, Meriem le sens bien, elle arrête de me lécher, se lève, termine de se déshabiller en enlevant sensuellement son string, s’assied sur le lit et me regardant avec des yeux de braise m’ordonne de venir la lécher.

Doucement, je m’approche de son puit d’amour complètement imberbe et déjà gonfler de plaisir. J’embrasse son sexe, passe ma langue sur ses lèvres commence doucement à y insérer le bout de ma langue. Son souffle s’accélère, je vois sa poitrine monter et descendre au rythme de sa respiration. En même temps que je décalotte avec ma langue son clito, je lui caresse les seins qui deviennent dure. Puis en alternance je lui aspire le clito, enfonce ma langue dans sa chatte ou lui lèche les lèvres tout en lui massant ses seins, au bout de quelques instants elle explose dans un grand râle. Fière de moi, je la regarde reprendre ses esprits et profite de ce moment de calme pour admirer le superbe corps étendu sous mes yeux.

Doucement, je l’embrasse puis remonte tout en l’embrassant vers son nombril puis le creux de ses seins et enfin ses tétons que je lèche, aspire, mordille. « Doucement, me dit elle, prends en soins ils sont tout excités. Fait attention, continu de m’embraser, remonte vers mon cou, viens me donner ta bouche ». Et durant toute cette montée mon sexe s’est rapproché de ses lèvres intimes, maintenant j’y suis au bord, et dans un dernier souffle, Meriem me plaque ses mains sur mes fesses et me fait rentrer en elle. Je l’a regarde droit dans les yeux, je la vois se mordre la lèvre inférieur les yeux révulsés. Centimètre par centimètre je sens ma bite prendre possession de ma petite fille. Jamais je n’aurais imaginé un endroit à la fois si chaud, si agréable mais aussi tellement serré ! « Doucement’ me dit elle, tu es si gros, attend que je m’y habitue. Embrasse moi, continu à me caresser, mordille moi, profite de mon corps. Oh oui, rentre au plus profond, plus vite, c’est trop bon, de toutes les façons je ne suis plus vierge depuis 6 mois, et je prends la pilule. » Je sens que je ne vais pas tarder, alors j’y vais de plus en plus rapidement, je bute maintenant au fond de ma petite fille à chaque coup, puis je sens de nouveau que son vagin a des contractions et je lentends crier : « oh oui plus fort, plus vite, t’est si gros, j’ai jamais été si remplie, mon dieu » sur ses derniers mots j’explose en elle, je lui remplis son bas ventre de ma foudre. Elle crie puis s’effondre. Mon cur bas si vite, sa respiration est forte. Je m’allonge sur le côté, un bras autour d’elle, ma main sur son sein, la sienne sur ma queue. Je respire l’odeur de ses cheveux. Je tire ma bite encore raide, je la lui présente à sa bouche, elle la lèche, elle nettoie le sperme très visqueux et blanchâtre qui continue à couler, elle aspire ma bite, elle avale le sperme restant, ses yeux rivés sur les miens. Elle me dit « hmmmmmmmm quil est bon ton jus papy »

« Papy tu as une très grosse bite qui doit faire rêver les femmes »

Je me levais, je mhabillais et je quittais rapidement sa chambre. Elle est restée étendu sur son lit, certainement entrain de déguster ce plaisir avec volupté et extase.

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