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J'ai surpris ma tante – Chapitre 2

J'ai surpris ma tante - Chapitre 2



A peine installés dans leur superbe Mercedes ma tante attaque :" Comme ta mère n’était pas disponible, j’ai proposé de venir te chercher. Il faut qu’on discute, la situation a assez duré. Quoi que tu ais vu, c’est ma vie et tu n’as pas le droit de t’en mêler. De plus, je suis ta tante et j’ai 47 ans. Il n’est pas question que cette histoire aille plus loin et je te demande de me donner de suite les photos et les négatifs."

Pendant qu’elle me parlait, j’écoutais à peine, tout occupé à la détailler. Elle était vraiment magnifique, toujours habillée de façon aussi stricte avec un tailleur bleu marine dont la jupe arrivait aux genoux et un chemisier vert foncé fermé jusqu’au col. Elle n’avait rien mis qui puisse m’aguicher, mais je l’avais vue nue et je savais les trésors cachés derrière cette façade austère.

" Je suis désolé tantine " "ne m’appelles pas tantine s’il te plait, tu sais très bien que je déteste ça"

"Je suis désole tantine mais je ne peux pas accepter et j’ai trop envie de vous"

"Ne m’appelle plus tantine mais Huguette ou tante. Je ne sais pas si tu te rends bien compte mais c’est d’inceste dont tu parles, pourquoi pas avec ta mère t’en que tu y es! En plus cest ma doublure"

"Tout simplement parce que c’est avec vous que je veux baiser, j’adore votre corps, vos seins, votre ventre rond, vos cuisses si douces. Ca fait trois semaines que je bande en pensant à vous et que je me masturbe au moins deux fois par jour en regardant les merveilleuses photos. J’adore particulièrement celles ou vous êtes allongée avec les cuisses largement écartées en train de savourer le plaisir que vous donne la langue du cher Henri. Dommage que je n’ai pas pu prendre le son."

J’avais fait exprès d’employer des mots un peu crus car je voulais la choquer et reprendre un certain avantage.

"Tu es complètement fou, comment peux tu croire que je vais céder et coucher avec mon neveu que je n’aime pas beaucoup en plus"

"Je m’en fou mais je continuerai à vous harceler, à vous tripoter quand l’occasion s’en présentera et à chaque fois que nous serons seuls". En disant cela j’avais glissé ma main sous sa jupe et palpais une cuisse dodue à souhait. Bien sûr, elle a de suite retiré ma main, mais le mal était fait. "Arrête, s’il te plait, tu te crois tout permis ? Ça va bien maintenant, il faut que ça cesse !"

"Et non chère tantine ça ne s’arrêtera pas. Touchez ma bite, vous verrez, elle est toute dure et ne demande qu’a vous satisfaire, à juter pour vous" . J’aurais pu tutoyer ma tante mais je préférais continuer à la vouvoyer, je trouvais ça plus jouissif.

"Bon maintenant ça suffit, on rentre et j’en parlerai à ta mère " dit-elle en démarrant

"C’est ça, et moi j’en parlerai à Claude (mon oncle)"

Plus un mot ne fut prononcé pendant le trajet. Le silence était glacial.

Arrivés à la maison, je lui glissais une autre photos :" Tenez, chère Huguette, voilà la photo qui m’a le plus servi dans mes masturbations solitaires. Vous êtes vraiment géniale avec cette queue dans la bouche. Je suis sûr que la mienne qui est bien plus grosse vous plairait vraiment. "

La masturbation devenait mon occupation principale. Une fois "calmé", je suis redescendu dans la cuisine pour embrasser ma mère qui était rentrée. Elle était toute pimpante dans une petite robe à fleurs. C’est vrai qu’elle était belle. Je n’avais jamais fantasmé sur ma mère mais les paroles de ma tante : " et pourquoi pas avec ta mère.." me revinrent en mémoire.

Pendant cette semaine à la maison, je ne perdis pas une occasion pour rencontrer ma tante et lui glisser des mains fureteuses dès que nous étions seuls.

Le samedi matin, ma mère m’apporta mon petit déjeuner au lit comme elle le fait tout le temps quand je suis à la maison. Les avantages d’être fils unique. Elle semblait préoccupée. " Il faut que l’on parle, Marc. Hier Huguette est venue me voir et m’a parlé de ce qui se passe entre elle et toi. Elle m’a avoué que tu l’avais surprise avec Henri, que tu avais fait des photos et que depuis tu ne fais que la tripoter et que tu veux coucher avec elle." En disant cela, elle était de plus en plus rouge et semblait très gênée. Qu’elle aborde la question de façon aussi directe m’a étonné et malgré moi je me suis mis à bander. "Il faut à tout pris arrêter ça Marc, c’est ta tante et c’est inadmissible de faire chanter les gens pour une petite bêtise qui concerne leurs vies privées. Tu devrais plutôt trouver une fille de ton âge."

"Bien sûr que je devrais trouver une fille de mon âge, mais j’ai vraiment envie d’Huguette, c’est elle qui m’excite". Je bandais de plus en plus et la bosse que faisait le drap devenait de plus en plus difficile à dissimuler. "Regarde, je bande comme un âne rien que d’y penser et il faudra que je me branle pour me calmer. Tu crois que c’est une vie ? " . En disant cela, j’ai rejeté le drap et mon sexe s’est dressé tout droit, dur comme une barre de fer. Ma mère a tout d’abord détourné le regard puis m’a regardé dans les yeux avec un sourire de compréhension et de gentillesse. " Je te comprends mais ce n’est pas une raison pour embêter ta tante. " Après un silence qui m’a paru durer une éternité et pendant lequel je me caressais doucement le sexe, elle repris :" Pour te calmer, comme tu dis, je veux bien t’aider mais il faudra que ça reste entre nous et que jamais personne n’en sache rien. Tu me le promets ? ". " Promis, maman, ce sera notre secret ".

Alors elle s’est assise sur le bord du lit, face à moi, et a pris doucement mon sexe dans sa main. Je m’en souviens comme si c’était hier. Sa main était d’une douceur incroyable. Je regardais cette main monter et descendre sur mon sexe, décalottant au maximum mon gland prêt à éclater. La scène était d’un érotisme inimaginable. Elle n’osait pas trop serrer et son massage était ample mais trop lent. "Serres plus, maman, et plus vite s’il te plait. Oui !!!! Comme ça c’est bon, continue. Oh, putain, c’est trop bon ". Je donnais en même temps des coups de reins pour amplifier le mouvement et je sentais mon jus monter. Sa main avait maintenant un rythme très rapide, c’était trop bon. Si au début, elle me regardait dans les yeux, maintenant elle fixait mon sexe et suivait mes mouvements de bassin. Au bout de deux trois minutes de ce traitement, je ne pouvais plus me retenir, alors je l’ai prise par les épaules et l’ai plaquée contre moi en lui murmurant à l’oreille " Continue, ça vient, je vais juter, Oh comme c’est bon maman ". Sa main était maintenant prise de frénésie et je sentais qu’elle voulait que je jouisse. "ça y est je jouis !! Continue, t’arrête pas, continue". Mon corps était parcouru de véritables décharges électriques et mes reins faisaient des bonds d’au moins 20 centimètres. C’était merveilleux, je n’avais jamais joui comme cela. Et tout en libérant tout mon jus, je la tenais tout contre moi et sans m’en apercevoir j’embrassais son visage, elle, blottie contre mon épaule. Une fois les dernières secousses passées, nous sommes restés comme cela, blottis dans les bras l’un de l’autre. Les battements de mon cur se calmaient et je me suis rendu compte que ma mère aussi était essoufflée. Une fois calmés, elle s’est redressée et m’a regardé :" je crois qu’on vient de faire une belle bêtise ". Je n’ai rien répondu sur le moment, encore secoué par cette jouissance extrême. Ma mère s’était redressée. Il y avait du sperme partout. J’avais mon ventre tout englué et des filaments de foutre épais coulaient des doigts de ma mère. Il y en avait plein le devant de sa robe de chambre. Ma mère regardait tout cela comme dans un rêve, elle secouait sa main et a fini par l’essuyer sur sa robe de chambre en disant :"En tout cas, tu en avais vraiment besoin, il va falloir tout laver maintenant." Elle s’est alors levée et a quitté assez précipitamment ma chambre.

Je suis resté hébété un bon moment, je voulais ma tante et c’est ma mère qui venait de me branler. Tout en me remettant de cet instant magique, je massais doucement mon sexe au repos encore tout gras de ce plaisir interdit par je ne sais quelle société hypocrite. Très vite je rebandais et suis donc allé prendre une douche pour me calmer.

Une fois habillé, je suis descendu à la cuisine. Ma mère était là, toute seule, devant un café qui devait déjà être froid. Je me suis approché d’elle par derrière, ai posé mes mains sur ses épaules et l’ai embrassé tendrement sur les joues. "C’était magnifique, maman, ne sois pas triste, il n’y a rien à regretter je t’assure." Dans le feu de l’action et presque de façon inconsciente mes mains étaient descendues sur ses seins que je massais doucement.

"Arrête" me dit ma mère "OK, j’ai fait une bêtise tout à l’heure mais il ne faut pas que ça aille plus loin. Je ne veux pas que tu me touches et je ne coucherais pas avec toi. Il faudra que tu te contentes de ce que j’ai fait et pas plus; OK, "

"Ok maman je m’en contenterais mais je suis sûr que tu étais aussi excitée ".

"Là n’est pas la question, j’aime ton père et il est là pour régler mes envies "

"OK , d’accord mais j’ai encore envie ". En disant cela je lui ai pris la main et l’ai posée sur la bosse de ma braguette. Elle a soupiré mais a descendu ma braguette et a entrepris de sortir (difficilement) ma queue tendue de mon slip. J’étais debout dans la cuisine, avec mon sexe en dehors de mon pantalon et ma mère assise qui se préparait à me faire jouir une nouvelle fois. La situation était torride. Cette fois ci, pas d’hésitation, ses deux mains ont pris possession de ma verge. En fait, je me branlais dans ses doigts qui n’avaient presque pas besoin de bouger. Je ne voyais que le haut de sa tête alors je lui ai pris le visage dans les mains pour la regarder pendant qu’elle me masturbait. Voir ce beau visage et ses yeux magnifiques me faisait presque plus d’effet que ses mains. "Oui, c’est ça, continue, plus fort, plus vite, plus vite, je sens que ça vient, continue"; Je lui disais tout ça en la regardant dans les yeux et elle m’obéissait avec ses doigts de fée." ça y est ça vient, ça vient, je vais juter, oui, oui, oui ". Mes premiers jets très puissants sont partis jusque sur la table. "Continue encore, t’arrêtes pas". Elle continuait à me masturber et elle avait du sperme plein les mains. Elle a continué à me masser jusqu’à ce que mon sexe soit au repos.

" Ah, nom de dieu, qu’est. ce que c’est bon".

Je lui ai alors pris les mains pleines de mon sperme et lui ai léché un doigt en faisant tournoyer ma langue. "Ah non, pas ça, jamais je ne te sucerais, je te l’ai dit tout à l’heure, mes mains et rien d’autre".

Pendant trois jours, je n’ai plus pensé à ma tante, me contentant de me faire masturber par ma maman chérie, sans rien avoir de plus. Le mercredi, comme les autres matins, ma mère m’apporta mon petit déjeuner au lit. Comme les autres matins, j’avais une érection d’enfer et ma mère ne fut pas étonnée de me voir rejeter les draps pour lui montrer un sexe déjà bandé. Comme les autres matins, elle s’assit au bord du lit et tendit la main, presque machinalement, vers ma queue frémissante d’excitation. Elle n’avait plus d’appréhension et je crois même qu’elle prenait un certain plaisir à ce cérémonial n’y voyant plus le soi-disant tabou du premier jour. Mais cette fois ci, je voulais changer un peu. Je la pris par les épaules et la fis culbuter par dessus moi. " Comme cela, on sera plus à l’aise".Elle ne dit rien. Elle était allongée à coté de moi, la tête posée sur ma poitrine et pendant qu’elle prenait ma queue dans sa main je pouvais caresser son visage et passer mes doigts dans ses cheveux courts. C’était encore meilleur que d’habitude et mes reins allaient et venaient à la rencontre de sa main qui faisait merveilleusement glisser ma peau le long de ma queue. Maintenant, elle prenait elle même les initiatives et alternait rapidité et amplitude quand elle me sentait près à partir. J’appuyais de temps en temps sur sa tête pour l’inciter à me prendre dans sa bouche mais rien à faire, elle résistait.

Après un bon quart d’heure de ce traitement j’étais au bord de la jouissance.

"Ca y est, ça vient, accélère, serre plus fort, oui comme ça, continue et t’arrête surtout pas". J’avais pris sa tête dans mes deux mains et je me cabrais de plus en plus.

"OUI, OUI, je jute, continue, encore, encore, encore.".

Mes premiers jets étaient si puissants qu’ils passèrent par dessus la tête de ma mère que je maintenais fermement. Les suivants engluèrent ses cheveux et son visage. Malgré tout, elle continuait à me masturber magnifiquement comme pour me retirer jusqu’à la dernière goutte. Je l’ai alors allongée sur le dos et me suis penché sur son visage souillé de mon plaisir. Elle en avait partout, cette vision m’a presque fait rebander. Autour de sa bouche, des filaments descendaient doucement dans son coup. J’ai pris son visage dans mes mains et l’ai embrassée tendrement.

"Tu es merveilleuse, maman, tu peux pas imaginer le plaisir que tu me donnes, laisse-moi te faire jouir aussi, s’il te plait.

" Non, n’insiste pas, je trouve que l’on va déjà trop loin. Maintenant, laisse moi, il faut que j’aille me laver".

Je ne dis rien et la regardai quitter ma chambre, triste de ne pouvoir lui rendre le plaisir qu’elle me donnait. J’étais sûr qu’elle se masturbait après chaque séance du matin.

Le lendemain matin, j’attendais avec impatience son entrée dans ma chambre. Elle entra, posa le plateau sur la table et se baissa pour me faire un petit "bisou du matin "comme elle disait. Tout en se baissant, sa main rampa sous les draps pour attraper ma queue qui n’attendait que cela. "Toujours prêt, à ce que je sens " dit-elle avec un merveilleux sourire. En rigolant, je la basculais et me retrouvais sur elle, une jambe entre les siennes qu’elle referma immédiatement. "Non dit-elle sois sympa, on était d’accord ". "Oui OK, OK, mais moi aussi je voudrais te faire jouir". En disant cela, mes mains ne restaient pas inactives et pétrissait sa superbe poitrine. Je sentais ses tétons durcir. "Arrêtes, tu vas finir par m’exciter et je ne veux pas " dit elle en me repoussant.

" Bon occupons nous de la bébête maintenant". Elle était comme hier, la tête posée sur ma poitrine et sa main qui caressait mon sexe exacerbé d’attendre. Je caressais son visage, ses cheveux et malgré ma promesse, une de mes mains s’égara dans son corsage. Que ce sein était doux et moelleux, il se laissait sculpter par mes doigts impatients qui le périssaient avec ferveur. Ma mère essaya timidement de retirer ma main mais la laissa bientôt libre de jouer avec ce sein merveilleux de douceur. Son téton était dressé comme un petit pénis et je ne doutais plus qu’elle devait mouiller de désir. En même temps, j’essayais d’amener sa bouche vers mon sexe tendu.

"Je t’en prie, maman, j’ai trop envie, prends moi dans ta bouche s’il te plait, s’il te plait ". Petit à petit sa respiration s’accélérait et je sentais sa tête glisser ostensiblement vers mon ventre.

" S’il te plait, j’ai trop envie, suce moi s’il te plait ". En disant cela, je m’arquais le plus possible pour approcher ma queue de cette bouche qui se dérobait toujours. Je ne reposais que sur les talons et les épaules. J’appuyais de plus en plus sur sa tête qui se rapprochait inexorablement de mon sexe. Je ne caressais plus ses seins, je les malaxais et elle ne disait rien. Seuls quelques gémissements très discrets s’échappaient de ses lèvres. Et là, le miracle, je manquais de décharger de suite, une langue agile tournoyait autour de mon gland. Celle langue virevoltait et me donnait des frissons partout. Alors j’appuyais fermement sur cette tête chérie et je sentis ma bite s’engouffrer dans un puits de velours. C’était fou, ma mère me suçait divinement. Elle enfonçait mon sexe le plus profond possible et le ressortait avec des dégauchissements à faire jouir un moine. C’était une déesse du sexe. Elle se mit à genoux pour être plus à l’aise et se mit à me pomper avec frénésie. Je voyais son visage, les yeux fermés, monter et descendre sur mon sexe. Sa salive coulait et poissait mon bas ventre. De temps en temps, elle ralentissait et tout doucement engloutissait mon sexe, sa bouche était déformée par la grosseur de ma queue et puis elle remontait lentement, laissant ma bite luisante de salive. A un moment elle leva les yeux et me regarda en souriant. Elle quitta mon sexe et des filaments restaient tendus entre sa bouche et mon sexe. Cette vue manqua me faire juter. Elle ré enfourna ma bite et se mit à me sucer à une vitesse telle que je suis parti en criant : "OUIIIIIIIIIIII!!!!

Je lui tenais la tête et je remplissais sa bouche qui continuait malgré tout de monter et de descendre sans en perdre une goutte. Elle dut quand même ouvrir la bouche car la quantité était telle qu’elle ne pouvait tout garder. La vision de cette bouche laissant échapper mon sperme épais le long de ma bite restera à tout jamais dans ma mémoire. Une fois complètement vidé, j’ai pris son visage dans mes mains, l’ai approché du mien et ai embrassé tendrement ma mère. J’ai bien sur essayé de l’embrasser sur la bouche mais elle a tourné la tête. Elle avait encore du sperme dans la bouche mais ne voulait visiblement pas l’avaler, aussi elle le recracha discrètement dans les draps. Puis elle m’embrassa doucement et me dit :" Jure moi que tout cela restera à jamais entre nous, que jamais personne ne le saura, jure le moi".

" Je te le jure, maman ".

La suite très bientôt si elle vous intéresse

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