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Je garde mes petites-filles – Chapitre 1

Une sacré soirée - Chapitre 2



Sous prétexte que je suis veuf et que je suis retraité, on ma confié la charge de garder mes petites-filles.

— Papa, tu nas rien à faire! Tu peux les surveiller pendant que nous sommes en vacances! mont demandé mes enfants.

Je suis la bonne poire de la famille et jai accepté! Jai donc hérité dAnnie et de Josiane sa cousine, à peine majeures. Quest-ce que jai fait là! Je ne sais pas ce qui convient à des filles de leur âge! Aussi pour avoir la paix, je leur laisse une liberté royale, ce que je pense vouloir éviter leurs parents en me les confiant! Ils auraient du se douter! Je nétais jamais intervenu dans leurs histoires internes et ce nest pas à mon âge que je vais changer!

— Soyez sage mes choux, vous pouvez faire ce que vous voulez, à condition de ne pas exagérer et que cela reste dans les limites du raisonnable!

— Ne te fais pas de mauvais sang Papy! Nous ne te décevrons pas! affirme Josiane, la plus délurée des deux.

Heureusement que jai à ma disposition Maurice, mon petit-fils. Du même âge que ses cousines, enfin presque, il sait ce qui leur convient. Effectivement, à part quelque sorties nocturnes, je nai pas eu à me plaindre de leur comportement. Avec leur cousin, elles forment un groupe, bruyant certes, mais convenable, en particulier vis-à-vis des voisins. Daccord, laisser des jeunes gens en pleine croissance sans surveillance est peut-être imprudent, mais à condition de fermer les yeux sur ce quils font entre eux dès que jai le dos tourné, tout se passe fort bien. Garde dété de jeunes adolescents ce nest pas difficile en somme!

Cest la sieste. Tout le monde est couché, enfin je crois. Faudrait quand même men assurer! Ce nest pas parce que je laisse aux filles la liberté de faire à leur guise quelles ne doivent pas me rendre des comptes. Je mavance vers leur chambre. Pas de bruit! Si! Un léger gémissement. Quest à dire? Laquelle se plaint? Je pousse doucement la porte et Je marrête sur le seuil complètement abasourdi! Elles sont bien là! Mais toutes nues entrain de se caresser intimement, du moins je le présume daprès leur position en tête-bêche! Cest du propre! Mais elles sont si belles! Quest-ce que je dois faire? Les séparer et occasionner un scandale? Ou les laisser continuer sans rien dire? Telles quelles sont placées jai sous les yeux des fesses roses. A qui sont-elles? A Annie ou à Josiane? Je ne saurais le dire, mais tout ce que je sais, cest quelles sont diablement tentantes. A les contempler une bosse gonfle dans mon pantalon. Cest décidé, je les laisse faire pour admirer à loisir. Jen suis là de mes réflexions quand elles se retournent. Les fesses appartiennent à Annie! Zut! Je croise le regard de Josiane.

— Hiii!

Les deux filles se délient rapidement et se cachent derrière un paravent.

— Tu tu es là depuis longtemps? demande Josiane.

Surpris en flagrant délit de voyeurisme, jattaque!

— Je vous y prends! Cest scandaleux! Vous caresser comme des gouines! Quavez-vous à dire pour votre défense?

— Papy! Papy! Tu ne diras rien à nos parents? sinquiète Annie.

Les deux filles sont toujours cachées. Comment les faire sortir au grand jour pour les admirer? Tout à coup une idée machiavélique se forme dans mon esprit.

— Pourquoi je ne le dirai pas?

— Papy! Je ten supplie, ne leur dis rien! supplie Josiane.

— On te promet de ne plus le faire, insiste Annie.

Ça, ça ne fait pas mon affaire! Je contre-attaque:

— On connaît la validité de telles promesses! Vous avez été laissé à ma garde pour ces vacances! Ce que vous avez fait est mal! Je ne sais pas si je peux le taire.

Annie tente de mamadouer:

— Je ten supplie Papy, dis rien à nos parents!

— Cest très grave ce que vous me demandez là.

— Euh Si tu ne dis rien, on fera ce que tu voudras.

Tout juste ce que jespérais.

— Tout ce que je voudrai?

— Tout ce que tu voudras! Nest-ce pas Josiane?

— Euh Daccord tu ne dis rien et on fera ce que tu voudras! acquiesce celle-ci.

— Bon, je consens à passer léponge Pour cette fois A condition que vous mobéissiez aveuglement.

— Oh merci Papy! Jeeuh On te revaudra ça! déclare Annie.

Josiane me regarde dun drôle dair.

— Que nous faut-il faire? demande-t-elle.

— Tout dabord sortez de votre cachette!

— Mais on est toute nues! se plaint Annie.

— Et alors? Jen ai vu dautre! Allons! Dépêchez-vous!

Elles émergent du paravent, Josiane devant, Annie plus timide derrière. Quelles sont jolies! Je mattarde à les admirer.

— Quest-ce que tu veux Papy? Quest-ce quon doit faire?

— Euh Vous vous caressiez quand je vous ai surpris, nest-ce pas? Et bien cest mon tour! Caressez-moi!

— Où veux-tu quon te caresse? demande étourdiment Annie.

Je déboutonne ma braguette et sors la verge qui se développe.

— Là!

— Oh non pas ça!

— Puisque cest ainsi, je serai obligé de tout dévoiler à vos parents.

— Oh non Papy, fais pas ça ! se désole Annie.

Le regard de Josiane est fixé sur la verge toute droite et sa langue passe et repasse sur ses lèvres. Me soupçonnerait-elle de vouloir profiter de la situation ?

— Annie, fait ce quil demande, ce nest pas terrible. Moi non plus je ne veux pas quil raconte ce que nous avons lhabitude de faire quand nous sommes seules.

Elle a compris, elle, que mes intentions ne sont pas honnêtes.

— Jai Jai jamais fait! se désole Annie.

— Pas dimportance, imite-moi.

Elle sagenouille devant moi, extrait la queue et la présente à sa cousine qui sapproche. Le passage dune main à lautre marrache un premier soupir.

— Passe ta langue dessus, continue Josiane.

— Mais cest sale!

— Mais non, Papy se douche tous les jours, tu nas rien à craindre.

Je sens une petite langue lécher le gland, puis une autre la rejoint Cest merveilleux! Je suis aux anges! Deux jolies nanas nues à ma dévotion! Que demander mieux! Annie imite avec succès sa cousine. Les deux filles se partagent la tâche, alternant caresses avec les mains, sucettes et introduction entre les lèvres. Cest un plaisir divin quand une bouche entoure la verge. Je ne vais pas pouvoir me retenir longtemps. La semence monte dans la tige.

— Aaah! Je vais jouir!

Les filles négligent lavertissement.

— Aarrgghh!

Je me répands entre leurs lèvres accueillantes à la surprise dAnnie.

— Theu! Theu! Theu! Quest-ce que tu fais Papy? Quest-ce que cest ce liquide?

Josiane lèche ses lèvres et ses doigts avant de déclarer:

— Cest du sperme. Cest ce que tout homme émettrait dans le même cas, tu nes pas au courant? Nest-ce pas que cest bon?

Me regardant dans les yeux elle ajoute :

— Cest toujours un plaisir de sucer une grosse verge!

Celle-là, elle connaît le « loup »! Je massieds sur le lit froissé et attire les deux filles contre moi. Je pose les mains sur leurs seins. Cest doux, cest tendre. Si Annie est réticente à se laisser peloter, sa cousine samuse de la situation.

— Alors, Quest-ce que tu en dis? Est-ce que je peux te laisser seule avec ton cousin? Sauras-tu te débrouiller? Euh si Papy ny vois pas dinconvénient. Nest-ce pas Papy?

Je ne réponds pas car ce qua dit en premier Josiane minterpelle.

— Vous avez lhabitude de vous voir? Sans témoin?

— Oui, même que souvent Josiane est seule avec Maurice, déclare Annie.

— Ah? Que tu fais alors? je demande à Josiane. Tu le suces?

— Euh

— Cest bien ce que javais compris. Est-ce que tu te contentes Euh Nexige-t-il pas plus quune simple fellation?

— Euh

— Vous faite lamour entre cousins? Oui? Ben jen découvre de belles à votre sujet!

— Oh! sexclame Annie, Tu tu

— Oui ! Je baise avec Maurice. Quest-ce quil y a de si étonnant ? Nous sommes tout les deux majeurs et vaccinés. Et je suis sûre que Papy ne dira rien maintenant !

— Euh Il fait bien lamour ?

— Je crois que oui mais je manque de critères de comparaison, avoue Josiane. Tu nas pas répondu à ma question Papy. Est-ce que tu permets Annie de samuser avec Maurice ?

— Euh oui, mais

— Tu entends Annie, Papy est daccord !

— À une seule condition !

— Euh quelle condition ?

— Cest dêtre présent Euh je dois contrôler que vous ne faites pas de bêtises entre vous !

— Évidement, évidement ! acquiesce Josiane pas dupe de lexplication.

Elle samuse avec ma verge qui reprend du volume. Tout à coup la porte sentrebâille sur Maurice.

— Ah ! Je savais bien que je vous trouverai là !

— Hiii !

Annie réagit la première et se réfugie derrière le paravent suivies de Josiane. Je nai pas le temps de me réajuster et reste la queue hors du pantalon. Maurice juge dun coup dil la situation.

— Oh Papy ! Quest que tu fais à moitié déshabillé avec tes petites-filles toutes nues ? Quest-ce que tu penses que les parents de ces gamines diraient sils lapprenaient ?

— Papy a promis de ne rien dire ! argumente Annie.

— Il serait bien en peine vu ce quil a fait Mais ne vous faites pas de mauvais sang, il nest pas dans mes intentions de cafter

Il ne me plait pas dêtre la victime dun chantage.

— Tu naurais pas, de ton coté, des choses à te faire pardonner ?

— Euh Je crois quon en restera là.

— Les enfants, nous sommes tous majeurs. Il ny a donc aucune raison de se cacher.

Josiane sort de derrière le paravent pour s’asseoir sur le lit, à mes cotés.

— Ah ! Je vois que toi, tu as compris ! Merci Quest-ce que tu attends Annie pour imiter ta cousine ? Cest de nous voir habillé qui te gêne ? Quà cela ne tienne !

Je quitte pantalon et t-shirt.

— Fais comme moi Maurice !

Le garçon se déshabille à son tour. Annie consent à quitter la protection du paravent. Je la surveille du coin de lil. La jeune fille fait semblant de voir ailleurs, mais quand elle ne se croit pas observée, dirige ses regards vers nos queues turgescentes.

— Naie pas peur cela ne mors pas ! lui dis-je.

Elle rougit et sassied à son tour sur le lit.

-Javais prévu une promenade cet après-midi mais je pense que nous avons mieux à faire. Nêtes-vous pas de mon avis ?

— Tout à fait Papy ! approuve Maurice.

Josiane semble aussi daccord avec mes sous-entendus. Seule Annie ne comprend pas.

— Pourquoi on va pas se promener ?

Je néglige de répondre. Elle saisira assez tôt. Maurice ne perd pas de temps. Il attire Josiane contre lui en lembrasse goulument.

— Oh ! Il il ils vont

— Faire lamour ? Je le pense. Ça te gêne ?

— Je veux pas !

— Quest ce que tu ne veux pas ? Que ta cousine fasse lamour ? Pourquoi ?

— Euh Je ne veux pas faire lamour, moi. Je suis vierge et lentend le rester Jusquau mariage.

— Ainsi tu veux te réserver pour ton futur époux ? Je le connais ?

— Oh Papy ! Je parlais en général, pas dun garçon en particulier.

Maurice et Josiane continuent à sembrasser. Leurs mains partent à la découverte de leur corps. A mes cotés Annie semble intéressée par le spectacle. Le souvenir de ses fesses mobsède.

— Tu sais ma chérie

— Oui Papy.

— Il y a une manière de faire lamour tout en te préservant. Tu ne veux pas essayer ?

— Euh Tu garantis que je ne risque rien ?

— Promis !

Je lattire à mon tour pour un baiser brûlant. Après une petite hésitation, sa langue vient à la rencontre de la mienne en un ballet voluptueux. Quel plaisir de lembrasser ! Dune main je triture un tétin, de lautre je flatte les fesses. Mon doigt se glisse dans la raie à la découverte du petit trou secret. Jintroduis une phalange. Le lit à coté de nous tangue. Maurice et Josiane nen sont plus aux préliminaires. Je dois presser le mouvement si je ne veux pas me faire distancer. Mon index va et viens dans le cul dAnnie qui soupire fort. Jajoute un deuxième doigt mouillé qui entre sans forcer.

— Oh Papy ! Et ta promesse ?

— Je la tiens, je la tiens. Mais laisse-moi te câliner. Tu naimes pas ?

— Tu Tu es sûr de toi ?

— Oui ma chérie. Tu nauras pas à rougir la nuit de tes noces, ajoutais-je en pistonnant de la main. Ce nest pas ton vagin que je veux honorer mais lautre orifice. Ta rondelle restera intacte. Tu peux me faire confiance.

— Aaah ! Je Je te crois.

Je la dispose à quatre pattes sur le lit déjà encombré par lautre couple. Quel cul ! Jen salive à lavance. Je mavance, chatouille la raie de la pointe de mon sexe.

— Ça va ma chérie ?

Un gémissement me répond.

— Mmmmh !

Je cherche le bon emplacement Ça y est ! Je menfonce dun seul coup jusquà la garde.

— Ooouch !

— Tu as mal ?

— No non.

— Laisse-moi taimer comme tu le mérites.

Je me retire un peu, me renfonce à nouveau. Ma main écarte les lèvres intimes à la recherche de la petite excroissance que je sais trouver là.

— Aaah ! Ouiii ! Continue Papy ! Cest ça lamour ? Jaime Ouiii ! Jaimeuuh ! Paaaapiiiiiii !

— Ben si je mattendais ! déclare Maurice à nos cotés. Annie a toujours refusé de faire lamour. Elle voulait soi-disant rester vierge.

— Cest Han Toujours le cas Han Cest dans lautre Han autre orifice Han Que jopère.

— Lautre orifice ? Ah ! Je comprends ! dit-il en regardant mieux. Ainsi en lenculant

— Elle garde Han intacte sa Han Sa rondelle.

Josiane sapproche. Elle câline sa cousine qui lui sourit.

— Tu nas pas mal ?

— Aaah ! Non Aah ! Cest merveilleux ! Aaah Je jouiiiis ! Cest booooon !

Je nai pas à prendre de précaution. Même si Annie ne prend pas la pilule il ny a rien à craindre. Je me déverse dans le cul accueillant.

-Aarrgghh !

Nous mettons quelques secondes à reprendre nos esprits. Je suis vidé, la suite se fera sans moi ! Je croise le regard de Maurice, lui nen a pas assez ! Je le vois sapprocher dAnnie.

— Tu peux, Si tu veux, ten occuper, mais je te prie, respecte la promesse que je lui aie faite.

— Jai compris. Jai lautorisation de lenculer pas de la baiser Euh si elle est daccord évidement.

— Évidement.

Oui, Annie semble daccord et német pas dobjection. De mon coté je voudrais bien faire lamour à Josiane, mais ce sera pour plus tard, quand jaurai récupérer. Demain par exemple Ma petite-fille qui a compris que je nétais pas disponible sapproche de sa cousine pour la caresser

Ce furent dexcellentes vacances. Tout le monde a été content : Maurice, qui a pu honorer ses cousines, Josiane, qui a fait lamour avec moi et son cousin, Annie qui na pas perdu son pucelage et moi, qui est pu tremper ma quéquette presque tous les jours. Je suis volontaire pour « garder » les prochaines vacances !

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