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Je me commets – Chapitre 1

Je me commets - Chapitre 1



Je rêve depuis longtemps de me commettre avec une copine. Je ne sais si elle sera de mon avis, si elle aimerait me donner du plaisir et en recevoir de moi.

Nous nous connaissons depuis longtemps. Nous nous sommes vues nues souvent et un jour j’ai eu envie d’elle.

Je voulais lui donner ce plaisir suprême d’orgasmes partagés. J’avais la chance que nous allions souvent dans la chambre de l’autre pour bavarder comme seules savent les filles.

Je lui racontais comme je me masturbais, ce que je ressentais nue sous la douche avec le jet sur mon intimité.

Mais à, force de parer sexe, un jour je ne me suis plus retenue. Il fallait que je me donne du plaisir. Là, sans hésitation je passais ma main dans le jean, touchais vaguement la chatte mouillée. Elle me regardait un peu interloquée, souriant un peu. Je prenais ce sourire pour une invitation à me masturber devant elle.

Je sortais du jean, enlevais mon string et ma main commençais à me caresser. Le plaisir ressenti me la faisait un peu oublier. Je fermais les yeux, comme toujours quand je me masturbe.

Ne te gênes pas, fais comme chez toi.

Merci, pourquoi te n’en fais pas autant.

Chiche.

C’était ces derniers mots avant la suite. Elle aussi se mettait pratiquement nue, les deux mains sur la chatte. Je voyais clairement qu’elle se touchait. Elle faisait comme moi en se tendant, se détendant pour recommencer. Je voyais clairement ses doigts caresser sa fente.

C’est bon, je vais arrêter pour ne pas jouir de suite.

Moi aussi. Tu veux m’embrasser ?

Donne moi ta bouche.

J’avais envie de ses lèvres aussi notre baiser, le premier était formidable. Nos langues jouaient ensemble. Nos bouches restaient collées comme unies par de la colle. Mais nos mains allaient sur le corps de l’autre. Je me souviens encore des caresses qu’elle me faisait sur les seins. Moi j’étais plus directe. J’avais déjà une main sur son sexe. Je sentais sa chaleur interne, la moiteur de ses lèvres.

Nous nous embrassions toujours quand nous avons commencer à nous caresser comme des lesbiennes. Sa main était agréable sur ma chatte comme la mienne sans doute sur son endroit. J’avais ma paume entière sur son pubis. Je mettais simplement un doigt, le majeur dans la fente, en cherchant uniquement le clitoris. Nous nous faisions simplement plaisir sans chercher le grand saut. Mais pourtant l’envie d’aller plus loin était en elle au moins. Je sentais bien un doigt sur le clitoris. Elle savait bien le caresser. Et moi je me laissais faire dans l’attente d’autre chose qui brusquement est venu !

Quel orgasme magnifique. Elle laissait sa main sur mon sexe tout le temps que je jouissais. Mes spasmes étaient d’une longueur inégalée. Ma langue dans sa bouche lui caressait la sienne. J’étais simplement heureuse de mon orgasme inattendu.

Et puis elle s’est retourner pour m’embrasser le pubis. Je me trouvais moi aussi avec son sexe pas loin de mon visage. Elle écartais largement ses jambes.

Je ne savais pas quoi faire quand elle a collé son sexe sur mon visage. Je sentais l’odeur de sa chatte, de son liquide intime.

Lèches moi le con.

C’était à la fois une demande et un ordre. J’hésitais longuement quand je sentais sur ma chatte la douceur et a fermeté de sa langue à elle. Je crois que j’ai sursauté quand elle me léchais dans un seul but : me faire jouir. C’était étrange, surprenant, agréable. Je ne pensait jamais qu’une simple langue ait pu avoir un tel effet. Je sentais aussi, un moment après le bout de la langue venir sur mon anus. Il s’insinuait en moi doucement, il entrait dans mon cul qui était vierge de toute intrusion. Et moi, je me laissais faire avec plaisir surtout quand elle me faisait aussi jouir, sans doute plus fort que la première fois . Et moi je léchais son sexe en pensant que j’allais la faire jouir. C’est arrivé à ma grande stupéfaction. Elle était sur moi et je devait lever la tête pour arriver à son sexe.

Pleine d’imperfection morale elle mentraîner là où elle voulait dans le vice. Je prenais goût à ses débauches.

C’est elle qui m’a dépucelé avec un gode assez gros. Elle m’a fait jouir pour l’occasion. Mais d’une façon différente qu’avec sa langue. En plus elle mettait toujours un ou deux doigts dans mon cul. Elle mapprenait à bien lécher le gode après ma jouissance pour que je sache lécher un homme.

Plus tard elle l’a obligé à faire lamour avec deux hommes devant elle. Elle me regardait me faire mettre en se masturbant sans honte devant nous.

Et moi j’avais deux bites pour moi seule. Je me mettais sur le premier amant, je lui prenais la queue bien dure, bien bandée, je la mettais sur mon sexe et d’un coup sec, sans attendrissement il m’a baisé rapidement, trop rapidement. .

J’étais surprise quand le deuxième, au lieu de se masturber venait sur moi, passait sa bite dans la raie de fesses. J’étais surprise de le sentir venir pile sur mon cul.

J’allais râler quand je sentais le différence avec deux bites en moi. Ce ne devait pas être la première fois qu’ils mettaient un fille à deux.

Leur aller et retour étaient synchronisés. Et moi, au milieu je rythmais leur cadence. Je jouissais ainsi deux ou trois fois, au point de paraître pour une pute, ce que je devenais sans doute en me donnant rapidement à qui me plaisait, homme ou plus souvent filles.

J’ai eu 5 amants et une bonne dizaine de filles comme j’aime , vicieuses, impudiques, sensuelles.

Je vis seule, partageant ma vie entre mes amantes et mes rares amants. Mais j’aime bien depuis quelques temps à baiser avec un mec et une fille. Baiser en 69 avec une nana et se faire enculer c’est le pied.

Mon amante préférée, aime jouir à plusieurs. Nous sortons dans des bars spéciaux avec les amis ou amies d’une nuit.

Je n’aime pas tellement les couples hommes filles. Mais jadore baiser avec une belle brune toujours revêtue de sa parure pubienne. Je trouve que leur odeur, plus forte que les autres m’excite toujours plus.

J’ai participé un après midi à une réunion de lesbiennes dont le seul but était la jouissance, l’extase sexuelle. Au début je pensais que mon cul n’allait pas participer. C’est moi qui par goût mettait ma langue dans la raie des fesses de mon amante du moment. J’allais, en me faire gronder vers l’anus qui s’offrait à moi. Le bout de ma langue trouvait l’accès facile à ce cul magnifiquement offert ; je léchais avec plaisir le cul. Il s’ouvrait devant ma langue alors je suis entré. Je sentais les muscles de l’anus résister à peine quand j’allais en lui ; et d’un seul coup la langue est entré facilement. Je sodomisais mon amante uniquement avec le bout de ma langue. Je ne sortais d’elle que quand je sentais qu’elle jouissait.

Je regardais autour de moi, les filles, en 69, bien souvent, se léchaient souvent le cul. Je prenais goût à ce genre de léchage, pour moi aussi. Je me suis faite lécher souvent le cul. J’insistais pour que la langue entre en moi.

Bien sur ça ne faut pas une bite au cul. J’ai eu une amante qui voulait que je la sodomise en léchant. J’étais très excitée en passant ma langue sur son sexe de voir le gode entrer dans son cul largement ouvert à la pénétration.

Par contre avec une autre de mes camarades, nous utilisions beaucoup un double gode. Couchée sur le dos, les fesses proches, c’est elle qui commençait à mettre son gode dans son vagin, le faisait aller et venir deux ou trois fois et me le mettait également.

Un amant un peu bi me demandait de l’enculer aussi pendant qu’il me baisait. Il venait en moi par devant, je mettait le gode dans son cul. Il aimait se faire mettre pendant qu’il baisait une nana. Pour moi ’était très excitant de sodomiser mon compagnon du moment, de l’enculer totalement pendant qu’il me mettait sa queue dans mon con. En insistant il acceptait enfin de se faire sodomiser par un vrai bite. Je demandais à un de mes amants de l’enculer, ce qu’il acceptait volontiers. Je le laisser faire leur sodomie, je me branlais dans le seul but de jouir.

Je trouvais ce couple d’homme extrêmement excitant/Je surveillais bien les aller et venues dans le cul de celui qui, un moment avant me la mettait profond. Quand il finissait sa sodomie, il n’avait pas jouit contrairement à son amant qui éjaculait sur moi.

Je ne pouvais me retenir, il fallait que je nettoie cette queue encore tâchée de je ne sais quoi. Je la prenais en entier dans mes lèvre, dégustais ce goût particulier et léchais en me régalant.

Je recevais une grande quantité de semence dans la bouche que je voulais partager un peu. Je le donnais sur les lèvres de son amant qui dégustait ce jus de mâle.

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