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Je me fais défoncer par mon oncle – Chapitre 19

Je me fais défoncer par mon oncle - Chapitre 19



Comme je ne pouvais rien faire pour empêcher quoi que ce soit pour le moment, j’entrepris donc de branler sa bite toujours bandée et souillée de foutre et il recommença à gémir. L’engin était prêt à cracher une nouvelle dose.

Il descendit du lit, la queue dégoulinante de sperme, me fit mettre à genoux, m’attrapa par les cheveux et me la fourra dans la bouche. En tenant ma tête fermement, il baisa ma bouche comme il venait de le faire avec ma petite chatte. Il ne fut pas long à se vider de nouveau dans ce trou, nouvellement devenu depuis quelques semaines, un réceptacle à foutre.

Le lendemain, inquiète du fait que Jacques s’était vidé dans ma chatte; je lisais sur les grossesses et sur les façons de les éviter, et la méthode du calendrier nous a été très utile. Il s’agissait que je ne me fasse pas fourrer pendant l’ovulation ou du moins, que Jacques ne se décharge pas dans ma chatte. De toute façon, j’avalais sa semence la plupart du temps.

Les semaines, les mois s’écoulaient et nous trouvions toujours de nouvelles façons de nous amuser avec nos corps. Lentement mais sûrement, je devenais de plus en plus salope, et Jacques devenait de plus en plus cochon. Il adorait s’amuser avec sa sur qui ne reculait pas devant rien.

Il aimait mettre sa queue entre mes gros nichons, et il se branlait jusqu’à ce qu’il vienne sur mon visage. Il recueillait ensuite tout ce foutre avec sa queue avant de me la mettre en bouche. J’adorais le goût du sperme.

S’apercevant que je mouillais et que je me touchais pendant que je le branlais, il se mit à lécher et à bouffer ma fente pour la faire mouiller davantage, avant de la remplir avec sa queue. Nous avons aussi découvert qu’en me mettant à quatre pattes au-dessus de lui, il pouvait bouffer ma chatte et enfoncer sa langue dans mon petit trou à merde pendant que je le suçais. Dès lors, il me demanda d’épiler ma chatte, disant que ce serait plus agréable pour lui, ce que je fis avec son aide.

Un jour, après avoir vu un chien et une chienne s’accoupler, il me fit mettre à genoux et me défonça en levrette en me tenant bien fermement par les hanches. Il dit que j’étais sa petite chienne, ce qui m’excita. Après un bon moment de défonce, pendant lequel j’entendais sa peau claquer sur mon cul et que je l’entendais me traiter de chienne et de salope, une chaleur bienfaisante envahit mes jambes, montant dans tout mon corps qui se raidit, ma respiration s’arrêta un court instant. Comme pour bien ressentir ce qui m’arrivait, ma tête s’est mise à tourner et ensuite je laissai échapper un long grognement rauque… À 18 ans, je venais de connaître l’orgasme.

Aussitôt, Jacques, sûrement excité par mon cri à peine étouffé et par le resserrement de mon vagin sur sa bite pendant que je venais, poussa lui aussi un grognement et se mit à répandre son foutre. Sortant sa queue, il déchargea sur mon cul en se branlant et en donnant des coups de sa grosse bite sur mes fesses mouillées de semence. Du sperme coula dans ma raie qu’il ramassa avec le bout de sa queue et, toujours excité, s’en servit pour lubrifier mon trou de balle qu’il força doucement avec son pieu pour m’enculer.

Comme j’étais assez détendue et très excitée, j’ai pris une grande respiration et sa queue s’est enfoncée dans mon petit cul serré sans me causer trop de douleur. Après un moment à me faire défoncer le cul et pendant que je caressais ma chatte, je jouis une autre fois et lui aussi d’ailleurs, mais cette fois-ci, il me tourna vers lui et vida ses couilles dans ma bouche en m’insultant encore plus, ce qui avait le don de m’exciter davantage. Je suçai ensuite avidement cette queue qui sortait de mon cul et qui avait un léger goût de merde. J’étais vraiment sa salope comme il aimait à se dire.

Depuis ce jour, je préfère de loin me faire enculer, bien que se faire défoncer la chatte par une grosse queue dure, et parfois deux, soit assez agréable. Une violente sodomie, accompagnée de claques sur les fesses, me fera jouir et couler comme une chienne à coup sûr.

Pendant quelques années, nous avons baisé comme des animaux, sans que personne, pas même nos parents, ne soupçonne quoi que ce soit et je suis devenue une véritable chienne, doublée d’une nymphomane absolument insatiable.

Nous avons fait bien des saloperies immorales, imaginées par moi, qui me font encore mouiller quand j’y repense et que je recommencerais sans hésiter.

Ce qui nous amène au jour de mon mariage… enfin, notre mariage. Jacques et moi avions fait un mariage double. Nous nous sommes mariés la même journée, dans la même église. J’avais 23 ans et Jacques, 26. Il épousait Émilie, une de mes bonnes amies et moi, j’épousais Pierre, un ami d’enfance dont j’étais follement amoureuse.

Environ une heure avant la cérémonie, nous étions dans la sacristie à terminer les derniers préparatifs et en attendant l’arrivée de nos futurs conjoints respectifs et des invités, nous discutions du fait que nous ne pourrions plus baiser ensemble autant qu’avant, ce que nous trouvions dommage.

Que croyez-vous qu’une sale cochonne et son frère tout aussi cochon qui baisent ensemble depuis 5 ans pour le seul plaisir du sexe sale et immoral pensent à faire dans un endroit sacré où c’est un sacrilège de baiser ?

Je vous le donne en mille…

Eh bien, la putain de salope s’est agenouillée, a ouvert sa bouche de pute et a reçu la grosse bite de son frère en cadeau de mariage pendant que sous sa robe de mariée, elle doigtait furieusement sa chatte lisse et dégoulinante en attendant son futur mari. Alors ça, mes enfants, c’est une putain de chienne !

Suite bientôt…

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