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Je me suis fait sauter par son copain. – Chapitre 1

Je me suis fait sauter par son copain. - Chapitre 1



Cette histoire est vrais et s’est passer dans le département de Sarthe dans l’Ouest de la France, un dimanche d’été 1985.

Jean-Louis est un ami de mon mari, ils font d’assistance radio sur diverse manifestation (sportive et autres qui demandent une mise en sécurité) Jean-Louis est un dragueur incapable de regarder une femme sans la dé habillée, il vie avec Chantal une gentille femme toute frisée que l’ont surnommes (Petit Mouton)

En début de juillet Jean-Louis et Chantal nous ont invité à venir dîner un dimanche, nous avons accepté cette proposition avec plaisir et le jour convenu nous arrivâmes chez eux vers midi, s’étais une journée chaude comme l’avais été toute la semaine et des vêtements légers étais de rigueur et j’avais passé le trique nécessaire, slip soutien gorge que je recouvris d’une robe blanche légère et courte qui se boutonne sur devant mais ne se ferme pas totalement en le bas.

Sur la route qui menaient chez nous amis mon mari me pelotaient les cuisses, il l’aime bien me caresser de que suis en jupe il remonte ses doigts jusqu’à mon clitoris pour le cajoler et j’aime bien ça

Nous fumons accueillie par Chantal et Jean-Louis, je fut gênée par le regard que ce dernier porta sur mes jambes lorsque je descendis de notre voiture, une BX une auto très basse qui donne une vue pongeante sous robe des femmes, nous prisme l’apéritif en discutant debout sur la terrasse alors que Jean-Louis étais au barbecue un peu en contre-bas à faire cuir des merguezs et ces yeux ne perdais une occasion de me fixe sur mes jambes, il me fallut une dixième minute un quart heure pour comprendre que le soleil rendait ma robe transparente et qu’il rinçait l’?il sur moi, mais, je ni vue qu’a cet instant qu’une coïncidence et toute rouge de honte me reculais du bord de la terrasse et allais rejoindre Chantal dans sa cuisine.

Pendant le repas je fut gêné de sentir le regard de Jean-Louis sur mon corps qui me dé habillait littéralement, il me fixait dans les yeux me faisais de petits coups ?il les accompagnant de léger sourire qui ne laissant aucun doute sur les pensés qui lui traversait l’esprit et la gène du début s’estompa et je m’en amusais, surtout que l’ont riais racontaient des bagues de toutes sortes qui tournait rapidement sur le sexe, au demi-lieu du repas son regard et les histoires de cul finir par faire apparaître en moi de l’excitation mes seins durcissais ma chatte devenais chaud et humide.

Le repas fin, les hommes entrère dans pavillon pour faire de la radio et nous femmes ils nous restaient la vaisselle.

Il y avait pas loin une demi heure que les entendaient rire avec leurs interlocuteurs et nous décidâmes de les rejoindre, ont les regardaient faire les cons un long moment, quand Chantal retourna dans la cuisine, je restais debout appuyer à mon mari qui ne perdit pas de temps pour me passer une de ses mains derrière mes jambes et la remonté sous ma robe ou il vient me peloter les cuisses et les fesses ce qui ne fut pas déplaisant du tous.

Fatiguée d’être debout je m’assoie sur la cuisse droite de mon mari qui me passa un bras au tour de la taille pour me serrer contre lui, alors que sa main gauche me cajolait le genoux et je ris avec eux des bêtises qu’il racontait à leur lointain interlocuteurs, la main de mon mari avais progressé sur intérieur de ma cuisse que j’avais inconsciemment écartée sous ses douces caresses et l’autre palpait tendrement un de mes tétons.

C’est le regard insistant de son ami qui me fit baisser les yeux sur mes jambes et compris ce qu’il matait, les pans de ma robe avaient glissé et il avait vu sur mes cuisses et les poils noirs de mon pubis qui sortaient de mon slip, je relevais la tète, nos yeux ce croissère alors qu’une sensation étrange me parcourais le corps.

Un moment plus tard je rejoins Chantal, qui préparait une pâtisserie pour le soir, je lui donnais un coup de main en coupant des pommes en tranche, quelle disposa sur son gâteau puis mis le tous au four.

Et me dit ’ il y a de la lecture dans le séjour si tu veux ’ je me dirigeais dans la pièce indiquée pris un magasine sur la table et retournais dans la chambre ou les gars faisaient de la radio, je retirais mes chaussures et me mis sur le lit assis adossée au mur jambes allongées, je feuilletais quelques pages quand je tombais sur des mots fléchés, je demandais à Jean-Louis s’il avait un crayon a porté de main, il me dit qu’oui et ce tourna vers moi pour le tendre.

Son regard me scruta de la tète aux pieds et des pieds a la tète, non sans est arrêter sur les cuisses, je pris le stylo qui me tendais et me mis à mon jeux, il ne s’était pas détourner tous de suite, je perçue encor un instant ses yeux sur moi et cela me gênais cars je me sentais désirée.

Une vingtaine de minutes s’était passer quand ils changère de fréquence pour faire du DX ( communication longue distance) Jean-Louis avais laissé le poste a mon mari, les minutes passais, ils balayaient la gamme sans accrocher de station audible dut à une mauvaise propagation, Jean-Louis ce leva et sortie de la chambre, mon mari tournais toujours la galette du décamétrique.

Quand son copain revient dans la piège il ne retourne pas au bureau ou se trouve le matériel radio, il vient s’installer prés de moi sur le lit et m’aidère dans mes mots flèché, bientôt il me passa lentement sa main droite dans le dos.

Il commença a me caresser sur les cotes faisais naître une douce chaleur sans ce soucié de la présence de mon mari a deux mètres a coté, je n’osais rien dire, j’espérais seulement que mon mari ce détourne pour qu’il s’arrêt, mais il continuait ces appel, ils nous regardaient bien de temps en temps sans même nous voir.

La main gauche de Jean-Louis était maintenant sur ma cuisse séparer par le fin tissus de ma robe, ces effleurements de la jambe finir par m’excitée, la chatte me brûlais, il retira sa main quand mon mari éteignit le poste émetteur, il se redressa un peu sans retirer sa main de mon dos, mon mari ce leva nous regarda un instant, je levais vers lui mes yeux brillant de désir et les re pongais sur mon livre, s’étais t’il aperçue de mon état exaltation.

Puis il quitta la pièce, Jean-Louis remis sa main sur ma cuisse et la glissa en cajolant vers intérieur je frissonnais sous ces délicieuses caresses, petit a petit il progressait vers son but, je fut pris de spasme de plaisir quand il pausa sa main sur ma chatte, il s’aperçu de la chaleur humide quelle dégageais, il la caressa, la palpa, la massa, je mouillais de satisfaction.

Puis il passa sa main sous le tissus. Pour arrivé a mes petites lèvres qu’il effleura doucement j’écartais les jambes puis il entra délicatement un ou deux doigts dans ma vulve, je fut prise de convulsion quand il commença à me masturber. je voulais qu’il me baise maintenant

Je me tournais vers lui et nous bouches attirée l’une vers l’autre se rejoingni nos langes se mailler longuement dans grand combat, je mouillais comme une fontaine.

Quand nos lèvres se séparaient, il avais retiré sa main de mon slip et me regardais, je ne put lui cacher mon impatience être prise, il se leva contourna le lit en défaisant sa ceinture et les boutons du piston, il me pris les jambes et me tourna légèrement, il dégrafa ma robe et l’ouvris, il m’enleva ma culotte, ’j’étais à lui’ il retira son pantalon et son slip laissant apparaître sa bite en érection, une queue de belle taille a demi décalotter, j’écartais les jambes pour le recevoir.

Il se coucha sur moi et je sentis mes lèvres ouvrir sous pression de sa verge, il entrait dans ma chatte en feu, quand il fut entièrement empaler au fond de mon vagin, il releva son bute en s’appuyant sur ces deux bras et commença une agréable gymnastique montant son gland en bordure de mes lèvres et redescendais sa colonne de chaire jusqu’à heurter mon utérus, je regardais sa pite entrer et sortir, j’aime me regarder quand je me fait sauter.

Je refermais légèrement les cuisses pour comprimer son membre et profité au maximum de se plaisant massage vaginal qu’il prodiguait, puis-je rejetais la tète en arrière et fermais les yeux pour mieux goûter toutes les sensations de bien-être qui m’envahissaient tous le corps.

Je me mis à penser et fut pris de gène, je songeais au retour de mon mari, non pas de sa réaction je savais qu’il ne m’en voudrait pas de me faire prendre par un autre, nous en avions discutés, il y a longtemps et m’avait laissée libre de le faire si je rencontrais un homme qui me plaisait et si l’envie de baiser avec lui me venait, je savais qu’il ni voyer rien à redire, il disais que les envie étais fait pour être satisfait.

Mais je restais bloquer à le savoir a quelque mètre de moi, pour temps quand nous en avion parlé il m’avait dit ’ même si je suis avec toi, tu me le dis ( j’ai envie de m’envoyer en l’air avec ce gars) et tu y vas un point s’est tout, tu es ma femme et pas ma propriété, tu reste libre de ton corps.

Quand j’ouvris les yeux il y avait qu’un a la porte, je tournais la tète et aperçue mon mari, depuis combien de temps était -il l’a a nous regardé en train de me faire sauter par son copain, Jean-Louis se tourna instant vers la porte et sans aucun gène il continuait de me pénètre comme si ne rien étais, mon mari resta encor un peu puis il me sourie et nous laissa à notre distraction.

J’entendis Chantal demander à mon mari

— Mais que fonte ils

il lui répondis

— ils jouent.

Et s’étais vrais nous jouons, un plaisant et agréable jeu, Jean-Louis accéléra ses mouvements, nous allions arriver à moment extrême de notre jeu quand nous fumes arrêter par la voie de sa compagne qui venait de rentrer dans la chambre en disent

— Et bien et nous ont peu.

Elle retira sa robe et s’allongea sur le lit enduisent en s’adressant à mon mari.

— Vient prend moi

Mon mari s’approcha-elle, lui retira son pantalon et son slip et l’allongea sur elle, de ses doigts il écarta ses lèvres et s’enfonça sa bite dans sa chatte grande ouverte.

Nous étions maintenant deux couples à baiser cote à cote, deux coupes a prendre du plaisir dans un nouvel accouplement.

Tout en sautant sa partenaire mon mari regardais les va et vient de queue de son ami qui me labourait le bas-ventre, mais moi je n’avais plus la même sensation de sentir en moi, peut être gênée par la présence de mon époux ou bien d’un peu par jalousie de le voir jouet avec le corps d’une autre.

Jean-Louis sortait maintenant totalement sa verge de mon sexe pour me re-pénétrais brutalement heurtant les parois de l’utérus, il le fit huit ou neuf fois ou plus puis il s’arrêta au fond de mon vagin se raidie et je sentis ces jets de sperme m’inondée, il se recoucha sur moi et repris ses mouvements continuant de semer ces graines dans mon jardin intime que j’arrosais à mon tour de mon jus.

Il se retira de moi et sortie cul nu de la chambre, je restais seul regardant l’autre couple qui se cherchait du plaisir, puis je me levais et me dirigeais dans la salle d’eau pour m’essuyer cette sève épaisse qui me dégoulinait sur les cuisses, je me lavais et les jambes remis de l’ordre dans mes cheveux, reboutonnais ma robe, Je reviens pour reprendre ma culotte au moment même ou mon mari se raidi, il me regarda dans yeux alors qu’il éjaculait dans le sexe de Chantal.

Puis la journée repris son cour presque normalement si ce n’est quelque regard de mon partenaire, le repas du soir beaucoup plus sage que celui du midi, vers la fin du soupé les gars parlaient d’une virée en Bretagne pour rejoindre un autre copain qui faisait pour l’été de la surveillance de plage, Jean-Louis nous demanda de ce joindre à eux.

Rentrer chez nous, nous ne tardons pas est allé nous coucher car il y avait le bouleau le lendemain, mais je compris bien vite que mon mari ne voulait pas en rester la, il m’avait pris dans ces bras et me serrait contre lui, puis il descendit une main entre mes cuisses et fit glisser ses doigts sur mes lèvres qui ne tardait pas a s’humidifiées.

Il caressait tendrement le sexe qui s’échauffa rapidement et quand je fut bien mouillé il pénétra plusieurs doigts dans ma chatte puis commença à me masturbé, je sentis l’excitation revenir très vide mon corps sursautais de plaisir et il me parla à l’oreille.

— Raconte-moi. Comment-tu en n’es arrivée à te faire baiser cette après midi ?

Et je lui répondis.

— Non Chéri un autre jour, je suis fatiguée.

— Aller raconte ? c’est lui qui ta prise ou toi qui j’avais envie qu’il te saute.

Les mouvements de ces doigts dans mon vagin ce fur rapide, je mouillais

— Oh.. Oh Chéri vient sur moi ?oh oui fait moi l’Amour.

— Je te fais l’Amour si tu me raconte tout en détail.

— Bon ? et bien ça a commencé à table, il faisait que regarder, au début sa me gênais mais avec histoires de cul et ces coups d’?il sa m’excitais j’avais la chatte qui mouillait.

— Et puis.

La pénétration de ces doigts étais devenu très lents, j’étais bien, j’étais même heureuse de me raconter, cela me déculpabilisais de ce que j’avais fait, et nous devenions maintenant complices.

— Bien quand je me suis assise sur tes genoux, tu ma caresser jusqu’en haut.. Et bien l’envie qui s’était calmée est revenue.

— Et alors. La suite.

— Non? prend moi Chéri, prend moi tout de suite.

— Oui mais tu continu a raconter.

Alors il passa sur moi pour visiter ma grotte et je repris mon aventure

— Après il est venu sur le lit et il commencé à me pelotait le dos puis la jambe et quand tu es parti sa main est passer de la cuisse au sexe qui la bien chatouillé et puis il entré dans ma culotte, il a jouet un peu avec mes lèvres et mon bouton puis il est rentrer dans mon troue pour me faire ce que tu viens de me faire et le résulta fut le même aussi.

— Et Tu lui demandé de te baiser, comme ça.

Raconter mon histoire m’excitée beaucoup et mon mari le voyer, il accéléra ces va et vient, j’allais jouir mes il me fallait finir mon réçie.

— Non je lui est pas demandée de but en blanc, pendant qu’il me masturbait, je l’est embrassée pour lui faire comprendre que je voulais me faire saute, alors il m’a dé habiller j’ai écarté les jambes et on a baiser.

Mon mari me serra fort dans ses bras, nos lèvres se joingnir et pendant que nos langue s’emmèllère, nos corps libérais leur liquide d’amour dans la même jouissance.

Et nous nous sommes endormies.

Que j’aimerais aujourd’hui revivre cette aventure !!!

Jacqueline

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