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Je sodomise ma grand mère – Chapitre 1

Je sodomise ma grand mère - Chapitre 1



Je mappelle Alexandre et voici mon histoire.

Jai 23 ans et je suis étudiant. A la fin du lycée, jai dû quitter ma famille pour aller étudier à Paris. Heureusement ou malheureusement, je suis très très attaché à ma famille et cest pour cela que rentre très souvent en province pour les revoir.

Ce week-end, javais décidé de le passer chez ma grand-mère, que je navais pas vue depuis plusieurs semaines. Ainsi, le vendredi soir à la fin des cours je pris le train pour la rejoindre en province. Arrivé à destination, je laperçus sur le quai qui mattendait. Décrivons-la : ma grand-mère sappelle Béatrice et elle a 62 ans. Physiquement, elle est de taille moyenne, environ 1 m 70, brune aux yeux noirs. Cest une très belle femme avec ses yeux de braise, ses longs cheveux noirs et cette peau légèrement tannée par le soleil et les années. Cest une femme bien en chair avec des gros seins lourds et des grosses fesses encore bien fermes. Étant connaisseur, je dirais quelle fait du 95E. Ses formes sont mises en valeur par sa garde-robe, très jeune et féminine. Javoue mêtre masturbé quelques fois en pensant à elle étant plus jeune. Ma grand-mère vit seule depuis une dizaine dannées. En effet, elle sest séparée de mon grand-père, car celui-ci la trompait régulièrement. Cest triste, mais elle paraissait sêtre faite à cette situation.

— Coucou Alexandre !! Comment vas-tu ? Je suis si contente de te voir ! Allez viens je suis garée tout prêt !

Une fois en voiture, nous discutâmes de tout et de rien, de la famille, de mes parents, mes études, et de ses problèmes de santé. Car oui malheureusement, elle était malade depuis quelque temps bien que je ne sache pas exactement de quoi elle souffrait.

Arrivé à la maison, je minstallai dans la chambre dami où je dormais étant petit. Ma grand-mère mavait préparé un risotto mon plat préféré ! Après le repas nous nous mîmes à discuter. Au fur et à mesure de la discussion, je la voyais de plus en plus préoccupée. En observant la pièce, je remarquai plusieurs boîtes de médicaments posées sur une étagère ainsi quune ordonnance. Je me décidai à lui en parler.

— Et alors mamie, de quoi souffres-tu exactement ?

— Ho ce nest rien mon chéri rassure toi. En plus, je ne pense pas que cela te plaise de parler de ça avec moi.

— Mais si mamie ça mintéresse. Je minquiète pour toi.

— Tu es mignon. Eh bien pour simplifier je souffre dune inflammation du colon. Cela me donne de terribles douleurs au ventre et cest pour ça que je ne mange plus beaucoup. Cest très douloureux, mais pas dangereux ne tinquiètes pas.

— Daccord… et que tas dit le médecin ?

— Eh bien jai un traitement. Si je ne le respecte pas, je serais hospitalisée.

— Daccord… au moins tu as un traitement ça me rassure tu es bien prise en charge !

— Oui mon chéri…

Elle ne semblait pas être convaincue.

— Quest-ce quil y a mamie ? Dis-moi ?

Elle semblait gênée. Elle reprit :

— Et bien en plus des cachets je dois mappliquer de la pommade sur le… enfin tu vois et à lintérieur aussi et je narrive pas à le faire et je ne veux pas demander à quelquun de me le faire ça non jamais !

Je me mis à rougir. Parler de lanus de ma grand-mère me troubla. Je me mis à imaginer cette grosse paire de fesses et son joli petit illet.

— Ça te gêne de parler de ça ?

— Euh non non mamie ne tinquiète pas ! Mais alors comment vas-tu faire ?

— Je ne sais pas… normalement je devrais passer à la pharmacie chercher une sorte de cylindre à mintroduire badigeonné de pommade, mais je ne peux pas my résoudre.

La voyant attristée de cette situation je décidai dagir : « écoute mamie je comprends parfaitement. Ça me gêne de te voir comme ça. Moi je peux taider si tu veux ! Et on aura pas besoin de ce fichu cylindre cest promis ! »

— Non tu es fou Alexandre ! Je ne peux pas te demander ça ça me gêne !

— Mais non mamie crois-moi ça me fait plaisir de taider. Je te le jure !

— Bon… mais comment allons-nous faire ?

A partir de là, ce fut comme si quelquun dans ma tête se mît à parler à ma place. Je ne contrôlais pas.

« Eh bien, javais pensé à… enfin tu vois ! Pour que la pommade agisse le plus loin possible, je me disais que je pourrais te sodomiser. » Je ne lui laissai pas le temps de répondre. « Ça sera beaucoup plus efficace quavec un doigt. Et puis nous sommes deux adultes consentants et éclairés, pour moi ça ne posera pas de problèmes. »

Ma grand-mère était blafarde et ne disait rien. Au bout dun long moment elle ouvrit la bouche et dit : « Alexandre je… je ne te cache pas que je suis assez choquée de ta proposition. Cela me met mal laise ! » tout en disant ça elle se tenait le ventre et un rictus de douleur passa sur son joli visage. « Mais jai tellement mal en ce moment que jaccepterais nimporte quoi, même si ça me pose quelques problèmes moraux. »

— Ne pense pas à ça mamie… moi je suis passé outre tout ce que je veux cest ton bien et en plus je vais passer du bon temps.

Son visage sempourpra et elle me dévisagea quelques secondes. « Je préfère que tu tabstiennes de dire ce genre de choses. Bon… va dans ta chambre et attends-moi sil te plaît. Je te rejoindrai quand je serai prête. »

Jobéis et je montai dans ma chambre. Ne sachant pas vraiment quoi faire, je décidai de me mettre nu et de me placer sous les draps. Après de très longues minutes dattente, je vis la porte de la chambre sentrouvrir et la voix de ma grand-mère dire : « jarrive, je suis nue. »

Elle entra. La chambre était plongée dans la pénombre, mais japerçus aisément ses gros seins laiteux. Ils étaient magnifiques. De gros seins de femme mûre, légèrement veineux, avec de grosses aréoles marron et des gros tétons marron eux aussi. Je descendis ensuite mon regard sur son joli petit ventre et ses belles cuisses. Instantanément mon sexe se dressa. Jétais excité comme un chien heureusement les draps cachait mon

état.

« Ne me regarde pas comme ça sil te plaît. » Elle sapprocha, ses gros globes laiteux bougeant avec elle, et sassit sur le lit. Elle me tendit dun geste rapide le tube de pommade. « Tiens, nhésite pas en mettre beaucoup, jai peur davoir mal je nai pas lhabitude de faire ces choses-là. Bon pousse toi je vais me positionner… »

A ces mots elle avança au milieu du lit, pris un oreiller quelle plaça sous son ventre et tendit ses grosses fesses dans ma direction. Javais devant moi le gros fessier, blanc et ferme de ma grand-mère. Jétais dans un état second. Des pensées impures sagitaient dans mon esprit, mais je me décidai à me contenir, pour linstant.

« Je… jarrive ». Je dévissai le bouchon du tube de pommade. Jen appliquai une grosse dose sur mon gland, déjà luisant et gonflé à lextrême. La température, le parfum et la texture de la pommade contribuèrent à mexciter davantage. De ma main libre, jenduis ma queue de pommade sur toute la longueur. Je répétai lopération plusieurs fois jusquà ce que mes 19 centimètres soient parfaitement lubrifiés.

Je mapprochais de ma grand-mère et je posai mes deux mains sur sa paire de fesses. Elles étaient douces. Je les pinçai quelque peu. Cela me rendait fou. Jadorais les gros culs et je devais avouer que celui de ma grand-mère navait rien à envier aux autres !

— Que fais-tu ? Dépêche-toi sil te plaît.

— Daccord

Jécartai ses fesses à laide de mes mains, ce qui lui fit échapper un petit cri de surprise. Je pouvais enfin admirer ce petit illet de toute beauté, encore bien rose et bien étanche. Je nen pouvais plus, japprochai mon gland de son fion et le plaquai a lentrée. Je la sentis se réavancer je la tirai donc vers moi pour la maintenir en positon.

— Jy vais .

Je poussais légèrement et vis mon gland rentrer. Ma grand-mère se cambra. Je menfonçai en elle jusquà la garde.

« Aaaaaaannnnnnhhhhh ». Son couinement de jeune chienne en rut finit de me consumer. Ne lécoutant plus, je me mis à lui asséner des coups de violents coups de boutoir. Mes couilles claquaient sur ses fesses.

— Aaaaahhh !! Alexandre tu es énorme… moins fort sil te plaît jai du mal à encaisser…

Je nécoutais plus, je savourais le fait de menfoncer au plus profond du cul de ma grand-mère, de la pilonner sans pitié. Soudain, une phrase sortie de ma bouche sans crier gare « ah Putain taimes ça sale pute ! » elle ne répondît rien. « Hein que taimes ça te faire enculer par une grosse queue ? » elle répondit dun long et langoureux « oh ouiiiii… ». Après ça, on aurait dit quelle nétait plus la même. Elle gémissait et poussait des petits cris, elle savourait le fait de se faire casser le cul.

— Mmmhhhh… oui mmmhhh han oui plus fort…

— Tu vas voir salope…

Je lui pris la nuque et lui enfonçai la tête dans loreiller. Puis je me mis à la pilonner comme jamais je navais pilonné une fille. Cela dura une bonne minute quand, du fait de ses jouissements, je sentis que jallais jouir.

— Aaaaah je vais te remplir le cul…

Je menfonçai en elle jusquà la garde avant de décharger plusieurs salves de sperme chaud tout au fond de son Colon. Je me retirai et, exténué, mallongeai sur le lit. Ma grand-mère restait à quatre pattes, semblait essayer de reprendre ses esprits. Son anus était encore largement écarté, et un mélange de sperme et de pommade commençait déjà à couler sur le matelas. Ne me souciant plus de rien, je lui ordonnai dun ton méchant « hey ! Viens me nettoyer la queue ! », elle ne bougea pas pendant quelques secondes. Elle se retourna dun coup et vint entre mes jambes, pris ma queue encore luisante et la mis dans sa bouche en disant « oui mon chou… »

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