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Je suis une MILF soumise, même très soumise – Chapitre 5

Je suis une MILF soumise, même très soumise - Chapitre 5



Après avoir pris mon courage à deux mains je me rendais dans le studio de piercing que j’avais trouvé sur internet, il avait d’excellents commentaires. Une jeune femme, mignonne d’une vingtaine d’années, se présenta comme Louise. Elle était habillée d’un leggin qui la moulait parfaitement et laissait deviner son mont de Vénus. Elle avait un haut très moulant également, qui avait du mal à cacher sa très belle poitrine, pas aussi grande que la mienne mais très belle à ce que je pouvais deviner. Tatouée et percée un peu partout, elle m’accueillit gentiment. Je lui disais que je voulais un piercing sur la langue, dans mes lèvres vaginales et au-dessus de mon clitoris. J’étais rouge de honte en lui parlant. Elle me disait que les piercings vaginaux étaient un peu douloureux au moment du perçage ainsi que celui de la langue. Mais celui de ma bouche allait me faire mal pendant quelques jours et surtout j’aurai du mal à parler car ma langue allait enfler. Pendant une semaine je parlerai avec une certaine difficulté et je devrais manger plutôt des aliments liquides ou des purées.

J’acquiesçai, Louise me demanda de passer derrière la boutique, que nous allions commencer par les trois perçages vaginaux et si je me sentais bien, elle finirait par celui de la langue. Je lui disais que je pensai faire plus tard, après une opération d’agrandissement mammaire ceux de mes tétons. Elle me disait que j’avais bien fait de lui dire car pour les opérations ils allaient m’enlever tous les anneaux et barbel en acier médical qu’elle allait me poser aujourd’hui. Je devrais les remplacer par les mêmes en plastiques le temps de l’opération. Sinon en une journée les perçages pouvaient se refermer.

Ceci dit je me retrouvais nue de la taille vers le bas, sur une chaise médicale comme chez le gynéco. Louise m’installa mes trois anneaux très rapidement, elle était toute une experte. Les deux grandes lèvres et au-dessus du clitoris se retrouvaient anneler. Comme je ne savais rien des piercings et des anneaux je lui posais la question de comment je devrai m’en servir. Elle me sidéra en me disant

— Tu es nouvelle esclave ? Ce sont les perçages typiques que demandent les Maitres. Ce qui n’est pas courant c’est ton âge.

Généralement les clientes qui demandent ça sont jeunes voire même très jeunes.

Je lui disais que mon compagnon était dominateur, que je n’étais pas une esclave, ce qui la fit sourire. Louise m’expliqua que les deux grands anneaux servent à y mettre des poids, voir pour les attacher ensemble. Elle m’installait des anneaux fins que je devrais changer une fois les perçages cicatrisés, par de plus gros pour éviter que la chair se déchire… Et bien là je découvrais une nouvelle dimension. Pour celui du clito je lui demandais à quoi il servirait ?

— Pour celui du clito la même chose tu devras changer l’anneau pour un autre un peu plus gros, car il est appelé à soutenir en pendentif une plaque sans doute, qui touchera ton clito pour te maintenir excitée.

Louise me disait aussi que selon la volonté du maitre, cette plaque pourrait avoir une inscription.

A cela je repris un peu mon souffle, après ces trois procédures, je sentais comme un élancement dans toute la zone vaginale. Elle me disait comment me nettoyer, me désinfecter et très rapidement ils cicatriseraient. Louise me montrait dans une glace mes trois anneaux, je les trouvais beaux et barbares en même temps. J’avais honte car j’étais totalement excitée et elle s’en rendit compte en me disant que c’était naturel, nous étions toutes des salopes et la douleur et le plaisir étaient nos marques de soumises… Et bien elle n’y allait pas par quatre chemins. Me voilà « rendu » au stade d’esclave et soumise par une parfaite inconnue… Elle avait raison.

La jeune femme me dit de ne pas mettre de culotte pendant le temps de la cicatrisation. Il faisait frais et j’avais mis des collants, elle résolut le problème en découpant proprement le gousset. Je me retrouvais en collant la chatte à l’air ! Une première pour moi qui ne serait pas la dernière, mais ce dernier point je l’ignorais encore.

Maintenant on va passer aux choses sérieuses si tu en as le courage, me demanda-t-elle. Je lui répondais affirmativement. Elle m’expliqua qu’elle me recommandait de faire le perçage le plus loin possible des dents, pour deux raisons, essayer que le piercing soit discret et protéger l’email des dents. Je la remerciais pour ses précieux conseils. Cependant elle se ravisait en me disant que pour « faire les pipes » je devrais tirer ma langue davantage et cela demanderait un entrainement supplémentaire. Louise me demanda de tirer ma langue le plus possible. La jeune perceuse parut contente car ma langue était selon elle, longue et élastique et qu’elle sera parfaite avec un beau Barbel. Elle m’assit dans un fauteuil comme celui d’un coiffeur, elle mit une pince au bout de ma langue et en cinq secondes j’étais percée et tout de suite le barbel en acier était en place. J’avais eu très mal le temps d’un flash et là, j’avais un truc dans la bouche qu’elle m’avait installée. Je me regardais dans la glace, je n’osais pas regarder. J’avais honte, j’avais une sueur froide.

Elle me dit de rester le temps nécessaire, si je ne me sentais pas bien elle se proposa d’appeler un médecin. La jeune femme m’apporta un verre d’eau avec une paille et un paquet de pailles.

— Les pailles c’est pour toi, tu ne bois plus qu’avec une paille pendant quelques jours jusqu’a que ta langue dégonfle.

Elle me donna un rapide baiser sur les lèvres, je me détendais en fermant les yeux, en me demandant pourquoi j’en étais arrivée là ? Moi une femme de 50 ans, percée et annelée comme une salope.

Elle revint après s’être occupée d’un autre client, quand elle ferma la porte elle la verrouilla. Vins vers moi, s’assit en face et commença à me prendre les mains, à relever ma jupe, me caresser les jambes me déchaussa, me fit un massage des pieds par-dessus mes collants transparents. Je me laissais aller. Elle remontât le long de mes jambes releva ma jupe me fit ouvrir mes jambes pour voir le résultat de son travail. Louise se mit à genoux et me demandait si elle pouvait essayer de me faire jouir pour me relaxer après une si terrible après-midi. Elle m’avait déjà vue nue, tripotée ma chatte dans tous les sens, puis Jay voulait que je devienne lesbienne. Je laissais faire Louise, j’acquiesçais et lui disais que je n’avais pas eu d’expérience lesbienne. Elle me dit

— Laisse-toi faire, aujourd’hui je m’occupe de toi… Peut-être une autre fois tu voudras me remercier.

Louise prit un olisbos en verre, je n’en avais jamais vu auparavant, il était gros et avec des anneaux en relief. Elle le chauffa dans ses mains le mouilla avec sa bouche et me le mis dans le vagin le faisant pénétrer doucement. J’étais surprise et adorais la situation totalement inattendue. La jeune femme, trouva mon point G puis avec sa langue titilla mon clito. Malgré les douleurs que je ressentais, j’explosais de plaisir, comme jamais, entre le mandrin en verre dans ma chatte et sa bouche sur mon clitoris. Ce fut ma première expérience bisexuelle à recevoir du plaisir. Elle s’assit en face de moi, chercha un vibro électrique, descendit son leggins et commença à se masturber en me regardant. Je me caressais, la regardais et avons joui toutes les deux pratiquement en même temps.

Nous échangeâmes nos numéros de téléphone, elle m’embrassa tendrement, nous allions surement nous revoir si Jay le permettait. Je zozotais comme une sotte, avec ce machin dans la bouche, en donnant l’adresse de chez moi au taxi qui me ramenait à la maison. Il fallait que je me prépare sans perdre de temps car le chauffeur de Jay passerait me chercher dans une heure. Je me douchais, me maquillais lourdement comme il aimait. Je mettais une paire de collants foncés que je découpais à l’entrejambe, comme Louise avait fait tout à lheure. Je mettais une robe noire courte avec des escarpins de huit centimètres et attendait la voiture qui viendrait me chercher pour m’emmener au restaurant où Jay m’attendait.

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