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Jef fait du stop – Chapitre 2

Jef fait du stop - Chapitre 2



Le coulis d’air frais réveilla Alice. Il faisait sombre. Une lueur orangée teintait le ciel. Elle se leva précautionneusement pour aller refermer la fenêtre. Ce ne fut pas chose facile ! Déjà, pour l’ouvrir, elle avait dû batailler, mais pour la refermer sans bruit, c’était une autre paire de manche ! Enfin, en la soulevant du mieux qu’elle put, elle réussit à faire rentrer le battant dans l’huisserie sans sortir Jef de son sommeil. Elle sortit de la chambre sur la pointe des pieds craignant que le vieux plancher proteste et ne se plaigne bruyamment. Au passage, elle récupéra sa robe dans l’escalier et sortit jusqu’à sa voiture en la renfilant sur son corps nu. Elle ramassa son sac glissé entre les deux fauteuils et chercha son portable.

" Allo ! Sophie ? C’est moi, Alice !

Oui, je sais, je sais, oui, oui, oui je te dis ! Si tu voulais bien me laisser en placer une ! Je m’excuse ! Je ne pouvais pas appeler ! Tu comprendras pourquoi !oui, oui, évidemment ! Bon ! Écoute-moi ! C’est vous qui allez venir me rejoindre à "la Forestière" oui, chez mon père !

Dis à Odile d’apporter de quoi manger et amenez-vous toutes les deux ! Je vous garantis que vous n’allez pas le regretter, parole ! Non, je ne peux pas t’en dire plus ! Oui, c’est ça ! Dans une demi-heure ! Magnez-vous, on a faim ! J’ai dit "on" ? Ah bon ! Peut-être ! Non, tu viens et tu vois, c’est simple ! Aller ! À tout de suite !

Alice raccrocha tout en riant toute seule ! Quand elles vont voir sa prise de guerre, elles ne vont pas en revenir ! Ce qui serait au poil, c’est que Jef ne se réveille pas ! Il est tellement mignon dans son sommeil avec sa grosse bite couchée bien sagement sur sa cuisse.

Elle préféra rester dans la voiture pour être certaine de ne pas perturber son sommeil. La nuit était presque tombée et le ciel devenait bleu marine avec encore un peu du halo du soleil couchant entre les arbres. Une demi-heure, ça passe vite en écoutant le poste tout en rêvassant, en se remémorant les moments forts de cette après-midi totalement improvisée.

Le faisceau des phares de la Fiat de Sophie ramena Alice à l’instant présent.

Elle sortit de sa Golf et marcha à la rencontre de l’automobile qui apparaissait là où la forêt commence. D’un geste de la main elle lui demanda de ne pas avancer plus loin, et s’approcha de la portière.

— Gare-toi là et ne claquez pas les portes. Silence !

— Et pourquoi pas à côté de la tienne ?

— Fais comme je te dis ! Tu ne vas pas tarder à comprendre, mais en attendant, silence !

Les deux filles sortir de la Fiat et embrassèrent leur amie.

— Tu nous en fais des mystères ! lui reprocha Odile. Tu nous expliques ou tu as prévu que nous mourrions idiotes ?

— Soyez patientes et je vous assure que vous ne m’en voudrez plus, mais alors, plus du tout du tout !

Les deux filles se regardèrent en hochant les épaules et emboîtèrent le pas d’Alice vers la maison.

— Je suppose que ça se passe dans ta chambre !

— Où veux-tu d’autre ? Il n’y a que cette pièce-là que j’ai pu restaurer. Je ferais bien en bas, mais d’abord, il faut que je gagne au Loto !

Maintenant, ne faites pas de bruit sinon, vous allez tout foutre par terre !

— Allez ! Montez ! Odile, donne-moi la glacière !

Vue l’importance que cela avait l’air d’avoir, Odile et Sophie laissèrent leurs chaussures sur les vieux carrelages et montèrent les marches avec précaution, s’assurant de ne pas faire craquer le vieil escalier.

Arrivées sur le palier elles attendirent Alice qui posa la glacière et passa devant.

À pas de loup, elle avança vers la porte de sa chambre en priant tous les saints du paradis pour que Jef soit encore dans la même position que quand elle l’avait laissé.

Merci, mon Dieu, il n’avait pas bougé d’un pouce. Il dormait toujours comme un enfant, un bras sur sa poitrine, l’autre plié et relevé près de sa tête.

Un doigt sur la bouche elle fit s’approcher ses deux amies.

Rien que la tête qu’elles firent toutes les deux valait bien le mal qu’elles s’étaient donné pour arriver jusqu’au pied du lit en silence. Odile et Sophie ouvraient des yeux grands comme des soucoupes, la bouche ouverte, les bras leurs tombants des épaules comme s’ils pesaient des tonnes !

— Toi alors ! Il n’y a que toi pour avoir des plans pareils ! La vache, il est super mignon et sacrément bien équipé !

Sophie avait dit cela entre ses lèvres tandis qu’Odile, très intéressée, mais méfiante, se penchait sur le jeune homme pour s’assurer qu’il ne faisait pas semblant de dormir.

Elle se rapprocha d’Alice et lui souffla :

— Il dort vraiment ! C’est toi qui las crevé comme ça ?

Elle les attira vers la fenêtre.

— Croyez-moi si vous voulez, mais avant d’en arriver là, j’en ai vu de toutes les couleurs ! Moi aussi, j’ai piqué un petit somme ! Je ne tenais plus debout !

— Nous avons hâte de voir cela de plus près !

— Et pourquoi croyez-vous que je vous ai demandé de venir, pour prendre des photos !

— Oh ! Tu fais bien de parler de ça ! J’ai justement mon appareil dans la poche de ma veste.

— Si tu mets le flash, tu vas le réveiller !

— T’inquiète ! Avec l’électronique de maintenant, pas besoin !

Sophie s’approcha du lit et tira une dizaine de photos, de loin, de près, de très près, de très, très près et sur tous les angles.

— J’espère qu’il voudra bien qu’on en fasse d’autres tout à l’heure !

— Je pense que oui ! Vous allez voir ! Il est super, mais ce n’est encore qu’un gamin alors, il ne faut pas l’effaroucher ! Sinon, j’aime autant vous prévenir ! C’est une vraie bête au lit ! Tout à l’heure, il m’a démonté le cul comme jamais cela m’était arrivé !

— Même avec le gros Gaston, le routier, tu te souviens ?

Si je m’en souviens ! Mais non, il est nettement en dessous, le Gaston et puis, il n’avait pas une bite de la taille de celle de Jef !

Alors, c’est Jef qu’il se nomme ?

— Oui, Jean-François, mais il préfère Jef !

Un murmure attira l’attention des trois filles qui se précipitèrent au pied du lit.

Le jeune homme entrouvrit les yeux, les referma puis les ouvrit, cette fois pour de bon. Il ne rêvait pas ! Il avait bien trois nanas devant lui !

Jef, encore dans les brumes de son sommeil avait oublié qu’il était seulement revêtu de ce qu’il portait au moment de sa naissance. Il se releva sur les coudes et constata soudainement son impudeur. D’un geste vif, il tira la couverture sur lui.

— Oh ! Jef ! Détends-toi ! Ça fait dix minutes qu’Odile et Sophie se régalent du spectacle de ton corps nu, inerte certes, mais tellement prometteur ! Surtout que je ne leur ai encore rien dit de tes prouesses.

Elles sont dans la phase "fantasme" en ce moment ! Elles imaginent ce que tu es capable de leur faire, ce que tu m’as déjà fait, ce que nous allons faire tous les quatre !

— C’est pas sympa, les filles ! Vous profitez de la situation ! J’ai quoi comme chance de m’en sortir entier face à vous trois ?

— Aucune !

— Aucune !

— Aucune !

Elles avaient répété cela chacune à leur tour en balançant la tête de gauche à droite et en le regardant d’un air gourmand.

Abasourdi par ce qui lui arrivait, Jef resta assis sur le lit, résigné, regardant Odile et Sophie se déshabiller entièrement pendant qu’Alice passait dans la salle de bain.

Odile, c’était tout le contraire de Sophie. Autant l’une était blonde que l’autre était brune.

Odile était plutôt petite, Sophie mesurait bien 1m80, peut-être un peu moins !

Petite, mais drôlement roulée : une poitrine généreuse, ferme et portée haut, ce qui lui faisait pointer ses petits tétons en l’air au milieu dune aréole large et marron foncé !

Sa copine, c’était l’inverse ! Elle avait de petits seins ronds, tellement petits qu’ils ne tombaient pas sur sa poitrine. Ils faisaient vraiment penser à deux ufs sur le plat. En revanche, elle avait curieusement le téton rose et long comme si on l’avait tété avec un certain acharnement !

Pour en finir avec leurs différences, Odile avait gardé sur le pubis une fourrure abondante bien que parfaitement taillée en pointe et soigneusement entretenue.

Sophie était aussi nue qu’une gamine de dix ans, rasée totalement ce qui faisait ressortir sa fente sur un pubis rebondi.

De toutes les manières, l’une comme l’autre étaient de bien jolies poupées !

— Alors, les filles, je vous croyais déjà en train de martyriser votre jouet !

Vous m’attendiez ?

Alice, qui s’était approchée sans que Jef s’en aperçoive, bien trop accaparé par le spectacle des deux nanas en train de se foutre à poil devant lui sans la moindre gêne, sauta sur le lit et le renversa en poussant un cri telle une guerrière qui charge sus à l’ennemi !

Ce fut, en quelque sorte, le signal de la curée ! Dans un mouvement parfaitement synchronisé, Odile et Sophie se ruèrent sur Jef et Alice. Le lit craqua un grand coup à l’arrivée des deux furies qui plongèrent littéralement sur le couple déjà abouché.

Le jeune garçon reçut l’assaut comme une déferlante sans pouvoir rien faire d’autre que de se laisser palper, embrasser, caresser.

L’heure (même un peu plus) qui a suivi restera probablement le souvenir le plus fabuleux de sa vie. Les trois filles, déchaînées, le firent passer par tous les stades de la jouissance, de l’extase, du plaisir. Orgasme sur orgasme, Jef ne savait ni laquelle, ni comment elles s’y prenaient pour lui procurer tant d’émotions ! Quand, incapable de se contenir plus, il éjaculait, des cris de joies saluaient le jaillissement. Aussitôt après, il était de nouveau absorbé, masturbé, caressé par l’une ou l’autre, parfois par les trois à la fois, de telle sorte que son plaisir ne cessait jamais.

Jef, à cent lieues de ce qui l’attendait encore, se laissait faire.

Il se souvenait avoir eu bien du plaisir à tripoter l’anus d’Alice et ne s’offusqua pas quand les trois filles s’en prirent, elles aussi, à ce qu’il considérait jusqu’à hier n’être une voie strictement fonctionnelle. Il fut même étonné d’en éprouver autant de plaisir. Il était difficile de savoir exactement ce qu’elles faisaient, mais, passé le moment de retenue, il se détendit, les laissant agir à leur guise avec son orifice naturel. Ce dont il était sûr c’est qu’elles le suçaient, embrassaient en même temps ses couilles pendant que l’une des trois le branlait doucement en gardant le bout de sa bite en bouche, entretenant ainsi sa raideur.

En peu de temps, elles étaient parvenues à le pénétrer sans qu’il ne sente aucune douleur même quand Odile y enfonçait trois de ses doigts et le branlait à toute vitesse s’aidant de sa salive pour en faciliter la circulation. C’est même elle qui prononça ces paroles :

— Les filles, il est à point ! Es-tu prête, Sophie ?

— Un peu que je suis prête ! J’ai hâte de faire savoir à ce jeune coq ce que ça fait de se faire mettre !

Avant que Jef ne réalise le sens des paroles de Sophie, elle l’avait planté et bien profond encore !

Il poussa un cri non de douleur (elles avaient assez uvré pour cela), mais de surprise !

— Putain, c’est quoi ça ! Hurla-t-il, à genoux sur le lit, au-dessus d’Alice qui l’avait immobilisé en passant ses jambes en ciseaux autour de sa taille et le tenait par le cou en l’embrassant partout sur le visage.

Odile s’était penchée sur lui, sa bouche à quelques centimètres du sien et lui souffla dans l’oreille :

— Ça ? Ça, c’est ce qu’on appelle se faire enculer ! J’espère que tu aimes parce que Sophie, elle, elle adore enculer les mecs ! Les filles aussi, mais surtout les mecs !

Jef ne la voyait pas et ne pouvait même pas imaginer la situation. Il n’avait jamais entendu que des filles enculaient les mecs. L’inverse, ça oui. Il en avait d’ailleurs fait l’expérience peu de temps avant et il avait trouvé cela fantastique ! Seulement, cette fois, c’était lui qui se faisait sodomiser. Mais comment ?

Sophie n’en était pas à sa première visite à la maison forestière et en connaissait tous les secrets. En particulier, ce que contenait le tiroir du bas de la commode rococo, sur le côté droit du lit. Là-dedans, Alice y rangeait un tas de gadgets plus érotiques les uns que les autres. Mais celui qu’elle adorait, qu’elle préférait entre tous, c’était le gode-ceinture, ce harnais en cuir agrémenté d’un sexe plus vrai que nature.

Pendant que ses deux amies lutinaient le garçon qui ne savait plus où donner le la tête (et pas que de la tête), elle s’était équipée. Ce jouet avait l’énorme avantage de satisfaire les deux participants en même temps. Le sexe avait deux côtés ; l’un pour le partenaire, l’autre pour l’officiante. Ainsi elle se donnait du plaisir tout en en faisant à l’autre !

Passées les deux ou trois premières minutes où Jef du s’accommoder de cette nouvelle sensation pour le moins inattendue, il constata, non sans une certaine incrédulité, que les va-et-vient du sexe factice commençaient à faire leur effet. Son esprit luttait contre lui-même. C’était avilissant de se faire prendre de cette façon. Si par malheur, quelqu’un le connaissant apprenait qu’il s’était fait enculer par une nana, c’était la catastrophe. De l’autre côté, c’était son corps qui parlait. Et lui, il ne trouvait rien à redire du traitement qu’on lui faisait subir, bien au contraire !

Il ne pouvait voir Sophie, debout derrière lui, déchaînée, qui le cramponnait fermement par la taille quand elle ne le fessait pas en donnant de gigantesques claques sur son derrière qui commençaient à se colorer nettement.

Mais, sournoisement, insidieusement, le plaisir a commencé à prendre le dessus. Jef, petit à petit, ignorait la brûlure des claques sur le cul tout comme les ongles qui lui rentraient dans les flancs. Non, il était submergé par une sensation étrange qui lui prenait les tripes, tout au fond de lui. Il s’entendit gémir puis crier, crier son plaisir, crier qu’il aimait ça, crier qu’il voulait qu’elle l’encule encore plus fort.

Odile s’occupait de sa bite. Pas question qu’elle ne profite pas, une fois de plus, de l’inévitable éjaculation que Sophie allait finir par provoquer. Il lui suffisait d’être là, de le masturber gentiment et d’attendre !

Alice ne le ceinturait plus. Pas nécessaire maintenant que c’était lui qui en redemandait ! Elle se faisait sucer les seins. Elle adorait ça et Jef faisait cela très bien quand il ne poussait pas des hurlements !

Au son de sa voix, Odile sut qu’il était temps de se mettre comme il faut pour ne rien perdre de la semence du garçon. Elle se glissa sous lui et se saisit de la verge tendue ballottant dans le vide sous les à-coups donnés par Sophie. Elle l’a mise dans sa bouche juste à temps pour capter la deuxième giclée de sperme la première s’étant perdue quelque part dans ses cheveux ou sur la couverture. Après tant d’efforts et d’orgasmes en si peu de temps, Jef ne fut pas généreux.

Odile un peu déçue dut se contenter de la petite dose de cette huitième éjaculation. Elle les avait comptés et n’en avait pas manqué une seule !

Jef s’effondra en criant son plaisir d’un râle continu modulé par sa respiration forcée et haletante.

Odile faillit restée prisonnière sous lui et dégagea sa tête in extremis !

Sophie, ravie de sa prestation se déharnachait, radieuse.

— Vous avez vu les filles comment il gueulait, le môme ! Putain ! Je te lui en ai mis un de ces coups ! Je crois bien que c’est celui que j’ai réussi le mieux, non ?

— Pour sûr, renchérit Odile, Jean-Claude, la semaine dernière, n’a pas braillé aussi fort ! Vous l’avez entendu comme moi ! Il en redemandait !

— Et alors, mes chéries, vous m’en voulez encore de ne pas êtes venue à votre petite fête ?

— Tu rigoles ! Un petit poulet de grain comme ça, il ne faut pas cracher dessus !

— C’est lui qui a craché ce soir, et pas qu’un peu, dit Odile en se tenant les côtes. Elles se levèrent toutes les trois en poussant des cris et des rires à en faire pipi par terre !

Il était tard dans la soirée quand, enfin décidées à le laisser en paix, quasi mort d’amour, elles allèrent s’asseoir autour de la petite table ronde devant la fenêtre. Le soleil avait fait place à une lune presque entière qui jouait à cache-cache avec quelques nuages effilochés.

— Dis voir, Alice ! Si tu allais nous chercher la glacière que j’ai apportée, réclama Odile en essuyant sur sa tempe une coulée de sperme, la seule qu’elle n’avait pas pu contrôler de la soirée ? J’ai une faim de loup !

— Et tu as soif aussi ?

— Ça non ! Avec tout le sperme que j’ai avalé ce soir, c’est surtout à manger qu’il me faut. Pour le liquide, j’ai eu ma dose !

— Tu es toujours la même, Odile ! Le sperme, c’est ta friandise, hein ?

— Que veux-tu ! J’adore ça ! Je trouve ça dommage quand le type gaspille son foutre dans ma chatte ou pire, sur les draps. J’aime mieux lui soutirer directement ; du producteur au consommateur, quoi !

— D’ailleurs, tu ne m’en as même pas laissé une goutte ! Tu exagères ! répliqua Alice ! La prochaine fois, pense un peu à moi. Moi aussi, j’aime bien ça !

— Eh bien, pas moi ! Je trouve ça répugnant, mais j’adore quand ça gicle !

— Dites, les filles ! Il y a un truc qu’on fait systématiquement et qu’on a totalement oublié avec lui. Elle montra Jef d’un signe de la tête.

Vous ne voyez pas quoi ?

Non ! J’avais l’impression qu’on ne pouvait guère tirer plus de lui que ce que l’on a obtenu !

Alice revenait avec la glacière.

— J’ai entendu, mais, moi non plus, je ne vois pas !

— Vous me décevez ! C’est pourtant le truc qui nous fait le plus marrer !

— Ah ! Ça y est, j’y suis, cria Odile ! D’ailleurs je suis théoriquement contre parce que c’est autant que je n’ai pas !

— Je vois, moi aussi ! C’est vrai, mais, honnêtement, je doute que nous puissions faire cela ce soir !

— Qui sait ? Je n’ai pas dit mon dernier mot ! Dans une petite heure, nous verrons bien dans quel état il est ! En attendant, ouvre vite la boîte et bon appétit !

Au loin, dans un souffle, Jef trouva la force de se manifester.

— Laissez-m’en un peu, les goinfres ! Je crois avoir encore plus besoin que vous de reprendre des forces.

Mais oui, mon chéri ! On ne t’oublie pas ! Viens quand tu seras en mesure de nous rejoindre, mais ne tarde pas trop tout de même !

Jef, tourné sur le côté, le cul vers les filles, la tête enfoncée dans un oreiller en plume, faisait une sorte de bilan de son état physique.

Ses jambes, ça avait l’air l’aller. Ses bras aussi bien que celui de droite, coincé sous lui, lui semblait couvert de fourmis. Il avait le dos endolori, raide, sensible, mais ce qui lui faisait vraiment mal, c’était son cul. Il avait l’impression de s’être assis sur des braises. Pire encore ! Son trou de balle lui paraissait en feu. Mais pas seulement. La brûlure semblait venir de plus profond, comme si un tisonnier chauffé à blanc faisait la navette dans ses tripes. Pour finir, sa bite n’était pas plus reluisante. Elles avaient fait fort les trois garces ! Il en avait pour des semaines avant de pouvoir pisser dans faire la grimace. Il sentait son gland comme passé au papier de verre et ses couilles rendues à l’état de pâte à modeler !

Se lever ! Pas si simple ! En tout cas, pas tout de suite, il ne s’en sentait pas capable !

C’est Alice qui, un quart d’heure plus tard, est venue le chercher. Cela lui faisait tout drôle de se retrouver autour d’une table avec ces deux nanas dont il connaissait mieux le cul que le visage. En tout cas, elles étaient super-sympa et le jeune homme ne tarda pas à faire abstraction des sévices nombreux et variés qu’elles s’étaient amusées à lui faire subir. La conversation s’orienta sur toute autre chose. La nuit avançait à grands pas, mais les quatre jeunes n’en avaient cure. Les filles entreprirent de lui raconter avec force détails tout ce qui avait pu se passer dans cette chambre. Jef se dit qu’il était vraiment un gamin au regard de ce que ces trois-là avaient déjà fait en matière de sexe ! La pire, c’était Odile et sa soif de foutre ! Son meilleur souvenir, raconta-t-elle (pour la énième fois pour ses copines, mais la première pour Jef), c’était la fois où elle avait été invitée par des potes infirmiers à l’hôpital de Nevers. Pour une autre fille, cela aurait été son pire cauchemar, mais pour Odile, ce fut le plus beau jour de sa vie.

Trente-quatre types, âgés entre vingt et vingt-cinq ans, pour elle toute seule ! Une tournante complètement surréaliste qui aurait dû la traumatiser à vie. L’invitation était un véritable traquenard, mais pour Odile, c’était le pied, le grand pied ! La séance a duré toute la nuit et une bonne partie de la matinée. Pas un des gars n’a pas, au minimum, baisé ou enculé la jeune fille, alors âgée de dix-neuf ans, trois ou quatre fois chacun, s’y mettant souvent à deux tandis qu’un troisième lui donnait sa bite à sucer. Elle aurait dû être dégoûtée du sperme à vie. Au contraire, c’est ce jour-là qu’elle y a pris goût au point de ne plus pouvoir s’en passer plus de quarante-huit heures ! Jef fit machinalement le calcul dans sa tête. Trente-quatre multiplié, par disons quatre, ça fait 136. 136 éjaculation dont une bonne moitié, supposa-t-il, qu’elle aura gobé, soit environ 70. Si je compte, continua-t-il mentalement, entre deux et trois centilitres de sperme à chaque éjaculation, ça fait entre un litre et demi et deux litres de foutre !

À ce point-là, ce n’est plus du goût, c’est une véritable addiction !

Revenant de ses pensées, il voulut les exprimer à Odile.

— Tu sais à quoi correspondent des orgasmes des trente-quatre types, ce soir-là ?

— Non, à part que je me suis bien éclatée, pour sûr !

— J’ai compté, vite fait, que ça fait pas loin de deux litres de sperme en admettant que tu n’aies pu en avaler qu’une fois sur deux !

Sophie et Alice, ensemble, répétèrent : "Deux litres !"

— À mon avis, ça doit faire plus que ça, parce qu’à partir d’une certaine heure, les mecs jutaient dans un haricot. Quand il était plein, ils me le faisaient boire. Ça les faisait marrer mais moi, contrairement à ce qu’ils croyaient, je n’ai jamais été si contente ! Alors, tu peux dire trois litres, facile ! Qui dit mieux ?

— Non merci, reprit Sophie avec une moue dégoûtée. Imagine que j’aurais été à ta place ! Je serais morte après la deuxième pipe !

Cela fit rire tout le monde, Sophie la première.

Et bien, justement, puisqu’on parle d’avaler du sperme, figure-toi Jef, que nous avons une tradition, toutes les trois. Comme tu l’a entendu à l’instant, tu n’es pas le premier mec à passer à la casserole dans la piaule d’Alice ! Théoriquement, d’ailleurs, ce soir, c’était Gérard, le petit copain, son petit copain

— Mon ex-petit copain ! Ne me parle plus de ce con-là, s’il te plaît, dit Alice sur un ton qui montrait à quel point elle était furieuse contre lui.

— Je disais donc que cela devait être Gérard à ta place et c’est lui qui devait nous servir de "bouche trous" pour la nuit.

Pour en revenir à notre tradition, il faut que tu reviennes te coucher sur le lit.

Le coup d’il complice a totalement échappé au jeune homme qui, fataliste, s’est levé et s’est avancé vers le lit, toujours aussi nu que le jour de sa naissance.

— Allonge-toi en travers, oui, comme ça, c’est bien.

— Fais ce qu’on te dit. Lève tes jambes.

— Je sens que vous allez encore m’en faire voir ! Vrai ?

— Vrai ! Mais ce n’est pas si terrible ! Tu demanderas à Odile !

L’information aurait pu lui faire deviner la suite, mais Jef était pris par ce que Sophie lui demandait de faire.

— Écarte-bien les genoux !

— Attends ! J’ai une autre idée ! dit Odile, excitée comme une puce. Un truc qu’on na jamais fait ! Pourtant, je ne sais pas pourquoi on ny a pas pensé plus tôt. Le lit est parfait pour ça !

Elle alla parler dans l’oreille à Alice qui se mit à rire tout en disant oui de la tête. Jef voyait cela à l’envers, la tête renversée, pendant sur le côté du lit.

— Jef, si tu veux bien, bouge-toi ! Reprends la même position, mais en te mettant les reins sur les oreillers.

Jef fit ce qu’on lui demandait sans se poser de questions. À quoi bon d’ailleurs ! Il tirait autant de plaisir qu’elles de leurs jeux coquins.

Quand il vit revenir Alice et Odile, elles apportaient des cordes, celles qu’on utilise pour maintenir les tentures, les rideaux.

— Aidez-moi ! Sophie, prends-lui la jambe gauche pendant que je tiens celle-ci.

Jef, les deux jambes maintenues l’une contre l’autre se trouvaient dans une posture bien étrange. Il ne voyait vraiment pas où elles voulaient en arriver.

Il faut qu’il soit bien plus haut ! Soulevez-le !

À elles trois, elles le saisir et finir par le dresser le long du montant gauche du lit à baldaquin. Les sculptures, façon espagnole, étaient on ne pouvait plus parfaites pour empêcher que le nud ne glisse le long de la colonne. Le malheureux garçon se retrouva attaché après le montant du lit, les pieds liés à plus d’un mètre cinquante du matelas. Seule sa tête reposait sur la couverture. Il pouvait se voir et prendre conscience de son infortune.

Vous jouez à quoi, bande de folles ! Cette fois, je trouve cela nettement moins drôle !

C’était la première fois qu’il voyait Sophie prendre une photo.

— Eh ! C’est quoi encore ce délire ! Vous me photographiez ?

Sophie s’approcha de lui et regarda dans la fenêtre de son petit appareil numérique dernier cri.

Voyons ! 142. j’en suis à 142 photos, si tu veux savoir !

— 142 !!! 142 photos de moi ?

Il se mit à gesticuler, mais il réalisa immédiatement de l’inutilité de ses efforts.

— Faites-moi redescendre ! Ça ne m’amuse plus vos conneries !

Les gloussements de satisfaction et leurs rires n’indiquaient pas qu’elles allaient obéir !

— Patience ! Nous sommes arrivées à la dernière phase ! Sophie, c’est à toi de faire. Donne-moi ton appareil. Il ne faut pas rater les dernières photos, ça serait vraiment dommage !

Alice s’était placée près de lui et regardait faire Sophie, montée debout sur le lit. Elle avait saisi la verge de Jef et, à deux mains, la branlait sans précaution, rapidement, énergiquement. Visiblement, elle ne cherchait rien d’autre qu’à le faire jouir.

— Tu sais, Sophie, tu devrais y aller plus doucement sinon tu ne vas récolter que trois gouttes et encore !

— Tu as raison !

La méthode changea du tout au tout, alternant des caresses de sa langue avec des attouchements autrement plus agréable que ce qu’elle faisait juste avant.

Odile tirait des photos sous tous les angles. Bientôt, Jef sentit monter son plaisir.

— Les filles, je crois que ça vient !

— Prends ton temps, cela n’en sera que meilleur !

Quelques minutes plus tard, Jef manifesta d’une manière plus bruyante la montée de sperme.

Alice lui saisit la tête et lui intima l’ordre de fermer les yeux et d’ouvrir bien grand la bouche.

Les yeux rivés sur le sexe tendu à l’extrême, elle attendait la sortie imminente du sperme. Quand il jaillit, Sophie cessa immédiatement de le branler et dirigea la cascade vers sa cible.

— Dans le mille du premier coup !!! firent en chur les trois filles.

La giclée de semence arriva exactement dans la bouche de Jef tout comme la seconde. La troisième alla se perdre sur son il gauche, mais la quatrième toucha son but également.

Jef essaya de se soustraire à l’épreuve dont il venait de comprendre la teneur.

Mais Alice veillait et, hormis un peu de foutre sur le visage, Jef reçut ces éjaculations là où elles voulaient qu’elles arrivent. Odile tirait en rafales. Fort à parier que les photos seraient réussies et ne manqueraient rappeler ces bons souvenirs aux trois diablesses !

Jef, qu’Alice avait lâché, faisait ce qu’il pouvait pour faire ressortir le sperme de sa bouche, mais, dans sa position, il n’y parvenait pas. Prêt à s’étouffer, il se résigna à tout avaler. C’était la première fois qu’il avait idée du goût de son liquide. Même avalé, il en restait un arrière-goût suave, peu agréable, mais pas non plus à vomir ! Ainsi, c’était cela dont Odile se délectait ! Bizarre cette fille ! Il n’y avait pas de quoi en faire une histoire !

Maintenant que vous avez fait ce que vous vouliez, vous pouvez me détacher, non ?

— Vous en pensez quoi, les filles ! Il pourrait peut-être passer la nuit comme ça !

— Très drôle ! Allez, faites-moi descendre. Je commence à avoir le sang qui me monte à la tête !

Sophie tira un coup sec sur le bout de cordon qui pendait et Jef se trouva libéré d’un coup. Il faillit tomber sur le sol, mais Alice, au dernier moment, le repoussa sur le lit.

Il était un peu agacé surtout en raison des photos.

— Je crois que nous avons bien joué et que c’était, en général, assez marrant. Mais tout a une fin et je voudrais que vous sachiez que je ne marcherai plus dans vos combines ! Maintenant, je veux voir les photos !

— Tu les verras, sois tranquille, mais pas maintenant. Je ne sais pas pour toi, mais moi, j’ai sommeil ! Pour info, il est près de trois heures du matin !

Alice avait le don d’apaiser les situations tendues. Heureusement que le lit était immense ! Tous les quatre s’y allongèrent et il ne fallut que très peu de temps pour que tout le monde sombre dans un sommeil réparateur.

Quand Alice rouvrit les yeux, le soleil, à travers les volets à claire-voie éclairait déjà généreusement la chambre.

Elle eut un sourire amusé quand elle vit Odile, à quatre pattes entre les jambes de Jef s’adonner à sa passion favorite.

Tenant à deux mains le pénis du jeune homme, elle léchait à grands coups de langue son extrémité congestionnée.

Odile s’aperçut que son amie était réveillée. Elle lui fit un clin d’il complice puis se concentra sur ce qu’elle était en train de faire. Jef commençait à gémir, encore endormi. Pas sûr qu’il ait compris ce qui se passait. Il se croyait peut-être encore dans ses rêves. Mais Odile, experte, eut tôt fait de réveiller pour de bon le garçon en forçant la cadence.

Jef releva la tête et constata qu’il ne rêvait pas. La jeune femme le regarda avec un rien de lubricité dans le regard. Son plaisir augmentait rapidement.

Odile désormais gardait le sexe dans sa bouche et le branlait énergiquement.

Dans un cri qui réveilla Sophie, il se libéra pour le plus grand bonheur d’Odile.

— Les filles, moi, j’ai déjà pris mon petit déjeuner ! Il va faire une journée superbe ! Je me sens en pleine forme, pas vous ?

Sophie, assise, se tenant les jambes repliées avec ses bras, regardait son amie avec l’air de la plaindre.

— Ma pauvre Odile ! Tu es incorrigible ! Tu ne peux pas lui foutre la paix cinq minutes, non ! Regarde ! Il est déjà groggy et il est neuf heures à peine !

— Cause toujours ! Il n’empêche qu’il a regonflé ses batteries ! Je peux te dire qu’il n’y a pas photo entre la dernière dose d’hier soir et celle-ci !

— Peut-être, mais, si ce n’est pas trop te demander, je voudrais bien en profiter un peu aujourd’hui et Alice aussi, certainement. Alors, arrête de le traire comme une vache à lait !

— Bon ! Ça va ! Je vous le laisse. Je vais prendre ma douche !

Odile disparue dans la salle de bain, Jef s’est assis sur le lit.

— Désolé les filles, mais je vais devoir vous laisser à vos fantasmes. Il faut que je sois à Dijon au plus tard cet après-midi alors, vous comprendrez

Il me reste à vous remercier de m’avoir fait passer des heures que je ne suis pas près d’oublier !

— Tu es un mec super ! Si tu veux, en contrepartie de ce que tu nous as offert à toutes les trois, je te propose de te conduire jusqu’à Dijon !

Ça te va ?

— C’est génial, tu veux dire ! Ça mérite bien de ma part une petite rallonge ! Qu’en dire vous ?

Jef n’a pas attendu la réponse ! Il savait fort bien elles seraient à mille pour cent pour !

C’était Sophie la plus près. C’est elle qui s’est fait renverser et que le jeune garçon a baisée en premier.

Les soupirs de Sophie ont alerté Odile qui s’est ramenée en trombe sur le lit.

— Cette fois, ma vieille, tu ne me le confisques pas comme tu faisais hier. Je vais même te surprendre. Joignant le geste à la parole, elle s’est inversée et, tout en offrant son intimité à la bouche gourmande du jeune homme, elle démarra une pipe d’anthologie elle qui n’avait pas d’attirance pour ce genre de pratique.

Odile, dans un premier temps médusée, se mit à lui prodiguer quelques conseils sur la façon de procéder pendant d’Alice assistait Jef qui s’en prenait au petit trou de Sophie tout en lui suçant le clitoris.

— Fais-moi plaisir ! Va jusqu’au bout ! Tu verras ! C’est un moment magique !

Continue comme ça ! Il est bientôt pour toi !

Tu le sentiras sous tes doigts quand il enverra la purée. Surtout, n’arrête pas ! Branle-le même quand il aura fini de t’en envoyer plein la bouche.

Les yeux de Sophie s’arrondirent soudain. Elle eut l’impression de suffoquer, mais elle fit comme Odile avait dit. Elle avait raison ! Non seulement ce n’était pas désagréable, mais, comme elle le lui avait expliqué, il se passe quelque chose de fantastique dans ce moment-là !

Elle essaya, comme le lui avait dit son amie de ne pas desserrer les lèvres et d’avaler le sperme. Malgré tout, un peu s’échappa de sa bouche. Odile, en un éclair, d’un coup de langue précis, effaça le débordement imprévu.

— Et alors ? Était-ce si terrible ? Tu as aimé, j’espère !

— Finalement oui, dit-elle en reposant la bite luisante et devenue flasque sur le ventre de Jef. Je crois même que je recommencerai.

— Ah ! Là, tu me fais plaisir !

Dis-moi ! Je t’ai vu me prendre en photo !

— Tu parles ! Je n’aurais manqué cela sous aucun prétexte ! Tu verras ! Tu es magnifique !

— Ça, j’en doute ! En tout cas, maintenant, il est out ! Et moi, je reste sur ma faim !

— Pas de panique, cocotte, j’arrive ! Juste le temps que j’enfile le machin.

En un tour de main, Odile se trouva affublée de l’organe dont la nature ne l’avait pas doté. Jef récupérait doucement, mais n’en avait pas pour autant abandonné le clitoris qu’il tenait entre ses lèvres.

Alice avait fait du bon travail. L’anus de Sophie béait largement au point que le rayon de soleil parvenait à y entrer.

Odile n’eut aucun mal à s’introduire ce qui n’empêcha pas Sophie de pousser un cri.

Il ne fallut guère plus de deux ou trois minutes pour qu’elle se mette à dire des gros mots, à jurer comme un charretier, à supplier Odile de lui défoncer le cul ! Est-ce une façon de parler pour une jeune femme de bonne famille ! Excitée, elle s’était de nouveau approprié la verge de Jef et recommençait à la branler, à la sucer en poussant les cris aigus entre deux grossièretés. Elle fit tant et si bien qu’en même temps qu’elle explosait dans un orgasme délirant, elle se faisait copieusement décorer le visage par un flot de sperme.

— Allez ! Tout le monde à la toilette. Il est bientôt dix heures, ordonna Alice.

La douche fut l’occasion d’un beau chahut, mais Jef ayant demandé une trêve ô combien méritée, les chatouilles, papouilles et autres caresses coquines ne dégénérèrent pas en une nouvelle orgie.

À dix heures trente, Alice referma la porte de la maison forestière. Jef était déjà dans la Golf, Odile et Sophie en train de l’embrasser une dernière fois.

— Ça serait bien qu’on se revoie, non !

— Sil y en avait bien un qui était d’accord, c’était bien lui ! Il n’était pas près de l’oublié son retour en stop !

Les deux filles montèrent en voiture et s’éloignèrent en faisant de grands signes d’adieu par la portière.

Alice monta en voiture.

— Alors, ça y est ! C’est fini ! Tu ne nous en veux pas trop de t’avoir un peu bousculé parfois !

— Je suis partant pour recommencer demain si tu veux !

Demain, certainement pas. Un autre jour, pourquoi pas. Laisse-moi ton numéro de portable ! Je te promets de te rappeler dès que l’occasion se présentera. Et il se peut même que cela soit encore plus fou que cette fois-ci !

— Tant mieux ! Tu m’as fait découvrir des choses que je ne soupçonnais même pas !

— Il y en a d’autres ! J’espère que ce sera encore moi qui te les ferai découvrir.

À l’entrée de Dijon, Jef descendit avec un petit pincement au cur !

Alors, cette fois, c’était bien fini ! Un dernier baisé et Alice disparut

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