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Jenna se joue au poker – Chapitre 4

Jenna se joue au poker - Chapitre 4



La grosse salope est prise au piège. La voilà attachée les bras en l’air, en équilibre sur la pointe de ses bottes et ses hauts talons, les nichons par-dessus bord, la robe retroussée, et le body dégrafé qui dévoile maintenant deux fesses plantureuses, épanouies, qui ne demandent qu’à être pelotées et claquées.

Je lui ai installé un gode vibrant, court, qui a trouvé direct le chemin de sa chatte. La salope mouille comme une chienne et c’est rentré sans problème.

J’ai la télécommande et augmente l’intensité : elle se met à danser d’un pied sur l’autre, du moins autant qu’elle peut car ses bras sont tendus au maximum.

Pendant ce temps Maurice qui samuse de ses mimiques grotesques, de ses grimaces désespérées, en remet une couche en attrapant ses mamelons qui dressent bien, sous l’effet du froid du petit matin et sans aucun doute de l’excitation ! Car elle n’en peut plus cette chienne lubrique !

Elle est à point ! Elle proteste, fait sa femme honnête, mais l’empressement qu’elle exprimé ce matin à vouloir « en finir » rapidement en dit long sur ses désirs peu enfouis et ses fantasmes

Maurice, avec un sourire de satisfaction sadique, commence à lui travailler les mamelons en les lui tordant de plus en plus fort, tirant sur les pointes, sachant bien doser sa force, en expert qu’il est. Il lui arrache des petits cris et ça nous excite tous !

Puis il les lui lâche comme s’il s’agissait d’élastiques, et cinq-six fois se met à lui gifler ses roploplos. Elle est surprise, mais c’est plus sonore que réellement cruel.

Soudain elle pousse un cri de stupeur et de saisissement : Lionel qui avait commencé lui passer ses doigts sur sa vulve vient de lui introduire son majeur dans l’anus !

« – Hummmm » apprécie-t-il, « mais c’est qu’elle a un petit trou bien étroit cette garce On n’aurait jamais cru qu’elle était aussi serrée Vous imaginiez, vous, qu’une salope pareille, une allumeuse avec un tel cul de catin, des bottes de putain chic, ne se faisait pas défoncer régulièrement le fion ?! »

Le quatrième lascar qui commençait à se frotter la bosse bien dure qui saille sur son pantalon kaki, lâche :

« – Elle donne envie qu’on se la prenne tout de suite par les deux trous voire qu’on la détache, la jette au sol et lui en mette plein la gueule Je lui enfoncerais volontiers ma grosse pine jusqu’au fond de la gorge

mais ça serait trop facile, trop rapide. Que diriez-vous qu’on la relâche, lui laisse deux minutes d’avance, la regardions partir et courir comme une gourde, le cul à l’air, les seins ballottant, le gode bien fiché dans la chatte et qu’on la traque, la rattrape, et la plaquions et qu’on se la mette, la défonce par tous les trous à quatre pattes dans les feuilles, hein ? Ça aurait de la gueule ? »

Tous les autres acquiescent et alors que je l’ai tout juste détachée, Lionel qui tient sa ceinture par la boucle lui en administre deux-trois coups bien sentis et bien appliqués en travers de ses fesses rebondies Elle hurle, manque de tomber, trébuche puis commence à se trémousser en partant d’un pas affolé et maladroit.

Nous la regardons s’éloigner en rigolant. Elle ne se retourne même pas.

Il faut voir le spectacle ! La brune bêcheuse qui essaie de s’échapper avec les poignets liés dans le dos Elle court en se dandinant comiquement, sa robe froissée et serrée sur ses reins et dessous ses grosses fesses qui ballottent Elle ne sait pas courir en plus – on voit bien que ça n’est pas une sportive, pas une folle du jogging qui court tous les matins avant d’aller bosser ni même le week-end et il faut dire qu’avec ses bottes à très hauts talons pointus (même si les planter dans la boue peut lui donner une certaine stabilité) ça ne doit pas être très aisé.

Mais elle fait vraiment godiche et pataude. A moins que cette femme mûre qui semble si gauche en fait vraiment exprès et n’a pas vraiment l’intention de nous fuir mais plutôt d’être rattrapée.

Envie d’en finir au plus vite ou d’assouvir un vieux fantasme jamais avoué ?

Nous la laissons partir de sa course ridicule et balourde, histoire de bien rigoler, de bien mater ses grosses fesses et ses seins lourds en train de danser.

Certains ont envie de s’élancer à sa poursuite tout de suite mais je ne suis pas d’accord, ça ne serait pas drôle, et trop facile.

« – Laissons-là disparaître dans la clairière, et qu’elle prenne un peu d’avance. Ainsi liée elle ne pourra pas courir bien vite

— Surtout avec ses bottes de pute ! » rajoute Lionel en riant. Il a un paquet de cordes sur son épaule.

« – Et puis moi j’aime la chasse. Il faut un peu de suspense, le plaisir de la chercher T’aimais pas jouer à cache-cache quand t’étais petit ? »

Tout le monde rigole bruyamment.

Nous attendons cinq, même dix minutes, puis n’y tenant plus :

« – Allons-y ! »

Et tout le monde s’élance

« – Agissons avec méthode : avançons ensemble mais séparés à 5 ou 10 mètres l’un de l’autre, comme ça nous ratisserons tout le terrain, enfin tout le bois, et elle ne pourra pas passer à travers les mailles du filet.

— Et regardez bien derrière les gros arbres en les dépassant, elle serait bien capable de se planquer derrière un large tronc pour nous laisser passer et se tirer en arrière

— Ouais »

Nous avançons assez rapidement, en silence, même si on peut entendre les petites branches qui craquent sous nos pas. Tout le monde regarde partout, scrute les sous-bois assez sombres, tellement ils sont touffus et serrés par endroits. Le bois est peu entretenu, semblant un peu sauvage parfois.

Chacun s’attend à l’apercevoir soudain, cachée et en silence, comme dans ces hautes fougères, par exemple.

Mais là, elle nous déçoit encore. Tout à coup nous apercevons une forme sombre au sol, à moins de quatre-vingts pas. Elle a dû tomber et roule un peu sur le côté, essaie de se relever, et geint. Qu’elle semble godiche et empêtrée!

Elle ne peut encore nous entendre, et encore moins nous voir. Je dis :

« – Arrêtons-nous, laissons-là se relever, se mettre sur ses jambes enfin ses bottes, qu’elle se remette en marche avant de donner l’assaut.

— Oui d’accord. Tu as raison » répond Jean-Edouard.

Nous nous accroupissons, la regardant se mettre à genoux tant bien que mal, puis se relever lourdement. Elle a du mal à retrouver son équilibre puis se remet lentement en branle.

Soudain elle a l’idée de tourner la tête, regardant derrière elle. Elle nous a aperçus, pousse un cri de frayeur, strident et comique, et se remet à trottiner.

« – Tayaut ! » crie l’un d’entre nous.

« – A l’assaut !

— Ceux qui sont sur les extérieurs, courez plus vite et essayez de la dépasser sans vous faire voir. Nous allons l’encercler, alors qu’elle ne s’y attendra pas. »

Les plus agiles s’exécutent, nous les laissons prendre de l’avance, pour, quant à nous, doser notre pas, histoire de ne pas arriver trop vite sur elle.

Nous la suivons sans nous fatiguer, sans la perdre de vue. Elle pousse des cris débiles.

Lionel connaît bien le bois et sait qu’elle va bientôt atteindre le mur d’enceinte du fond.

Mais les deux autres doivent déjà y être.

Et puis on la voit s’arrêter, comme prise de stupeur. Elle est tombée sur nos deux gaillards du moins ils sont à portée de vue. Elle se sent cernée. Si elle a eu le temps de voir le mur, elle a peut-être cru qu’elle avait une chance. Mais c’est raté. C’est cuit pour elle. Elle va y passer, cette poule.

Nous ralentissons le pas, nous avançons d’un pas confortable, tranquille. Les autres compères là-bas se sont arrêtés comme elle. La voilà cernée aux quatre points cardinaux.

Nous nous approchons lentement, sûrs de notre coup, prêts à tout et décidés à ne lui laisser aucune chance, excités à l’intérieur, devant ce gibier aussi bandant que, sur le point de lui donner l’assaut à mon signal.

Quand je crie : « Dessus ! » tous se ruent vers elle. Elle essaie de trouver un angle de fuite, une diagonale mais le cercle se rétrécit, le piège se referme sur elle.

Nous la ceinturons. Chacun lui pelote ses gros nichons, lui étire ses tétines qui sont toutes dures, toutes turgescentes (effet de la fraîcheur matinale sur sa poitrine ou de ce qu’on lui fait subir ?) Elle se débat, mais elle se prend des claques sèches sur ses grosses fesses, des doigts lui attrapent les lèvres de sa chatte, errent dans la moiteur de sa vulve

« – Mais elle mouille, cette salope ! » m’exclamé-je.

Lionel qui a toujours les cordes de chanvre, épaisses et rêches s’exclame :

« – Attachons-là debout à ce gros tronc d’arbre là ! »

 

Elle se retrouve soudain quasiment soulevée de terre, transportée jusqu’à l’arbre. L’un de nous lui passe une corde autour du cou qu’il passe autour de l’arbre, ça la calme : elle a peur en se débattant de se retrouver étranglée.

Jean-Edouard lui passe une corde autour de la taille et fait plusieurs tours autour du tronc.

On détache ses poignets et attache ses bras tendus comme si elle embrassait l’arbre.

Puis par prudence je donne l’ordre d’enlever la corde de son cou ; de toute façon elle ne peut plus bouger.

Pendant ce temps-là je coupe de longues branches fines d’arbuste avec mon Opinel, enlève les fins rameaux et en fait un gros bouquet. Les brindilles sont vertes et bien souples.

Et alors que des doigts ont déjà commencé à lui écarter les fesses, à s’insinuer dans son petit trou, lui pincer ses chairs, jouer avec le gode, moi armé de ma brassée de verges 100 % naturelle, on ne peut plus fraîche, je demande à tous de s’écarter.

Je me place, mesure la distance, et prenant l’élan maximum, je lève mon bras vengeur et me mets à cingler régulièrement et lentement ce cul trop prétentieux, arrogant, et provocateur, qui fait bander les hommes au point de risquer de les faire s’écarter du droit chemin.

J’accomplis mon devoir, intraitable. Elle pousse des cris déchirants mais je ne me laisse pas apitoyer. Je zèbre sans faiblir le fessier replet et bien rebondi, le bas des reins et le haut des cuisses grasses, dessinant un joli treillage de lignes d’abord rose, puis rouge bien sombre.

Elle gueule, sanglote, mais tous se sentent vengés et pensent dans leur tête qu’elle ne l’a pas volé. Elle a bien mérité ce traitement en nous prenant pour des cons, nous toisant du haut de sa superbe, cette prétentiarde, cette millionnaire.

A un moment donné, Lionel me fait signe d’arrêter. Il s’approche et lui retire le gode qui est toujours fiché dans sa chatte.

Puis on le voit qu’il lui écarte les fesses tant bien que mal avec les doigts de sa main gauche, qui farfouille Soudain elle gémit, puis hurle : on comprend qu’il vient de lui enfoncer l’objet dans le cul ! Son petit trou est serré, elle a dû le sentir passer

Je reprends le cinglage de ses belles chairs élastiques, les branches souples sifflent dans l’air, et un cri strident et déchirant nous surprend à chaque fois.

« – C’est bon, ça suffit pour le moment », dit Maurice, « il est temps de se payer sur la bête ! Détachez-la de là, prenez-la et allez la ficeler à plat ventre sur ce gros tronc couché qui lui tend les bras. »

On la détache, puis cinq paires de bras forts et galvanisés par l’envie et le rut qui monte,  la soulèvent de terre, la portent ; elle a beau se débattre, la voilà maintenant couchée au milieu du sentier, basculée sur le ventre comme un gibier fraîchement capturé ou plutôt comme une vulgaire fille de ferme qu’on culbute dans la grange, comme une fille de salle mafflue qu’on bascule sur une table à la fin d’un repas de noce bien arrosé, qu’on trousse pour lui exposer ses grosses fesses bien blanches à la vue de tous alors qu’elle glousse tandis qu’on lui pince ses hémisphères celluliteux et que les convives bien excités se débraguettent, prêts pour la saillie.

Mais là c’est une femme de la Haute, de la grande bourgeoisie d’affaire qui se retrouve poings liés dans le dos, le cul à l’air offert à une bande d’hommes en rut en tenue de chasse.

Un lien a été passé autour de son cou et autour du tronc, peu serré mais dissuasif, et un autre fait le tour de ses chevilles et les relie en passant en dessous du volumineux tronc.

Elle pousse des petits cris de surprise, comme si elle ne s’attendait pas à ce qui est en train de lui arriver.

Mais déjà, Maurice la fait taire en lui relevant la tête brutalement par les cheveux et en lui enfournant sa queue arquée et raide et d’une taille impressionnante jusqu’au fond de la gorge. Elle a d’abord comme un hoquet, puis, un peu timidement d’abord, se met à sucer.

Il faut dire qu’elle a compris qu’il valait mieux être docile car le lascar commençait à lui imprimer à grands coups de reins ses mouvements de va-et-vient en lui maintenant fermement le visage.

Pendant ce temps, d’autres se sont accroupis et lui tirent sur les mamelles comme s’ils voulaient la traire comme une vache tout le monde s’esclaffe !

D’autres encore lui pelotent ses fesses bien épanouies, les triturent, les palpent les pincent, les écartent.

Des commentaires salaces et sans ménagement fusent sur l’état de sa vulve rose vif, bien gonflée, bien brillante et sur le rosebud bien fiché dans son petit trou de balle qui nous contemple comme un il, comme nous appelant à lui rendre visite.

Plusieurs hommes ont déjà la queue à l’air, bien dressée, et se la polissent avec gourmandise, contemplant le tableau avec envie.

Des mains se mettent à lui claquer vigoureusement ses grosses joues fessières. Elle étouffe des cris mais la queue de Maurice est un bâillon efficace.

J’enlève soudain ma ceinture, la saisis par la boucle et dis à Maurice :

« – Attends un peu retire ta queue, je vais encore la punir cette grosse salope de bourgeoise qui nous a snobés, qui s’est permise de venir nous provoquer avec ses airs hautains et méprisants, croyant qu’elle pourrait nous défier au poker et qu’on lui ferait crédit et j’ai bien envie de l’entendre crier, j’ai bien envie de profiter de son avilissement et de sa voix qui va ponctuer son châtiment ! »

Maurice se retire de sa bouche, tout le monde s’écarte et ma ceinture commence à s’abattre en travers de ses masses fessières Elle pousse un cri horrible, mais je ne me laisse pas apitoyer, et, tout en mesurant ma force, ma main avec la régularité d’un métronome lui cingle ses belles chairs, et les zèbre méthodiquement de haut en bas, dessinant de larges bandes rose sombre.

Je ne fais pas trop durer le supplice mais finis par ses cuisses rebondies.

Je cesse et un autre d’entre nous remplace Maurice dans la bouche de Jenna, dont les fesses sont maintenant examinées, écartelées. Le gode vibrant est enlevé.

Sa mouille a coulé abondamment elle aime être traitée ainsi, cette femme habituée à diriger, à donner des ordres, à commander des hommes La voilà ravalée au rang de pute à chasseurs !

L’intérieur de ses cuisses est tout luisant, tout brillant et je n’ai qu’à ramasser la sève abondante à la source pour lui enduire copieusement l’intérieur des fesses, insister sur le petit illet encore entrouvert qui se met à palpiter sous mes doigts, se déforme sous l’envie Je lui rentre deux doigts, puis trois, qui s’insinuent en glissant difficilement je les lui enfonce jusqu’en butée :

« Putain, mais ce qu’elle est étroite cette chienne ! Il va falloir la préparer à nos assauts. »

J’ouvre le sac d’accessoires et me saisis d’un long et large gode en silicone mauve et le présente à l’orifice borgne. Je dois pousser, forcer un peu Elle gémit, essaie d’échapper à l’objet, mais finalement son sphincter abandonne la lutte, se relâche, se dilate et absorbe l’objet à l’extrémité arrondie.

Je pousse le gode lentement jusqu’au fond de son rectum.

« – Elle a compris maintenant ce qu’il l’attend, cette belle bêcheuse mûre ! Sept queues qui vont la visiter, lui défoncer et lui élargir la rondelle. Quand elle va retourner au Canada elle marchera les pattes écartées sur ses bottes comme si elle venait de traverser toute l’Europe à cheval ! »

(A suivre)

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