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Jeux avec mon frère – Chapitre 1

Jeux avec mon frère - Chapitre 1



Lorsque jétais jeune, javais des petits jeux sexuels avec mon frère (Ben). Nous découvrions notre sexualité et on se cherchait un peu.

Pourtant jusque là, je navais encore jamais eu de pensée homosexuelle, ça me rebuté même.

Je vivais dans la même chambre que mon frère, et entre mecs il était normal quon parle de filles et de sexe.

— Et Cindy, comment tu la trouves ? Me demanda-t-il lors dune énième discussion sur les filles.

— Une bombe. Tous mes potes veulent se la faire.

— Ouais pareil Tu sais que Je me suis même masturbé en pensant à elle. Rigola-t-il.

— Sérieux ?

— Ouais Enfin ça reste entre nous hein !

— Tinquiète pas, frangin. Et tu fais ça souvent ?

— Quoi ? me masturber en pensant à elle ?

— Non, te branler tout court. Demandai-je curieux.

— Ouais, parfois pendant que tu dors ou quand je suis seul à la maison, haha !

— Quand je dors ?!

— Ben ouais Dfaçon, je sais que tu le fais aussi ! Un soir, je tai entendu.

Je rougis, il était vrai que je me branlais souvent la nuit. Je ne répondis rien, il continuais :

— Je paris que jéjacule plus que toi, hehe.

— Alors ça métonnerait. Cindy me fait couler des litres.

On rigola ensemble, puis il reprit dun ton à demi sérieux :

— Non, mais vraiment, tu veux comparer ?

Jhésitais une seconde. Après tout, cétait mon frère, il avait déjà vu mon sexe.

— Ouais, daccord.

On se mit au dessus de nos couvertures respectives et on commençait notre petite affaire. Ca faisait très bizarre. Ca me gênait même un peu, mais avec ça, ce mêlait une pointe de plaisir.

On se jetait des coups dil parfois, en rigolant. Je me demandais même à quoi penser mon frère. Moi, je pensais à Cindy.

Puis, je sentais que jallais venir :

— Moi, ça y est

— Ok, va-y je te regarde.

Je rougis légèrement, mais avec la chaleur de mon corps, cela ne se remarqua pas.

Jéjaculais en deux gros jets sur mon ventre pour finir avec une troisième mais plus petite.

— Ouais, pas mal. A moi !

Mon frère avait lair si à laise. Il avait attendu que ce soit moi qui jouisse en premier.

Son éjaculation a lui était moins grosse, son sperme moins épais mais venait en plus grosse quantité. Il avait eu 6 jets mais du volume de mon dernier jet. Il gagnait haut la main.

— Javoue, tu éjacules plus.

— Après, ça dépend de lexcitation aussi. Là, jétais assez chaud

Sur le coup, je navais pas compris la remarque de mon frère.

Nous navions plus reparler de ça, mais une semaine plus tard, nous étions au lit, mon frère me dit :

— Nouveau défi : celui qui éjacule le plus loin !

Javais été un peu déçu de ma dernière défaite et je savais que pour ce jeu là javais toutes mes chances, cest pourquoi jacceptais avec enthousiasme.

— Par contre cette fois, me dit mon frère, va falloir se mettre debout.

Cest-ce quon fit. Je fus un peu surpris lorsque Ben enleva son t-shirt et son caleçon.

— Je me mets à poil hein, on est entre frangin de toute façon.

Je fis la même chose. Je remarquais à ce moment là que nos sexes étaient assez différent. La sienne était plus longue mais plus fine, javais un plus gros diamètre et un plus gros gland que lui.

On commença à se masturber comme la fois précédente. Lexcitation monta vite.

En fait, je ne pensais même plus à Cindy, mais juste à ce qui se passait dans la pièce.

Mon frère écarta légèrement les jambes et sabaissa : il allait éjaculer !

— Je commence parce que là je tiens plus Aaaah !

Il lâcha un râle, quelques gouttes coulèrent de son urètre puis un long jet y sortit. Il était à 1m environ, il sétalait sur 20cm au moins. Puis il eut plusieurs autres jets mais ceux-ci allèrent beaucoup moins là.

Entendre mon propre frère se déverser sur le parquet augmenta mon excitation et avant quil neut fini, je dis :

— A mon tour là !!

Je me baissa un peu, et bascula la tête en arrière tellement lorgasme me submergeait.

Une longue et grosse décharge jaillit. Elle dépassa celle de mon frère de 50cm. Javais gagné !

Mais sûrement le moment, je men fichais : je vidais le reste de mes couilles, cest-à-dire 7 autres jets.

Ben était surpris.

— Ah ouais ! Là, tu mas battu autant en distance quand quantité. Bien joué !

Je souris, jétais fier de moi. Jétais fier davoir montré à mon frère que jétais un homme.

Je navais quune envie, cétait de recommencer ! Mais jai dû attendre trois jours avant que mon frère propose à nouveau :

— Hé, lautre fois tu mas battu à plate couture. Je veux ma revanche !

— Pas de problème, jai les bourses pleines, haha !

— Ok, on y va.

Il se leva et ce fut presque naturellement quon se déshabilla. On aurait dit quune routine sétait installée. La nuit précédente, une idée mavait traversé lesprit : javais imaginé que mon frère et moi nous nous masturbions lun lautre. Je métais même surpris à avoir une érection en y pensant.

Ca mavait fait très bizarre. Jétais pourtant toujours hétéro ! Je bandais toujours autant en pensant à Cindy et sa grosse poitrine.

Je ne savais toutefois pas comment mon frère allait prendre mon idée. Je me suis lancé, au hasard :

— Jai une idée. Tu sais que la masturbation, cest comme les chatouilles : tu ressens beaucoup plus les effets quand cest quelquun dautre qui te la prodigue.

Je métais senti quand même obligé dargumenter.

— Euh ouais, où tu veux en venir ?

— Bah, je me disais que si on se la faisait à lun et à lautre, on jouirait plus fort et donc on verrait vraiment nos capacités

I réfléchit une seconde.

— Ouais, ça me parait un bon plan ! Et Comment on sorganise ? Je veux dire, on se la fait en même tout, ou chacun son tour.

— En même temps ! Ca ferait trop bizarre chacun son tour.

— Ouais, javoue

Il posa dès linstant suivant sa main sur mon sexe. Ca mavait surpris quil soit aussi direct. Je sentais maintenant sa main chaude qui mentourait le gland.

Jhésitais à le prendre dans ma main, il me regarde et mengueula presque :

— Ouais mais bon, si tu triches en me la faisant mal cest pas la peine !

— Nan, cest bon, tinquiète pas.

Il mavait un peu brusquer, mais ça avait marché, je pris son sexe au milieu. Je fis mine davancer et dans le mouvement, javais ma main jusquà lui effleurer le gland. Javais remarqué quil avait eu un léger spasme. Mon frère était donc très sensible, plus que moi en tout cas. Jeus un sourire discret.

On commença nos caresses en même temps. Nous allions à la même vitesse.

Mon frère aimait faire presser son pouce sur mon gland. Il venait le masser quelques secondes puis repartait dans son mouvement. Quant à moi, jaimais presser à lendroit juste entre son pénis et ses testicules. Je pensais ainsi le faire jouir plus vite.

Ce nouveau défi dura plus longtemps que les autres. On avait pas envie de jouir tout de suite, on voulait que le plaisir dure.

Mais après un quart dheure, on tenait plus. Que ce soit lui ou moi, nous étions à notre limite.

On se regarda sans échanger un mot, et on se fit signe de la tête.

La seule fois où je mettais déverser à ce point, cétait lorsque javais reçu ma première fellation. Je ne comptais même plus le nombre de jets que mon frère et moi avions. Ca coulait à flot ! En fait, nos deux spermes se mélangeaient par terre.

Une petite flaque sétait créée. Ben et moi nous nous regardions et nous fumes prit dun fou rire.

— On va dire que cest ex-æquo, dit-il.

— Bien daccord Mais va falloir nettoyer tout ça, parce que si les parents voient ça

— Cest clair, ils vont croire que la toiture a fuit.

Mon frère se chargea du nettoyage. Moi, jétais couché dans mon lit, complètement vidé. Et je ne tarda pas à trouver sommeil.

Nous avons continué nos petits jeux pendant quelques temps. Je ne savais pas pour mon frère, mais jadorais ça. Cétait devenu notre petit coutume du soir, et nous le faisions chaque jour.

Un jour, en pleine masturbation collective, Ben me dit :

— Peut-être on pourrait corser un peu le truc

— Cest-à-dire ?

— Et bien, tu mas dis un jour que tu navais jamais éjaculé aussi fort que lorsque tu tétais fais sucer par Hélène.

— Daccord ! Dis-je avec un peu trop denthousiasme. Jai eu peur sur le coup quil pense que je nattendais que ça.

Ce que je ne savais pas cest que mon trop grand enthousiasme allait être un déclencheur chez Ben. Comme si je lui avais confirmé que jaimais ça.

Cette masturbation fraternelle dura beaucoup plus longtemps que les autres.

— Ah et jai un autre truc aussi, me dit-il.

Je lui demanda ce que cétait, mais il ne me répondit pas tout de suite.

Il me plaça sur le lit en position accroupi, jétais comme une fille qui fait pipi dans les buissons. Mon frère sagenouilla et grâce à la hauteur du lit, sa tête arrivait tout juste à mon sexe.

Je bandais vraiment fort. Je nallais sûrement pas tenir longtemps.

Il soccupa dabord de mes testicules, elles pendaient et il nhésita pas à les caresser, les malaxer et à les lécher. Avions-nous dépassé le stade du jeu ? Ou pour Ben ce nétait encore quun autre défi. Je me posais un millier de questions.

Il me suçait de tout mon long. Le bougre insistait même sur le gland. Il souriait quand il entendait que je ne pouvais pas me retenir de gémir. Il cracha sur mon pubis, qui lui servait de lubrifiant et commença une lente masturbation.

Puis son doigt glissa vers mes couilles et continua vers mon anus. Il mintroduisit un doigt tout en me suçant. Je pouvais sentir son doigt fouiller dans mon trou. Il pressait contre ma prostate. Il en mit en suite un deuxième pour la stimuler encore plus. Cest là que je nai pas su tenir.

— Je vais tout lâcher !

Il intensifia le mouvement de ses doigts, mais il avait arrêté de me sucer. Il me branlait alors à vive allure. Malgré le plaisir intense que cela me procurait, jétais un peu déçu de ne pas pouvoir éjaculer dans sa bouche. Toutefois, mon éjaculation était impressionnante.

Jétais au bord du lit, toujours dans la même position, et je me déversais les couilles sur le parquet. Je vidais ma prostate de tout le sperme blanc et épais quelle avait produit. Mon frère affichait un sourire de satisfaction, il était fier de mavoir fait jouir autant.

— Ca va être un vrai défi de pas ça ! Dit mon frère. Faut voir comment tu toccupes de moi

Je rougissais presque. Les pensées de mon frère envers ce que nous faisons étaient très confuses.

Javais eu lidée de me mettre couché sur le dos, avec la tête qui dépasse du rebord du lit. Je regardais mon frère dans les yeux et ouvrit grand ma bouche.

A Suivre…

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