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John – Chapitre 3

John - Chapitre 3



La livraison

Cela fait maintenant trois mois que nous avons John, il est maintenant bien dressé, il obéit au doigt et à lil même dans des situations difficiles. Nous décidons donc, avec Marie, dappeler Elisa pour quelle contacte les propriétaires afin que nous leur rendions le chien. Le rendez-vous est pris pour le week-end suivant chez Elisa. Le jour dit, nous arrivons en fin de matinée pour faire voir à Elisa le comportement de John. Elisa nous accueille dans sa superbe maison un peu à lécart du chenil. John lui fait la fête, il la reconnu, après quelques caresses, il va se coucher sur un tapis épais devant la cheminée éteinte. Nous nous installons dans le salon sur un superbe divan en cuir parme.

-Alors, il est prêt ? Georges et Anne sont impatients, surtout Anne, jespère quil est vraiment au point, ma réputation est en jeu.

-Ne ten fais pas, John est au point, tu veux une démonstration ?

-Oui, mais cest moi qui vérifie, il vous connait trop bien.

Elle se lève et se présente devant John. Elisa regarde John qui lève la tête en la voyant approcher.

-Tu peux y aller John.

Le chien redresse les oreilles mais ne bouge pas, il regarde Elisa dun air gentil mais sans plus. Elisa se retourne, va vers le divan, défait son corsage, lenlève, fait glisser sa jupe le long de ses jambes, enlève son soutient gorge et son string. Elle est nue devant nous. Pour une femme dune quarantaine dannées, elle est superbement faite, seins encore hauts, ventre plat, pubis glabre, jambes fuselées. Cest une très belle femme qui devait être à vingt ans vraiment canon de chez canon. Elle sapproche de John qui la regarde en battant de la queue. Elle se caresse devant lui. Ses doigts parcourent sa vulve, entrent dans son vagin et ressortent mouillés.

-Tu peux y aller John.

John se lève et avance sa truffe vers la vulve dElisa. Il la renifle, se recule un peu, avance de nouveau pour poser sa truffe sur son sexe et commencer à la lécher. Elisa a un sursaut, elle écarte ses jambes en saccroupissant un peu. John narrête pas de la lécher, elle se retourne et il lui lèche lanus. Elle se met à quatre pattes. John commence à avoir des réactions au niveau du sexe qui sort doucement de sa gaine. Il continue de lécher Elisa sans faire mine de vouloir la monter.

-Marie sil te plait, tu peux mette ma jupe sur mon dos ?

-Bien sûr.

Marie se lève et met la jupe dElisa sur son dos.

-Tu peux y alle John.

John continu sa léchouille sans faire mine de vouloir lui monter dessus.

-Vas-y John.

John regarde Marie, avance et monte sur le dos dElisa. Il donne des coups de reins dans le vide, Marie se penche pour le guider, mais sa bite trouve toute seule le chemin du sexe dElisa et senfonce violemment dedans.

-Mon Dieu, quelle vigueur, il me défonce la chatte, holala quelle bite, je la sens grossir, quelle énergie, quelle force, ils seront contents, mais pour linstant cest moi qui en profite et jaime ça.

Elisa pose sa tête sur ses bras, ferme les yeux et apprécie le moment à sa juste valeur. John sactive en elle un long moment. Je vois le ventre dElisa se crisper, ses hanches onduler et aller davant en arrière pour accompagner les coups de butoir de John. Marie sapproche delle, saccroupie et sempare de ses seins. Elle les malaxe, les pince, les caresse. Elisa ondule de plus en plus, John la pistonne de plus en plus vite et de plus en plus profondément quand son nud disparait dans le vagin dElisa. Elle se crispe, son corps commence à vibrer et tout à coup elle jouit dans un grand cri.

-AAAAAAAHHHHHHHHH oui, encore, il me remplit, oui, oui, encore, encore, vide toi dans mon con, vide toi mon chien.

John sest calmé, il ne bouge presque plus, il a juste un léger coup de rein pour se vider dans cette antre chaude, il la rempli toujours de son jus. Un liquide blanchâtre séchappe du sexe dElisa, les femmes sont trop petites pour contenir tout le sperme quun chien peut éjaculer en une saillie. Marie se redresse, John, comme nous lavons dressé, reste en position sur le dos dElisa. Il la libère au bout de dix minutes. Elle se redresse et vient vers nous.

-Je crois quil est bien au point, Marie vient maider, je vais prendre une douche, suit moi dans la salle de bain.

Marie se lève et suit Elisa en me jetant un regard perplexe. Moi, je me doute de ce que veut Elisa, depuis le début de notre rencontre, je trouve quelle a des regards bien appuyés sur Marie, des regards denvie. Elle veut être seule avec elle pour pouvoir faire lamour avec elle. En cas normal je naurais pas bougé, je ne suis pas exclusif, mais cette méthode me déplait et je les suis. Quand elles arrivent dans la salle de bain, Elisa se jette sur Marie et essaye de lembrasser. Marie la repousse.

-Marie, ma chérie, depuis le temps que jai envie de toi.

-Elisa, je sais que tu as envie de moi, ne crois pas que je nai pas remarqué ton comportement, mais tu sais que je ne fais rien sans que mon partenaire soit au courant. Là, tu me prends par surprise, je veux bien accéder à ton désir, tu es belle et tu sais que jaime aussi les femmes mais ce sera en présence de Jean.

-Ok, si tu veux, mais tu sais, ton Jean, je le trouve un peu trop vieux pour toi.

-Ca me regarde, cest un merveilleux amant, il na pas les capacités récupération dun jeune minet, mais il est endurant et son expérience compense. Cest le premier homme qui me fait jouir comme ça. Je laime, il maime, cela durera ce que ça doit durer et je refuse quon men parle de cette manière.

-Excuses moi ma chérie, mais moi aussi je taime.

-Non, tu aimes mon cul, comme tu aimes tous les culs de femmes qui passent devant toi. Prends ta douche, je vais rejoindre Jean, ne men veux pas, mais en ce moment il ny a que Jean qui compte. Cela nempêche pas de se voir tous les quatre ou trois si tu préfères, mais toujours avec Jean.

-Ok ma chérie, je ne pensais pas que tu étais si accro. Jenvie ton Jean et je me ferais une douce violence en faisant lamour avec vous deux. Jespère que tu ne men veux pas.

-Non, ne ten fais pas, mais ne me parles plus jamais de Jean comme ça.

Marie se retourne, jai tout juste le temps de rejoindre les toilettes que javais repérées. Jen sort au moment où Marie passe devant.

-Alors, quest-ce quelle te voulait ?

-Baiser avec moi, mais je lui ai dit « daccord mais avec Jean ». Je sais que ça ne te dérangerait pas de passer un moment avec Elisa et moi dans un lit. Elle médite en se douchant.

Nous arrivons au salon en même temps que Louis, il est déjà plus de treize heures.

-Tout est prêt, nous pouvons déjeuner. Ou est Elisa ?

-Elle, se douche, elle arrive tout de suite.

-Je présume quelle a voulu essayer John pour voir la qualité de votre dressage.

-En effet, et elle est très satisfaite.

Louis sourit et nous désigne la table dun large geste du bras. Elisa nous rejoint à table, le repas se passe très bien, aucune allusion à la petite conversation des deux femmes. Nous sommes dans le salon depuis à peine dix minutes quun bruit de moteur attire notre attention.

-Je vais ouvrir, ce doit être Georges et Anne.

Elisa se dirige vers la porte dentrée, suivi de John tout excité, et revient au bout de trois minutes accompagnée dun homme et dune femme auxquels John fait une fête denfer.

-Marie, Jean, je vous présente Georges et Anne les heureux propriétaires de John.

Nous rejoignons Elisa et ses hôtes et après les congratulations de mise, nous nous asseyons autour de la table basse. Georges est un petit homme un peu rond, de nature assez expansive et démonstrative, il est en costume sombre. Il na pas lair dêtre en accord avec Anne qui elle est beaucoup plus réservée. Plus grande que lui, et relativement bien proportionnée, sans plus, elle porte une veste sur un corsage blanc et une jupe noire. Elle ne dit pratiquement rien jusquau moment où Elisa leur propose de vérifier si le chien correspond à leur attente. Anne se lève et se plante au milieu de la pièce. John la suit en battant de la queue. Elle le regarde.

-Tu peux y aller John.

Le chien sarrête de battre de la queue et la regarde. Il est là, immobile à côté delle.

-Assis.

Le chien sassoie. Elle se dirige vers le divan et en un tour de main se retrouve nue. Elle se caresse la vulve et se masturbe. Je vois quelle prend un certain plaisir à sexciter devant nous. Ses doigts sont de plus en plus mouillés. Elle avance vers John.

-Debout.

John se lève et vient vers elle. Aucun signe dexcitation de sa part, il la regarde normalement. Anne se met à quatre pattes sur le tapis, John sapproche un peu plus delle mais ne fait rien de plus quun chien qui veut se faire caresser.

-Tu peux y aller John.

A ces mots, John se dirige tout de suite derrière Anne et plante sa truffe entre ses fesses, sa langue sactive de la vulve à lanus. Son excitation monte, sa bite sort petit à petit de sa gaine. Il lèche sa maîtresse avec ardeur, on sent quil aime ça. Anne écarte ses fesses avec ses mains. Elle offre à son chien son intimité, son visage se métamorphose, elle est dans un autre monde.

-Vas-y John.

John fait un bond en avant et enserre les hanche dAnne, son sexe est maintenant entièrement sorti et dun violent coup de rein il senfonce dans ses entrailles. Mais sa bite, au lieu de pénétrer le sexe, défonce lanus dAnne. Elle pousse un petit cri de douleur vite suive de commentaires de plaisir.

-Il mencule, mon Dieu, il mencule, il est en moi, chéri, quel plaisir, depuis le temps que jattends ça, merci Marie, merci Jean, il est merveilleux. Vas-y mon chien, vas-y défonce maman.

John donne des grands coups de rein, il finit par entrer son nud dans un dernier coup plus fort. Anne réagit par un cri de douleur.

-AAAAAAA, il ma déchiré, le salaud, il ma déchiré, mais quel pied, quel pied, je vais jouir, oui, oui, il me remplit, je joui, je joui, AAAAAAAAAHHHHHHH.

John ne fait plus que de petits mouvements, il se vide dans le fion dAnne. Il reste immobile pendant un long moment jusquà ce quon entende un bruit de succion indiquant la libération dAnne. Elle sécroule sur le côté sur le tapis, elle écarte les cuisses et John vient lui nettoyer la vulve, les cuisses et lanus qui sont maculées de sperme. Anne a une violente contraction et cri son plaisir.

-AAAAAHHHH je joui encore, oui mon John, oui vas-y mon John.

A ces mots John croit quAnne veut encore être prise et commence des mouvements de rein caractéristiques.

-Doucement mon chien, doucement, attend que maman se redresse.

Anne se remet à quatre pattes, la tête sur ses avants bras. John se positionne derrière elle et cette fois lui plante son vit dans la vulve.

-Oui mon chien, oui cest le bon trou de maman, baise moi, baise moi, jen ai tant envie.

John sen donne à cur joie, ses mouvements sont de plus en plus rapides, il tire la langue, il souffle mais il sactive dans lantre chaude de sa maîtresse. Il finit par introduire son nud et simmobilise pour se vider en elle. Anne est secouées de spasmes, son corps tremble de tous côtés, elle peut à peine se maintenir en place, mais elle jouit les yeux fermés, le souffle court, en silence, pour elle-même.

John se retire assez rapidement, la vulve dAnne est complètement ouverte, elle sécroule sur le côté et John entreprend une nouvelle fois de la nettoyer. Georges vient vers elle, la prend par les bras et la redresse.

-Vient chérie, vient tallonger sur le divan.

Il couche Anne sur le dos, lui écarte les jambes et plonge sa tête dans son entrecuisse. Sa langue sactive sur le clitoris dAnne, celle-ci réagit, pose ses mains sur la tête de son mari et appuie pour accentuer leffet de cette langue sur son intimité. Elle ondule les yeux fermés pendant que Georges la mordille, laspire, enfonce sa langue dans son puits damour. Ses mains vont vers ses seins et pincent les tétons en les faisant rouler entre le pouce et lindex. Ce traitement emporte vite Anne qui se raidit et joui dans un grand râle de plaisir.

-OOOOOOOOOHHHHHHH.

Georges se redresse, Anne lui attrape la tête et lapproche delle. Elle lui lèche le visage maculé de sa cyprine.

-Voilà, tu es propre maintenant.

Georges se lève et va vers John qui sest recouché devant la cheminée. Il le caresse.

-Je crois que nous avons trouvé ce quil faut à Anne pour me remplacer. Il est très bien dressé, bravo à vous deux. Je présume quil honore aussi bien les femmes que les hommes.

-Oui, nous lavons testé tous les deux.

-Il pourra donc servir lors de nos réceptions, nous allons avoir une bonne surprise pour certains de nos amis. Marie et Jean, vous ne me connaissez pas, mais vous devez savoir que je suis impuissant depuis un accident de la route il y a un an à peu près et que depuis, je cherchais une solution pour Anne, autre que des godes, jusquà ce que lon rencontre Elisa. Elle a trouvé ce qui nous fallait, et vous avez fait le reste. Merci.

Elisa apporte des boissons fraîches et tout le monde se détend un verre à la main. Seule Anne est nue, mais cela na pas lair de la déranger. Georges se retourne vers Anne.

-Chérie, nous avons plus de deux heures de route, il faudrait y aller.

-Ok mon chérie.

Anne enfile sa veste quelle ne boutonne même pas, sempare de ses vêtements et se dirige vers la porte. Georges la suit, ainsi que tout le, monde. Georges lui ouvre la porte de la voiture, elle fait entrer John derrière et sinstalle, la veste grande ouverte. Gorges sinstalle au volant et ils partent dans un grand nuage de poussière.

-Cette fois elle a mis sa veste, dhabitude elle part de chez nous complètement à poil, quelle que soit lheure. Un jour, ils vont se faire épingler par la famille poulaga. Cest tout de même de lexhibitionnisme.

Nous rentrons dans la maison. Pendant que nous discutons sur le divan, Elisa passe un coup de fil. Elle revient toute heureuse.

-Jai de nouveau du travail pour vous. Quand êtes-vous disponible pour un nouveau chien. Cest un dog allemand très gentil, il a treize mois.

-Je dois descendre dans le sud dans une semaine, jy reste quinze jours, disons dans un mois.

-Parfait, je préviens mes clients.

Le chien sest avéré être un animal adorable, mais ceci est une autre histoire.

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