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Jérémy en vacances en Corse – Chapitre 1

Jérémy en vacances en Corse - Chapitre 1



J’ai pris les huit jours de vacances qui me restaient et je les passe en Corse. Je me suis trouvé une sympathique chambre d’hôtes dans un petit bled paumé, Galéria. À cette époque, fin septembre, je n’ai eu aucun mal à me dégoter un endroit super.

Pardon pour les gens de là-bas mais oui, c’est quand même vachement paumé mais c’est ce que je recherche. J’ai loué un vélo et je fais des randonnées dans des paysages absolument somptueux.

Aujourd’hui, j’ai envie de voir la côte. On m’a parlé une petite plage isolée dans la baie de Focolara. C’est à une heure de vélo m’a-t-on dit. C’est sans compter le relief ! Les montées, en Corse, ce sont des échelles ! Qu’à cela ne tienne, il parait qu’elle en vaut la peine, alors …

Alors j’ai enfourché ma bicyclette et, effectivement, après une bonne heure, bien tassée, je suis arrivé au bout du chemin.

"Tu poses ton biclou au gros rocher et tu continues à pied ; ce n’est plus très loin." M’a dit le patron de la maison d’hôtes.

Il y avait bien encore un bon quart d’heure de marche mais oui, le coin valait bien la promenade !

Une plage pour moi tout seul ! Le rêve ! Cela me donnait l’impression de la découvrir, d’être le premier à fouler son sable fin et chaud.

Je n’avais que l’embarras du choix pour poser mon sac et m’allonger au soleil.

N’ayant pas particulièrement envisagé des heures de plage mais plutôt des escapades dans l’arrière-pays, je n’avais rien prévu pour la baignade.

J’ai donc, sans hésiter, opté pour ne garder que mon slip. Cela ne risquait d’incommoder que les crabes ou les mouettes !

Bercé par le bruit des vagues je crois bien que j’ai fini par m’assoupir.

Ce sont des bruits de voix qui m’ont réveillé. Deux types en maillot de bain approchaient, deux jeunes, certainement guère plus âgés que moi, 22, 25 ans tout au plus.

— Salut ! Moi, je m’appelle Tonio. Lui, c’est Giorgio. On vient juste d’accoster à la pointe, là-bas, fit-il en me montrant un endroit que je ne pouvais pas voir à cause de la végétation.

— Bonjour ! Moi, je m’appelle Jérémy.

— T’es venu comment ?

— À vélo !

— Ah oui, à vélo ! Pourquoi pas !

Tonio était certainement d’origine italienne sinon corse, le cheveu noir, la peau mate, très poilu et maigrichon.

Giorgio, c’était tout le contraire : Grand, blond, baraqué et quasiment imberbe, pas vraiment couleurs locales.

Ils se sont assis et nous avons parlé d’un tas de choses. Ils étaient vraiment très sympas !

Et si on allait se baigner, les gars ! Proposa d’un seul coup Tonio.

C’est que, comme vous voyez, je n’ai pas de maillot !

Nous non plus firent-ils en chur en retirant le leur pour nous mettre tous les trois à égalité.

Il m’était désormais difficile de refuser. J’ai viré mon slip et nous sommes partis en courant vers la flotte.

Une première fois pour moi ! Sentir ma queue bringuebaler dans tous les sens en plein air… Je n’étais pas habitué à ça !

Les "premières fois pour moi", elles ne faisaient que commencer !

L’eau était fraîche mais pas trop. Après quelques minutes, elle m’a même paru franchement agréable. Il faut rire qu’en plus de nager nous chahutions pas mal.

Soudain, alors que Giorgio était juste derrière moi, il m’a saisi les bras à hauteur des biceps. Sa prise était ferme sans être brutale.

Tonio venait d’apparaître devant moi sortant de je ne sais où.

En plus de me sentir prisonnier j’ai été troublé par le contact de son sexe entre mes fesses. L’eau ne devait pas lui faire le même effet qu’à moi. Je sentais bien sa raideur appliquée contre ma raie.

— Giorgio, à quoi tu joues ?

Tonio avait de nouveau disparu sous la surface. À peine avait-il plongé que je me suis senti happé et tenu là où je ne m’attendais certainement pas à ce que cela advienne !

Il m’avait pris dans sa bouche et malaxait mes couilles à deux mains !

— Arrêtez ça les gars ! C’est pas drôle ! Ai-je protesté.

Tonio ne pouvait m’entendre mais Giorgio, lui, n’a pas desserré son étreinte. Je l’ai juste entendu me susurrer à l’oreille.

— Ose me dire que tu n’aimes pas ça !

— C’est pas ça mais…

— Laisse-toi faire et profite.

Sa queue était maintenant entre mes cuisses et je sentais ses va-et-vient qui faisaient clapoter l’eau entre nous.

Tonio refit surface. Il me fit un beau sourire et disparut de nouveau.

Aussitôt, sa bouche reprit la fellation sous-marine.

Il savait s’y prendre le bougre ! Je n’avais vraiment plus envie qui s’arrête en chemin !

Au moment où il refit surface Giorgio proposa qu’on poursuive notre "petite affaire" au sec.

Bien qu’un peu déboussolé par ce qui était en train de m’arriver, je suis sorti de l’eau, bras dessus, bras dessous entre ces deux mecs que je ne connaissais pas voilà une heure.

Là encore, c’était une première… Et de taille celle-ci !

Nous avons fait quelques pas, cinq ou six tout au plus, avant de nous retrouvés tous les trois allongés sur le sable.

Tonio s’est installé entre mes jambes pour reprendre là où il l’avait interrompue, cette pipe dont je garderai forcément le souvenir à jamais. Je m’étais déjà fait sucer mais par un mec, ça non !

Par contre, ce que me proposait Giorgio, encore une fois, allait être une Grande Première !

J’ai ouvert la bouche sans réfléchir et j’ai absorbé le gland qu’il me présentait sans la moindre hésitation.

Mais qu’est-ce qui se passe aujourd’hui ? C’est un cauchemar. Je ne vais certainement pas tarder à me réveiller !

Est-ce que je cherchais sans le vouloir à reproduire sur la queue de Giorgio ce que je ressentais sur la mienne, toujours est-il que je me suis mis à le sucer avec assiduité puis avec passion, je dois bien le reconnaitre.

Comme si un chef d’orchestre invisible conduisait cette symphonie, le hasard ou je ne sais quoi d’autre a fait que j’ai joui dans la bouche de Tonio en même temps que Giorgio m’inondait la bouche de son sperme.

Encore une nouveauté à mettre sur le compte de cette journée pas comme les autres !

BOF ! Ce n’est ni bon ni mauvais, tout juste différent de ce que j’ai avalé jusqu’à présent. Je peux maintenant comprendre les grimaces que certaines de mes conquêtes ont faites en se trouvant dans la même situation ! D’autres avaient l’air de bien aimer ! Tous les goûts sont dans la nature, non ?

Même si je ne suis pas un adepte de ces jeux entre mecs, je ne suis pas sans savoir que la finalité n’est pas de se sucer la queue. En toute logique, je vais devoir passer à la casserole, c’est obligé. Pas sûr que ça me plaise autant que de me faire faire une gâterie par un homme ou de la lui faire…

J’allais vite le savoir. Giorgio s’est relevé et m’a demandé de me mettre à genoux ce que j’ai fait sans rechigner. Étais-je résigné ou curieux d’aller jusqu’au bout maintenant que j’avais si bien commencé ?

Il s’est assis devant moi, réclamant de toute évidence une seconde pipe. J’avais dû faire ce qu’il fallait pour qu’il en redemande !

Tonio, quant à lui, s’est chargé de transformer ce qui, jusqu’à ce jour, a toujours été une porte de sortie en un large portail d’entrée avec l’ambition certainement d’y faire entrer un autobus !

Mon esprit avait du mal à se scinder en deux. La pipe d’un côté avec un Giorgio qui aurait bien aimé que je lui avale sa bite de bout en bout, de l’autre les doigts, la langue de Tonio qui uvrait assidument sur mon petit trou. À ce qui me semblait, il ne devait déjà plus mériter ce qualificatif.

Et de deux ! Giorgio éjacula dans le fond de ma gorge, provoquant une quinte de toux de ma part et des yeux larmoyants. J’ignore comment j’ai pu faire cela mais j’ai réussi à avaler sa bite jusqu’aux couilles. J’ai cru mourir étouffé !

Du coup, je ne me préoccupais plus de ce que pouvait faire Tonio.

Mais quand j’ai senti son sexe investir mes boyaux, s’avancer doucement mais surement dans le plus profond de mon être, j’en ai oublié Giorgio, la gorge profonde, la bave qui me dégoulinait sur le menton et mes yeux qui ne voyaient plus rien, noyés dans les larmes.

Comment dire cela ? Je n’ai pas vraiment les mots qui me viennent. C’est étrange. C’est dérangeant. C’est obsédant. Toute mon attention est concentrée là, dans le bas de mon ventre. J’ai peur d’avoir mal. Non ! Ce n’est pas ça. Je ne sais pas. Je ne sais plus rien !

Tonio s’est immobilisé. Pas facile de dire où il en est mais je ne crois pas qu’il se soit avancé beaucoup. Je perçois les pulsations de son sexe. Je ne sais pas si ça m’excite ou si ça me dégoûte.

Il recule, sort, crache. Je sens sa salive couler dans ma raie puis de nouveau le contact doux et chaud de sa bite. Il me pénètre, doucement mais probablement plus profond que la première fois.

Je ne ressens aucune douleur. J’en suis surpris. Je crois bien que c’est ce qui me faisait le plus peur !

Ses mains, à plat sur mes fesses écartent mon anus. C’est plutôt ça qui me fait un peu mal. Il s’est retiré de nouveau puis réintroduit avec plus de facilité m’a-t-il semblé. Il le refait plusieurs fois, plein de fois. J’aime bien !

Mon trou de balle doit être complètement dilaté. Je ne le sens en moi que quand il est enfoncé profondément.

Pour la première fois, ses couilles sont entrées en contact avec les miennes. Il est à fond ! Il s’agite de plus en plus. Tout mon corps tressaute à chaque fois que son ventre bute sur mon cul en claquant. En parlant de claques, il me fesse d’un côté puis de l’autre. Ça me fait mal mais j’ai l’impression que cela renforce mes sensations. Bizarre !

— Alors ?

La question, c’est Giorgio qui l’a posée.

— Du tonner, mec ! Il est étroit comme j’aime.

— Ça a plutôt l’air de bien se passer !

— Ouais ! Et on dirait même qu’il aime ça ! Tu paries qu’il ne va pas tarder à nous le faire savoir ?

Le pire c’est qu’il a raison ! Le cri qui est en moi et qui grandit à chaque instant monte de ma poitrine à ma gorge. Il est là, prêt à sortir mais je le retiens. Je ne vais quand même pas couiner comme une petite vierge qui se fait dépuceler, quand même !

Mais c’est plus fort que moi ! Je m’entends (et cela m’épouvante) hurler :

— "Oh oui putain ! C’est bon ! Continue ! Plus fort !"

— Qu’est-ce que je t’avais dit ! Ça n’a pas été long !

— T’aimes ça hein que Tonio tencule ?

— Oh oui ! J’adore !

Giorgio vient de se glisser sous moi. Il prend ma bite dans sa bouche et me caresse les couilles.

Là, c’est le pied total, l’extase. Je suis au paradis ! Mon plaisir croît à la vitesse de la lumière. Je vais jouir très vite, c’est obligé ! Est-ce que c’est Tonio qui va me faire jouir du cul ou Giorgio avec sa fellation ? Les deux certainement !

Les giclées de sperme, je les ai bien senties tout au fond de moi. Une, deux, trois, quatre ! Tonio s’est crispé, me serrant sur son ventre, sa bite enfoncée jusqu’à la garde. Je l’entends qui souffle tout en gémissant de plaisir.

C’est certainement cela qui m’a fait jouir à mon tour. Je ne sais pas comment je fais pour trouver encore de la semence !

Tonio s’est retiré. Il s’est allongé sur le sable, enfin, il s’est plutôt laissé tomber, épuisé par sa chevauchée fantastique !

Giorgio en a profité pour me faire mettre sur le dos. Il relève mes jambes, pose ses mains sur mes cuisses ce qui lui donne accès à mon anus plus commodément.

Je sens le sperme de Tonio qui refoule. Une aubaine pour lui. Pas besoin de saliver pour que ça glisse !

Sa bite est à l’image de Giorgio comme celle de Tonio qui lui ressemble par sa taille et sa pilosité.

J’ai tout loisir de m’en rendre compte de la différence dès que son gland est entré. Je suis obligé de retenir ma respiration. J’ai mal. Il va me déchirer de cul, ce con !

Contrairement à ma première sodomie, je suis face à mon partenaire. Tout comme il me voit grimacer, qu’il peut juger de mon désarroi, de l’effet qui a sur moi je peux voir quel plaisir, quelle jouissance, quelle rage il a de m’enculer.

Il me pilonne à grands coups de rein en poussant des cris de bucheron. Chaque assaut me fait reculer sur le sable comme si je ne pesais rien. Tonio qui était à côté de moi se trouve maintenant à près d’un mètre et Giorgio continue et continue encore à me bourrer le cul, infatigable, telle une machine qui s’est emballée.

Je n’ai plus mal, plus mal du tout. Bien au contraire ! Il a réussi à me faire jouir encore une fois mais sans même effleurer ma bite. Je gicle sur mon ventre, sur ma poitrine et ça le fait marrer.

— T’aimes ça, hein ! Tiens ! Tiens !

Je ne suis plus qu’une poupée de chiffon entre ses mains. Il peut me baiser jusqu’à ce soir, je suis incapable de la moindre réaction sinon de gueuler des conneries comme des "Encore" ou des "Vas-y, plus fort" comme si c’était possible. Il a une résistance hors du commun ce mec !

Enfin, quand même, je vois qu’il arrive au bout de sa folie lubrique.

Il se retire soudain en tenant sa bite d’une main, progresse à genoux vers mon visage et lâche d’un coup une quantité de sperme suffisante pour me noyer !

J’en ai plein les yeux. Ça me dégouline de partout. J’ai un vertige. Il m’a complètement épuisé. Je n’ai même pas la force de m’essuyer le visage et je reste les yeux clos, hors d’haleine. Il m’a libéré les jambes et je les laisse retomber lourdement. Il va se passer un bon moment avant que je bouge de là !

Son sperme me brûle les yeux mais je ne peux rien y faire, en tout cas, pas maintenant !

Je ne pourrais dire combien de temps je suis resté ainsi, les bras en croix, incapable du moindre mouvement. C’est la voix de Tonio qui m’a fait réagir. Je n’y vois toujours rien ou pas grand-chose d’autant plus que le soleil me tape directement dessus.

Je distingue vaguement qu’ils se sont rhabillés et qu’ils sont debout devant moi.

— Tu reviens demain ? Demande Tonio.

Bonne question que je vais certainement me poser un nombre de fois incalculable d’ici à demain !

Je balbutie un "certainement" peu convaincu.

— Et bien, dans ce cas, à demain ! C’était super !

J’entends leurs pas crisser dans le sable et puis plus rien.

Je reste là, nu, barbouillé de foutre. J’en ai partout, dans les cheveux, sur le visage, sur le torse. Jusqu’à présent, mon trou du cul ne m’avait pas renvoyé d’information malgré le traitement de choc qu’il venait de subir mais, petit à petit, une brûlure pointait son nez, d’abord insignifiante mais de plus en plus présente.

C’est alors que j’ai pensé qu’il me fallait retourner au village… À vélo !

Je crois que je ferais tout aussi bien d’enlever la selle !

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