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J'étais juste son prof particulier. – Chapitre 1

J'étais juste son prof particulier. - Chapitre 1



Je suis étudiant et je vais vous raconter une petite histoire qui m’est arrivée avec une élève. Oui car je donne des cours particuliers pendant les vacances à des collégiens et lycéens pour les aider dans leurs lacunes.

Aux dernières vacances, je reçois le mail d’une mère désespérée car sa fille a pour la première fois des notes horribles dans les matières scientifiques. Je lui réponds donc et lui propose de les rencontrer, elle et sa fille, au début des vacances.

Premier jour de vacances, je vais à la rencontre de cette jeune fille, lycéenne, et de sa mère. A mon arrivée je tombe sous le charme de la demoiselle, dont j’avais déja aperçu le magnifique visage sur un réseau social, par curiosité.

Bien entendu, en temps que son futur prof, je ne dis rien mais j’ai des frissons. Elle est jolie, un visage doux et lisse, une peau soyeuse, elle est petite, environ 1m65, et m’offre un décolleté et une paire de cuisses sublimes en ce jour de canicule.

Elle m’explique donc les chapitres qui la bloquent, sa mère discute un peu de l’aspect financier avec moi et nous planifions un premier cours. Sa mère me prévient qu’elle travaille et sera donc absente, Lucie – la jeune lycéenne aux yeux pétillants – me regarde en souriant, confiante. Je la sens vraiment gentille, elle a l’air d’être une fille non seulement jolie mais simple et sympathique aussi. 

Moi je suis plutot un garçon avec peu d’expérience, je n’ai pas un physique exceptionnel, je ne suis pas très sportif mais je suis intelligent et doué en sciences, ce qui me permet de donner aisément des cours particuliers.

L’entretien s’achève ici, je salue la mère qui me serre la main et tend la main à Lucie qui spontanément me fait la bise. Je ressens son parfum sobre mais élégant. Elle sent bon et sa peau douce caresse la mienne le temps d’une bise.

[…]

Deux jours après, j’arrive chez Lucie pour le premier cours. Elle m’accueille chaleureusement, habillée en tenue légère, la canicule frappe toujours. Elle est vêtue d’une salopette courte qui découvre entièrement ses jambes, j’aperçois même ses fesses lorsqu’elle se retourne pour me guider vers la table de cuisine où elle a préparé ses cours. Elle a des jambes sublimes, des courbes magnifiques. Elle est plutot maigre, une petite poitrine mais juste ce qu’il faut. Elle a ce qu’il faut là où il faut. Et un magnifique visage. Moi qui avais déja imaginé quelques scénarios érotiques, j’ai du mal à me concentrer lorsqu’elle croise mon regard. Elle me montre donc ses cours, un peu timide. Je décide donc d’assumer ma position de professeur même si elle n’a qu’un ou deux ans de moins que moi et lui parle donc tel un professeur à son élève.

Après des premières explications, elle part chercher à boire. Mon regard, par correction évidemment, se dirige vers ses fesses magnifiques que j’aperçois. En revenant, elle s’assoit et se rapproche de moi. Nous étions autour d’une table ronde, assez éloignés précédemment. Son genou touche désormais le mien, et pendant que je lui explique des maths, je sens de plus en plus de petits mouvements de genoux volontaires qui font vite leur effet. Mais je continue à me persuader que je rêve, elle a probablement un petit ami de son âge et ne pense à rien d’autre qu’aux mathématiques.

Le cour s’achève et je la salue en repartant. Elle me lance un regard défiant et me glisse à l’oreille "Vivement demain" en me faisant la bise un peu longuement.

Je rentre chez moi et pense bien sur à ces mots et à ce cours si particulier. Je me dis que j’ai probablement rêvé et qu’elle m’a simplement dit "A demain". Il faut dire que j’ai peu confiance en moi, en réalité je boue intérieurement mais je n’ai jamais eu de relations avec une fille…

Le lendemain, je me rends chez elle comme le jour précédent. Elle est encore seule, sa mère travaille et je ne sais même pas si son père existe ou non, et cela ne me regarde pas. Je sonne donc et elle m’ouvre. Aujourd’hui elle s’est mise en petit débardeur moulant et en mini jupe. Toujours aussi fine et jolie, l’effet est rapide dans mon pantalon mais je m’assoie rapidement à la table pour le cacher. Elle part dans le couloir et m’appelle en me disant qu’aujourd’hui on allait bosser dans sa chambre car elle avait son PC de bureau. En effet la veille je lui avais proposé de lui montrer quelques sites pour travailler le bac de manière ludique. Je me lève donc, essayant de camoufler la bosse ainsi formée. Je ne sais pas si elle a remarqué quelque chose. Au milieu du couloir, elle s’arrête et se baisse pour relacer sa basket. Là ce n’est plus un hasard, elle me montre volontairement ses fesses qui apparaissent sous sa mini jupe. Je fais mine de ne rien regarder et poursuis ma marche vers la chambre. Assis au bureau, elle me demande de partager la chaise car elle n’en a pas d’autre. Je commence donc à me relever pour lui céder et elle me retiens, s’asseyant sur mes genoux. La bosse est de plus en plus grande, j’ai peur qu’elle la voie. Je prend la souris et lui montre donc quelques sites utiles, qu’elle met en favoris. Elle recule de plus en plus jusqu’à être pleinement en contact avec mon sexe, qu’elle doit forcément sentir, il se trouve en plus que ce n’est pas un petit calibre. Elle prend ma main gauche, jusqu’alors posée sur le bureau et la pose sur sa cuisse. Je comprends qu’aujourd’hui les maths vont s’arrêter là, mais je fais mine de poursuivre. Elle se retourne sur moi, ses jambes ouvertes et tombant d’un coté et de l’autres, m’ouvrant un accès VIP à l’intérieur de ses cuisses. Elle me regarde sensuellement et toujours avec un regard à la fois coquin et gentil. Car ce n’est pas une allumeuse. Elle me demande alors:

"Depuis hier j’ai remarqué la bosse dans ton pantalon"

Je rougis évidemment, en temps que professeur je me demande comment la situation va se terminer. Puis elle reprend:

"Je ne suis pas une de ces filles qui se font prendre tous les soirs tu sais, mais depuis que tu as commencé à me donner des cours j’ai comme des frissons intenses au fond de moi, j’ai vraiment envie d’essayer avec toi".

Je comprend alors qu’elle est aussi pucelle, je suis assez étonné c’est vrai mais je sais que ce n’est pas la fille qui a un rencard par soir. Je lui avoue donc que j’ai aussi une attirance pour elle à la fois physique et intellectuelle.

On s’embrasse alors tendrement, avec quelques pauses dues à des râtés qui nous font sourire, ni elle ni moi ne sommes experts. Mais on reprend et elle commence à se balancer sur moi avec des légers mouvements. Elle s’arrête et m’enlève mon teeshirt. On dirait une vrai pro, elle est sensuelle mais aussi douce, elle veut tout bien faire et moi aussi, on est devenus complices en quelques secondes. Je lui enlève alors son petit débardeur pour découvrir un ventre magnifique et cette petite poitrine que je mate depuis deux jours.

On se retrouve nus tous les deux en quelques secondes, sur son lit à se rouler des pelles toujours un peu chaotiques mais droles et excitantes. Ma main glisse sur ses sains que je caresse pendant près d’un quart d’heure. Elle va droit au but et me branle doucement en même temps. Je dirige ma main alors qu’on s’embrasse toujours tendrement, vers son entre jambe, que je découvre trempé. Cela m’excite et je lui fais signe d’arrêter car je ne pourrais pas tenir. Je mets cours aux baisers et descends tout en embrassant son corps vers son entrejambe que je lèche calmement. Elle commence à jouir discrètement, avec des râles de bonheur. Elle adore ça. Je poursuis alors. Elle me fait signe d’arrêter. Elle entrouvre le tiroir de sa table de chevet et sort une boite de préservatifs, un peu gênée. Je lui fais remarquer qu’elle avait tout prévu depuis le début des cours et que j’étais tombé dans son piège. Elle rougit, croyant que je ne plaisante pas. Je regarde sa boite de préservatifs et lui dit qu’elle a bien fait mais qu’elle peut les ranger en souriant. Elle ne comprend pas trop. Je vais jusqu’à mon sac de cours et sors la boite que je garde toujours sur moi. Ce sont des XL. Car en effet les standard ne me conviennent pas, trop serrants. J’avais fait quelques expériences solo qui m’avaient fait comprendre que pour moi il faudrait opter pour du XL. Elle regarde alors mon sexe et sourit, un peu gênée. Je l’embrasse à nouveau et ne tarde pas à enfiler discrètement le préservatif. 

Après deux doigts, j’entre en elle doucement. Tout doucement car c’est la première fois, et elle semble avoir mal. JE m’arrête, lui embrasse le cou et lui dis qu’on va prendre notre temps. Elle me fait signe de continuer. J’entre alors en elle complètement et ressens en mois un sentiment de bonheur. Elle crie asse fort et me regarde amoureusement. Ca y est on n’est plus puceaux. Quelques vas et viens suffisent à nous faire craquer tous les deux.

On se couche alors ensemble, entrelacés, en e serrant forts et on reste quelques minutes ainsi. Je regarde alors ma montre, il est temps de partir. Le prochain cours est demain, Lucie me le rappelle avec un sourire coquin en remettant ses sous vêtements. 

Et la suite a été encore plus folle…

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