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Julia, de travesti à jouet sexuel, de jouet sexuel à épouse docile – Chapitre 2

Julia, de travesti à jouet sexuel, de jouet sexuel à épouse docile - Chapitre 2



Je suis arrivée chez lui surexcitée, et j’ai décidé de mettre un préservatif. L’anesthésiant dessus m’empêcherait d’avoir une érection, et en cas de liquide préséminal, je ne tacherais pas ma lingerie. Je suis prête à parier que les rares personnes sur le parking de l’immeuble se sont imaginé que je me touchais…

Quand je suis sortie du véhicule, une jambe après l’autre, j’ai d’ailleurs vu certains regards se braquer vers moi et me suivre jusque dans le hall de l’immeuble. Je suis arrivée à la porte de son appartement et j’ai frappé, partagée entre l’inquiétude et l’excitation. Quand il m’a ouvert, j’étais bluffée. C’était super beau, richement décoré et plein de classe. Et lui était très bel homme, bien plus qu’en photos. Presque deux mètres, des muscles dessinés visibles sous sa chemise blanche, et une grosse bosse dans son jean…

Entre ma jolie. Je te sers un verre ?

Euh. Oui, avec plaisir…

Je rentre en refermant la porte avant de me diriger dans son salon, alors qu’avec délicatesse, il me tend un verre de whisky et trinque, puis nous savourons une gorgée, et il reprend.

Tu es vraiment très belle…

Il tourne autour de moi comme un prédateur avant d’ajouter.

De jolies fesses rebondies, une taille fine et des seins…

Non, c’est… J’ai bien serré mon bustier, alors ça fait comme des seins et des hanches de femme…

Il pose sa main contre mes fesses avant d’ajouter.

Et bien c’est très appétissant.

Je finis mon verre en rougissant, et il le prend pour le poser sur la table basse.

Tu sais ce que je voudrais ?

Je minaude, en général les hommes aiment bien avoir l’impression de tout nous apprendre.

J’en ai une petite idée. Mais éclaire-moi…

Tu joues l’ingénue ? OK…

Il détache sa ceinture avant d’ouvrir la braguette de son jean. Je me suis alors mise à genoux pour sucer immédiatement cette queue si belle et si grosse que je n’avais vue qu’en photos jusque-là, me délectant de chaque centimètre de chair chaude et appétissante, alors que quelques gouttes commençaient déjà à perler au bout.

Tu te régales ?

Je le regarde avec un regard de chienne en chaleur, parce que c’était exactement comme ça que je me sentais en cet instant, une chienne en chaleur, alors qu’il gémit en posant sa main sur ma tête pour tout à la fois imposer un rythme et me faire sucer plus profondément. Au bout de quelques minutes, il me retire pour me relever.

Viens dans la chambre, ma salope.

Il me pousse devant lui en me collant une fessée qui fit s’échapper un gémissement de ma part, nous prenant tous les deux par surprise, lui de voir que j’y étais sensible, moi de découvrir que j’aimais ça. Il me guide à la chambre avant de me bascule en avant contre le lit, pour ensuite soulever ma jupe.

Tu veux me baiser comme ça ?

Chut…

Je sens sa main écarter mon string, puis quelque chose de chaud et humide me glisser entre les fesses, m’arrachant un autre gémissement.

Tu aimes les cunnis, ma coquine ?

Je comprends qu’il vient de me lécher, et je réponds tandis que mon excitation monte encore d’un cran.

Je ne sais pas, c’est mon premier…

Oh. Alors, savoure bien.

Son visage se colle à mes fesses alors que sa langue s’active contre mon trou, puis dedans, tandis que je gémis de plus en plus fort.

Après quelques minutes, il se retire et m’allonge sur le dos en relevant encore ma jupe, pour ensuite enfiler une capote et venir se coller entre mes jambes.

Tu es prête ?

Je me mords les lèvres.

Oui…

Je le sens subitement se presser contre mon orifice, et s’y enfoncer en douceur, tandis que nous gémissons à l’unisson.

Oh… Ça, c’est une douce chatte, ma jolie…

Et ta queue la remplit si bien…

Il me dévisage en souriant.

Tu aimes les mots crus ?

Je reconnais que j’aime bien…

Super.

Il s’enfonce d’un seul coup, m’arrachant un cri mi-surpris, mi-jouissance en murmurant à mon oreille.

Maintenant, ta chatte de lopette est à moi.

Tant que tu me baises bien.

Ça, c’est une gentille fiotte. Je vais tellement te remplir que tu en redemanderas.

Et il me bais, alternant entre les pilonnages et les mouvements plus doux, tandis que je sens monter en moi une sensation étrange.

Je crois que j’ai besoin de faire pipi…

Son sourire s’étire alors qu’il met un grand coup de reins.

Non, ce n’est pas ça, ma salope. Tu vas juste devenir encore plus femme.

En me pissant dessus ?

Fais-moi confiance, détends-toi, tu ne vas pas pisser.

La chaleur se fait grandissante en moi alors que je gémissais de plus en plus.

Pitié…

Tu veux que j’arrête ?

Je perds pied, je ne parviens plus à penser face à toutes ces émotions.

Je. Je ne sais pas. Non, baise-moi !

J’enroule mes jambes autour de ses hanches avant de littéralement hurler de plaisir tout en serrant le matelas avec mes doigts. Je jouis comme une chienne, alors que je remplis mon préservatif.

Et voilà, une femme fontaine, je le savais !

Je reprends difficilement mon souffle en trouvant la force de parler.

J’en veux encore…

Parfait !

Sans un mot de plus, il me retourne avant de me pénétrer encore.

Maintenant que tu as joui, c’est mon tour. Tu vas être mon garage à bite et mon vide-couille, petite fiotte !

Oui, utilise-moi !

Je ne sais toujours pas pourquoi j’ai dit ça, mais je le pensais. Et lui aussi, puisqu’il a défoncé ce qu’il nommait maintenant ma chatte de travelos, m’arrachant deux orgasmes de plus avant de remplir sa propre capote en moi ! Après quoi il me retourne, et je lui ai nettoyé la queue avec ma bouche.

J’ai adoré, ma belle.

Moi aussi, je n’aurais jamais cru jouir comme ça…

Tu ne l’as jamais eu avant ?

Non…

Oh. En tout cas, il y avait une bonne alchimie, pas vrai ma cochonne ?

Oui.

Tu voudrais remettre ça ?

Pourquoi pas, oui. Quand ?

Ce week-end ?

J’étais dos à lui, à remettre de l’ordre dans ma perruque, quand je me suis retournée.

Pardon ?

Oui, on jouerait au petit couple qui baise non-stop, de demain soir à lundi matin. Tu peux y réfléchir, bien entendu…

Je n’ai pas de tenue de nuit, de perruque de nuit, de choses comme ça, et en homme, je… Ça ne marcherait pas…

Il rigole avant de répondre.

Je te prendrais une nuisette et quelques perruques, s’il n’y a que ça.

Euh. Je. On verra…

OK, j’attends ton appel en journée demain.

Il me chasse littéralement de chez lui avec une claque sur le cul en rigolant. Il devait savoir ce qu’il allait se passer, car le lendemain à mon réveil, je le rappelais pour valider son offre.

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