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Julie, pute de l'école – Chapitre 9

Julie, pute de l'école - Chapitre 9



JULIE, PUTE DE LECOLE

Julie errait dans les couloirs du lycée, fuyant les regards des autres élèves. Elle sortait à linstant du bureau du proviseur, à moitié dénudée et les cuisses maculées du sperme de son maître. Elle devait subir ce rituel trois fois par jour. Le matin. Le midi. Et enfin, à la dernière pause avant la fin des cours. Mais elle devait aussi satisfaire les autres professeurs. Ces derniers avaient toujours à cur de partager leurs savoirs et ils débordaient dimagination. Le proviseur avait requis sa présence pour le week-end. Cela faisait deux jours. Que pouvait-il bien lui vouloir ?

Julie tourna à un croisement pour échapper aux moqueries des autres filles. Elle avait lhabitude de prendre ce chemin rarement emprunté par les élèves. Il menait vers la chaufferie puis le secrétariat. Elle avait parcouru la moitié du trajet quand une main puissante la saisit par la taille et la poussa vers le mur le plus proche. Julie distingua son agresseur malgré la pénombre. Le black de la dernière fois. Elle ouvrit la bouche pour crier mais aucun son ne sortit. Il avait posé son autre main sur la bouche de sa victime. Puis il lui administra une gifle lorsquelle tenta de se débattre.

   Je vais être très méchant si tu continues et je men voudrais de tesquinter.

Julie continuait de fixer le black, paralysée par la peur. Il navait pas lair de plaisanter.

   Cette salope na pas tenu sa parole continua le black, furibond. Tu vas prendre pour elle. Et ensuite, je moccuperai de son petit cul.

Il devait probablement parler de Camille, songea-t-elle. Mais pourquoi la coincer dans ce couloir sombre ?

   Elle sera folle de rage en apprenant que je tai préféré à elle, expliqua le lycéen, qui semblait lire dans les pensées de Julie.

Elle essaya à nouveau de fuir lemprise de son agresseur mais en vain. Il était beaucoup plus fort. Elle le sentit diriger sa main vers son entre-jambes puis remonter lentement vers le haut, toujours immobilisée et dans lincapacité de parler. Il fit jaillir ses seins à lair libre, après avoir soulevé son top. Julie balbutia quelques mots à lattention du black, le suppliant de ne pas continuer.

   Ça ne sert à rien de pleurer, dit-il au bout dun moment, séchant les larmes de Julie. Tu nas pas envie de te venger de cette garce ?

Julie navait plus la volonté de résister. Elle laissa le black lui caresser les seins, puis les lécher. Elle pouvait sentir ses tétons devenir durs et saillants. Elle ferma les yeux pour ne pas voir son bourreau à luvre. Ce dernier ne fit rien pour len empêcher. Il essaya datteindre sa chatte mais le mini short (très serré) le ralentissait énormément. Il défit alors la boucle du vêtement, le descendit jusquaux chevilles et souleva une jambe pour le dégager.

Le black continuait de lui masser les seins, profitant de cet intervalle pour enlever son pantalon et libérer son attirail de compétition. Il saisit Julie par la taille, la souleva du sol, puis la pénétra dun seul coup. Elle ouvrit soudainement les yeux, poussa un cri de surprise puis sagrippa au corps musclé de son tortionnaire. Il augmenta très vite la cadence, ne faisant rien pour retenir ses coups.

   Tu es vraiment trop bonne, déclara le black entre deux va-et-vient. Ces salauds ne te méritent pas.

Julie avait plongé son visage dans le cou du garçon, laissant échapper des gémissements toujours plus forts. Elle enroula les jambes au niveau de la ceinture, tandis quil forçait de plus en plus, lui faisant balloter les seins au rythme des secousses. Finalement, elle sentit un liquide chaud tapisser lintérieur de son vagin. Le black poussa un dernier grognement avant de quitter les entrailles de Julie, la plaçant à nouveau contre le mur. La malheureuse manqua de seffondrer, encore toute pantelante. Elle tâtonna la cloison pour trouver une prise, puis en profiter pour reprendre son souffle.

De son côté, le black venait de remettre son pantalon lorsquil fut interrompu par la venue dune autre personne. Il évita de justesse la gifle de Camille, la saisit par les bras et la renvoya en arrière avec une facilité déconcertante. Julie se dépêcha de remettre ses vêtements, plutôt maladroite.

   Enfoiré ! explosa Camille, rouge de colère. Comment peux-tu me faire ça ? et avec elle en plus

Le black esquiva une nouvelle attaque, amusé de voir la fille du proviseur sexciter sans fournir le moindre résultat.

   Je ne suis pas ton jouet, déclara le black dune voix menaçante.

Camille se figea alors sur place, réalisant que le garçon était devenu sérieux. Elle déglutit lentement en le voyant serrer les poings.

   Tu tes foutu de ma gueule donc, je me satisfais avec une autre. Elle est vraiment douée cette pute

Julie était toujours collée au mur, tâchant de ne pas se faire remarquer.

   Mais il ny a vraiment pas de quoi sénerver reprit le black, les yeux animés dune étrange lueur. Je te réserve quelque chose de pire encore.

Camille recula brusquement en le voyant venir dans sa direction. Elle était prête à prendre ses jambes à son cou quand le professeur de technologies fit son apparition.

   Jai entendu des bruits suspects, dit-il après un long silence.

Il dirigea son regard vers Julie. Puis un angle du mur à quelques mètres de leur position. Soudain, le cur de la jeune fille se contracta. Il y avait une caméra de surveillance. Minuscule. Indétectable à moins de savoir où chercher. Le professeur les avait-il vus ?

   Monsieur commença Camille, aussitôt interrompu par lenseignant.

   Aucune excuse, mademoiselle Bertrand. Ce couloir est interdit aux élèves.

Julie posa la main sur son collier, terrifiée. Il savait. Cest le professeur lui-même qui avait conçu cet appareil. Il pouvait surveiller le moindre de ses gestes. Entendre les conversations. Elle avait omis ce détail.

   Vous, continua le professeur à lattention du garçon. Dans mon bureau. Immédiatement.

Le black ne montra aucune résistance. Il dévisagea une dernière fois Camille puis sen alla vers la sortie.

   Ah, ces jeunes déclara le professeur après un long soupir.

Camille était sur le point de quitter les lieux quand lenseignant la retint par le bras.

   Lâchez-moi ! Si vous ne le faîte pas je dirais tout à mon père. Vous serez renvoyé.

   Les gamines daujourdhui sont incorrigibles, ajouta le professeur dune voix lasse, après avoir enfoncé laiguille dune seringue dans le bras de Camille.

La jeune fille laissa échapper un cri de surprise, repoussa lhomme et examina son bras. Elle posa ensuite son regard sur la seringue, interloquée. La réaction fut immédiate. Elle tomba sur les genoux, le regard vitreux, inconsciente au moment de toucher le sol.

   Maître balbutia Julie, les yeux fixés sur le corps inanimé de Camille. Quest-ce que

Le professeur ne la laissa pas finir. Il planta une autre seringue dans le bras de Julie.

   Tu croyais échapper à ma surveillance ?…

Elle glissa le long du mur, lentement, jusquà perdre connaissance.

Julie ouvrit les paupières, tâchant de rassembler les derniers souvenirs. Elle avait été droguée. Mais le temps écoulé était un facteur inconnu. Elle tourna la tête pour identifier les lieux, malgré sa vision encore troublée. Il lui fallut un moment pour reconnaître la classe de technologies. Les rideaux avaient été tirés, plongeant la salle dans la pénombre. Les éclairages avaient été baissés de moitié. Julie essaya de respirer mais une charge anormale comprimait sa poitrine, rendant la tâche plus difficile. Elle essaya de bouger sur le côté pour déterminer la cause de cette gêne. Elle toucha quelque chose à la fois brûlant et humide. Et cette odeur légèrement sucrée

   La pause est finie

Julie reconnut la voix du professeur. Mais elle fut encore plus surprise de voir une chatte frétiller au-dessus de son nez. Il devait probablement sagir de Camille. En effet, la fille du proviseur était positionnée à quatre pattes au-dessus de Julie, tête bêche. Elle était toujours inconsciente. Les deux lycéennes étaient complètement nues.

   Inutile de te débattre, expliqua le professeur. Tu risquerais de te faire mal

Julie sentit la pression dune corde sur son corps, faite de plusieurs nuds compliqués, limitant ainsi ses mouvements. Pareil pour Camille.

   Debout là-dedans.

Le professeur adressa une petite tape sur le visage de Camille. Cette dernière produisit un gémissement au moment de reprendre connaissance. La fille du proviseur bafouilla quelque chose au professeur avant de réaliser dans quelle situation elle se trouvait. Elle laissa exploser sa colère, gesticulant dans tous les sens.

   Mon père te foutra au chômage, pervers !

Julie pouvait sentir la corde frotter contre son corps nu. La douleur était intenable. Elle supplia Camille de se calmer.

   Tu peux crier autant que tu veux, répondit le professeur. Les cours sont finis. Il ny a plus personne.

Camille gesticulait toujours, et ce malgré les liens qui devaient meurtrir sa peau. Puis elle poussa un cri quand une décharge électrique la traversa. Julie en fit également les frais.

   Je vais te faire un cours en accéléré déclara le professeur de technologies. Jai placé un dispositif autour de ton cou. Un collier comme celui de ta camarade. Ainsi, je peux épier tes mouvements. Et aussi tes conversations. Enfin, si jamais tu ne te montrais pas obéissante je serais obligé de libérer une décharge électrique. Cest plutôt douloureux. Voilà pourquoi tu vas être une gentille fille.

   Va te faire voir, sale ordure !

Camille fut interrompu par une nouvelle décharge. Elle se résigna au bout de la troisième.

   Maintenant que jai ton attention… Le cours peut enfin commencer.

Le professeur plaqua sa main droite sur la chatte de Camille. Elle voulut protester mais se rétracta aussitôt en voyant son tortionnaire agiter la télécommande du collier. Il glissa deux doigts à lintérieur de son sexe, les bougea un peu, et en introduisit un troisième.

   Tu apprends vite, ajouta lenseignant, très fier des progrès de son élève. Attends un peu mais on dirait bien que tu mouilles.

De son côté, Camille sentait une vague de chaleur lui monter aux joues. Elle ne pouvait pas le voir et pourtant cest comme si le professeur se tenait devant elle et la fixait de façon très intense. Elle ferma les yeux pour échapper à son regard. Mais le sentiment de honte qui la rongeait de lintérieur ne semblait pas diminuer pour autant. Puis elle laissa échapper un gémissement très vite étouffé.

   Tu aimes ça, pas vrai ? ajouta le professeur, ne cessant de la branler. Je sens ta mouille autour de mes doigts. Oh, oui tu as vraiment lair daimer ça.

Julie pouvait sentir le souffle chaud de sa camarade sur sa chatte. Et il devenait plus rapide quand lenseignant accentua la cadence. Si bien que Camille ne pouvait plus dissimuler son plaisir.

   Ça suffit pour le moment, fit le professeur avant de quitter le vagin de son élève.

Il dirigea ses doigts englués de cyprine vers la bouche de Julie. Puis les y enfonça.

   Goûte-moi ça.

Julie exécuta les ordres de son maître. Elle navait jamais goûté la semence dune autre fille. A lexception de la sienne. Elle léchait encore les doigts de lenseignant quand ce dernier passa à la leçon suivante.

Le professeur sen alla à lautre bout de la classe, accordant un moment de répit à ses deux élèves. Il revint quelques secondes plus tard, accompagné dune autre personne. Camille manqua de sévanouir lorsque son regard croisa celui du black. Le lycéen affichait un sourire qui en disait long sur ses attentions.

   Ce jeune homme sest porté volontaire pour parfaire ton éducation.

Le professeur adressa un clin dil à Camille, puis invita le black à se rapprocher.

   Monsieur implora Camille. Je vous en prie

Le black plongea une main à lintérieur de son pantalon, faisant un jaillir un sexe de belle taille. Il tira dessus pour lui donner un peu plus de raideur.

   Je promets de ne rien dire

Julie regarda le lycéen écarter les fesses de sa camarade, puis positionner son énorme gland à lentrée de son orifice.

   Sil vous plaît, professeur Aaaah !

Le black donna un grand coup de bassin pour élargir le passage. Cest la première fois quil voyait un trou aussi étroit. Mais cela ne semblait pas linquiéter. Il continua de pousser malgré les supplices de Camille.

De son côté, Julie imaginait sans peine les souffrances de Camille. Elle pouvait voir la verge du garçon faire des va-et-vient dans le croupion de sa rivale. Le professeur de technologie en profita pour la pénétrer à son tour. Julie retint un gémissement lorsquil força son petit trou.

   Aaaah ! Arrêtez-ça !… sécria Camille. Ça me fait trop mal !

Le professeur navait pas lair disposé à entendre les pleurnicheries de la jeune fille. Il saisit la tête de Camille avec une seule main et la plongea entre les cuisses de Julie.

   Pas de bavardage en classe.

Camille releva la tête pour reprendre son souffle mais la main du professeur la bloquait toujours. Finalement, elle ouvrit la bouche et aspira une grande bouffée doxygène. Julie laissa échapper un gémissement quand la langue de Camille senroula sur son clitoris.

Le black quitta les entrailles de Camille au bout de quelques minutes. Il arrosa copieusement les fesses de ladolescente, laissant exploser un grognement de plaisir. Julie sentit également le professeur tapisser lintérieur de son fondement, faisant jaillir son sperme par saccades. Il resta figé une vingtaine de secondes, complimenta le lycéen pour son travail et quitta les deux filles pour arrêter lenregistrement dune caméra posée sur une étagère. Camille avait toujours la tête entre les cuisses de sa camarade, le visage barbouillé de mouille. Elle avait un trou béant à la place de son anus. Et son état de fatigue était tellement grand quelle ne remarqua pas les manigances de lenseignant.

   Cest de lexcellent travail.

  Le professeur passa une main dans les cheveux de Camille, écarta une mèche trempée à cause de la sueur et ajouta :

   Ton ami va te raccompagner chez toi. Pas un mot de ça à quiconque. Je te laisse imaginer les conséquences si jamais on apprenait que la fille du proviseur sadonnait à de telles pratiques

Julie observa le black prendre Camille dans ses bras, puis sen aller vers la sortie.

   Mademoiselle Jouannot intervint le professeur après avoir verrouillé la porte. Votre comportement laisse vraiment à désirer ces derniers temps. Je vais devoir y remédier. Ça tombe assez bien car jai plein de nouveaux gadgets à vous faire essayer.

Julie nétait pas prête de rentrer à la maison

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