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Julie – Une nouvelle vie – Chapitre 7

Julie - Une nouvelle vie - Chapitre 7



Non sans mal, la petite Julie a enfin retrouvé la trace de ses vêtements, mais elle a dû mériter son billet de retour en se donnant aux délires sexuels du patron de Moussa, le chauffeur de bus. Après un partie de jambes en l’air où elle s’est fait défoncée par la grosse brute, elle retrouve Moussa et Tarik qui ont filmé leurs ébats sur leurs smartphones.

Elle se relève douloureusement. Les assauts sexuels de la journée commencent à se faire sentir. Le gros porc n’a pas fait dans la dentelle, et ne semble pas se soucier du bien-être de la petite qu’il vient de labourer violemment. Et ni Moussa, ni Tarik ne se précipitent pour l’aider, ils terminent leurs vidéos dans les rires.

-Putain, le turc, tu t’es lâché dit-moi ! Lance Tarik.

-Je dois dire que la petite encaisse bien. C’est bon, vous pouvez la prendre avec vous. Mais déconnez pas ! Et toi, la p’tite salope, tu viendras me voir chez mon cousin la semaine prochaine, j’ai cru comprendre que tu bossais chez l’vieux Marco. Il nous doit encore des tunes, mais on devrait pouvoir s’arranger autrement, si tu vois c’que j’veux dire !

Julie, bien qu’elle ait pris un pied d’enfer à se faire malmener par cette brute, n’est pas sûr de vouloir remettre le couvert.

-T’es quand même une bonne chienne, y a pas à dire. Renchérit le turc.

Julie se retourne vers lui, prête à lui lâcher ses quatre vérités, pour se rendre compte que la nouvelle vidéo sur laquelle il est de nouveau en train de se branler n’est autre que celle de leurs ébats sauvages. « Merde, lui aussi il a tout filmé ! Et en plus ce porc arrive encore à se branler même après ce qu’il m’a mis. » Elle préfère ne rien dire, elle verra bien la semaine prochaine. Un turc ou deux, ils ne peuvent pas être plus impressionnant que son Marco.

-Moussa ? Est-ce que je peux récupérer mes fringues maintenant ? Et est-ce que je peux me rafraichir vite fait avant de partir ?

Tarik lui tend quelques lingettes alcoolisées et Moussa sort de son casier un sac du pressing. Elle va enfin pouvoir se rhabiller un peu plus décemment. Julie se nettoie le visage, les seins, passe une petite lingette entre ses cuisses ; « C’est bon, lui non plus ne m’a pas déchirée ! », et sort ses vêtements du sac. Elle se déchausse, retire la jupe poisseuse de bave, et les restes de son t-shirt qu’elle range dans le sac du pressing, puis enfile enfin son pantalon, attache la ficelle de son dos nu derrière la nuque, elle apprécie le contact de la mousseline sur sa poitrine. Qu’est-ce que ça lui fait du bien de retrouver des vrais vêtements. Mais quelque chose cloche tout de même, soit elle a un peu grossi, soit les fringues ont rétréci. « Mais qu’est-ce que  ? » Elle se touche l’entrejambe et découvre que sa chatte et son trou du cul sont visible à travers une fente sur la couture. Elle essaye ensuite d’agrafer l’élastique de son haut dans le dos, mais ses grosses mamelles sont de nouveau compressées comme dans le petit t-shirt que le turc vient de lui arracher. Mais pire que tout, le triangle qui, cette après-midi encore, lui couvrait le torse jusqu’au nombril, arrive maintenant à peine en-dessous de la courbure de ses seins, et en expose facilement la moitié de chaque côté. Sans compter que la fine mousseline tendu laisse bien apparaitre ses gros tétons rosés. Elle se tourne vers Moussa un air de surprise et de désespoir dans les yeux :

-Qu’est-ce qui s’est passé avec mes fringues ?

Moussa se frotte la tête l’air un peu gêné.

-Ben, y a eu comme un petit problème à la laverie. Quand Michel a ressorti tes frusques du sèche-linge, ils avaient tous rétréci. Il a trouvé un pantalon qui ressemblait un peu au tien, mais c’était dans un sex-shop. Par contre il a pas trouvé le haut, du coup ils t’ont laissé celui-là.

Merde encore une galère, décidément, le prix à payer pour cet appartement commence à être élevé. Elle a avalé des bites, du sperme, s’est faite sauter, défoncer, et malmener en public dans un attirail de pute, et maintenant qu’elle peut retrouver un peu de dignité, la voilà de nouveau fagoter comme une chienne.

-Bon allez, les gars, il faut vous tirer maintenant avant que les collègues n’arrivent. Je voudrais pas qu’ils croient qu’ils peuvent prendre le matos quand ils veulent pour sortir leurs grognasses.

-Ok ! Répond Moussa à son chef. On y va !

-Avant de partir, vient ici petite !

« Qu’est-ce qu’il veut encore ? » Julie contourne le fauteuil où le gros porc se branle toujours devant l’écran sur lequel on peut voir le carnage qu’il fait subir à sa belle bouche. Il se lève, secouant sa bite bien bandée dans la main.

-Tu fais encore plus chienne dans ces fringues ! Vas-y, agenouille toi et ouvre bien la bouche !

Il lui attrape les cheveux, et la force à genou devant sa bite, lui plaque le gland sur les lèvres et interpelle Tarik.

-Vas-y, doigte-lui la chatte ! Et toi ouvre la bouche si tu veux pas que j’te salope tes frusques !

Tarik se place derrière la petite, lui masse le sein gauche à travers le tissu bien tendu de son haut, et lui doigte habilement le vagin pour faire jouir la belle. « Il sait y faire le salaud ! », Julie commence déjà à jouir deux doigts labourant sa vulve. Elle ouvre la bouche de bonheur, et le turc en profile pour lui enfourner une nouvelle fois sa bite. Cette fois, il n’insère que le gland, se branle un peu et crache déjà son foutre encore plus gluant qu’avant sur la langue. Il voulait juste se vider les couilles une dernière fois avant de la laisser partir. Il retire sa queue, et les balaie tous les trois d’un geste de la main.

-Allez, barrez-vous maintenant !

Julie, la chatte libérée mais encore toute trempée, se lève en avalant le sperme dans un bruit de déglutition et suit les deux grandes baraques dans le Kangoo garé à l’extérieur, sa veste et son sac sous le bras, et le sac du pressing à la main. C’était moins une, les bus commencent déjà leur ballet autour des hangars. Les conducteurs les garent pour la nuit, et quelques mécaniciens du service de nuit se dirigent vers leurs garages. Moussa prend le volant du véhicule trois places, Tarik s’assoit au milieu, laissant la place du passager à Julie. Le petite ferme la porte derrière elle, jette ses affaires à l’arrière du fourgon et instinctivement commence à attacher la ceinture de sécurité. Tarik la stoppe net :

-C’est pas la peine, ma jolie. Cache-toi sous le tableau de bord, tu as entendu le turc ? Il ne faut pas que les gars voient qu’on raccompagne une minette.

Le petit gabarit de Julie lui permet en effet de se caler sous le plateau du tableau de bord, Tarik prend ensuite la place du passager, encadrant la petite entre ses cuisses musclées. Il attrape la petite veste en jean’s et recouvre au mieux le visage de Julie eu cas où un des gars ne jette un il de trop près. Julie ne voit maintenant plus rien, elle entend juste les sons étouffés, sent la voiture avancer, s’arrêter, repartir, elle panique un peu la tête coincée contre le short du grand sportif, sa respiration s’accélère. Tarik, quant à lui, sent le souffle chaud de la petite sur ses cuisses dénudées. Il lutte pour rester stoïque, mais rien y fait il sent sa queue gonfler sous son short.

A cause de la chaleur, il ne porte jamais de caleçon ou de slip, résultat sa bite s’allonge lentement le long de sa jambe. Julie sent bien le gros serpent prendre du volume sous le tissu du short sur lequel elle a encore la joue collée. Il n’en finit pas de grandir, et de gonfler sous sa joue. Le gland sort maintenant de la jambe du short, ça excite bien la petite asiatique qui tourne un peu la tête pour embrasser, léchouiller doucement le morceau de chair à nu. Julie repousse maintenant lentement le tissu du short pour dévoiler le reste de cette bite qui pulse et durcit sous ses lèvres. Elle arrive au niveau du pubis, extrait les deux grosses couilles velues, les enserre à la base entre ses doigts, comme elle l’a vu faire ce matin sur le site web, et les lèche à leur tour. De sa main libre, elle commence à branler Tarik et prend conscience de la taille de ce chibre. A vue de nez, il fait bien dans les vingt centimètres, et doit bien être aussi large que la grosse queue de Jeannot. « Merde, encore une matraque énorme ! J’ai le chic pour tomber sur des monstres. » Le fourgon est sorti de l’entrepôt, Tarik peut découvrir le visage de la belle.

-Décidément, tu n’en as jamais assez ?

Julie lui lance un regard coquin, lui sourit en se redressant un petit peu, puis aspire doucement le gland entre ses lèvres. Elle dégrafe son dos nu, cale le bout de tissu entre ses deux seins pour bien les exposer, puis se pince les deux tétons pour bien les faire bander. Une fois les pointes de ses nibards bien durs, elle reprend le massage des grosses bourses et commence à masser la barre de chair entre ses doigts. Elle essaye enfin d’avaler la queue le plus loin possible en salivant un max pour bien en lubrifier le bout. Rapprochant les doigts de sa main gauche de ses lèvres, elle forme un anneau entre son pouce et son index, enserre bien la bite lubrifiée et commence à la pomper bruyamment.

-Oh putain la chienne ! Elle pompe comme une pro. Tu loupes quelque chose mec !

Il lui attrape la tête entre les mains et accompagne le mouvement comme si c’était lui qui contrôlait la gamine qui le pompe ardemment.

-Merde Tarik, tu fais chier, regarde la buée que vous faites. Vas-y ouvre au moins ta fenêtre !

Moussa ouvre la fenêtre passager, faisant ainsi entrer un peu d’air frais dû à la tombée de la nuit. Julie en frissonne et ses tétons durcissent encore un peu plus. Au bout de quelques minutes, l’utilitaire atteint la limite de la ville, Moussa s’arrête à un feu rouge avant d’aborder la forêt qui les mène ensuite sur l’autoroute. Julie qui pompe toujours passionnément la grosse bite de Tarik, sent le gland se gonfler, il va bientôt lui cracher son foutre dans la bouche. Elle retire la queue d’entre ses lèvres, ouvre grand la bouche, tire la langue et place le bout du gland sur la petite goulotte. Elle enserre ensuite la bite gluante de sa main et l’astique avec ardeur.

-Eh les mecs, regardez c’te chienne !

Un groupe de piétons qui attendait au niveau du feu, jette un coup d’il dans le fourgon et voit la petite salope en train de sucer cette belle bite. Les cinq potes sont surexcités devant ce spectacle.

-Merde, encore mieux qu’un porno ou une de ces putes à deux balles !

Julie elle aussi est excitée de se donner ainsi en spectacle, elle aspire de nouveau le sexe de Tarik, l’astique bien et l’enduit d’une bonne dose de salive. Elle repositionne de nouveau la grosse queue baveuse et la masturbe sur sa langue avec encore plus d’ardeur. Elle veut son foutre ! Moussa redémarre au feu vert, mais par esprit de vengeance pour avoir vu la belle se taper les queues de tous ses potes et de son patron sans même lui prêter la moindre attention, se gare à une dizaine de mètres en contrebas du feu. Les cinq potes se précipitent vers la voiture, ils ne veulent pas louper le grand final. Arrivés devant la vitre du véhicule, ils sortent leurs smartphones, Moussa allume le plafonnier de l’habitacle et tous filment la petite en train de branler la queue de Tarik.

Ce dernier sent la sève monter le long de son sexe. Il n’aime pas éjaculer comme un naze. Il préfère maîtriser la coulée de sève pour qu’elle soit bien lente et coule dans la bouche de la jeune fille ouverte plutôt que de cracher des jets de foutre dans tous les sens comme le font souvent le turc, ou les gars de la cité quand ils se tapent une minette dans les caves. Il détend son périnée au maximum, laisse le sperme s’écouler doucement le long de l’urètre pour dégouliner lentement en gros paquets bien gluants le long de la langue de Julie. De cette manière, il sait qu’un bon volume de foutre va lui remplir la bouche dans quelques instants. Bingo, les premiers éjaculats s’entassent sur la langue de Julie, et dégoulinent très lentement le long de sa langue pour bien lui emplir la bouche.

-Putain ! Un des nouveaux arrivant est impressionné par la grosse quantité de sperme dont Tarik emplit la petite asiatique.

Julie finit de branler la bite qui mollit déjà dans sa main, elle extrait la dernière goutte de sperme, relève la tête et offre sa bouche ouverte et pleine de foutre en spectacle à tous ces inconnus, puis elle ferme la bouche, et avale tout d’un seul trait.

-Viens mec, on sort pour les laisser profiter un peu de cette chienne.

Tarik pousse Moussa à sortir de l’utilitaire côté conducteur. Les cinq inconnus, un groupe de potes d’une trentaine, voire d’une quarantaine d’années, qui faisaient une virée en ville et se cherchaient des putes pas trop chères dans les bois pour finir la soirée, profitent de l’opportunité. Ils déballent tous leurs queues et s’astiquent le poireau devant la fenêtre ouverte de Julie. La petite s’installe à genou sur le siège, retire son petit dos nu, passe le torse par la portière, attrape une queue un peu mollassonne dans chaque main, et se baisse pour aspirer une troisième bite sous la panse bedonnante du troisième larron. Le mouvement synchronisé des deux branlettes et de la pipe fait osciller gracieusement les gros nibards de la petite qui pendent encore dans le vide. Tarik et Moussa sont surpris par la docilité de cette chienne, qui un quart d’heure plus tôt se faisait défoncer par leur boss. Moussa n’y tient plus, il veut aussi profiter de cette petite chienne en soif de sexe. Il pousse le gros quarantenaire, sort sa grosse queue de black et la présente, à moitié durcie, à la bouche avide de la petite. Il n’y va pas par quatre chemins, il lui attrape la tête, et lui fourre la bouche jusqu’à la garde d’un seul coup de reins. « HUM ! » Elle aime se faire prendre sauvagement, finalement le traitement du turc ne l’a pas totalement privée de son plaisir. La bite pas trop raide de Moussa permet même à Julie de sortir sa langue et de léchouiller les couilles qui se rétractent sous ce petit traitement. Le grand black n’y tient plus, il attrape la tête de la gamine, et lui baise profondément la gorge.

Tarik filme la scène dans la pénombre du soleil couchant. La lumière diffuse des smartphones des quatre potes, agrémentée de la lumière de l’habitacle du Kangoo donnent une atmosphère très intime à ce spectacle. « Merde, ils sont que quatre, où est passé le gros que la petite chienne suçait ? » Tarik le cherche, fait le tour de la voiture, et le trouve rapidement, il est passé sur le siège conducteur, juste derrière le cul ouvert de Julie. Notre cinéaste amateur le filme en train de se tripoter la nouille, le mec se lèche trois doigts et commence à masser la chatte bien ouverte de Julie. La petite, une queue dans chaque main, se fait toujours défoncer la bouche par Moussa, décidément bien en forme selon Tarik. Les seins bringuebalants sous les coups de butoir du grand black, elle sent des doigts gluants lui masser le clito, ça l’excite, sa petite vulve mouillée s’ouvre bien. Les doigts remontent le long de la fente et commence à lui travailler le vagin. Tarik filme le mec resserrer ses quatre doigts et pénétrer la petite corolle élastique. Tarik se rapproche pour enregistrer le son des doigts travaillant la petite chatte dans un « FLOCK ! FLOCK ! » bien humide. Le mec ressort les doigts bien trempés et se lubrifie la queue avec la mouille de Julie.

Il présente le bout de sa queue à l’orée de la petite chatte, et la possède d’une seule poussée. Il se met à la besogner par des petits coups de queue, le gras de son bide claquant sur les jolies fesses rondes de Julie. Tarik ressort de la voiture et remonte filmer la petite se faire baiser la bouche par son pote.

-Putain, t’avais raison vieux, elle est vraiment bonne !

Moussa retire sa queue dégoulinante de bave, se l’astique dans un bruit de mouille, sous le nez de la petite asiatique et éjacule quatre bonnes doses de foutre dans la bouche bien ouverte de Julie. Le gars qui besognait Julie se retire ressort du fourgon et vient à son tour déverser quelques giclées de sperme entre les lèvres pulpeuses. Il cède la place à un autre de ses potes qui ne perd pas un instant et monte la petite comme une brute. Tarik a du nez, il retourne côté conducteur et filme le moment où le mec se retire de la petite chatte et positionne son gland contre la petite pastille. La queue bien lubrifiée, il s’enfonce dans l’anus toujours élastique grâce au traitement de Jeannot.

-HAN ! Oui encule moi bien ! Vas-y gros porc, il te plaît mon petit cul de chienne, hein !

Qu’est-ce que la petite n’avait pas dit là, le gars lui frappe la fesse du plat de la main, lui casse les reins en deux pour bien écarter les lobes fessiers au travers de la fente ouverte du pantalon, se redresse un peu et repart à l’assaut de l’anus avec encore plus de rage.

-HAN ! HAN ! HAN ! Oui défonce-moi gros porc !

Les trois autres gars, trop excités par la chance d’avoir trouvé cette petite, lui baisent la bouche vite fait et crachent leur sperme les uns après les autres au fond de la gorge. Son enculeur ressort du fourgon, fait vite le tour et s’astique le manche devant la fenêtre du siège passager. Julie s’est assise, les cuisses écartées, les seins à l’air, elle se caresse le sein gauche, et de sa main libre branle la queue qui l’enculait quelques instants plus tôt. Le mec s’avance un peu, se mouille deux doigts et masturbe la belle. Il sent le sperme monté, abandonne le minou de Julie, avance le bassin dans l’habitacle et éjacule une belle quantité de foutre sur les beaux seins de Julie. Elle récupère le sperme sur le doigt, l’avale, le regard gourmand, et un petit sourire coquin aux lèvres.

-HUM, merci messieurs ! Bonne fin de soirée. Un dernier clin d’il avant de remonter sa fenêtre.

Tarik, le film en boîte dans son smartphone, rejoint la belle, lui roule une grosse galoche, et lui pince le sein gauche encore mouillé de traces de sperme.

-T’as jamais pensé à te convertir au porno ? Tu es une vrai pro du sexe ma vieille.

-Nan mais arrête de me charrier, je ne suis pas très bonne actrice. Lui répond-t ’elle en léchant les dernières gouttes de sperme sur ses seins, et les rajustant dans le petit dos nu.

Moussa reprend sa place de conducteur, Julie demande à Tarik si elle peut changer de place avec lui. Ils redémarrent, et foncent finalement en direction de l’autoroute. Elle va enfin pouvoir rejoindre sa mère et lui rapporter les deux bonnes nouvelles du jour, son nouvel appartement et le job qui va avec. Elle taira évidemment les apartés sexuels de l’après-midi. Pour le moment la route se déroule devant eux, et Julie est ravie de partager ce temps avec ces deux étalons magnifiques et plutôt intéressants. Ils lui racontent comment le turc les as sortis de leur cité et leur a donné un job pour leur éviter de virer du mauvais côté de la loi. Ils ont peur que les petits jeunes comme Karim et Michel ne suivent la mauvaise voie, ils préfèrent dealer et jouer les terreurs plutôt que de bosser. Julie se rend compte qu’elle a eu une bien belle vie comparée à la leur, elle prend conscience de sa chance. Elle aurait peut-être dû suivre une carrière dans le social comme sa meilleure amie Aurélie, mais elle chasse vite l’idée de son esprit. Si elle avait fait le même bac pro que sa copine, elle ne serait pas là aujourd’hui, et elle n’aurait surtout pas connu les moments de pur plaisir qu’elle venait de vivre.

Bien que fatiguée de tous ses ébats, elle veut tout de même les remercier une dernière fois juste avant la sortie de l’autoroute, et attrape les deux belles queues dans chaque main pour les branler tous les deux. Elle suce les deux glands, les lubrifie bien de sa salive pour les masser entre ses petites mains. Elle les titille régulièrement, et a tôt fait de les mener vers une nouvelle jouissance. C’est Moussa qui ouvre le bal et lui éjacule une petite quantité de sperme entre les doigts. Elle le gobe vite fait, puis s’occupe de la belle queue bien dure de Tarik et le suce avidement dans de nouveau « FLOCK FLOCK » bien humide. Elle salive bien, fait coulisser ses jolis doigts sur le vît de chair. Au bord de l’explosion, Tarik renouvelle l’exploit de faire couler doucement une bonne dose de foutre dans la bouche de Julie. Elle avale vite fait le sperme avant l’arrivée au péage, et le petit utilitaire file au travers de la cité pour entrer dans le quartier résidentiel où habitent Julie et sa mère. Se remémorant que Hector était peut-être encore à la maison, elle demande aux garçons un conseil pour qu’elle puisse se venger du quinqua, elle reste persuadée qu’il savait très bien dans quel traquenard la petite se jetait. Ils lui recommandent tous deux de le teaser un max dans ses nouveaux vêtements sexy, mais de le laisser en plan la queue bien raide et pleine de foutre prêt à gicler dans les bourese. Vu la bombasse, ils sont persuadés qu’Hector sera obligé de se tripoter seul dans son appartement pour relâcher la pression en repensant à la belle chatte qu’il ne pourra pas limer. « HUM ! Ils sont loin d’être cons. » Ils s’arrêtent finalement devant chez Julie, descendent tous les trois la voiture, et Julie leur faire un gros câlin pour les remercier une dernière fois, un petit pincement au cur.

-J’vous adore tous les deux !

Elle les embrasse de nouveau, puis ajoute :

-J’emménage en ville ce week-end, mais si vous êtes dispo la semaine prochaine, ça vous dit de passer me voir dans mon nouvel appart’ ?

-Mais oui tu peux compter sur nous ma belle, file-nous ton 06 et on t’appelle !

Julie récupère ses affaires dans le fourgon, enfile sa veste, sort son phone de son sac pour qu’ils échangent tous trois leurs numéros. Julie se rend alors compte qu’Aurélie a essayé de la joindre toute l’après-midi, « Je l’appellerai dans ma chambre ! J’ai tellement de choses à lui raconter, elle me croira jamais. » Un petit sourire en coin, elle les abandonne tous les deux et se dirige chez elle. Elle ouvre la porte :

-Coucou M’man, je suis rentrée ! J’ai tellement de trucs à te dire !

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