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Julien/ienne – Chapitre 1

La copine de ma fille - Chapitre 1



Mes souvenirs avec Julien/julienne

Cela faisait plusieurs fois que mes collègues me demandaient de me joindre à eux pour une soirée entre Hommes. Toujours célibataire et heureux d’y rester profitant à ma guise des femmes au maximum. Ce samedi soir là en sortant du bureau nous sommes tous partis faire un bowling, très tard après avoir bavé sur toutes les copines nous nous sommes séparés. La soirée bien arrosée je laisse ma voiture en place et prends l’air en marchant sur le boulevard peu de monde, mes pas me conduisent dans une rue assez sombre, soudain une portière de voiture s’ouvre et un homme en sort braillant : – » Sale PD!  » Passant près de moi l’homme me bouscule en gueulant bande de PD, puis tourne la rue. La voiture démarre et j’aperçois une femme au volant? Je poursuis ma route qui m’amène devant un dancing, c’est une soirée costumée, mais également non costumée. J’entre et m’assoie regardant les danseurs évoluer sur la piste. Le DJ annonce une série de slow offerte aux femmes. Celles-ci choisissent leurs danseurs, la première danse passée je tourne autour des tables et cherche une cavalière disponible beaucoup refuse (sont-elle des femmes ?). Une accepte nous évoluons sur la piste, elle sent bon, danse avec une bonne souplesse et ne me paraît pas farouche. La danse terminée je l’invite à ma table, la lumière se tamise pour une autre série de danse. La serveuse amène les boissons et pendant que nous nous désaltérons je la détaille plutôt jolie. La deuxième danse démarre nous partons sur la piste, je me colle légèrement contre elle, ses cheveux proche de mon visage j’approche mon visage et lui glisse un petit bisou dans son cou, nous dansons en nous tenons amoureusement. La danse terminée nous regagnons notre table je lorgne sur ses cuisses dans la jupe légèrement remonté laisse apercevoir des cuisses gainées. La lumière se tamise à nouveau et j’en profite pour poser ma main, elle me regarde en souriant, je monte vers son entrecuisse qu’elle resserre. Sa tête penchée sur mon épaule nous regardons les danseurs sur la piste, je lui demande si elle veut danser! – Merci! Mais je me repose un peu dit-elle. Sentant mon impatience elle laisse tomber sa main sur ma cuisse et regarde les danseurs comme ci de rien. Je bande comme un fou je prend sa main et la pose sur mon sexe. Au contact de sa main sur ma verge, je crois défaillir, mais elle sait me calmer la comprimant dans sa main malgré l’épaisseur du tissu. Je l’embrasse tendrement – Tu est grand dit-elle en pressant sa main – Caresse-moi dit-je. Elle hésite un moment, nous sommes à l’écart, les tables sont désertés et la lumière tamisé. Elle ouvre ma braguette et empoigne mon sexe complètement plaqué contre mon ventre, puis me masturbe doucement. Je glisse une main sur son entre cuisse elle me la retire gentiment – Non dit-elle pas ici! – Sortons dit-je ! Elle me regarde en continuant de me caresser doucement la bite. – C’est merveilleux comme ça dit-elle, tu n’aimes pas? – Si! Mais je ne veux pas tacher mon pantalon. Elle me regarde et sans préliminaires s’accroupie sous la table, m’embouche en me faisant une fellation. Il ne lui fallut pas longtemps pour me faire jouir et accueillir mes spasmes dans sa bouche, submergé par le plaisir et mal à l’aise je reprends assez vite mes esprit. Elle dissipe toute gêne en reprenant sa place assise. C’est la première fois qu’une fille me fait une pipe au nez et à la barbe de tout le monde, jamais je n’ai ressenti une telle sensation comme ça, c’est merveilleux et soudain. – C’était bon, dit-elle ?. – Je dois avouer que c’est délicieux dis-je, tu le fais souvent ? Elle pose son doigt sur mes lèvres et me dit – l’essentiel c’est que toi tu ais aimé! Allez fais moi danser. Pendant la danse vraiment collé l’un contre l’autre je sens son pubis assez enflé contre mon sexe redevenu normal. Quelques temps plus tard nous quittons la salle et sur le parking elle me dit – Au revoir et merci pour la soirée. – Je lui dis que j’aimerais bien continuer la soirée. – Ce n’est pas possible dit-elle! Il vaut mieux en rester là. – Pourquoi dis-je, tu n’es pas seule? – C’est que je ne suis pas comme les autres dit-elle en ouvrant la portière de sa voiture. – Peux-tu me raccompagner à ma voiture lui dis-je ? Pendant qu’elle conduit je pose ma main sur ses cuisses, arrivé à ma voiture elle se gare et me laisse faire. Ma main progresse et arrive sur sa culotte qui est dure. – Tu as tes règles dis-je? – Non fait-elle en secouant sa tête. – Tu es un homme ? – A moitié dit-elle en posant sa main sur mon sexe. Je remonte mes main vers ses seins – Ce sont des faux dit-elle, maintenant laisse-moi ou.. – Ou quoi dis-je ? – C’est toi qui décides dit-elle soit, tu descends ou tu m’accompagnes chez moi. – Je récupère ma voiture et je te suis dis-je en lui donnant un baiser sur la bouche. Arriver devant un grand ensemble nous entrons dans un parking souterrain qui s’ouvre et se referme derrière moi. Une fois garer dans les box réservés. Elle me prend par le bras et m’entraîne vers l’ascenseur privé qui arrive chez lui. (La classe). – Voilà dit-elle rassuré ? Ici pas de panique c’est discret, tu préfères l’homme ou la femme dit-il. – Pour ce soir la femme dis-je! Seulement en lingerie sexy. – Tu ne vas pas être déçu se déshabillant devant moi il m’apparaît en superbe combinette bleue nuit de soie rehaussée d’incrustations de dentelle blanche qui me fait bander. Je remarque que tu aimes la lingerie dit-il en ouvrant ma braguette. Je me sens terriblement vulnérable et crispé. – Laisse toi aller dit-il. A ces mots, j’attire sa tête pour qu’il me suce. Deux, trois coups de langue et je me déverse dans sa bouche, qu’il déglutit avant de poursuivre son effeuillage. Soulevant sa combinette il retire ses somptueux bas blancs aux jarretelles. Posant son pied sur l’accoudoir du fauteuil ils les roulent délicatement sur ses jambes pour les retirer, puis il me demande si je veux lui retirer le reste. Je suis excité de le déshabiller, placé derrière lui je dégrafe son soutien gorge, son porte-jarretelles et me baisse pour lui enlever sa gaine culotte où apparait une espèce de coquille de plastique rose attaché avec une ficelle à la taille et entre les fesses. – On dirait un mont de Vénus de fille dis-je. Il dénoue sa coquille d’un geste adroit libérant son sexe emprisonné avec ses testicules. Sorti de sa prison inconfortable il se masse ses attribus, merci dit-il en m’entrainant dans la chambre et me pousse sur le lit en m’allongeant sur le dos. Sans un mot il s’installe à califourchon sur moi et guide ma verge toute raide dans son anus humide qui rentre d’un seul coup. En me regardant il s’agite doucement se mordant les lèvres jusqu’au moment que j’éjacule, quand il sent mes spasmes il accentue ses mouvements et jouit à son tour m’éclaboussant de son sperme sur tout mon corps jusqu’au menton tellement il est submergé par le plaisir. Etant toujours empalé sur ma verge il se penche et lèche tout le sperme qu’il peut récupérer. L’impression est très étrange et très agréable et quand ma verge sort de son anus il fini sa toilette nettoyant ce qu’il n’avait pu récupérer sans oublier ma bite. Nous partons sous la douche, lavé et parfumé il se pare d’une nuisette de satin vert d’eau, avec le peignoir assorti. – Fais-moi plaisir dit-il en me tendant une nuisette de satin jaune d’ouf, met là pour cette nuit. Le contact du vêtement me rend aussitôt mon érection. Au matin, c’est d’une délicieuse façon que je fus réveillé. Il me faisait une fellation à travers la nuisette. Il me fallut encore moins de temps que la veille pour éjaculer dans l’étoffe. C’est tellement merveilleux que j’ai failli tomber dans les pommes, jamais je n’avais ressenti une sensation pareille. Il habite au dernier étage, un appartement spacieux avec une terrasse gigantesque. Après le petit déjeuner et la douche il ouvre une penderie remplie d’habit féminin.- Choisi ce que tu veux que je mette dit-il!. Je lui demande à qui ça appartient? – C’est une longue histoire, sache que tu es le premier homme qui vient ici depuis la disparition de ma sour jumelle, nous étions inséparable, échangions nos affaires, couchions et faisions l’amour ensemble. Il y a 18 mois un stupide accident à tout anéantie, hier soir j’ai sauté le pas. Un bal costumé n’est-il pas un bon prétexte? Il continue de me raconter qu’ils avaient coutume de se travestir tantôt lui la femme et elle l’homme, c’était agréable de pouvoir aller dans des endroits publique sans que personne ne soupçonne de quoi que ce soit. – Aujourd’hui j’aimerai sortir en femme au bras d’un homme dit-il, veux tu me rendre ce plaisir ?. C’est sur un fou rire commun que je lui choisit un soutien-gorge rembourré de prothèses assez réussies, un porte-jarretelles avec des bas gris fumé très fins, une culotte en satin noire, une combinette de dentelle blanche, des souliers à talons, une jupe mi-longue assez ample et un chemisier blanc à manches longues mettant en valeur son bustier de dentelle. Une fois paré il se maquille et pose une perruque, le résultat est vraiment réussit je ne pus m’empêcher de plaquer une main à son cul. La métamorphose qui s’est déroulé devant mes yeux est très étrange mais agréable à regarder dotant plus que je suis en érection. Julien qui s’en aperçois me dit – Allons nous promener. En sortant du parking souterrain, j’étais persuadé que tout le monde allait deviner la supercherie. En fait il n’en fut rien, il bruiner légèrement et sous nos imperméables abrités sous un parapluie nous passâmes une bonne partie de l’après midi à faire du lèche-vitrines, bras dessus, bras dessous comme un couple. Nous sommes allés prendre un verre dans un bar ou quelques hommes loucher sur Julien. Une fois revenue à l’appartement nous fîmes l’amour comme des bêtes, jamais mon sexe ne fut aussi raide. Puis nous avons cohabité un moment ensemble mais je l’ai quitté car il devenait jaloux comme une femme.

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