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Justine – Baby-sitting de rêve – Chapitre 15

Justine - Baby-sitting de rêve - Chapitre 15



Les belles maisons en pierres dorées sont allumées tout est beau le début de nuit est étoilé.

La voiture oblique à droite, nous passons un grand portail une allée de gravier fin des pelouses superbes au milieu une piscine et devant nous un magnifique manoir parfaitement restauré. Xavier immobilise la voiture aux cotés dautres berlines et de magnifiques coupés italiens. Le moteur stop et mon cur saccélère.

Un majordome en livrée vient ouvrir la portière de Xavier.

— Bonsoir, Monsieur vous attendait.

— Puis il vient ouvrir la portière de Chrystelle. Bonsoir Madame je vais vous guider.

Il me laisse dans la voiture je ne peux le croire jai envie de crier que je suis là. Mais je les vois tous les deux escortés du majordome monter le grand escalier de pierre. Chrystelle est magnifique dans sa tenue indécente perchée sur ses talons aiguilles.

La porte souvre notre hôte les accueille sur le perron. Echange de politesse et baise main. Tout ce petit monde entre je reste seule déjà le froid me gagne dans cette grande voiture.

Quelques minutes plus tard un faisceau lumineux strie la nuit, une autre voiture arrive se gare à nos cotés un couple dune quarantaine dannée en sort également lui dans un complet sombre, elle brune au carré perchée sur des cuissardes aux talons aiguilles est vêtue dune mini robe en latex noir et porte au raz du cou un collier de cuir noir ornés de brillants avec un anneau de métal. Le même cérémonial de la montée des marches, de laccueil

Jai froid les larmes me montent aux yeux ils ne vont pas oser me laisser ainsi toute la nuit ?

Une demie heure tout au plus, et la porte souvre. Je crois que je ne lai pas quittée des yeux depuis quelle a été refermée derrière le couple arrivé peu après nous. Le majordome descend les marches il tient en laisse deux magnifiques labradors. Ces derniers semblent pressés, ils tirent sur la laisse de métal pour descendre les quelques marches. Léquipage approche de notre voiture. Lhomme tire sur la laisse pour calmer les chiens. Il ouvre la portière de sa main gantée de blanc.

— Sortez Mademoiselle.

— jhésite à la vue des chiens.

— Ne craignez rien je vais les lâcher.

Je sors de la voiture mexhibant dans ma tenue indécente, perchée sur me talons hauts, essayant de trouver mon équilibre sur le gravier de lallée.

— Restez près de moi.

Je me positionne à ces cotés, tout près de lui alors quil fait sauter le mousqueton de la laisse. Les deux chiens séloignent à la course puis reviennent vers nous. Je me colle à cet homme inconnu jusqualors. Il me fixe son regard est froid, il sort de sa poche un collier de cuir noir orné dun anneau en métal. Il louvre devant moi, je ne peux le quitter des yeux, je devine lutilisation quil va en faire. Mais je nai pas le temps dy penser.

— Approchez, vos cheveux relevés vont me faciliter la tache.

Je me positionne devant lui et il pose autour de mon cou le collier de cuir froid. Il prend soin de bien positionner lanneau de métal sous mon menton. Voila qui me change des colliers de perles ! Il ne le serre pas trop juste assez pour quil ne tourne pas. Ensuite cest le mousqueton de la laisse qui est fixé à lanneau.

Cette laisse de métal est composée dun mousqueton, dune chaine dun mètre et dune large boucle de cuir noir. Il tire un peu sur cette partie pour mindiquer que je peux me mettre en mouvement. Jai honte ainsi entravée, offerte dans cette tenue je me dirige vers lescalier

— Non, viens ici cest au sous-sol que cela se passe pour toi.

Effectivement il me dirige vers une petite mais lourde porte cachée sous lescalier. Le majordome louvre elle grince, je frissonne. Un escalier en pierre étroit et sombre malgré les flambeaux aux murs, descend devant moi. Il passe devant moi et me tirant par ma laisse me force à descendre. Je prends garde avec mes talons hauts de ne pas glisser. Des bruits étranges me parviennent du sous-sol. Des bruits de chaines mais également des claquements suivis de cris étouffés. Je ralentis le pas mais lhomme tire un peu plus me forçant à descendre.

Nous voilà sur un palier plat plusieurs portes tout autour de nous éclairées par la lumière dansante des flambeaux.

— Stop, ne bouges pas

Je reste immobile parcouru de frissons, jai baissé la tête mes sens en alerte, à lécoute du moindre bruit. Un sifflement, suivi dun claquement sec et dun cri étouffé meffraye encore davantage. Plus aucun doute quelquun derrière cette porte subit un châtiment, et mon tour va venir cette pensée me fait peur, je voudrais fuir.

— Ne craints rien ton tour viendra

— Non je vous en prie laissez-moi partir.

— Oh je crains que Monsieur napprécie guère de vous voir pleurnicher.

Au même moment la porte souvre un homme masqué et vêtu dun pantalon de cuir noir et torse-nu, musclé et tatoué sapproche.

— Cest la nouvelle ?

— En effet et tu vas te régaler, je te la laisse.

Le majordome lui tend ma laisse, et nous quitte en remontant lescalier. Lhomme masqué tire un coup sec sur la laisse.

— Suis-moi « Chienne »

Nous entrons dans une salle dune cinquantaine de mètres carrés totalement en pierre éclairée par des flambeaux aux murs. De chaque cotés des sièges en velours rouge sont alignés. Six hommes, trois de chaque cotés y sont assis. Chacun deux tiennent en laisse une femme debout à leurs cotés. Toutes sont superbes, dans des tenues de vinyles, cuirs et métal. Jai juste le temps de constater que Xavier est assis au premier rang alors que Chrystelle est debout à ses cotés.

Elle ne porte plus sa robe en dentelle noire totalement transparente. Mais elle a gardé son large porte-jarretelles de dentelle noire tendant de magnifiques bas noirs en nylon. Elle est perchée sur des escarpins noirs à bride enserrant ses chevilles dont les talons culminent à au moins 10 cm. Parfaitement indécente elle aussi porte autours du cou un collier de brillant auquel est fixé une laisse de brillants assortis que Xavier tient dans sa main. Elle a, comme les 5 autres femmes les mains dans le dos attachées par des menottes.

Au centre de la pièce, un chevalet sur lequel la femme que jai vu arrivée ne porte plus que ses cuissardes, des bas noirs aux fines coutures maintenus très hauts par un porte-jarretelles en vinyle rouge. Elle a elle aussi les mains menottées dans le dos, un homme en complet noir une cravache à la main qui lui a striées les fesses.

Le bourreau semble tout maîtriser, son regard me transperce alors que sa main abat la cravache sur les fesses de la jeune femme. Celle-ci se cambre sous les coups, ses cris sont étouffés par un bâillon boule quelle mord. Elle semble prise de spasmes puis retrouve son calme. Le bourreau lui ôte son bâillon, il laide à se relever, la présente à lassemblée.

Elle baisse les yeux et sadressant à son bourreau, elle dit :

— Merci Maître.

Mon souffle saccélère, mon cur semballe, je ne veux pas pas comme cela je nai jamais voulu.

Au même instant le regard de Xavier qui me fixe dans les yeux mapaise

Le majordome me fait avancer, tends ma laisse au bourreau. Celui-ci me fait avancer dans la pièce sombre sous la lumière dansante des flambeaux. Je suis ainsi présentée à lassemblée. Les hommes me détaillent dans ma tenue de dentelle blanche. Leurs sourires semblent le prélude à des jeux beaucoup plus inquiétants. Lhomme qui me tient en laisse me fait stopper devant le petit chevalet. Il me fait me plier en deux avant de fixer des petites menottes métalliques à chacun de mes poignets. Chacune est ensuite refermée sur mes chevilles je suis ainsi offerte le cul relevé en appui sur le bas du ventre sur le cuir froid du chevalet, les mains reliées aux chevilles. Dans cette position indécente mes jambes sont écartées et le petit plug anal que je porte depuis le début de la soirée est exposé à tous. Le brillant qui orne ce petit Rosebud scintille entre mes fesses. Le bourreau me demande de me décontracter et passant sa main sur mes fesses agrippe le bijou. Il tire dessus alors que je me cambre pour le faire sortir. Celui-ci force lanneau de mon anus pour enfin le libérer. Je me mords les lèvres, mais cest délicieusement indécent de me laisser faire ainsi devant des inconnus.

Une petite claque légère sur chacune de mes fesses et sa main parcours ma fente marrachant un râle de plaisir.

— Voici donc Justine que Xavier nous a amenée ce soir. Comme vous pouvez le voir mes chers amis cette très belle jeune fille est pleine de promesse. Soumise à vos désirs elle saura vous combler. Pour cette première séance celui qui soffrira ses services pourra lutiliser comme une bonne soumise à sa guise et ce pendant 2 heures. Xavier pouvez vous nous confirmer la mise à prix.

— Effectivement Messieurs nous débuterons à 5.000

Je nose comprendre, on vient de me mettre aux enchères, pour deux heures pendant lesquelles je devrais subir toutes les envies de mon nouveau Maitre. Dinstinct, je me cambre essaye de me libérer, commence à protester. Mais très vite le bourreau sapproche de moi et me présente un bâillon boule. Il le glisse dans ma bouche de force me forçant ainsi au silence.

— Calmez vous Mademoiselle, soyez digne de votre Maitre.

— 6.000

— 7.000

— 8.000 9.000 les enchères senvolent. Je ne peux réagir mais je me doute que celui qui va les emporter va en vouloir pour son investissement.

Les minutes passent lentement au gré des chiffres, des questions aussi, toutes adressées à Xavier, mais me concernant au premier chef :

— Accepte-t-elle le martinet ?

— Mais oui mon cher, elle adore cela même je magite sur le chevalet

— 12.000 13.000

— A sodomiser ce petit cul doit être un délice non ?

— Un rêve mon cher croyez moi mais ce nest pas possible Xavier ne peut répondre cela ? Pas à des inconnus

— 15.000 16.000

— Croyez vous que cette jeune ingénue accepte de jouer avec mon labrador ?

— Mon cher une femme aussi perverse que celle-ci ne saurait refuser cette invitation. A ces mots les larmes me viennent je crois que les sons ne me parviennent plus.

— 32.000 alors Messieurs nous en restons là ?

— Très bien adjugée à Monsieur. Des applaudissements, des commentaires inaudibles. Je ne sais même pas qui a remporté lenchère. Je suis parcourue de frissons.

Une main se pose sur ma fesse droite, une main douce, je sursaute essaye de voir. Mais dans ma position je ne peux. Un bisou très doux est déposé sur ma fesse gauche puis un autre plus prés de ma raie, un troisième à la naissance de celle-ci juste en dessous de ma guêpière de dentelle blanche. La langue dardée descend le long de ma raie je frissonne. Elle sattarde sur mon illet qui, il y a peu était orné de son bijou. Je suis excitée, je me sens couler entre mes cuisses. Un doigt glisse dessous parcours ma fente. Je devine un ongle long cest une femme qui me caresse. Son doigt glisse plus loin vers mon bouton, le bâillon minterdit de râler de plaisir, mais cest déjà si bon.

— Bien Messieurs je vais vous demander de vous retirer pour que notre ami profite de son bien.

Des bruits de chaises, de pas, de chaines, il y a du mouvement dans mon dos. Des gens quittent cette salle. Le bourreau avant de me détacher, place sur mes yeux un loup noir, me rendant totalement aveugle. Je suis détachée du chevalet on me fait mettre debout. On me fait marcher un peu, puis immobiliser.

— Levez les bras !

Je les lèves. On fixe des mousquetons tenant mes poignets fixés à des chaines tombant du plafond ou dune poutre.

— Ecartez les jambes !

Je mexécute, écartant les jambes. On se saisit de mon pieds droit le fait reculer un peu avant de le fixer lui aussi à un mousqueton au sol, puis même chose pour lautre me voila débout légèrement penchée en avant maintenue en équilibre par les chaines aux mains, et entravée aux pieds.

— Parfaite tu es parfaite ainsi offerte. Messieurs Dames je vous laisse avec votre jouet !

Je lentends séloigner, je suis seule avec un homme et sa soumise que je ne vois pas et que je ne connais pas. Dans cette tenue, totalement soumise par mes liens, ils vont abuser de moi.

Un frôlement contre ma jambe gainée de nylon blanc, quest-ce ? Jessaye de comprendre de savoir Un autre je ne sais pas je magite.

Une main sur mes fesses toujours aussi douce elle reprend sa caresse sur ma fente lisse et humide. Je me tortille son index glisse dans mon antre humide et chaud. Je râle de plaisir. Je me tortille sur ce doigt qui me procure déjà tant de plaisir. Je ne me reconnais pas. Je ne suis que plaisir ainsi offerte à la caresse dune inconnue. Le bout de son ongle long joue avec mon clito. Cette femme je la sens est debout à mes cotés elle me caresse de son index sur mon bouton faisant monter le plaisir. Dautres mains, celles de lhomme sans doute, enlèvent le bâillon. Je râle de plaisir. Mon souffle saccélère, le plaisir monte comme une boule qui part du bas de mon ventre et vient exploser dans ma poitrine. Je perds léquilibre. Les chaines me retiennent, mempêchent de tomber. Toute la frustration du début de soirée, toute lexcitation de la situation mont fait atteindre un paroxysme de jouissance.

Je retrouve ma place sur mes pieds, jambes écartées. Pas un mot na été échangé depuis le départ du bourreau. Je ne sais pas qui vient de moffrir du plaisir.

Deux mains fermes se posent sur mes hanches, juste sur le bord de dentelle de ma guêpière. Elles magrippent et me forcent à reculer un peu. Un sexe dressé se présente à ma fente. Je me cambre du mieux que je peux. Il me pénètre. Lentement longuement, jusquà venir en une seule poussée se caller loin dans mon sexe. Le ventre plat de mon visiteur se colle à mes fesses. Je le devine musclé. Déjà il sagite. Des vas et vient lent avec beaucoup damplitude. Mon aveuglement décuple mes sensations. Il me besogne lentement me faisant monter de nouveau vers le plaisir ultime. Il me faut à peine 5 minutes de ce traitement pour obtenir un nouvel orgasme aussi violent que le premier.

Lhomme se retire, il na pas jouis. Une petite fessée amicale et je sens les chaines qui tendent mes bras se détendre. On appuie sur mon dos pour me faire mettre à quatre pattes sur le sol.

Quelque chose de frais me parcours la raie des fesses, mes jambes sont toujours écartées. Une langue sagite sur toute ma raie. Je nose imaginer qui me lèche ainsi. Mais le plaisir revient la langue fait des mouvements amples partant de la fente de mon sexe pour remonter jusquà la naissance de ma raie en bas de mon dos. Puis tout sarrête.

Des bruits encore toujours aveuglée, je suis en alerte. Quelque chose de froid posé sur mon petit trou. Je me cambre, on me force. Je suis sodomisée, presque sans douleur je suis prise par ce trou par un objet enduit dun lubrifiant. Des mains fines sur mes hanches, je sens des ongles longs. Le phallus artificiel me pénètre lentement venant buter contre mes fesses le cuir froid dun god ceinture. Une femme est en train de me prendre par les fesses. Lune de ses mains glisse sous moi à la recherche de mon bouton. Elle le trouve me caresse, le plaisir revient jondule sous se doigts prise par le petit trou. Elle me prend lentement tout en me caressant le clito dune main et me fessant sensuellement de lautre. Elle si prend si bien le plaisir monte encore. Un sexe dhomme bandé et suintant est présenté à mes lèvres, je le prends dans ma bouche le suce.

Au bout de 10 minutes de ce traitement je pars dans un nouvel orgasme. Au même moment je sens lhomme me saisir la tête pour me plaquer au plus profond et se vider dans ma bouche. Contrainte, javale son plaisir

Je viens de jouir trois fois de suite sous des mains dinconnus et jy ai prise du plaisir. Qui suis-je vraiment ? Qui sont mes acquéreurs ?

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