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Karviol en prison – Chapitre 6

Karviol en prison - Chapitre 6



Douche chaude

Incarcéré pour fraude de suis devenu objet sexuel pour mes 3 codétenus. En trois jours seulement, j’ai dû apprendre à me soumettre docilement à leurs caprices, découvrir leur pénis, utiliser ma bouche pour les faire jouir puis me servir de mon anus pour leur faire l’amour. Dépucelé par Marcel, puis utilisé par Moussa, j’attends avec angoisse les mains liées au dos et assis sur la lunette du WC que la troisième brute s’approche pour me baiser. J’en tremble de peur et de désir mêlés, tant Abdul est poilu et bien monté…

Il vint se planter face à moi et défit sa braguette. Son long sexe pendait sous mon nez. Avant que j’aie eu le temps d’avancer mes lèvres, il fit pivoter ses reins et me gifla avec son membre mou. Je fermai instinctivement les yeux. Les coups suivants se firent plus durs au fur et à mesure qu’il durcissait… Soudain il me pinça le nez avec force. Je tirai inutilement sue mes poignets liés, étouffant. Vaincu, j’ouvris finalement le bec et il en profita pour me glisser sa verge dure entre les lèvres. Planquant sa main droite derrière ma nuque il força ma bouche d’un petit coup de rein. Paniqué, je levai des yeux suppliants vers lui. Un sourire cruel ornait son visage… au-dessus de son poitrail velu et viril… je sus ce que voulait dire "être une faible femme" à cet instant… accompagnant son rictus narquois d’une poussée du bassin, il emplit toute ma bouche de son sexe monstrueux et heurta ma luette en fond de gorge. Je lui lançais des regards suppliants. J’eus soudain un haut le corps incontrôlé, qu’il sanctionna d’une claque retentissante avant d’investir à nouveau illico ma cavité buccale. A nouveau il me fit remonter l’estomac exprès, je vomis lamentablement mon petit déjeuner entre mes jambes dans les toilettes et un peu à côté aussi hélas. Les yeux brouillés de larmes, je vis sa bite cruelle arriver à nouveau et il força mes lèvres pour le troisième fois. Tirant ma nuque à deux mains il poussa très fort, je ressentis une douleur affreuse dans la gorge lorsqu’il s’engagea au-delà de ma luette… reniflant et vagissant comme un goret qu’on égorge. Fermement maintenu par ses mains puissantes je luttai contre la panique de l’étouffement.. des larmes d’effroi roulaient sur mes joues. Alors commença mon supplice. Durant dix minutes interminable il me lamina la gorge… tandis que j’émettais des sons grotesques! De longs filets de bave ruisselaient sur mon menton. Lorsqu’il se retira soudain, j’étais incapable d’articuler, mes cordes vocales endolories et le souffle court. Il me tira sans ménagement par les cheveux pour me relever puis me plaqua durement debout, la face contre le mur. Je sentis son gland brûlant contre mon anus douloureux et je poussai un cri lorsqu’il me viola d’un trait brûlant. La douleur était fulgurante, il se mit à me pilonner avec force! Ses mains chaudes agrippées à mes hanches il me baisa avec rudesse, faisant cogner ma tête et mon ventre contre la cloison. Informant ainsi toutes les chambres voisines qu’il m’honorait de sa virilité triomphante!

Son pubis me faisait claquer les fesses avec force. Il m’ouvrait tellement l’anus que j’étais incapable de le serrer, alors il s’en donna à cur joie, bourrant bien à fond ma chatte bien lubrifiée. Serrant les poings inutilement, résigné et soumis, je jouis une première fois dans un râle étouffé… puis une seconde fois en criant plus fort, alors qu’il haussait encore le rythme, soufflant dans mon oreille: "Oooh que tu aimes ça ma petite Pute.. Paulette la booonne pute… AAhh OOohhh" Lorsqu’enfin dans un spasme violent, il déchargea en mon con je jouis une troisième et très forte fois dans un hurlement de bête sauvage! Il se retira ensuite, laissant dans mon cul béant un vide froid…

Humilié et pantelant je me laissai glisser à genoux le long dur mur en pleurant silencieusement. Comblé sexuellement mais totalement meurtri moralement. Je sanglotait à genoux la tête appuyée contre le mur froid. Je venais de jouir 4 fois par ma chatte en seulement une demi-heure et avec trois hommes différents, faisant ainsi la preuve de mon aptitude à prendre autant de plaisir que j’étais capable en donner. Je croyais avoir touché le fond hier, mais aujourd’hui je venais de descendre encore beaucoup plus bas.

Des pas dans mon dos. Un claquement sec lorsque Marcel (c’était lui, je l’avais deviné) coupa le lien en plastique dur, me libérant enfin les mains.

— Nettoie tes cochonneries! " dit-il simplement et tourna les talons.

Redressant mon corps endolori, j’entrepris de faire un peu de ménage dans cet endroit sordide. J’eus à peine le temps de remettre le wc au propre que déjà un gardien hurlait à la porte:

— A LA DOUCHE !! face au mur touuuus!" Je filai m’aligner avec mes bourreaux.

Moussa et Abdul disparurent à la suite du gardien. Marcel restait avec moi, me toisant d’un regard perçant.

— Alors? Pas trop mal à la chatte, Paulette? Fit-il d’un ton narquois. Il s’approcha et me palpa les fesses.

— N..non ça va mer… ci Monsieur.. articulai-je en rougissant. Ses mains caleuses me malaxaient les lobes.

— T’es une bonne fille! T’es faite pour la baise.. Hein que t’aimes ça? Ses yeux me fixaient intensément.

Je ne savais vraiment plus où me mettre… il insista:

— T’as aimé, hein ma pute?! Une crispation menaçante de sa main me fait sursauter…

Me rappelant qu’il ne servait à rien de le contrarier et qu’ayant tant joui j’aurais du mal à être crédible en niant.

Je souris faiblement les joues chaudes:

— Ou..oui, oui… merci Mon…sieur j’ai… ai. mé! La confusion me faisait bafouiller. Oui, aussi incroyablement, j’avais aimé être violé! Et maintenant je venais de le confesser ouvrant la voie à un servage sans fin… Mon esprit partait en lambeaux.

Il s’approcha et me serra contre lui d’un geste tendre.

— C’est bien. Tu es à moi maintenant, ne l’oublie jamais. Alors… la douche tu restes avec moi, ok? Chuchota-t-il à mon oreille.

Je secouai la tête pour acquiescer, frissonnant d’horreur.

Dix minutes plus tard c’était à notre tour d’emprunter le long couloir jusqu’à la salle des douches. Nous fîmes la queue à l’entrée avec d’autres taulards. Je sentais des regards insistants et baissais les yeux. Pourtant j’avais revêtu mon pantalon, mais la photo infâmante de Moussa avait circulé… je me sentais comme nu et exposé… Les taulards sortaient des douches par groupes et croisaient notre file. Je gardais obstinément mes yeux sur mes pieds.

Un colosse derrière moi me collait de plus en plus. Finalement, il me mit sa main sur les fesses. Je me retournai vivement en lui prenant le poignet et en disant: "hé! ho! Stoop!"

Marcel se tourna à demi et sourit à Frankenstein qui avait toujours sa paluche de géant sur mon cul, serrant mes lobes à tour de rôle.

— Ah tiens! Polo? Comment tu vas?

— Ben bien! mon pote! Dis donc? c’est ta meuf?

— Ouaip! c’est ma Paulette, une bonne petite. Paulette je te présente mon copain Polo.

— Mmh Paulette! Quel cul! mmhh

Marcel rit fort et dit plus fort encore: "Paulette, tu vas être très gentille avec mon ami Polo, d’accord?"

Je virai au rose puis au violet. J’avais la gorge nouée et les larmes aux yeux. Il venait de me livrer au premier venu, devant toute une foule de délinquants aux mines inquiétantes. Je baissais la tête les joues et les oreilles me brûlaient de honte! Lorsque nous fumes admis dans la salle des douches, Polo me prit par le bras et m’entraîna dans une douche sans porte, comme les autres, mais un peu à l’écart. Je le suivis sans résister… de toute façon que pouvais-je faire d’autre? Il enclencha la douche et poussa sur ma tête pour me faire mettre à genoux. Résigné je pliai les genoux, et me retrouvai face à son entrejambe. Je frottai mon nez contre son sexe qui déformait déjà son pantalon. Puis le fis descendre lentement pour découvrir un objet monstrueux. La pression de sa main sur mon cou mit fin à la contemplation de cette verge énorme et à demi bandée. Je posai mes lèvres sur son gland et l’embouchai en retroussant son prépuce. L’eau ruisselait sur nous et parfois je suffoquais. Sans pitié pour moi, il mis ses mains derrière ma tête et commença à pousser son énorme sexe plus profond dans ma gorge. Je tentai de le repousser mais il bloqua ses deux mains ensemble, en croisant ses doigts sur ma nuque. D’un coup de rein puissant il prit possession de ma gorge profonde. Je hurlai de douleur, agité de haut-le-cur violents, mais aucun son ne sortait hormis une plainte étouffée, un borborygme informe et lamentable qui l’excitait visiblement. Sa verge dure me sciant les cordes vocales, je crus mourir. Soudain il se retira et me tira en avant pour faire à mettre à quatre pattes. Il arracha mon pantalon mouillé non sans peine. J’étais hébété, dans un état second, je restais passif. Enjambant mes reins, il posa son gland brûlant sur ma rosette endolorie. Lorsqu’il me prit à fond d’un seul coup de reins je hurlai involontairement d’un cri d’animal enroué. Puis il commença à me besogner de plus en plus furieusement, tandis que je haletais sous la douche chaude. Son sexe glissait en moi sans peine, mon anus distendu s’adaptant rapidement à sa grosse bite. A travers les gouttes d’eau je pouvais voir un attroupement se former à l’entrée de la pièce. Accélérant le rythme, il me fouillait, meurtrissant mes viscères. J’avais très envie de jouir mais je n’y arrivais pas! Je gémissais lamentablement comme une femme en chaleur dans film porno, partagé entre la douleur de la pénétration et la chaleur de son sexe. Agrippant mes reins il finit par jouir dans un râle étouffé, je sentis son foutre me remplir par saccades. Ma prostate endolorie me délivrait des vibrations bienfaisantes mais aucun orgasme.

Marcel était à l’entrée et filtrait mes amoureux. Un taulard petit et chauve entra sous la douche, il s’agenouilla derrière moi et me prit sans préambule avec un petit sexe à moitié bandé. Il nageait un peu dans mon anus béant mais ne tarda pas à prendre de la vigueur et déchargea rapidement en moi. Je pleurais, impuissant à jouir. Et impuissant à leur faire mettre un préservatif. Marcel allait-il me laisser attraper le sida? Moi sa brave petite femme si obéissante? Sa souillon servile. Son vide-couilles perpétuel et attitré? Déjà un autre homme me prenait. Puis un autre. Mon cul vibrait, je ne jouissais toujours pas, mais mes viscères palpitaient délicieusement d’une onde chaude qui irradiait mes reins. Mon anus béant devenait la porte de communication vers un monde de voluptés infinies. En revanche mon esprit était en morceaux et je perdis le compte de mes violeurs. La douche fut soudain coupée, j’ouvris les yeux.

Lorsque Marcel me releva, il m’embrassa et me savonna tendrement et me rinça longuement à la douchette. Récuré et habillé de propre, je finis par quitter la salle des douches à sa suite, le suivant mécaniquement, comme un robot ivre. Je suivais mon Maître mécaniquement, brisé par les évènements du jour. Une fois dans la cellule je m’affalai sur le lit et m’endormis profondément tant j’étais épuisé.

(A suivre si vous le souhaitez)

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