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Kathleen est de retour ! – Chapitre 3

Kathleen est de retour ! - Chapitre 3



Une semaine était déjà passé. Une semaine d’amitié, de complicité, de rire, de sortie mais, surtout, une semaine de baise intense comme jamais je n’en avais connu.

Kathleen et moi avions expérimenté beaucoup de nouvelles choses pendant cette première semaine de son séjour. Pleins de positions différentes et plus improbable les unes que les autres, avec des jouets, avec une 3e personne et même en public, chose pas facile vu le manque de discrétion de cette petite chienne pendant l’acte.

Bref, ce jour-là, nous étions de sortie. Kathleen avait proposé une balade en forêt, hors du bruit de la ville à quelques dizaines de kilomètre de mon appartement. La journée c’était bien passé, petit pique-nique près d’un plan d’eau, un vrai bol d’air comme on en avait bien besoin.

Le temps passait et je voyais les nuages s’accumuler au loin, l’orage approchait rapidement, ce qui n’était pas franchement surprenant après une semaine de grosses chaleurs.

« Va falloir rentrer, Kath. Lui dis-je en lui pointant les nuages noirs au loin

-Quoi ? Répliqua-t-elle et même pas de petite baise en forêt ?

-Vu la vitesse avec laquelle le ciel se couvre, ça va surtout finir par une baise sous l’orage et je suis moins partant pour ça.

-Ouais… t’as surement raison. Concéda- t-elle, d’un air déçu on se rattrapera plus tard, il reste une semaine après tout ! Conclut-elle avec un léger sourire.

Je lui attrapais la main et nous partions en direction de la voiture que nous avions laissée, plus loin, sur un chemin de terre.

Quelques minutes plus tard, à mi-chemin, nous sommes rattrapés par les nuages et la pluie commence à nous tomber sur la tête.

On accélère le pas, la pluie se fait de plus en plus forte, c’est même un véritable déluge qui s’abat sur nous quand nous arrivons enfin à la voiture.

On monte et, une fois au sec, nous reprenons notre souffle quelques secondes.

Kathleen me regarde avec un sourire.

« Bon ok, j’avoue, t’avais raison, on n’aurait pas eu le temps de faire notre affaire »

Je me marre puis démarre la voiture, direction la maison.

Nous sommes donc en route pour rentrer, la pluie continue de tomber et le tonnerre de gronder. On y voit pas à 10 mètres, j’avance lentement, presque à l’aveugle sur le petit chemin de terre puis soudain la voiture s’enfonce et refuse d’avancer.

« Qu’est ce qu’il se passe ? Me demande Kathleen, un peu inquiète.

-Je crois qu’on s’est enlisé réponds je- je vais essayer d’accélérer un coup »

Je mets les gaz à fond pour essayer de sortir de ce piège de boue mais rien à faire, plus je tente d’accélérer, plus la voiture s’enfonce.

« Bon ça sert à rien… J’ai vu une petite grange sur le bord du chemin en passant, à quelques mètres derrière nous, on va courir se mettre à l’abri dedans. Dis-je

-Quoi !? s’exclame Kathleen mais pourquoi on ne reste pas juste dans la voiture ?

-Parce que ça peut durer longtemps et que je n’ai pas envie de rester assis, les jambes coincé sous mon volant pendant je ne sais combien de temps répondis-je et puis… baiser dans une grange, ce serait original, non ? »

Je la connaissais suffisamment pour savoir que ce dernier argument la convaincrait. Kathleen me lâcha un petit clin d’il et acquiesça d’un mouvement de tête.

Ni une ni deux, on saute de la voiture pour partir en courant en direction de la petite grange. On entre, complètement trempé.

La grange a l’air déserte. Un box à cheval dans le fond et quelques tas de foin au sol, rien de plus.

« Bon, c’est petit mais c’est toujours mieux que la bagnole me dit Kathleen par contre, on est trempé.

-C’est pas grave, on a qu’à se mettre à poil et laisser les fringues sécher un peu

-Ça marche. »

On enlève donc nos vêtements, les accrochons là où l’on peut et on s’allonge dans le foin

« Bon c’est pas tout ça me dit Kathleen avec un sourire- va falloir que je m’occupe de toi maintenant ! »

Avant que je n’ai eu le temps de répondre quoi que ce soit, Kathleen attrape mon sexe a pleine main puis a pleine bouche.

Elle entame une excellente fellation dont elle a le secret, jouant de sa langue experte sur mon gland, me masturbant d’une main et jouant avec mes couilles de l’autre. Une pipe lente, douce et sensuelle qui contraste nettement avec les habituelles gorges profondes violentes et rapides qu’elle pratique souvent.

Cette fois, elle prend le temps de longuement me caresser la queue, elle me lèche le manche de haut en bas, me lubrifie de sa salive pour m’astiquer lentement avec ses deux mains. Je suis en extase.

Après notre mésaventure avec l’orage, cette fellation arrive comme un soulagement, je me laisse complètement aller, ferme lentement les yeux et profite le plus possible de cette pipe de déesse.

Les bruits de salives sur ma queue emplissant la grange sont soudainement remplacés par un petit cri de surprise suivi d’un

« On m’a touché les fesses ! »

J’ouvre les yeux et me redresse, Kathleen se retourne et nous tombons nez à nez avec un cheval, probablement sorti du box au fond de la grange. Nous ne l’avions pas vu, pas entendu, mais il était bien là et il venait de mettre un coup museau sur les fesses de Kathleen, en pleine fellation.

« Oh ! Il est trop beau- s’exclama Kathleen, maintenant remise de ces émotions

-Ouais … et il t’aime bien visiblement » répondis-je en pointant du doigt l’entrejambe du grand étalon à la robe noire.

Kathleen se pencha un peu et pu apercevoir, comme moi, un immense phallus pendant entre les jambes du canasson. L’engin n’était pas raide mais, il devait bien mesurer déjà 30cm

« La vache ! dit Kathleen en éclatant de rire- t’as vu l’engin ?

-Ah oui, désolé mais, je ne peux pas lutter là »plaisantais-je

Kathleen souriait. Sans jamais lâcher la bite du cheval des yeux, elle lui caressait le flan

« Ça t’excite avoue ? Lâchais-je enfin

-… un peu. Hésita-t-elle tu crois que ça peut devenir encore plus gros

Kathleen me regarda, un regard plein d’envie. Elle se baissa et passa sous le cheval, elle hésita un peu puis encercla le sexe du cheval de ses deux mains. Elle commença à le masturber lentement puis de plus en plus vite.

La bite du canasson commença à se raidir et à gonfler encore plus qu’auparavant. Un engin d’une bonne quarantaine de centimètre se dressait maintenant devant le visage de cette petite salope de Kathleen qui n’avait même pas assez de ces deux mains pour faire le tour de cette bite immense.

Elle continuait de le branler vigoureusement, elle lâcha une main pour la faire glisser entre ses jambes et s’enfonça un doigt dans sa petite chatte humide.

Moi, je ne ratais pas une miette du spectacle, j’étais dur comme jamais et complètement excité.

« Laisse-moi-t aider avec ça » lui dis-je pendant qu’elle se masturbait.

Je m’allongeais donc sous le cheval, Kathleen se plaça à califourchon sur mon visage me permettant de lui lécher la chatte autant que je le voulais pendant qu’elle continuait à branler le cheval qui hennissait de plaisir.

Après quelques minutes de ce traitement, Kathleen s’interrompit.

« Attends, j’ai une meilleure idée ! Ramène un ballot de paille ici »

Je fis donc rouler un ballot jusqu’à la position de Kathleen qui s’allongea dessus ventre contre le ballot, son cul vers moi et le visage vers la bite monstrueuse du cheval.

« Voilà, baise-moi » me dit-elle enfin

Pas besoin de le répéter, j’empalais sa chatte lisse et trempée d’un coup sec ce qui lui arracha un long cri de plaisir. Elle reprit l’engin énorme dans ses mains et continua la branlette.

Tandis que je la culbutais aussi fort que possible, je vis Kathleen qui commençait à lécher le gland puis toute la longueur de la bite du cheval. Elle lui palpait les couilles, et jouait avec en faisant glisser sa langue sur chaque recoin de l’engin, dressé à son maximum.

« C’est bon ? Lui dis-je

-Je te dis ça dans quelques secondes ! » Répondit-elle entre deux gémissements

Elle se rapprocha encore un peu de ce sexe démesuré, ouvrit la bouche, se déforma la mâchoire et goba l’énorme gland du cheval. Quelques centimètres du gigantesque pénis venaient de pénétrer la bouche de cette petite chienne de Kathleen.

Cette vision m’enhardis davantage et je la pilonnais encore plus fort en lui enfonçant deux doigts dans le cul.

La bite du canasson s’enfonçait encore plus loin dans la gorge de Kathleen suite à mes assauts répéter.

La grange était emplie du son de son cul claquant sur mon ventre, couvert par de longs gémissements étouffés par la bite du cheval dans la bouche de Kathleen.

Tandis que je continuais a lui exploser la chatte et à lui doigter l’anus, Kathleen s’affairait à pomper le cheval en tentant d’enfoncer son engin le plus loin possible dans sa bouche. Elle faisait de petits va-et-vient en rythme avec mes coups de bite. Tout en faisant cela, elle le branlait rapidement à deux mains. Les bruits de gorge laissait apparaitre qu’elle ne pourrait pas le prendre plus loin, mais elle continuais à essayer d’enfoncer cette énorme pénis dans sa gorge. Le retirant parfois pour reprendre son souffle et laisser couler sa salive abondante et le liquide pré-éjaculatoire de son ami poilu, elle s’empressait de vite le reprendre dans sa gorge continuer sa fellation et sa branlette hors du commun.

 

  Soudain, cheval hennit un grand coup et tapa son sabot violemment au sol. Je regardais vers Kathleen.

Ses joues se gonflaient et elle laissa échappé deux petits sons de surprise. L’équidé venait de se décharger et de remplir sa petite bouche de cochonne.

 J’entendis le son de deux grosses gorgés, que Kathleen venait d’avaler net, puis elle recracha une immense quantité de sperme tout en inspirant un grand coup pour reprendre son souffle. Il y en avait bien trop pour qu’elle puisse tout encaisser.

A cette vision, j’explosais à mon tour dans sa chatte dans un râle intense de plaisir.

Kathleen se releva, son visage était couvert de sperme et sa chatte dégoulinait entre ses jambes.

« Oui, c’est bon, c’est même très bon » Répondit-elle enfin à ma question de tout à l’heure.

-Content que tu ais apprécié alors ! Répondis-je.

-Ah oui mais c’est pas finit. Me dit-elle. Puis ajouta, devant mon air interloqué- qu’est-ce que tu dirais, toi, si je me barrais après juste t’avoir sucé ?

-Attends tu veux quand même pas…

Si, m’interrompit-elle maintenant vous allez inverser vos rôles.

Kathleen retourna vers le cheval et lui masturba à nouveau la queue pour lui faire reprendre sa forme précédente. Elle frotta ses seins le longs de cette longue tige et y asséna quelques coups de langue.

Une fois sa grosse queue à nouveau bien raide, elle se remit sur le ballot de paille, sur le dos cette fois et frotta l’énorme verge contre l’entrée de son abricot, toujours dégoulinant de mon sperme.

Ce faisant, elle laissait pendre sa tête en arrière et, une fois que je fus placé devant son visage, elle commença à me lécher lentement les couilles tout en me masturbant.

Le canasson, qui s’était positionné au-dessus du ballot ou se trouvait Kathleen, donnait de grands coups de bassin pour essayer de pénétrer sa petite chatte trempée, sans succès jusqu’à présent.

De mon côté, j’enfonçais l’intégralité de ma verge dans la gorge de Kathleen, son visage s’écrasant sur mes boules, et commençais à lui baiser vigoureusement la bouche.

C’est à ce moment que le cheval réussit son coup, un grand coup de bassin en avant et plusieurs centimètres de cette bite énorme venait de pénétrer l’antre du plaisir de Kathleen, qui se raidit et, toujours enfoncée sur ma bite, lâcha un cri étouffé, mêlant douleur et plaisir.

« Tais-toi sale chienne, c’est toi qui l’a voulu ! Lâchais-je, en transe devant cette incroyable scène.

Maintenant tu vas te faire défoncer comme la grosse salope que tu es ! »

Kathleen était empalée entre nos deux bites. Elle avait relevé ses jambes et bloquait le mouvement de bassin du canasson avec ses pieds pour l’empêcher de trop la pénétrer. Cela n’empêchait pas ce dernier de donner de grands coups de queue dans le vagin dilaté de sa nouvelle conquête, qui tentait de hurler son plaisir tandis que je m’enfonçais encore plus loin dans sa gorge.

Ses cris ressemblaient plus à des gargarismes sous l’effet de ma queue qui continuait de lui faire gonfler la gorge à chaque passage.

La salive, les larmes et le maquillage coulait sur le visage rougit de Kathleen qui ne devait même plus savoir où elle était.

Le cheval continuait son affaire, perforant sa chatte, de plus en plus fort. Kathleen continuait de le bloquer avec ses jambes mais une bonne dizaine de centimètres de ce sexe au diamètre hors-norme l’avait tout de même pénétré.

Je lui agrippais les seins tout en m’enfonçant le plus loin possible dans sa gorge chaude, me retirant, parfois, pour lui faire gober mes couilles. Je venais frotter mon sexe sur son visage avant d’aller a nouveau lui titiller la glotte. Je donnais enfin un grand coup de bassin, ma bite disparaissait intégralement dans la bouche de celle qui était maintenant mon sextoy et libérais mon foutre, tout en me retirant, me finissant sur son visage luisant.

Complétement vidé et épuisé, je m’effondrais sur la paille au sol et continuait à admirer la scène.

Kathleen ne répondait plus. Son visage était rouge d’épuisement, noir de maquillage, luisant de larme et de salive et blanc de sperme. Elle avait la bouche ouverte, la langue pendante, les yeux à moitié révulsé et son corps était soumis aux coups de verge du canasson qui était maintenant entré de près de 20cm dans cette petite chatte rose et lisse. Chaque coup de queue faisait rebondir le corps de Kathleen comme une marionnette. Les bras ballants et la tête pendante en arrière, elle était à la merci de son amant à quatre pattes, qui ne refusait pas une telle offrande.

Kathleen conservait suffisamment de force pour maintenir ses jambes levées et contenir l’étalon qui la labourait avec vigueur. Il tentait de la baiser encore plus violemment. Si rien ne l’en empêchait, il aurait probablement pénétré l’intégralité de ces 40cm de queue dans la caverne qu’était devenu le vagin de Kathleen.

De temps en temps, un léger gémissement aigu sortait de la bouche de Kathleen, qui n’arrivait plus à crier normalement.

Elle continuait à encaisser les coups de bite, tout en rebondissant, toujours plus fort, toujours plus loin, elle était devenue une vulgaire poupée gonflable désarticulée.

Le cheval intensifia encore une fois son martelage, Kathleen ne touchait presque plus le ballot de paille sur lequel elle était allongée. Elle était soutenue en l’air par la bite du canasson qui mit, finalement, un violent coup de queue qui fit céder les jambes de Kathleen et il entra de 30cm d’un coup sec dans sa chatte.

Je retins donc le cheval et le repoussais un peu, tandis que Kathleen revenais à elle en lâchant un immense cri suite à ce coup de matraque qu’elle venait d’encaisser. Je cru d’abord à un cri de douleur, mais non, Kathleen était prise d’un orgasme qui venait de lui raidir le corps entier avant de la faire trembler de plaisir, toujours 10cm de bite de cheval dans le vagin.

Puis, comme plus tôt, le cheval hennit longuement et tapa son sabot au sol, signe de jouissance proche. Kathleen maintenant revenu a elle repoussa donc le cheval avec ses pieds pour ne pas qu’il ne jouisse en elle. Cette sortie brutale de son vagin arracha un deuxième orgasme inattendu à Kathleen, tandis que notre ami à quatre pattes pouvait enfin se laisser aller et déversa une quantité incroyable de foutre sur le corps entier de sa victime, ainsi que dans sa bouche toujours ouverte suite à son orgasme.

Tandis que le canasson s’éloignait pour prendre un repos bien mérité, je m’effondrais à nouveau dans la paille.

Kathleen avala la grosse gorgé de foutre qui avait atterri dans sa bouche et laissa tomber son corps ruisselant de sperme, du ballot de paille et rampa vers moi.

Elle s’affala à côté de moi et dit, à bout de souffle, de façon à peine audible

« Je vais plus pouvoir marcher avant un moment… Vous m’avez défoncé, je sens plus ma chatte ni ma bouche. »

Puis elle s’écroula de fatigue, épuisée par le traitement qu’elle venait de subir.

Je l’admirais un moment. Ce visage de salope, ce corps divin couvert de sperme et cette chatte toujours suffisamment dilaté pour y passer le poing auraient presque suffit à me faire durcir la queue à nouveau.

Mais, étant moi aussi crevé, je finis par m’endormir à mon tour.

Tant pis. Nous rentrerons quand nous serons plus en forme.

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