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La baby-sitter – Chapitre 1

La baby-sitter - Chapitre 1



Une vie de couple est faite de hauts et de bas au gré des événements de la vie. Ma compagne, Valérie, et moi nous entendions à merveille. Depuis notre rencontre, tout se passait très bien. C’est donc naturellement que nous avons décidé de vivre ensemble rapidement puis de fonder une famille. Ce fut chose faite quelques années plus tard mais cela fut le début d’une période difficile comme pour beaucoup de couples.

Pour la présentation, je suis Frédéric, la trentaine passée, je suis un homme assez grand et sportif sans être un Apollon. J’ai les cheveux d’un noir profond et une peau mate issus de mes racines latines.

Valérie est un peu plus jeune que moi. Elle est assez grands aussi puisqu’elle dépasse le mètre 75. Elle a une belle chevelure châtain clair avec des yeux d’un joli vert. Elle a un joli sourire qui m’a fait craquer tout de suite avec des lèvres appétissantes. Ses jambes sont longues et fines et se terminent joliment par une belle paire de fesses bien fermes et rebondies d’un côté et un sexe soigneusement rasé de l’autre côté avec des lèvres charnues mais pas trop épaisses. Au dessus de son ventre plat, se dressent ses deux seins fermes et assez gros, mais pas disproportionnés, aux aréoles brunes.

Côté sexe, tout avait toujours était très bien. La fréquence de nos rapports a toujours été assez élevée. Valérie et moi utilisions un grand nombre de position, la levrette étant notre préférée. J’avais aussi droit très régulièrement à des fellations que mon épouse faisait très bien. Je dégustais souvent son abricot juteux avec un grand bonheur. J’avais aussi droit à son anus qu’elle me laissa, peu de temps après notre rencontre, déflorer.

Mais quand Valérie m’annonça l’arrivée de notre bébé tout changea. Subitement, elle trouva la sodomie dégradante pour une future mère de famille et me refusa l’entrée de son anus. Dans le même temps, elle décida que nos bouches devaient rester propres et les fellations et cunnilingus furent aussi proscrits. En ce qui concerne les positions, Valérie souhaita plus de tendresse et les positions telles que la levrette furent oubliées car considérées comme trop « bestiales ». Bref, nous sommes passés d’une sexualité de jeune couple à une sexualité de vieux couple subitement.

Ce changement mit à mal notre couple et, après la naissance de notre fils, j’ai imposé une soirée mensuelle en amoureux pour tenter de sauver ce qui pouvait l’être. Jamais satisfaite, Valérie écuma un grand nombre de baby-sitter mais nous trouvions toujours quelqu’un pour garder notre fils. A l’aube d’une énième soirée, Valérie me dit avoir trouvé une excellente baby-sitter. De toute façon blasé, j’acceptais son choix sans broncher.

Le soir venu, alors que mon épouse et moi étions prêts, on sonna à la porte.

« Bonsoir Monsieur.

— Bonsoir.

— Je suis Lilou. Votre femme m’a engagée pour veiller sur votre fils ce soir. »

Lilou était une jolie rousse d’une petite vingtaine d’année. Étudiante en langues étrangères, elle faisait du baby-sitting pour se faire un peu d’argent. Elle avait une prestance qui m’étonna et une sorte de magnétisme se dégageait d’elle. Sans même arriver à dire un mot, je me suis écarté la laissant entrer.

« Bonsoir Valérie.

— Bonsoir Lilou. Le petit est couché dans sa chambre.

— J’y vais, vous pouvez y aller. Amusez-vous bien. »

Quoi ? Ma femme ne passait pas 10 minutes à lui donner le million de recommandations d’usage ? Et elle quittait la maison sans même aller voir le petit dormir ? Je n’osais rien dire sur ce changement d’attitude mais celui-ci me perturba. Au restaurant, Valérie semblait plus joviale, détendue qu’à l’habitude. J’appréciais vraiment cette soirée et, pour rien au monde, je ne souhaitais la gâcher avec des questions qu’elle aurait trouvées inappropriées. Malheureusement, je charme se rompit un peu quand il fallut se décider à rentrer.

En arrivant à la maison, nous avons été accueillis chaleureusement par Lilou, qui nous expliqua que la soirée s’était très bien passée avec le petit et qu’il était au lit. Elle nous invita à nous installer sur le canapé et vint se mettre sur un fauteuil face à nous.

« Et maintenant, racontez-moi tout…

— Que veux-tu savoir Lilou ?

— Tout ce que vous avez fait… Tu t’es bien occupée de Frédéric ?

— Oui.

— Mais… tentais-je pour couper court à cette conversation franchement gênante.

— Et lui, il s’est bien occupé de toi ? Demanda Lilou sans tenir compte de ma tentative.

— Je crois que oui…

— Tu n’es pas sûre… Frédéric, tu devrais l’embrasser pour lui montrer. »

Alors que je ne m’y attendais plus, Valérie se tourna vers moi et posa ses lèvres sur les miennes. D’un tendre baiser, nous sommes très vite passés à un baiser fougueux et passionné. Puis j’ai senti sa main se poser sur ma cuisse, très près de mon sexe qui se mit instantanément à grossir dans mon caleçon. Enhardi, je fis de même en posant ma main sur la cuisse de mon épouse et remontant jusqu’à l’orée de sa jupe. C’est alors que Lilou nous coupa.

« Je suis sûre que Valérie adorerait sentir ta langue ailleurs que dans sa bouche, Frédéric.

— Heu… Je ne veux pas que… tenta Valérie.

— Quoi ? Tu ne veux pas que ton homme te lèche ton abricot ?

— C’est pas très…

— Normal pour une femme de refuser. Frédéric, au boulot… »

Malgré ma peur de définitivement rompre le charme de cette soirée, je suis venu me mettre à genoux entre les cuisses de Valérie qui les avait étonnement ouvertes. Je remontai mes mains le long de ses cuisses. Valérie ne bougeait pas se laissant faire. Je finis par arriver à l’élastique de sa culotte que j’empoignais. Je commençais à tirer dessus et, à ma grande surprise, Valérie m’aida en soulevant son bassin. En quelques secondes, la culotte de mon épouse avait rejoint le sol et elle s’assit de nouveau avec les jambes toujours aussi écartées et la jupe relevée. Je découvrais alors son sexe aux lèvres ouvertes et dont l’humidité trahissait l’envie. Doucement, j’approchais ma bouche de son sexe.

Enfin mes lèvres touchaient les siennes. Je redécouvrais avec bonheur l’odeur et le goût de mon épouse. J’embrassais ce sexe tant désiré. Puis je sortis ma langue pour écarter les deux lèvres et fouiller plus avant le sexe de mon épouse. Sous l’effet de ma langue, les lèvres s’écartèrent plus me laissant libre accès à sa grotte bien mouillée. Remontant doucement, j’arrivais à son petit bouton qui était déjà gonflé. Alors que je me mis à lui téter le clitoris, j’entendis ma femme se mettre à gémir. Visiblement, elle appréciait la caresse. Je me décidais alors en enfoncer ma langue au fond de son sexe. Valérie se laissait faire alors je la dégustais avec avidité. Je léchais ses lèvres, tétais son petit bouton et enfoncer ma langue au fond d’elle. Valérie gémissait de plus en plus fort et se tortillait pour se frotter encore plus à ma bouche. Soudain, nous fûmes coupés par Lilou.

« Quel beau couple… Embrassez-vous… »

Valérie se redressa et je me levais aussi. Je la pris dans mes bras et elle approcha sa bouche de la mienne. Alors qu’elle refusait cette caresse depuis des mois, elle allait m’embrasser goûtant forcément à son jus sur ma bouche mais elle ne sembla pas s’en inquiéter et m’embrassa avec une passion et une douceur qui me manquaient depuis trop longtemps.

« Frédéric ?

— Oui…

— Assied-toi. C’est à ton tour de profiter. »

Je me tournais vers Valérie pour essayer d’y déceler une réaction mais je n’en vis aucune. Voulant voir jusqu’où Valérie allait se laisser porter, je me suis assis sur le canapé. Mon épouse vint se mettre entre mes jambes et agrippa ma ceinture. Comme dans un rêve, elle défit ma ceinture, déboutonna mon pantalon et sortit ma verge qui était tendue. J’avais l’impression que mon excitation était telle que ma verge était énorme, gonflée et rougie par le désir. Face à moi, Valérie regardait mon gland avec hésitation. Pour l’instant, elle se contentait de me masturber.

Puis elle s’avança doucement, hésitante, fixant toujours ma verge tendue face à elle. Sa bouche s’ouvrit doucement, puis se referma à mon grand désespoir. Elle branlait toujours ma verge sans la quitter des yeux. Lilou semblait s’agacer de l’absence de réaction de Valérie. Une main sur sa tête la poussa vers mon sexe. Valérie ouvrit alors de nouveau la bouche. Je sentis alors ses lèvres se poser sur mon gland, doucement, tendrement. Puis, petit à petit, mon gland entra dans sa bouche. Enfin, je sentais à nouveau ses lèvres douces sous ma verge. Je crois que j’aurais pu jouir tout de suite juste parce qu’elle avait mon gland en bouche. Je vis alors ses lèvres descendre le long de mon sexe. Chaque centimètre était une source de plaisir incroyable. Elle monta puis descendit sur ma verge. Enfin, je sentis sa langue s’activer. Tout d’abord elle lécha ma verge tendue puis insista sur mon gland. Et elle m’engouffra de nouveau. J’étais aux anges, je retrouvais enfin mon épouse qui savait si bien me faire des fellations. Je ne réussis à quitter des yeux mon épouse que longtemps plus tard. En relevant les yeux, japerçus Lilou, la main glissée dans son pantalon en train de se donner du plaisir. Alors que j’étais sur le point de jouir, Lilou nous coupe encore.

« Arrête-toi Valérie. Je crois qu’il a eu son compte…

— Mais… tentais-je en voyant Valérie se relever.

— Viens avec nous dans la chambre, conclut Lilou. »

Elle attrapa Valérie par la main et l’entraîna avec elle. Je suivais, le sexe dressé sortant de mon pantalon. A chaque marche vers la chambre, je ne pouvais m’empêcher de penser au fait qu’à l’instant, Valérie était nue sous sa jupe. En arrivant dans la chambre, Lilou enlaça Valérie. Elle lui enleva son chemisier, son soutien-gorge et sa jupe. Valérie était nue devant moi et mon sexe en était de plus en plus dur.

« Et tu attends quoi ? Tu crois qu’habillé, tu pourras t’occuper de ta femme ? »

Je me déshabillais pendant que Lilou installait Valérie sur le lit. Elle lui caressait ses fesses nues et se mit à humecter son petit trou.

« Non, pas par là…

— Un peu de silence Valérie…

— Mais ce n’est pas acceptable… Je suis une mère de famille…

— Et une bonne mère de famille sait se faire enculer… »

Valérie ne dit plus rien et baissa la tête. Valérie entra alors un doigt entre les fesses de mon épouse qui se laissa faire. Un second vint rejoindre le premier assez rapidement. Presque à contre cur, mon épouse se mit à gémir sous l’action des doigts de Lilou entre ses fesses. Au bout de quelques allers et retours, elle fit entrer un troisième doigt dans l’anus de mon épouse.

« A toi, elle est prête… »

Je m’installais à genou derrière mon épouse. Lilou posa sa main devant la bouche de Valérie.

« Crache… »

Valérie humidifia la paume de la main de Lilou qui me saisit le sexe. Avec ce que venait de lui fournir Valérie, elle lubrifia mon sexe et le présenta à l’entrée de l’anus de Valérie. Elle écarta alors les fesses de mon épouse me laissant une vision idyllique de son anus ouvert et lubrifié. Agrippant sa hanche d’une main et mon sexe de l’autre, je me dirigeais vers l’intérieur de mon épouse. Étant donné qu’elle m’avait refusé cette caresse depuis longtemps, mon sexe eut un peu de mal à entrer. J’avais l’impression de la déflorer une seconde fois par l’anus. Mon gland ouvrit petit à petit son petit trou. Quand mon gland entra en elle, Valérie poussa un cri de douleur. J’eus même l’impression qu’elle se mit à pleurer. Pourtant, je continuais à pousser lentement en elle. Mon sexe disparut petit à petit entre ses fesses. Quand il fut totalement entré, je m’immobilisais. Lilou lâcha alors les fesses de Valérie qui vinrent épouser ma verge. Je me mis à bouger en elle d’abord doucement puis de plus en plus vite. Valérie gémissait et haletait de plus en plus fort. Je sentais son anus contracté autour de mon sexe ce qui me donnait une sensation merveilleuse. L’idée même de sodomiser mon épouse était déjà très excitante en soi alors, lorsque je m’aperçus qu’à nos côtés Lilou avait repris sa masturbation, je ne pus me retenir. Alors que j’étais sur le point de venir, l’anus de Valérie m’aspira. Elle criait son orgasme et les spasmes de son anus me donnaient un plaisir intense.

« Je crois que tu la faite jouir, mon coquin… »

Cette révélation de cette quasi étrangère en train de se masturber devant le tableau que nous lui offrions ma femme et moi en pleine sodomie eut raison de moi. Je me déversais à grand jet dans le petit trou de mon épouse. Cet orgasme fut si puissant que j’eus l’impression qu’il ne devait jamais finir. Quand, je fus totalement vidé, je m’écroulais sur le lit à côté de Valérie qui n’avait pas bougé. Elle avait toujours les fesses dressées et e visage enfoui entre les coussins.

A côté de nous, Lilou se masturbait toujours. Je guettais le moment où son plaisir serait trop fort et qu’un orgasme la submergerait. L’attente ne fut pas très longue et survint au moment où mon épouse s’écroula à côté de moi. Lilou se mit à gémir bruyamment et s’immobilisa, la main toujours bien calée entre les cuisses. Bien calé dans le dos de mon épouse, je regardais l’orgasme de Lilou.

Quand elle revint à elle, elle se leva et, nous tournant le dos, elle descendit son pantalon et sa culotte. Elle avait de bien jolies fesses et une érection me gagna de nouveau. Mais celle-ci fut calmée quand Lilou remonta son pantalon. Elle s’approcha du lit et tendit sa main à Valérie. Mon épouse accepta l’arrivée de cette main contre son visage et plus précisément son nez et sa bouche. Pourtant, il s’agissait bien de la main que Lilou avait utilisée pour se masturber. A mon grand étonnement et à ma grande excitation, Valérie embrassa cette main et j’ai même cru qu’elle avait léché ses doigts. Puis elle lui donna sa culotte.

« Cadeau. Je viendrais la récupérer la prochaine fois… »

Valérie se tourna vers moi et me montra cette petite culotte noire en dentelle. Nous la contemplions tous les deux quand Valérie m’en montra le fond. Lilou s’était masturbée dedans et le fond de sa culotte avait récupéré les traces de son plaisir. Me surprenant une nouvelle fois, Valérie porta à son nez le fond de cette culotte et en respira l’odeur profondément. Une érection me gagna de nouveau lorsque Valérie me posa la culotte de Lilou sous le nez.

« Sens-moi ça… »

Voyant mon sexe grossir, Valérie se mit sur le dos et écarta les jambes. Je posais la culotte sur son visage et m’allongeais sur elle en la pénétrant. Pendant que nous faisions l’amour, nous nous embrassions au travers de cette culotte. Puis Valérie installa la culotte sur le coussin avant de se mettre à quatre pattes sur le lit. Elle m’invita à la prendre en levrette sans quitter des yeux la culotte de Lilou. L’orgasme qui nous submergea tous les deux fut extrêmement puissant et je jouis abondamment sur ses fesses.

Sans même prendre le temps de se nettoyer, Valérie se coucha. Elle attrapa la culotte et la blottit contre son visage comme s’il s’agissait d’un doudou. Je me couchais contre elle et nous nous sommes endormis amoureux comme nous ne l’avions plus été depuis longtemps.

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