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La baby-sitter voleuse – Chapitre 1

La baby-sitter voleuse - Chapitre 1



Ce soir-là, avec Marie ma femme, nous avions pris une baby-sitter, une jeune voisine de 18 ans prénommée Jessica. C’est une jeune fille agréable et sympathique et pour un homme de 41 ans, je dois dire qu’elle est agréable à regarder, blonde, 1m70 environ, une soixantaine de kilo, des lunettes qui cache un joli regard bleu. Nous l’avions déjà prise plusieurs comme baby-sitter et nous avions toute confiance en elle pour garder nos enfants, un garçon de 4 ans et une petite fille de 18 mois.

La soirée s’est déroulée tranquillement, un restaurant, un film au cinéma et un verre dans un bar ce qui a échauffé ma femme, notre fin de soirée s’annonçait plutôt chaude.

Nous sommes revenus à notre appartement vers minuit. Le silence régnait dans l’appartement, les enfants dormaient certainement mais je ne voyais pas Jessica. Où pouvait-être elle ?

Sans faire de bruit, j’ai avancé dans l’appartement, elle n’était pas dans la chambre des enfants, pas dans notre chambre. Et puis, j’ai ouvert la porte du bureau et là, j’ai pris sur le fait Jessica en train de fouiller dans la boite où je gardais un peu d’économie, quelques centaines d’Euros. La petite salope, elle se servait tranquillement. Forcément, prise sur le fait, elle sursauta. J’ai vu dans ses yeux la panique, une vraie panique. Enervé, je me suis rapproché d’elle et elle a fondu en sanglots, les billets à la main. Je l’ai attrapée par le bras et je l’ai amené au salon où Marie attendait. Ma femme fut surprise par notre arrivée et je lui expliquais que je venais de trouver notre baby-sitter dans notre bureau en train de nous voler de l’argent. Marie s’est énervée après Jessica et elle la fâcha fortement. La petite voleuse pleurait maintenant surtout que Marie la menaçait de porter plainte à la police. Elle s’est mise à nous supplier de ne rien dire à la police, qu’elle travaillerait gratuitement pour nous.

Marie en l’écoutant se calma un peu ne menaçant que de le dire aux parents de Jessica. Là encore, elle nous supplia de ne rien dire à ses parents, j’imaginais pour ne pas abimer son image de gentille fille. Marie alors me surpris et lui dit « je veux bien ne rien dire, mais tu dois être punie. Je te propose un arrangement, tu travailleras gratuitement pour nous et en plus on va te punir par des fessées, tous les jours. » Jessica la regarda puis se tourna vers moi et dis tout doucement « et vous ne direz rien à mes parents ? ». Marie lui dit « si tu es sage, non ». Alors, Jessica dit « d’accord ».

Marie s’est assise sur le canapé et demanda à Jessica de venir devant elle. Marie a ouvert le jean de Jessica puis elle l’a baissé brutalement. Jessica avait son jean aux chevilles en culotte devant nous, une jolie culotte en dentelle noire, légèrement translucide. Autant vous dire, que mon regard s’est posé sur cette jolie paire de fesses. Mon cerveau a déconnecté quelques secondes, le temps que Marie installe Jessica sur ses genoux, les fesses en position pour recevoir une fessée. J’en profitais pour m’installer sur le fauteuil face au canapé pour être aux premières loges de cette fessée. Marie lui a dit « tu vas compter chaque coup, sinon je recommence à zéro ». Jessica murmura un faible oui. Marie lâcha une première claque, pas forte, et alterna quelques coups sur chaque fesse par-dessus la culotte. Puis Marie lui retira sa culotte complétement qui est tombé au sol comme son jean. Marie repris ses fessées de façon régulières et un peu plus forte. Les coups resonnait dans le salon et Jessica continuait à compter, 12, 13, 14, 15.

Les 5 dernières claques furent bien plus puissantes, Jessica se mit à sangloter mais n’arrêta pas de compter. Marie lui dit de se relever, je pouvais voir les fesses rouges de Jessica juste à 2m de moi. Elle sanglotait toujours et d’un geste paternel, je l’ai prise dans mes bras et lui disant doucement « tu vois, quand on fait une bêtise, on le paie ». Elle me dit « oui, j’ai compris ». Marie me regardait en souriant et je compris ce sourire. Je pouvais le traduire comme « nous allons nous rembourser avec elle ».

Marie lui dit « tu ne peux pas rentrer chez toi dans cet état, va te doucher, Ben va t’accompagner ». Jessica me regarda et je souris pour la rassurer. Marie se mit dans son dos et lui enleva son tee-shirt en disant « tu n’as pas besoin de ça », puis elle décrocha son soutien-gorge qui tomba à nos pieds en disant « et de ça on plus ». Jessica se laissait faire sans rien dire. Sa seule réaction fut de me sourire. J’accompagnais Jessica dans la salle de bain. Elle entra dans la douche, moi je me suis déshabillais et je l’ai rejoint. Elle ne montra aucune surprise. Elle me regarda et me dit « vous allez me baiser ». Je caressais son visage et je lui demandais « si tu le veux, oui ». Elle me fixa dans les yeux et me dit « maintenant je veux ». J’ai souri et lui répondis « tu devras attendre la sortie de la douche, il serait triste que Marie reste seule ». Elle hocha la tête pour approuver.

Je me suis mis derrière elle et j’ai commencé à caresser son ventre avant de monter vers ses seins. Ils n’étaient pas particulièrement gros mais élastiques et très agréables à caresser, ils avaient la douceur de la peau d’une adolescente. Je les caressais d’abord doucement, puis je me décidais à venir caresser les tétons qui avaient durcis d’excitation. Je pris un malin plaisir à les prendre entre mes doigts et à les poncer. Jessica ne devait pas être habitué à ça, car elle trésaillait à chaque fois au début puis au bout de quelques minutes, elle gémissait de plaisir se laissant totalement aller, appuyée contre moi, contre ma bite dure qui pointait dans le bas de son dos.

Je laissais une main sur ses seins mais je descendais l’autre vers son ventre et vers sa petite chatte. Elle n’eut aucune réaction, à part écarter ses cuisses, elle était prête à m’accueillir. Mais j’avais envie de faire durer le plaisir. Je laissais mes doigts tourner autour de sa petite chatte avant de venir la caresser, sur cette peau douce, rasée et lisse. Je glissais un doigt sur sa fente, sans glisser dedans. Jessica gémissait plus fort et elle finit par dire « allez-y ». Je glissais alors un doigt dans sa chatte qui était déjà humide, je faisais coulissait lentement mon doigt en elle, et elle, elle s’appuyait encore plus fortement sur moi. Je pris la décision de la retourner face à moi, la plaquant contre le mur de la douche.

J’avais toujours un doigt en elle, une main sur ses seins. Face à moi, je voyais son visage qui montrait son plaisir. Elle fermait les yeux et s’abandonner totalement sous mes caresses. Je l’ai embrassé, d’abord un simple baiser sur les lèvres, puis un vrai french kiss auquel elle répondait mêlant sa langue à la mienne. J’en profitais pour lui mettre un deuxième doigt dans sa chatte. Ses gémissements devenaient plus forts et ses baisers plus appuyés. Elle s’est mise à me caresser le ventre, les épaules, elle m’enlaçait. Et puis elle a commencé à bouger son bassin d’abord en frottant son ventre contre ma bite, puis en faisant des va-et-vient sur mes doigts. Parfois je la laissais faire, parfois, je la baisais avec mes doigts.

Cela a duré plusieurs minutes et puis d’un coup, je l’ai senti se crisper. Sa chatte est devenue très humide, j’ai accentué mes coups de doigts et elle a eu un orgasme. Elle a crié, enfonçant ses doigts dans mon dos et puis elle s’est laissé glisser contre le mur pour être assise dans la cabine. J’ai léché mes doigts pleins de sa cyprine, elle avait un gout un peu sucré. Jessica était assise dans la douche, je l’ai aidé à se relever et nous sommes sortis de la douche. Je l’ai essuyé et nous sommes retournés dans le salon, elle nue, moi une serviette autour de la taille.

Au salon, Marie lui a dit que l’on avait mis du temps. Jessica me regarda et je lui dit « dis-lui ». Elle a alors dit à Marie ce que l’on avait fait dans la douche. Marie lui caressa le visage et lui dit « et Ben a eu droit à son plaisir ? ». Jessica me regarda et dit « non ». Alors Marie lui dit « ce n’est pas bien, il te donne du plaisir et toi, tu ne le remercies pas en lui donnant du plaisir ». Jessica m’a regardé puis elle est venue vers moi. Elle s’est mise face à moi, je lui ai souris et je l’ai embrassée. Marie nous regardait en souriant. J’ai appuyé sur ses épaules, Jessica a compris qu’elle devait se mettre à genoux. Elle m’a enlevé la serviette et s’est retrouvé face à ma bite, encore à moitié molle mais qui devenait dure, en temps réel, devant son visage. Jessica m’a regardé, puis a regardé ma bite qui maintenant se dressait à quelques centimètres de son visage.

Jessica approcha sa main de mon sexe et enroula ses doigts autour. Elle fit quelques mouvements de la main, me branla doucement. Je jetais un regard vers Marie qui se déshabillait derrière Jessica. Après 2-3 minutes à me branler, Jessica approcha sa bouche de ma bite. Elle ouvrit légèrement ses lèvres et embrassa ma bite. Puis, elle ouvrit sa bouche et avala mon sexe de quelques centimètres et elle me suça lentement quelques minutes. Ma femme se caressait en nous regardant puis décida de rejoindre Jessica. Elle se mit derrière elle et lui caressa ses seins. Jessica gémit ma bite dans sa bouche. Elle se démenait à faire de son mieux et je dois avouer qu’elle se débrouillait bien. Je sentais sa langue jouer avec ma bite. De temps en temps, elle léchait ma bite et parfois mes boules. Bien sûr, je profitais du moment et j’en voulais un peu plus. Alors, j’ai commencé à appuyer sur sa tête pour qu’elle avale plus. Là, on sentait qu’elle n’avait pas l’expérience de la gorge profonde. Les premier coup, elle eu quelques haut-de-curs mais après 5-6 tentatives, elle finit par avaler mon membre en entier dans sa bouche et sa gorge.

Elle me regarda, les yeux avec quelques larmes. Lorsqu’elle repris son souffle, je lui ai demandé si cela allait, elle me dit oui et ravala mon sexe en entier. Je sentais que si elle continuait, je ne durerai pas longtemps, alors je l’ai stoppé. Je voulais sa chatte. Je lui ai dit de se mettre par terre, en doggystyle, ce qu’elle fit. Sans que je lui dise, ma femme est venue se mettre devant elle, cuisses écartées. J’ai dit à Jessica « lèche Marie ».

Jessica me regarda puis plongea entre les cuisses de Marie qui avait un grand sourire. Marie ferma les yeux en gémissant de plaisir, Jessica m’avait obéit. Je commençai par caresser la chatte de Jessica, complétement humide. Je pouvais y mettre 2 doigts très facilement et je testais un troisième qui entra tout aussi facilement. Avec mon pouce, je massais son clitoris, elle gémissait de plus en plus fort, je la sentais proche de l’orgasme à nouveau. J’hésitais à mettre un quatrième doigt mais finalement, l’envie d’y glisser ma bite était plus forte. Alors je retirais mes doigts et posa mon sexe contre cette chatte humide. Je fis glisser la tête de mon sexe contre, l’enduisant de cyprine puis, je présentais mon sexe à l’entrée de sa chatte.

Je la pénétrais doucement mais très vite profondément. Pendant 2-3 minutes, je fus doux. Mais avec l’excitation, j’avais envie d’être plus hard. J’accélérai mes coups de reins et je la pénétrais plus profondément. Ses gémissements devenaient de petits cris. Marie lui demanda « tu aimes ça ? ». Elle répondit « oh oui ». Marie dit « bonne petite salope, allez continue à me lécher ». Jessica dit « oui Madame » et reprit son cunnilingus. Moi, je la baisais fort et je franchissais une nouvelle étape, je lui mis quelques fessées qui lui donnèrent les fesses rouges. J’en profitais aussi pour lui caresser son trou du cul. Il palpitait à chaque passage. Je finissais par cracher de la salive dessus et je tentais d’y glisser un doigt, il entra difficilement, Jessica poussa un cri que je ne pus qualifier de douleur ou de plaisir. Je fis quelques va-et-vient avec mon doigt puis je le sortis, ne voulant pas forcer Jessica à faire des choses qu’elle ne voulait pas. Je reprenais donc une baise rude, recommençant à lui fesser les fesses.

Je l’agrippais aussi par les cheveux, la forçant à relever la tête. Elle poussait de petits cris et disais « oui, oui, oui, encore ». Et puis, j’ai senti sa chatte serrer ma bite et elle eut un gros orgasme en criant. Et moi, j’étais proche de jouir aussi, alors je suis venu me mettre face à son visage et je me branlais pour venir. Je lui demandais d’ouvrir la bouche, allait-elle le faire ?

Je jouissais en grosse quantité sur son visage, dans sa bouche qu’elle avait finalement ouverte. Son magnifique visage avait des trainées de sperme qui le zébraient. Comme cela, elle était encore plus sexy et excitante. Elle avala le sperme qu’elle avait dans sa bouche et je m’amusai à ramasser le sperme sur son visage avec me doigts que je lui faisais sucer et ce, pendant quelques minutes. Marie nous avait laisser seuls dans le salon puis elle revient en nous disant, la douche est libre pour vous. J’amenai Jessica dans la douche. On s’est lavé ensemble tout en se caressant. Une envie de pisser me prit et une idée folle, une idée que Marie m’avait toujours refusée traversa mon esprit. Jessica allait-elle me laissait lui faire une goldenshower ?

Je lui demandais si je pouvais pisser dans la douche, sur elle. Elle regarda et dit « oh non ». je compris vu la façon dont elle m’a répondu que je ne devais pas insister. Je l’embrassais à nouveau puis je sortis de la douche. Je m’essuyais et elle me rejoignit. Elle me dit « désolé pour la goldenshower mais je veux pas ». Je lui ai dit que je comprenais. Je la laissais dans la salle de bain pour aller aux toilettes. Je la rejoignis dans le salon où elle se rhabillait en compagnie de Marie.

Nous la libérâmes et Marie lui dit « j’espère que tu as compris ta punition » Elle nous dit « oui j’ai compris ». Elle partit. Avec Marie, nous sourions comme des adolescents. Et Marie me dit « on l’a fait revenir quand tu veux ».

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