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La bonne soeur baisée et enculée de force – Chapitre 1

La bonne soeur baisée et enculée de force - Chapitre 1



C’est un jeu de rôle. Babette est jeune, jolie et bien faite. Actuellement elle travaille comme serveuse dans un restaurant. Une fois par semaine elle va chez ses parents et chez son copain pour passer le week-end.

Elle aime se relaxer de son travail fatigant en faisant le soir un jogging dans le parc de la ville et dans la forêt avoisinante. Elle n’a pas peur, ne manque pas de courage et en cas de nécessité, elle peut se servir de son vaporisateur à poivre pour se défendre.

C’était une belle soirée d’été, le soleil s’était couché depuis une heure, il faisait doux, et un parfum flottait dans l’air.

Dans sa robe de jogging, elle cheminait d’un pas léger dans le crépuscule. En cours de route elle rencontra des coureurs isolés et des piétons.

Ses petits seins fermes étaient enfermés dans un bon soutien-gorge et ils ballotaient un peu, ce qui était bien pour la musculature du dos.

Cette fois elle empruntait un petit chemin dans la forêt pour découvrir un nouvel itinéraire.

Après quelques instants, le chemin s’assombrit, davantage de buissons et d’arbres se trouvaient sur le chemin. Une pancarte indiquait la direction d’un couvent situé à quelques km de là.

Un peu rassurée par cet environnement inconnu, Babette cherchait une présence humaine. Mais il n’y avait aucune maison. Le cri d’une chouette lui donna la chair de poule. Déjà elle regrettait sa décision de s’être éloignée du chemin habituel.

Soudain elle vit une petite grange faiblement éclairée, où les paysans du coin abritaient parfois leur bétail ou stockaient leur foin et leur paille.

Une faible lueur brillait sous une porte et elle entendit qu’on parlait à voix basse.

Doucement et avec d’infinies précautions, elle s’approcha de la petite grange et prêta l’oreille devant la porte en bois.

Les voix se faisaient entendre beaucoup mieux et à travers un trou percé dans la porte en bois, elle put jeter un coup d’il à l’intérieur. Deux femmes en tenue de bonne sur étaient assises sur un ballot de paille et parlaient à un homme qui se trouvait devant elles :

"Laisse nous libre, s’il te plait, nous te promettons qu’on ne te dénoncera pas, mais nous avons peur. Tu nous as enfermées ici pour nous montrer un animal malade, mais il n’y a pas d’animal ici."

L’une des deux nonnes devait être une novice, car elle avait un visage jeune et regardait le grossier personnage avec des yeux qui laissaient voir qu’elle avait très peur.

" Fais ce que tu veux avec nous, nous feront tout, si après tu nous libères," implorait la plus jeune des deux bonnes surs.

Il attacha les deux nonnes avec des menottes à une poutre en bois.

"Si vous criez ou appelez à l’aide, alors.." dit -il en ricanant sadiquement.

"Vous faites tout ce que je vous dis et je vous laisse partir, il ne vous arrivera rien"

" Libère ma sur, elle est encore jeune, prends moi, fais ce que tu veux avec moi" dit la plus âgée des deux bonnes surs. Elle avait 25 ans, elle était bien faite et elle était assez grande pour une femme.

"Je vais voir, peut-être je vais l’épargner en fait, mais tu dois faire ce que je te dis et je ne la toucherai pas." promit le type avec un ricanement lubrique.

Babette pouvait tout voir de l’endroit où elle était et comprit vite ce que l’homme avait en tête.

Dans son pantalon elle pouvait voir une grosse bosse.

"Déshabille-toi, ordonna-t-il à la plus âgée. J’ai toujours voulu baiser une bonne sur et maintenant j’en ai deux à ma portée" ria-t-il méchamment.

Les mains tremblantes elle se libéra de sa tenue de nonne.

Petit à petit, elle déposa ses habits sur le sol de la grange et apparut alors une femme mince bien faite, encore très jeune et très désirable.

Des petits nichons bien fermes pointèrent et les pointes de ces lolos étaient légèrement gonflées, mais la nonne ne fit rien pour cacher sa nudité.

Ses yeux gourmands fixaient ce butin inattendu.

La jeune nonne avait baissé les yeux et restait pétrifiée. L’homme réfléchit un moment, puis entraina la nonne dans une pièce contiguë à la grange.

"Ne bouge pas, sinon, il en est fini de toi." menaçait-il, le corps tremblant, elle s’effondra sur la paille.

Dehors, Babette qui suivait cette scène bizarre, incapable d’entreprendre quelque chose, n’était qu’une spectatrice.

Le monstre retourna à sa première victime et la regarda dans les yeux. Ses cheveux courts étaient recouverts par des mèches argentées.

Son cul se courbait un peu et invitait à l’amour.

L’homme défit son pantalon et jeta sa chemise et ses sous-vêtements.

Une énorme bite s’offrit à Babette qui était terrorisée. Les yeux de la bonne sur s’agrandirent sous l’effet de la peur et on pouvait observer un scintillement suspect dans son regard.

Sa bite était certainement une arme redoutable. Elle mesurait 22 cm et était dure et très grosse, une bite dont le diamètre était presque comparable au délicat poignet de la bonne sur.

On pouvait imaginer l’effet qu’elle pouvait faire cette pine, quand elle s’enfoncera de force dans le con et dans le trou du cul de la nonne.

Il s’approcha lentement de la bonne sur.

" Tu es une nonne, mais tu n’as pas toujours exercé cette profession, montre-moi ce que tu sais faire, tu sais ce que tu dois faire n’est-ce pas ?

La nonne reprit son souffle et leva la main pour s’emparer de la bite de l’homme. Lentement elle agissait sur la peau de la verge en faisant un mouvement régulier de vas et viens.

De nombreux souvenirs datant de son ancien métier de "call girl" lui revinrent en mémoire. Non elle n’avait pas toujours été bonne sur. Autrefois elle excellait dans l’art de donner du plaisir aux hommes en offrant sa bouche, sa chatte et son trou du cul.

Mais jamais elle n’avait vu une bite aussi gigantesque. Elle haletait de plus en plus vite, et elle branlait la grosse pine de plus en plus rapidement.

L’homme surpris par le traitement qu’il connaissait bien gémissait de nouveau, ferma les yeux et soufflait par le nez doucement. Le gland avait pris une couleur violette et ses énormes couilles avec les deux grosses boules pendaient et la bonne sur avait saisi ses belles couilles et les pétrissait avec ardeur.

Elle se rapprocha prudemment de la pointe de la bite qui effleura sa bouche, elle la taquina légèrement avec sa langue et l’enfonça dans le petit trou de la pine. Babette avait chaud et froid. Elle remarqua que sa chatte commençait à réagir et ses nichons se tendaient soudainement, les mamelons durcirent.

En gémissant, elle posa sa main sur sa jambe puis la dirigea vers son con pour le frotter énergiquement. Pendant ce temps la bonne sur avait enfoncé la bite de l’homme le plus profondément possible dans sa gorge.

Elle suça la grosse verge sans aucune retenue, elle la serra et la mâcha avec excitation. Elle enfonça délicatement ses dents dans la chair et grignota la peau de la belle bite. Le type roulait les yeux et haletait de plus en plus fort.

Il secouait avec gourmandise son bas ventre s’efforçant de faire rentrer sa bite dans la chatte de la nonne encore plus profondément.

Il aurait souhaité que sa verge ressorte par la bouche de la nonne pour qu’elle puisse être sucée amoureusement par la novice….

" Ah! Femme si tu continues comme ça, je vais pouvoir t’envoyer une première giclée de foutre dans ta bouche ! " Et pour s’exciter il enfonça son doigt mouillé dans le trou du cul poilu de la bonne sur. En poussant un cri, l’homme abandonna cette attaque et ne put se retenir.

En plusieurs giclées son foutre se déversa dans la bouche grande ouverte de la bonne sur. Sans trouver que la liqueur d’amour de l’homme puisse être écurante, elle avala toute la quantité qui avait envahi son palais avec volupté. En ne laissant rien perdre, elle essuya les dernières gouttes avec extase.

Maintenant elle était très excitée :

"Oh mon Dieu depuis combien de temps je n’ai pas eu d’homme pour me donner ce plaisir de sentir sa verge entrer lentement mais surement dans mon con et goutter à cette coulée de lave chaude et si réconfortante."

Sa queue n’avait rien perdu de sa raideur. L’homme était excité et il désirait maintenant monter sur la bonne sur pour l’enconner et aussi pour l’enculer.

"Allez, toi petite putain de bonne sur, allonge toi, je vais te baiser maintenant," commanda-t-il avec une voix tremblante d’excitation. Obéissante, la nonne s’allongea sur le dos et écarta les cuisses.

Sa chatte s’ouvrit légèrement et était mouillée et prête à être remplie.

"Oui, toi l’homme puissant, viens et baise-moi enfin." Il se jeta sur la femme et promena sa bite sur la chatte amoureuse. D’une main adroite, elle saisit l’énorme pénis et le dirigea à l’entrée de son vagin étroit. Impatient l’homme enfonça sa bite dans la chatte de la nonne.

Lentement il la faisait avancer dans son trou à bébé. La verge était naturellement bien trop grosse et le minou de la nonne ne s’était pas encore habitué à recevoir une colonne de chair aussi encombrante, mais c’était bon pour elle de se sentir remplie par cet engin merveilleux.

Babette s’était dénudée et se tenait avec son bas ventre nu devant le gros arbre et frottait allègrement son clitoris.

Elle était elle-même si excitée à la vue de ce spectacle, qu’elle aurait bien voulu être allongée à la place de la bonne sur.

Péniblement elle se retenait de gémir bruyamment et contemplait avec une excitation de plus en plus grande la suite de cette scène lubrique.

L’homme avait entretemps introduit sa bite entièrement dans la foufoune de la nonne et la baisait en lui donnant de violents coups de reins, ce qui procurait à la femme une exquise sensation de bonheur.

De nouveau l’homme atteignit avec sa bite le fond de la chatte en poussant brutalement son piston ce qui engendra une douleur très vive qui fit crier la femelle enconnée. Puis la douleur s’estompa.

Jamais elle n’avait reçu un membre aussi énorme dans son vagin, c’était immensément jouissif. Ses jus d’amour coulaient abondamment et il pétrissait brutalement ses nichons de telle façon qu’elle hurlait de plaisir. Il la transperçait lentement, puis plus vite violemment.

"Allez, toi la petite putain excitée, lève-toi et penche-toi, je veux voir ton cul de salope et te baiser par derrière, je veux t’enculer, tu entends ?"

La bonne sur se leva et lui offrit son cul. Les lèvres de son con étaient toutes rouges et brillaient entre ses jambes. Elle le rendait fou. En poussant un cri il glissa sa queue jusqu’à la garde dans la chatte trempée et amena son gland au bord de la folie. Elle se sentit remplie et la douleur ne passait pas. Sa bite était énorme, il lenfonça dans son ventre le plus loin possible et désirait pouvoir encore s’enfoncer, il aurait voulu que son con soit d’une profondeur inimaginable.

Une grosse bite d’homme, c’est pour une femme un magnifique cadeau. C’était son devoir de faire don à cette nonne, de lui donner le plus intense des plaisirs. Maintenant l’homme se préparait pour l’enculade de la bonne sur, mais le trou du cul de la nonne n’était pas fait pour recevoir son énorme pine. Elle se défendait car elle savait qu’il était impossible de la défoncer avec son outil aussi peu adapté à son corps.

Mais elle ne pouvait lutter contre ses forces et sa détermination de faire éclater son trou du cul pour enfiler son immense bite dans cet adorable petit trou d’amour.

Il lui fait part alors d’une demande qui pourrait faciliter les choses, car il voulait lubrifier sa queue pensant que l’introduction pourrait peut-être être plus aisée.

Avec son jus d’amour, il lubrifia la pointe de sa verge et le trou du cul de son amoureuse et élargit son anus avec un, puis deux doigts. Gémissant de plaisir il enfonça son pénis, il poussa et il força le trou où le bonheur l’attendait.

La bonne sur se tortillait tant elle souffrait, mais il continuait sa besogne et bientôt la pointe de la bite transperça lentement le frêle anneau. Une fois cet obstacle franchi, il put d’un seul coup enfiler entièrement sa queue dans l’intestin étroit et chaud de l’enculée. Ses douleurs se transformèrent alors en un plaisir extraordinaire et elle cria son orgasme si fort qu’il dut lui fermer la bouche.

"Oh! Mon Dieu c’est bon, c’est bon, oui vraiment bon, continue, encule-moi encore, encule, encule, encule, encule, encule et n’arrête pas," implora-t-elle à l’homme qui était devenu son jouet d’amour.

"J’ai besoin de ta bite dans mon cul, oui, dans mon trou du cul, allez baise plus fort, plus fort, éclate-moi le cul, décharge une puissante salve de foutre brûlant dans mon intestin. Je veux sentir ton foutre dans le petit trou de mon cul."

Comme une folle elle se balançait embrochée sur sa bite d’avant en arrière pour enfoncer le dernier centimètre de pine dans ses entrailles.

Ses gémissements de plaisir et ses grognements d’excitée, dominaient l’orgasme que Babette éprouvait dehors. Il s’en fallait de peu pour qu’elle entre précipitamment dans la grange pour offrir sa chatte béante à la bite de l’homme qu’elle considérait désormais comme un Super Dieu de la baise.

Avec un dernier coup, l’homme provoqua un deuxième orgasme et déchargea longuement dans le cul de la nonne.

Le jus blanc remplit son intestin et après avoir retiré sa bite qui devint lentement molle, de son cul quelques gouttes de foutre coulèrent sur le lit et sur la paille.

L’homme gisait complètement épuisé sur le sol. Encore un peu de sperme coulait de sa queue et la nonne se précipita sur ce nectar en gémissant. Elle lécha tout comme l’aurait fait un chat et le mit dans sa bouche.

Elle sentait qu’elle était épuisée et suça, heureuse et reconnaissante, la bite de son bienfaiteur. Oui elle le garderait. Il était certainement marié et cela dépendait delle de savoir ce qu’elle en ferait. Ah! Comme la baise lui avait manqué au cours de ces années. Baiser, se faire enculer, sucer avaient été sa gloire, sa passion, son obsession.

Peut-être devrait-t-elle abandonner la tenue de bonne sur, reprendre son ancien métier et de nouveau ouvrir un bordel et en être la patronne, avec cette superbe bite à ses côtés, qu’elle rendrait heureuse tous les jours.

Dehors il y avait Babette avec ses jambes qui tremblaient, la tête toute rouge, la chatte enflée, et la mouille qui coulait.

Elle rentrait à la maison, à demi abasourdie.

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