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La bourgeoise et le marabout – Chapitre 20

La bourgeoise et le marabout - Chapitre 20



Après avoir convenu avec Monsieur Coulibadou de trouver un subterfuge pour qu’il fasse connaissance avec mon mari, il faut maintenant que j’arrive à finaliser ce projet. Ce soir, alors que nous sommes installés dans le salon après dîner, je décide donc de me lancer en expliquant à mon mari François que j’avais aujourd’hui un rendez-vous avec ma gynécologue pour une visite de contrôle. Puis je lui annonce qu’elle m’a conseillé de faire une petite rééducation périnéale comme il est souhaité de le faire après la ménopause. J’explique à François que cela ne peut que contribuer à améliorer la qualité de nos relations sexuelles et il m’écoute avec la plus grande attention. Je lui dis alors que ma gynéco m’a recommandé de voir une sorte de marabout africain qui lui a été tout particulièrement recommandé par une consur. Il semblerait que ce monsieur, d’un certain âge, obtienne de très bons résultats chez ses patientes en conjuguant rééducation du périnée et massages des vertèbres dorsales. J’avoue à François que je souhaiterais vraiment faire un essai mais en sa présence pour être bien rassurée en présence de cet inconnu. François me précise alors qu’il faudrait que cela puisse se faire à la maison, après ses horaires de travail au ministère ou bien le samedi matin, pour qu’il puisse caler cela dans un agenda déjà bien rempli.

Le lendemain, mercredi, je téléphone à Maître Coulibadou et je lui explique la situation et nous convenons ensemble de la suite. Aussitôt, je mets un SMS à François « rendez-vous pris pour samedi 10h30 chez nous. Je compte sur ta présence pour être tout à fait rassurée ». Il me répond « C’est noté. Je serai à tes côtés ».

J’attends avec impatience le samedi matin et je prie intérieurement pour que tout se passe bien et que François ne découvre pas que Monsieur Coulibadou me connaît très bien depuis déjà de nombreuses semaines. Mais je fais confiance à la sagesse et à l’imagination de mon maître pour improviser un rendez-vous très professionnel. Le samedi matin après le petit-déjeuner, je demande à François

— D’après toi, dans quelle tenue dois-je le recevoir ? En peignoir ?

François me répond

— Puisque je dois être présent, autant que cela soit un peu intéressant pour moi aussi. Je préférerais que tu mettes une robe que tu pourras retirer devant nous deux.

— Tu es vraiment un coquin lubrique ! lui rétorquais-je même si, intérieurement, j’étais ravie de sa réponse.

Il est à peine 10h25 lorsqu’on sonne à l’appartement. C’est François qui va ouvrir et qui fait entrer Monsieur Coulibadou dans le salon. Il est habillé très élégamment et ressemble vraiment à un professionnel de santé. Il a avec lui une petite sacoche qu’il pose près du fauteuil où il s’installe. François et moi prenons place en face de lui sur le canapé. C’est finalement maître Coulibadou qui prend la parole en expliquant que, suite à mon appel téléphonique, il a contacté ma gynécologue pour faire un point de situation avec elle et qu’il sait maintenant parfaitement les exercices de rééducation qu’il doit me faire faire. Tandis qu’il pose quelques questions à François sur notre vie intime pour consolider son diagnostic, je m’absente quelques instants pour préparer un thé. Lorsque je reviens, François m’explique qu’il a précisé à Monsieur Coulibadou que notre vie sexuelle était relativement active mais qu’il espérait que cette rééducation contribuerait à améliorer la fréquence et la variété de nos jeux érotiques. Une fois le thé pris, je demande à Monsieur Coulibadou comment il souhaite procéder pour la suite du rendez-vous et je lui précise que je souhaite que mon mari y assiste, au moins pour cette première fois, afin d’être rassurée.

Monsieur Coulibadou me dit qu’il lui faudrait un tabouret et que je dois retirer ma robe et ma petite culotte si j’en porte une. François va chercher un tabouret à la cuisine tandis que je retire ma robe et mon string. Je n’ai plus que mes chaussures à talons, mes bas autofixants et mon soutien-gorge. Maître Coulibadou sort quatre ou cinq godemichés de différentes tailles et de différentes textures mais il s’empresse de préciser qu’il s’agit d’accessoires de rééducation plutôt que de sex-toys. Il sort également un tube de lubrifiant et un flacon d’huile essentielle. Bien calé dans son fauteuil, François regarde tout cela avec un intérêt non dissimulé. Puis maître Coulibadou lubrifie avec application l’un des plus petits godemichés, le fait tenir bien verticalement sur le tabouret et me demande de m’installer dessus de sorte qu’il soit bien calé dans mon sexe. Je m’assois lentement et apprécie la pénétration de l’objet devant ces deux hommes qui me regardent. Monsieur Coulibadou me précise ensuite qu’il va me masser le bas du dos à l’huile essentielle pendant que je dois exécuter des contractions vaginales pour bien enserrer la fausse queue qui me remplit. Je m’exécute et je dois avouer que les massages augmentent le plaisir de l’exercice. Au bout d’une dizaine de minutes, il me dit qu’il serait souhaitable que je refasse les exercices avec un godemiché plus gros. Heureusement pour moi, il prend une taille intermédiaire alors qu’il y en a une énorme couleur d’ébène. Je fais de nouveaux exercices de contraction et je remarque qu’une grosse bosse déforme le pantalon de François.

Maître Coulibadou semble satisfait de mes exercices et dit à François

— Tout cela est très satisfaisant. Votre épouse semble bien souple et nous devrions pouvoir rapidement progresser en utilisant le plus gros des accessoires lors de nos prochaines séances. D’ici là, il serait souhaitable que vous lui fassiez l’amour très régulièrement pour qu’elle continue les exercices de contraction.

Sans dévoiler les intentions qu’il a, François lui répond

— A mon âge, je ne sais pas si je pourrai l’honorer aussi souvent que votre traitement le nécessite. Et je dois vous avouer que je ne suis pas aussi bien monté que votre plus gros accessoire. N’y aurait-il pas moyen que vous veniez plus régulièrement ?

Monsieur Coulibadou réfléchit un peu avant de préciser

— Si vous le souhaitez, je peux voir Madame chaque samedi ici chez vous mais il faudrait qu’elle puisse venir à mon cabinet tous les mercredis. Avec deux séances par semaine, le traitement ne devrait pas durer plus d’un mois. Bien sûr, il n’y a aucun souci pour que vous accompagniez Madame à mon cabinet pour qu’elle soit rassurée.

François lui répond alors

— Je ne serai là que le samedi car il m’est impossible de me libérer en semaine. Mais j’ai pleinement confiance en vous et je suis certain que mon épouse supportera mon absence. De plus, je pense qu’elle sera plus attentive à vos directives si je ne suis pas là. N’hésitez pas à bien la faire travailler, même par des exercices plus pratiques.

Maître Coulibadou sort alors une carte de visite de sa poche et la tend à François à lui disant

— Monsieur de Saint Jouy, appelez-moi quand vous le souhaitez. En fonction de vos attentes, je pourrai peut-être adapter les séances de rééducation avec votre épouse.

A peine maître Coulibadou est-il parti que François s’assoie sur le tabouret, m’attire à lui et me fait empaler sur sa queue en lui faisant face. Il colle sa bouche à la mienne, joue avec sa langue et débute quelques mouvements du bas-ventre tout en me flattant les fesses et le bas du dos. Je ferme les yeux et me laisse aller, cela complète bien les exercices faits avec les accessoires. François me dit alors

— Ce Monsieur Coulibadou me plaît bien. Il est très professionnel mais j’ai vu la luxure et la perversité au fond de ses yeux.

Prenant un air très naïf, je lui réponds

— Tu crois ??? Moi il m’a semblé attentif à mes exercices mais sans arrières pensées.

François me fait changer de position et s’est agenouillé par terre, le buste incliné sur un coussin posé sur le tabouret, que je continue à bien me faire baiser tandis qu’il ajoute

— Tu as raison, l’essentiel est qu’il prenne bien soin de toi comme ta gynéco l’a prescrit. Je lui téléphonerai tout de même pour discuter avec lui, entre hommes !

Sur ce, il déverse en moi de longs jets de foutre et je suis certaine, en constatant son excitation, que mon subterfuge a parfaitement réussi. Maître Coulibadou et mon mari vont devenir de vrais complices, pour mon plus grand plaisir…

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